38e régiment d'infanterie (France)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

38e régiment d’infanterie
Image illustrative de l’article 38e régiment d'infanterie (France)
Image illustrative de l’article 38e régiment d'infanterie (France)
Insigne régimentaire du 38e RI (modèle 1963).
Insigne régimentaire du 38e bataillon d’infanterie (modèle 1948).

Création 1629
Dissolution Voir et modifier les données sur Wikidata
Pays Drapeau de la France France
Branche Armée de terre
Type Régiment d'infanterie
Rôle Infanterie
Garnison Caserne RULLIERE
Saint-Étienne
et Lyon
Devise "Ah quel métier de pivoter pour avancer"
Inscriptions
sur l’emblème
Jemmapes 1792
Saint-Gothard 1799
Moesskirch 1800
Zaatcha 1849
Lorraine 1914
Verdun 1916
l'Aisne 1918
Le Chesne 1918
Anniversaire Saint-Maurice
Guerres Première Guerre mondiale
Seconde Guerre mondiale
Fourragères Aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1914-1918
Décorations Croix de guerre 1914-1918
trois palmes
une étoile de vermeil
une étoile argent
Croix de guerre 1939-1945
une étoile d'argent

Le 38e régiment d'infanterie (38e RI) est un régiment d'infanterie de l'Armée de terre française créé sous la Révolution à partir du régiment de Dauphiné, un régiment français d'Ancien Régime.

Création et différentes dénominations[modifier | modifier le code]

Colonels / Chefs de brigade[modifier | modifier le code]

  • 23 novembre 1791 : Charles Le Bœuf[Note 1]
  • 13 mai 1792 : Charles Philibert de La Cour de La Gardiolle[Note 2]
  • 1794 : chef de brigade Benigne Louis Dussaussay
  • 1795 : chef de brigade Fabus
  • 1795 : chef de brigade Marie Guillaume Daumas
  • 1800 : chef de brigade Jean-Joseph Gauthier
  • De 1803 à 1815, le 38e régiment d'infanterie n'est pas formé.
  • 1816 : colonel de Juigné
  • 1819 : colonel Jean Louis Désiré de Boisdavid[Note 3]
  • 1821 : colonel Pierre Pignet
  • 1822 : colonel Charles Louis Prosper de Chérisey[Note 4]
  • 1829 : colonel Théodore Philippe Louis du Rocheret
  • 1835 : colonel Jean Alexandre Valleton de Garraube
  • 1840 : colonel E de Bruno
  • 1844 : colonel Jean-Baptiste Bergounhe
  • 1846 : colonel E Herbillon
  • 1846 : colonel J. de Barral
  • 1850 : colonel Grandchamp
  • 1854 : colonel F. Lardier
  • 1858 : colonel P de Goldberg
  • 1869 : colonel C. Minot
  •  : colonel François Auguste Logerot
  • 1871 : colonel M. Tartrat
  • 1871 : colonel A. Biadelli
  • 1871 : colonel Jean-Baptiste Baille
  • 1876 : colonel P. Pereira
  • 1882 : colonel J. Martenot
  • 1883 : colonel E. Bérenger
  • 1888 : colonel L. du Chouchet
  • 1894 : colonel J. Brunet
  • 1896 : colonel P. Bugnet
  • 1898 : colonel G. d'Aubigny
  • 1914 : lieutenant-colonel Jean Léon Doumenjou[Note 5]
  • 1939 : colonel Louis Grélot
Insigne de béret de l'infanterie.

Historique des garnisons, combats et batailles du 38e RI[modifier | modifier le code]

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

38e régiment d'infanterie de ligne ci-devant Dauphiné (1791-1795)[modifier | modifier le code]

Guerres de la Révolution et de l'Empire[modifier | modifier le code]

L'ordonnance du 1er janvier 1791 fait disparaître les diverses dénominations, et les corps d'infanterie ne sont désormais plus désignés que par le numéro du rang qu'ils occupaient entre eux. Ainsi, 101 régiments sont renommés. Les régiments sont toutefois largement désignés avec le terme ci-devant, comme 38e régiment d'infanterie ci-devant Dauphiné.
Chaque régiment n'eut plus qu'un drapeau aux couleurs rouge, blanc et bleu, ayant d'un côté cette inscription : Obéissance à la Loi et de l'autre le numéro du régiment et les noms des actions éclatantes où il s'était trouvé.

Au commencement de la guerre , en avril 1792, le 2e bataillon est dirigé sur Sedan, tandis que le 1er bataillon demeure à Belfort jusqu'au mois d'août ou il se rend alors à Besançon, et plus tard au camp de Bourgoin, où le général de Montesquiou assemble l'armée qui allait conquérir la Savoie.

1er bataillon

En 1793, le 1er bataillon passe, de l'armée des Alpes à celle des Ardennes, et fait, sous le commandement du général Jourdan, cette campagne et une partie de celle de 1794. Avec le 2e bataillon du 49e régiment d'infanterie de ligne et le 1er bataillon du 6e régiment d'infanterie de ligne il est désigné pour renforcer la garnison de Condé[Note 6]. Après la reddition de la place, les officiers sont dispersés, le bataillon est envoyé prisonnier à Péruwelz, et le colonel Charles Philibert de La Cour de La Gardiolle est envoyé à Presbourg, ainsi que son frère et son fils, qui servaient sous ses ordres[1].
Le 1er août 1794, le 1er bataillon du 38e est reconstitué à Sedan avec de nouveaux cadres, et entre dans la composition de la 2e division de l'armée de Sambre-et-Meuse, sous les ordres du général Kilmaine.
Le 6 septembre 1794, avec un effectif de 774 hommes, il passe dans l'armée de la Moselle. En novembre, durant le siège de Luxembourg, il se distingue, au combat de Blascheid.
Le 1er messidor de l'an III (19 juin 1795), le 1er bataillon du 38e régiment d'infanterie de ligne ci-devant Dauphiné est amalgamé avec le 1er bataillon de volontaires des Vosges et le 17e bataillon de volontaires de la Côte-d'Or pour former la 75e demi-brigade de première formation.

2e bataillon

Le 2e bataillon, pendant l'invasion de la Champagne, est appelé de Sedan au camp de Châlons. Après la déroute des Prussiens, il tient garnison à Givet, et il passe en 1793 en Vendée. Après la bataille de Savenay, il est dirigé, fin 1794, sur l'armée du Nord.
En 1794, le 2e bataillon du 38e régiment d'infanterie de ligne ci-devant Dauphiné est amalgamé avec le 9e bataillon des Fédérés Nationaux et le 10e bataillon de volontaires de la Seine-Inférieure pour former la 76e demi-brigade de première formation.

38e demi-brigade de première formation (1794-1796)[modifier | modifier le code]

Guerres de la Révolution et de l'Empire[modifier | modifier le code]

En 1793, lors du premier amalgame la 38e demi-brigade de première formation est formée avec les :

En 1794, affecté à la 4e division de l'armée du Nord, elle participe au siège de Grave.

Le 14 avril 1795, un ordre de la commission du mouvement des armées prescrivit à la 38e demi-brigade de partir de ses cantonnements pour aller à Arras avec armes et bagages et affectée à l'armée de l'intérieur. Après avoir tenu garnison à Arras, Abbeville, Amiens, Doullens, Bapaume et Péronne, les 1er et 3e bataillons sont désignés pour renforcer l'armée de Paris et envoyés au camp de Marly ou se trouvaient déjà le 3e bataillon de la 128e demi-brigade, les 2e et 3e bataillons de la 176e demi-brigade, le 7e bataillon de volontaires de l'Yonne, le 3e régiment de dragons, le 21e régiment de chasseurs à cheval, la 27e division de gendarmerie et des détachements des 2e, 3e et 6e régiments d'artillerie sous le ordres du général Baraguey d'Hilliers[1].
Fin juillet, les 1er et 3e bataillons sont envoyés près de Laon, au camp du Trou-d'Enfer avec le 3e bataillon de la 128e demi-brigade, le 7e bataillon de volontaires de l'Yonne et le 2e bataillon de volontaires de l'Oise[1].
Le 19 septembre, quelques troubles ayant éclaté dans le département d'Eure-et-Loir, le 1er bataillon de la 38e demi-brigade et le 2e bataillon de la 144e demi-brigade sont détachés à Épernon[1].

Lors du second amalgame, elle est incorporée dans la 21e demi-brigade de deuxième formation.

38e demi-brigade de deuxième formation (1796-1803)[modifier | modifier le code]

Guerres de la Révolution et de l'Empire[modifier | modifier le code]

La 38e demi-brigade de deuxième formation est formée le 10 germinal an IV () par l'amalgame des :

En mars 1796, la 38e demi-brigade est affectée l'armée de Rhin-et-Moselle, division Laborde avec la 3e demi-brigade et le 21e régiment de cavalerie.
Le 8 août 1796, la demi-brigade se trouve au combat de Lindau puis à la prise de Brégence.
Le 16 septembre, la demi-brigade se trouve engager au combat de Lautrach
Le 2 octobre la demi-brigade participe à la bataille de Biberach, le 4 octobre au combat de Waldshut et le lendemain au combat de Laufenbourg
Rattaché au corps Ferino[Note 7] il est chargé de la défense de la tête de pont d'Huningue.

Le 5 février 1797, après la reddition de la tête de pont d'Huningue, la 38e demi brigade reçoit l'ordre d'aller cantonner dans les villages autour de Colmar, puis le 21 mars elle cantonne sur la frontière Suisse, de Allschwil à Huningue.
Après le traité de Leoben, la 38e est envoyée dans le Mont-Terrible et dans le Doubs.

En 1798, rattachée à l'armée d'Helvétie elle est engagée dans l'invasion de la Suisse. Tandis que le 1er bataillon restait à Morteau, les 2e et 3e bataillons sont réunis à la 97e demi-brigade et au 17e régiment de dragons et pénètre dans les vallées de Saint-Imier et de Moutier.
Le 5 mars, la 38e demi-brigade est attaquée par les Suisses à Nidau qui sont mis en déroute

1815 à 1852[modifier | modifier le code]

Second Empire[modifier | modifier le code]

1870 à 1914[modifier | modifier le code]

  • France (1870-1871);

Au , le 38e régiment d'infanterie fait partie de l'Armée de la Loire.

Avec le 4e bataillon de chasseurs de marche du commandant de Sicco, le 1er zouaves de marche du lieutenant-colonel Chaulan, les mobiles de la Nièvre du lieutenant-colonel de Bourgoing et le bataillon d'infanterie de marine du commandant Laurent, le 38e forme la 1re brigade aux ordres du général de Chabron (puis Minot). Cette 1re brigade avec la 2e brigade du général Bertrand, trois batteries de 4, une de mitrailleuses et une de montagne, une section du génie constituent la 1re division d’infanterie commandée par le général de division Martin des Pallières. Cette division d'infanterie évolue au sein du 15e corps d’armée ayant pour commandant en chef le général de division d’Aurelle de Paladines.

Au , le 38e régiment d'infanterie fait partie de l’armée de l'Est (général Bourbaki).

Avec le 29e de marche du lieutenant-colonel Carré, le régiment de marche d'infanterie de marine du lieutenant-colonel Coquet, le 38e forme une brigade d'infanterie. Cette brigade avec la brigade de cavalerie du général de Boërio, trois batteries de 8, une section du génie constituent la réserve générale commandée par le général Pallu de la Barrière (capitaine de frégate).

En juillet 1871, il fusionne avec le 38e régiment de marche.

  • Tunisie (1881) ;

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Rattachements :

  • Août : casernement Saint-Étienne, 49e BI, 25e DI, 13e corps d’armée.

1914[modifier | modifier le code]

1915[modifier | modifier le code]

1916[modifier | modifier le code]

1917[modifier | modifier le code]

1918[modifier | modifier le code]

  • Novembre : Libération de Vouziers
  • 47 officiers, 850 sous-officiers, caporaux et soldats sont morts sous les plis de son drapeau de 1914 à 1918.

Entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

1939[modifier | modifier le code]

Au , le 38e régiment d'infanterie de type motorisée composait avec le 92e RI et le 121e RI, le 5e GRDI), les unités de mêlées de la 25e division d’infanterie motorisée, placée sous le commandement du général Molinié, lui-même sous le commandement du général René Altmayer commandant du 5e corps d'armée.

Le 38e régiment passe tout l'hiver 1939-1940 dans la région de Brouckerque. Un insigne est également trouvé sur la commune d'Eringhem.

Le , la composition du 38e régiment d'infanterie de type motorisée est la même lorsqu'il est déployé au Nord face à l'avancée éclair des divisions blindées allemandes. Il participe alors à la défense de la poche de Lille permettant ainsi de stopper temporairement l'invasion ennemie. Sur ordre du général commandant la division, le drapeau du 38e RI est brulé le afin qu'il ne soit pas pris.

Le 31 mai, après de violents combats, les survivants du régiment de Saint-Étienne se rendent, après épuisement total de leurs munitions.

La résistance opposée par les hommes du 38e régiment d'infanterie de type motorisée a été une des composantes majeures[réf. nécessaire] du ré-embarquement de milliers de soldats britanniques à Dunkerque.

  • Libération (1944-1945)

1940[modifier | modifier le code]

  • 25 au 30 mai 1940 Poche de Lille
  • Le , en fin de matinée le lieutenant Sanglerat et ses hommes, du 38e Régiment d'Infanterie, appartenant à la 25e division d'infanterie motorisée du général Molinié, fait prisonnier le général allemand Fritz Kühne commandant la 253e Infanterie division et s'emparent de l'ordre d'attaque prescrit par le général Waeger chargé de réduire la poche autour de Lille.

Le plan allemand prévoit : Les trois Panzer Divisionnen (4e, 5e et 7e) attaqueront le front ouest, la 7e division le nord, la 253e le nord-est, la 217e le sud-est et la 267e division le sud.

1945[modifier | modifier le code]

1945 à nos jours[modifier | modifier le code]

  • Après l'armitice de 1945 le 38e RI est dissous.
  • Un bataillon portant l'insigne (pucelle) du 38e BI sera reformé le , au cours d'une prise d'armes devant l'Hôtel de Ville, mais il sera à nouveau dissous quelques mois plus tard. En fin le 38e RI tiendra de nouveau à Saint-Étienne à la caserne Grouchy d' à , là il sera dissous. Seul régiment de la ville, il restera dans la mémoire de nombreux Stéphanois et Ligériens. Le 38e régiment d'infanterie divisionnaire rattaché à la 51e division militaire territoriale de Lyon, sera remis sur pied au quartier Grouchy à Saint-Étienne par le Centre mobilisateur 38, le [3].

Drapeau[modifier | modifier le code]

Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[4] :

Fourragère aux couleurs du ruban de la croix de guerre 1914-1918 sans l'olive aux couleurs du ruban de la croix de guerre 1939-1945.

devise[modifier | modifier le code]

« Ah quel métier de pivoter pour avancer »

décorations du régiment[modifier | modifier le code]

La cravate de son drapeau est décorée de :

La Croix de guerre 1914-1918 avec trois palmes, une étoile vermeil, une étoile argent (trois citations à l'ordre de l'armée et une à l'ordre du corps d'armée puis une citation à l'ordre de la division).

De la Croix de guerre 1939-1945 avec une étoile argent (une citation à l'ordre de la division).

Le régiment porte la Fourragère aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1914-1918.

Refrain du 38e RI[modifier | modifier le code]

  • C'est le brave trente-huit, beau régiment de France, Qui marche au premier rang pour défendre l'honneur, Joyeux de t'obéir, fiers de notre vaillance Nous te saluons tous, O beau drapeau vainqueur.

Personnalités ayant servi au sein du régiment[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Charles Le Bœuf, était lieutenant-colonel de l'ancien régiment de Beauvaisis, devenu 57e régiment d'infanterie. Il est désigné pour devenir le colonel commandant du 38e régiment d’infanterie de ligne ci-devant Dauphiné. Mais cet officier supérieur donna sa démission avant d'avoir rejoint le corps.
  2. Charles Philibert de La Cour de La Gardiolle est né le 11 décembre 1732 à Conqueyrac était lieutenant puis capitaine au régiment du Dauphiné. Étant le plus ancien officier du corps, il est nommé lieutenant-colonel le 25 juin 1791 afin de remplacé le précédent colonel qui avait démissionné avant d'avoir rejoint le corps. Il est mort le 17 octobre 1817, également à Conqueyrac
  3. Fils de Jean-Prudence de Boisdavid (1755 - 1797), écuyer, seigneur de La Lombarderie et de Anne Mosnier de Boyenne (1762 - 1838), Jean-Louis de Boisdavid est né le 13 décembre 1781 à Nantes. En 1806, il est sous-lieutenant au 1er régiment d'infanterie de Berg, en 1807 il passe lieutenant puis capitaine. Il devient chef de bataillon au 2e régiment d'infanterie de Berg en 1811, puis au 17e régiment d'infanterie en 1814 et major au 3e régiment d'infanterie en 1815. Il devient ensuite lieutenant-colonel au 2e régiment d'infanterie et colonel au 38e régiment d'infanterie de ligne. Propriétaire du château de Wilwisheim, il meurt le 22 juin 1858 à Wilwisheim. Il a été marié le 8 février 1809 à Düsseldorf, avec Fanny Charlotte Catherine Douglas morte en 1842, puis remarié le 21 janvier 1843 à Wilwisheim, avec Christine Hélène Jeanne Douglas née en 1782 et morte en 1852
  4. Fils de Charles Louis de Chérisey (1751-1827) lieutenant-général des armées du Roi et de Amélie Le Séneschal (1764-1854) Charles Louis Prosper de Chérisey nait le 5 décembre 1786 à Paris paroisse Saint-Nicolas-des-Champs. C'est le petit-fils du général Louis Jean François de Chérisey (1722-1794) et l'arrière-petit-fils du général Louis de Chérisey (1667-1750).Il se marie le 13 août 1818 à Paris, en l'église Saint-Sulpice, avec Louise Caroline Le Roy de Lisa (1797-1872), avec laquelle il a 5 enfants. Il meurt le 3 octobre 1837 à Chérisey
  5. Né le à Saurat (Ariège), il est tué à l'ennemi le 17 septembre 1914 à Machemont (Oise)
  6. Effectifs des bataillons : 1er bataillon du 38e régiment d'infanterie de ligne : 636 hommes; 2e bataillon du 49e régiment d'infanterie de ligne : 450 hommes ; 1er bataillon du 6e régiment d'infanterie de ligne : 679 hommes
  7. Le corps Ferino comprenait 2 divisions. La 1re division était composée des 3e, 38e, 56e, 89e demi-brigades de ligne, 4e régiment de dragons et 8e régiment de hussards. La 2e division était composée de la 3e demi-brigade légère, des 24e, 74e, 79e demi-brigades d'infanterie et du 4e régiment de chasseurs à cheval.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d Capitaine Raymond d'Izarny-Gargas : 38e régiment d'infanterie : historique des corps qui ont porté le numéro 38
  2. Histoire de l'infanterie en France de Victor Louis Jean François Belhomme Vol 5 page 151
  3. (pages14-18.mesdiscussions.net historique du régiment
  4. Décision no 12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées, no 27, 9 novembre 2007
  5. François Auguste Logerot sur military-photos.com

Sources et bibliographie[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Lien externe[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]