Bras (Var)
Bras | |||||
Vue générale de Bras. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Var | ||||
Arrondissement | Brignoles | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de la Provence Verte | ||||
Maire Mandat |
Franck Pero 2020-2026 |
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Code postal | 83149 | ||||
Code commune | 83021 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Brassois | ||||
Population municipale |
2 632 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 75 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 28′ 23″ nord, 5° 57′ 16″ est | ||||
Altitude | Min. 233 m Max. 580 m |
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Superficie | 34,93 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Bras (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Marseille - Aix-en-Provence (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume | ||||
Législatives | Huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Var
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Liens | |||||
Site web | mairie-bras.fr | ||||
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Bras est une commune française située en Pays de la Provence verte dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Commune située à 10 km de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume[1] et 14 de Brignoles.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Le relief vallonné de la commune est traversé par plusieurs vallées de cours d'eau. Le point culminant de Bras se situe à l'est du village : la barre du Défens culmine à 544 m.
Hydrographie et eaux souterraines
[modifier | modifier le code]La commune est arrosée par[2] :
- l'Argens (fleuve), quelques kilomètres après sa source située à Seillons-Source-d'Argens. Le cours d'eau sert de limite de commune, au nord, avec Brue-Auriac ;
- les ruisseaux du Débat, de Cologne et de Bernarde ;
- le Cauron[3], affluent de l'Argens.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 840 mm, avec 6,2 jours de précipitations en janvier et 2,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St Maximin la Ste Baume », sur la commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume à 8 km à vol d'oiseau[6], est de 13,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 765,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −15,2 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Sismicité
[modifier | modifier le code]Il existe trois zones de sismicités dans le Var :
- Zone 0 : Risque négligeable. C'est le cas de bon nombre de communes du littoral varois, ainsi que d'une partie des communes du centre Var. Malgré tout, ces communes ne sont pas à l'abri d'un effet tsunami, lié à un séisme en mer.
- Zone Ia : Risque très faible. Concerne essentiellement les communes comprises dans une bande allant de la montagne Sainte-Victoire au massif de l'Esterel.
- Zone Ib : Risque faible. Ce risque le plus élevé du département (qui n'est pas le plus haut de l'évaluation nationale), concerne 21 communes du nord du département.
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]- D28 par Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, Le Val.
- D34 vers Brue-Auriac et vers Tourves,
Transports en commun
[modifier | modifier le code]Réseau de transport en commun de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur Zou ![11].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Aurait vraisemblablement pour origine le nom celte de “brac” qui signifie “Trou d’eau”[12]. Bras en provençal.
Histoire
[modifier | modifier le code]Moyen Âge
[modifier | modifier le code]C’est sur la colline Saint-Pierre que Bras se développe au XIe siècle. Un castrum, habitat fortifié, enserre le château, l’église et les habitations. Au XIIIe siècle, les Templiers[13] s’installent à proximité du village dans des bâtiments dont le centre est constitué par la chapelle Notre-Dame-de-Bethléem. Ils vont alors participer à la croissance du bourg. Cette commanderie était en fait une exploitation agricole qui assurait le ravitaillement des établissements templiers d’Orient via le port de Marseille.
Les Templiers et les Hospitaliers
[modifier | modifier le code]Les Templiers s'installèrent à Bras au XIIe siècle grâce à une donation de Foulques de Bras, frère de l'ordre et commandeur de Richerenches de 1175 à 1179[14].
La chapelle Notre-Dame-de-Bethléem (chapelle romane de L'Hospital de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem) est le seul vestige de l’ancienne commanderie[15],[16] de Bras[17].
Lors de la dévolution des biens de l'ordre du Temple, la commanderie est devenue hospitalière.
Époque moderne
[modifier | modifier le code]À la suite des pillages et de la peste entre le XIVe et le XVe siècle, le site de Saint-Pierre est abandonné au profit d’un nouveau village en contrebas de la colline. S’ensuit une période de prospérité durant laquelle la population croît rapidement pour atteindre 1 520 habitants au XIXe siècle.
Aujourd’hui, le village compte près de 2 900 habitants.
Généralités historiques
[modifier | modifier le code]Traces d'occupation préhistorique (silex taillés).
Ce fut une base d'opération, en , lors de la bataille de Pourrières.
Une enceinte protohistorique a été dégagée au sud du « Signal » ; on a trouvé un lieu de culte à l'extrémité de ce même massif (poteries, monnaies) ; sarcophage ; fragment de cippe.
Cité en 1015 Brachium ou Castrum de Braz Vel Bracio[18].
En 1241, Raimond Bérenger fit don du fief de Bras à l'évêque de Riez. Plus tard, il devint une seigneurie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem lors de le dévolution des biens de l'ordre du Temple.
Une légende assure que des villageois mécréants furent punis par le ciel et disparurent dans les eaux d'un lac creusé soudainement et qui sont les Gours Bénits actuels.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Bras est l'une des communes de la Communauté d'agglomération de la Provence Verte, issue de la fusion des trois communautés de communes Comté de Provence, Sainte-Baume Mont-Aurélien et du Val d'Issole.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Bras est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bras[Note 2], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[21],[22]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[22]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[23],[24].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (67,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (67,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,4 %), cultures permanentes (22,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,2 %), zones agricoles hétérogènes (7,8 %), zones urbanisées (2 %), terres arables (0,1 %), zones humides intérieures (0,1 %[25]). L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Jumelages
[modifier | modifier le code]La commune de Bras n'a pas d'accord de jumelage.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].
En 2021, la commune comptait 2 632 habitants[Note 4], en évolution de −1,61 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]- Coopérative vinicole La Laborieuse, actuellement Cellier des Templiers[30].
- Coopérative vinicole Les Travailleurs[31].
- Production agricole, centre équestre[32].
- Élevages de moutons.
- Production de spiruline en brindille.
- Production de safran[33].
Tourisme
[modifier | modifier le code]- Maisons d'hôtes.
- Gîtes ruraux[34].
- Bras est sur une étape sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle Voie Aurélienne de Menton à Arles, GR 653 A[35]).
Commerces et artisanat
[modifier | modifier le code]- Artisanat d’art.
- Commerces et services de proximité[36].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]-
Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Bras restaurée. -
L'abside et clocher N.-D. Bethléem. -
Pignon sud avec oculus et clocher. -
Chemin dans la colline de Bras.
Patrimoine religieux
- L'église Notre-Dame-des-Agrenas[37].
- Chapelles :
- Chapelle Notre-Dame de Bethléem (Bras).
- Chapelle Saint-Étienne[38].
- Chapelle Notre-Dame-d'Espérance[39].
- Chapelle Saint-Achillée.
- Chapelle Saint-Pierre[40].
- Oratoires.
- Monuments commémoratifs[41].
Autres lieux
Patrimoine environnemental
[modifier | modifier le code]-
Panorama pris à partir de la colline de Bras.
- Site du Tombereau[44]. La cascade du Tombereau se situe au confluent de l'Argens et du Cauron à trois kilomètres du village, sur la route de Brue Auriac[45]. C'est un lieu privé.
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Nobuyoshi Tamura, japonais de naissance mais résident et directeur technique de son Dojo shumeikan.
- Patrie du général Bonnaud et du savant, le père Théophile Minuty, qui rapporta d'Orient, en 1632[46], le texte samaritain de la Bible.
- Catherine Rouvel, actrice française.
- Joseph Bœuf, fabricant français d'instruments de musique.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armoiries de se blasonnent ainsi[47] : |
Équipements et services
[modifier | modifier le code]Transports urbains
[modifier | modifier le code]Commune desservie par le réseau régional de transports en commun Zou !. Les collectivités territoriales ont en effet mis en œuvre un « service de transports à la demande » (TAD), réseau régional Zou ![48].
La commune est desservie par une ligne de bus régulière : La Verdière - Varages - Barjols - Saint-Maximin-la-Sainte-Baume[49]. Les élèves ont trois lignes de bus vers les collèges et lycées de Brignoles, Barjols et Saint-Maximin-la-Sainte-Baume.
Enseignement
[modifier | modifier le code]Établissements d'enseignements[50] :
- Les jeunes élèves de Bras se rendent aux écoles maternelle et primaire de la Braque[51].
- Le collège et le lycée les plus proches se situent à Saint-Maximin-la-Sainte-Baume.
Sports
[modifier | modifier le code]Des associations locales proposent tout un éventail d'activités sportives[52].
Santé
[modifier | modifier le code]Professionnels et établissements de santé[53],[54] :
- Un médecin généraliste est installée sur la commune.
- Une pharmacie est installée au centre d'activités La Brasque, route de Brignoles.
- Hôpitaux à Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, Brignoles
Vie locale
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]- La paroisse de Bras, et l'église Notre-Dame-de-l'Assomption, de confession catholique, fait partie du diocèse de Fréjus-Toulon, doyenné de Brignoles[55].
Festivités
[modifier | modifier le code]- BD en fête, chaque année, pendant le dernier week-end de septembre se tient un festival de la bande dessinée[56].
Politique
[modifier | modifier le code]Bras fait partie de la huitième circonscription électorale du Var.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Distances et itinéraires
- Cours d'eau sur la commune ou à son aval
- Fiche du Cauron sur le site du SANDRE
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bras et Saint-Maximin-la-Sainte-Baume », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « St Maximin la Ste Baume », sur la commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « St Maximin la Ste Baume », sur la commune de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- Réseau régional de transports en commun
- Bras, sur www.mhvprovence.com/
- La chapelle de Bras
- Commanderie des Templiers (ancienne), dite aussi chapelle des Templiers ou chapelle Notre-Dame de Bethléem sur le site Patrimages Drac Paca
- « Chapelle des Templiers », notice no PA00081550, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00081550, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Chapelle de Provence, de Serge Panarotto, page 119
- Historique de Bras
- Notice BOSCHERO François par Jacques Girault, version mise en ligne le 13 septembre 2020, dernière modification le 13 septembre 202
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Bras », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Bras ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « coopérative vinicole La Laborieuse, actuellement Cellier des Templiers », notice no IA83001310, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture enquête thématique régionale (coopératives agricoles de Provence-Alpes-Côte d'Azur)
- « coopérative vinicole Les Travailleurs », notice no IA83001309, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture enquête thématique régionale (coopératives agricoles de Provence-Alpes-Côte d'Azur)
- Agriculture, viticulture & élevages
- Agro-alimentaire
- Gîtes ruraux
- Via Aurelia Chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. De Menton (Alpes-Maritimes) à Arles (Bouches-du-Rhône)
- Commerces et services de proximité
- L'église Notre-Dame-des-Agrenas
- Chapelle Saint-Étienne
- Chapelle Notre-Dame-d'Espérance
- Le patrimoine religieux de Bras, sur l'Observatoire du patrimoine religieux
- Monument aux morts près de la Mairie, Monument aux morts du cimetière, Plaque de rue
- Maison du Temple de Bras
- Bourg castral
- Bras la cascade du tombereau
- Cascade du Tombereau
- Les manuscrits arabes et persans du cardinal Mazarin conservés à la Bibliothèque nationale de France, par Julie Garel-Grislin, p. 38
- Sainte-Baume - Mont Aurélien : Bras, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
- Réseau régional de transports en commun
- Lignes de bus à Bras
- Établissements d'enseignements
- école à Bras
- Activités sportives
- Professionnels et établissements de santé
- Personnels de santé
- Paroisse Notre Dame de l'Assomption
- Agenda des manifestations
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Une étude générale d'identification et d'inventaire du bâti du village a été réalisée par les stagiaires du « Centre européen de formation PARTIR (Patrimoine Architectural Rural, Techniques d'Identification et de Restauration) » - École d'architecture de Paris-La Villette, dans le cadre de ses sessions de formations d'application organisées par l'antenne du Centre pour la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
- Étude et Interprétation du Patrimoine Architectural Traditionnel de Bras, Atelier de Pratique Opérationnel Centre Partir, Gaëlle Isambart - Vivien Melcion, Septembre 2010
- Villes et Pays d’art et d’histoire. Le pays de la Provence Verte : Tourves et Bras, pages 1–21-27-29
- Chapelles et domaines templiers
- 12 circuits de randonnées
- Association Provence-Alpes-Côte d'Azur-Corse des amis des chemins de Saint Jacques de Compostelle et de Rome : Guide du Chemin Menton-Arles Via Aurelia de Menton en Arles (vers St Jacques de Compostelle)
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Bras p. 195
- Cavités souterraines naturelles
- Photothèque Archéologie :
- St Etienne : chapelle médiévale-sépultures de l'antiquité tardive ?,
- Le Signal : oppidum.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Office de Tourisme de La Provence Verte
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes
- Système d’information géographique du Var (SIG Var) : Bras