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Saint-Martin-lès-Seyne

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Saint-Martin-lès-Seyne
Saint-Martin-lès-Seyne
Le Vendréou (1328 m d’altitude, 1248 m sur la photo et dans la commune de Saint-Martin-lès-Seyne).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Digne-les-Bains
Intercommunalité Provence-Alpes Agglomération
Maire
Mandat
Childéric Reboul
2020-2026
Code postal 04140
Code commune 04191
Démographie
Gentilé Saint-Marteynes
Population
municipale
10 hab. (2021 en évolution de −23,08 % par rapport à 2015)
Densité 0,81 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 23′ 11″ nord, 6° 15′ 27″ est
Altitude Min. 840 m
Max. 1 662 m
Superficie 12,27 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Seyne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Martin-lès-Seyne
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Saint-Martin-lès-Seyne
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Saint-Martin-lès-Seyne

Saint-Martin-lès-Seyne est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Le nom de ses habitants est Saint-Marteynes[1].

Géographie

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Carte élémentaire montrant les limites de la commune, les communes voisines, les zones de végétation et les routes
Saint-Martin-lès-Seyne et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

Le village est situé à 1 100 m d’altitude[2].

Lors des deux dernières grandes glaciations, la glaciation de Riss et la glaciation de Würm, la commune est presque entièrement recouverte par le glacier de la Durance. La montagne de Chabaud, à l’ouest, et la Tête de Charbonnier et la barre de Bayons, au sud, dépassent des glaces. Le glacier de Würm est moins épais, et la diffluence qui se dirigeait vers le ravin de Trente Pas, au sud-ouest, ne se reproduit pas[3].

Hydrographie

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Les rivières qui traversent la commune sont la Blanche, le riou Rabiou.

La commune de Saint-Martin-lès-Seyne est desservie par les routes départementales RD 900c (ancienne route nationale 100c, Nord-Sud dans sa traversée de la commune), et la RD 1, qui s’embranche à l’Est sur la 900c et se dirige vers le nord-ouest vers Turriers et Bayons via le Col des Garcinets. Le chef-lieu est desservi par une route secondaire en impasse[4].

Risques naturels et technologiques

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Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Seyne auquel appartient Saint-Martin-lès-Seyne est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[5], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[6]. La commune de Saint-Martin-lès-Seyne est également exposée à trois autres risques naturels[6] :

  • feu de forêt ;
  • inondation ;
  • mouvement de terrain.

La commune de Saint-Martin-lès-Seyne n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[7] ; aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[7] et le Dicrim n’existe pas non plus[8].

La commune a été l’objet d’un arrêtés de catastrophe naturelle pour des inondations et des coulées de boue en 2009[6]. Le dernier tremblement de terre fortement ressenti dans la commune est celui du , dont l’épicentre était situé à La Bréole : l’intensité macro-sismique ressentie a atteint V sur l’échelle MSK (dormeurs réveillés, chutes d’objets)[9],[10].

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 987 mm, avec 7,4 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montclar_sapc », sur la commune de Montclar à 7 km à vol d'oiseau[13], est de 9,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 889,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 36 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −19,2 °C, atteinte le [Note 1],[14],[15].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[16]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Au , Saint-Martin-lès-Seyne est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[18]. Elle est située hors unité urbaine[19] et hors attraction des villes[20],[21].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (80,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (85 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (22,9 %), zones agricoles hétérogènes (14,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5 %), prairies (2,6 %), terres arables (2,1 %)[22].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom du village apparaît pour la première fois vers 1200 (castrum Sancti Martini), château nommé en hommage à saint Martin de Tours, dont le nom était utilisé sous sa forme occitane, qui a été francisée par la suite[23].

L'agriculture est la principale activité de la commune. Un gîte situé à côté de l'église de Saint-Martin-lès-Seyne accueille régulièrement des visiteurs, notamment en période estivale.

La localité est signalée pour la première fois dans les chartes à la fin du XIIe siècle[24]. Comme de nombreux fiefs et communautés proches, le fief de Saint-Martin dépendait des moines de l’abbaye de l'Ile-Barbe[25],[24]. En 1237, tous les prieurés de l’Ile-Barbe sont placés sous la protection du comte de Provence. L’abbaye vend néanmoins le château et le fief en 1578[24].

Comme de nombreuses communes du département, Saint-Martin-lès-Seyne se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle possède déjà une, installée au chef-lieu et qui dispense une instruction primaire aux garçons[26]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[27], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Saint-Martin-lès-Seyne[28]. La commune profite des subventions de la deuxième loi Duruy (1877) pour rénover son école[29], et ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de Saint-Martin-lès-Seyne sont régulièrement scolarisées.

La commune était essentiellement rurale et n'avait pas d'activité industrielle, en dehors de métiers à tisser utilisés dans les familles paysannes comme complément de revenu durant l'hiver. Toutefois, à la fin des années 1870, une tuilerie fut installée sur le territoire de Saint-Martin par Ange Alini.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1945   Marcel Charbonnier[30]    
         
1983 (?)   Henri Rougon DVG[31],[32]  
avant 2005 2014 Raymond Rougon[33],[34]    
avril 2014 En cours
(au 21 octobre 2014)
Childéric Reboul[35] SE chef de cuisine
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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Saint-Martin-lès-Seyne fait partie :

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].

En 2021, la commune comptait 10 habitants[Note 2], en évolution de −23,08 % par rapport à 2015 (Alpes-de-Haute-Provence : +2,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
156172171168148136147124145
1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
165159128129129145150138132
1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
1131091101089686777058
1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007
495241342915221919
2012 2017 2021 - - - - - -
141410------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution démographique avant 1765
1315 1471
56 feux14 feux

L’histoire démographique de Saint-Martin-lès-Seyne, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure toute la première moitié du siècle. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. En 1926, la commune enregistre la perte de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1851[40]. Le mouvement de baisse se poursuit très tardivement, dans les années 1990. Depuis, la population se stabilise à un très bas niveau, entre quinze et vingt habitants.

Lieux et monuments

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Au village, la demeure des anciens seigneurs du lieu est appelée le château : c’est une grosse maison carrée à deux étages, qui date de la fin du XVIIIe ou du début du XIXe siècle[41].

L’église Saint-Martin date de 1866 ; la nef est surmontée d’une simili-voûte, le chœur l’est d'une coupole. Les cloches sont logées dans une tour[42]. L’église est ornée d'un tableau représentant saint Martin de Tours date de la fin du XVIIe siècle[43].

Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Habitants.fr - Le nom des habitants des A.H.P
  2. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », , 72 (non-paginé), Relié (ISBN 2-7399-5004-7)
  3. Maurice Jorda, Cécile Miramont, « Les Hautes Terres : une lecture géomorphologique du paysage et de ses évolutions », in Nicole Michel d’Annoville, Marc de Leeuw (directeurs) (photogr. Gérald Lucas, dessin. Michel Crespin), Les Hautes Terres de Provence : itinérances médiévales, Le Caire : Association Les hautes terres de Provence ; Saint-Michel-l'Observatoire : C'est-à-dire, 2008, 223 p. (ISBN 978-2-952756-43-3). p. 33.
  4. « IGN, Carte topographique de Saint-Martin-lès-Seyne » sur Géoportail (consulté le 15 août 2013).
  5. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
  6. a b et c Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 15 août 2012
  7. a et b Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 98
  8. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 15 août 2012
  9. BRGM, « Épicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis à Saint-Martin-lès-Seyne », Sisfrance, mis à jour le 1er janvier 2010, consulté le 15 août 2012
  10. BRGM, « fiche 40136 », Sisfrance, consultée le 15 août 2012
  11. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  13. « Orthodromie entre Saint-Martin-lès-Seyne et Montclar », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Montclar_sapc », sur la commune de Montclar - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Montclar_sapc », sur la commune de Montclar - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  17. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  18. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  19. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  23. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne)., § 28474, p. 1627-1628.
  24. a b et c Daniel Thiery, « Saint-Martin-les-Seyne », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2011, mis à jour le 23 décembre 2011, consulté le 15 août 2012
  25. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 196
  26. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
  27. Labadie, op. cit., p. 16.
  28. Labadie, op. cit., p. 18.
  29. Labadie, op. cit., p. 11.
  30. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
  31. Henri Rougon est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature d’Arlette Laguiller (LO) à l’élection présidentielle de 1988, cf Conseil constitutionnel, liste des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 12 avril 1988, page 4800, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010
  32. Henri Rougon est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature d’Arlette Laguiller (LO à l’élection présidentielle de 1995, cf Conseil constitutionnel, liste des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 12 avril 1995, page 5736, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010
  33. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Saint-Jurs à Soleihas (sic) (liste 7), consulté le 10 mars 2013
  34. Raymond Rougon est l’un des 500 élus qui ont parrainé Philippe Poutou (NPA) à l’élection présidentielle de 2012, Conseil constitutionnel, « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République », Journal officiel, 31 mars 2012
  35. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 288.
  41. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p. 271
  42. Raymond Collier, op. cit., p. 386
  43. Raymond Collier, op. cit., p. 479