Roumoules
Roumoules | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-de-Haute-Provence | ||||
Arrondissement | Digne-les-Bains | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Durance Luberon Verdon | ||||
Maire Mandat |
Gilles Megis 2014-2020 |
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Code postal | 04500 | ||||
Code commune | 04172 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Roumoulins | ||||
Population municipale |
729 hab. (2014) | ||||
Densité | 28 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 49′ 35″ nord, 6° 07′ 50″ est | ||||
Altitude | Min. 545 m Max. 783 m |
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Superficie | 26,04 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Riez | ||||
Localisation | |||||
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Roumoules (Roumoulo en occitan provençal selon la norme mistralienne et Romolas selon la norme classique) est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Le nom de ses habitants est Roumoulins[1].
Géographie
Le village est situé à 600 m d’altitude[2] dans la vallée que le Colostre, affluent du Verdon, a creusé dans le plateau de Valensole. Il se trouve à 15 km à l’ouest de Moustiers-Sainte-Marie et à 3 km à l’est de Riez sur la route départementale 952. Sept kilomètres plus au nord se trouve Puimoisson, et à peu près à même distance, au sud, le lac et le village de Sainte-Croix-du-Verdon.
Les communes limitrophes de Roumoules sont Puimoisson, Moustiers-Sainte-Marie, Sainte-Croix-du-Verdon, Montagnac-Montpezat et Riez.
Environnement
La commune compte 289 ha de bois et forêts[1].
Risques naturels et technologiques
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Riez auquel appartient Roumoules est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[3], et en zone 3 (risque modéré) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[4]. La commune de Roumoules est également exposée à trois autres risques naturels[4] :
- feu de forêt,
- inondation,
- mouvement de terrain : des secteurs importants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort[5].
La commune de Roumoules est de plus exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses par route et canalisations[6]. La départementale RD 952 peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses[7].
Le plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) de la commune a été approuvé en 1998 pour les risques d’inondation et de séisme[6] et le Dicrim existe depuis 2011[8].
Toponymie
Le nom du village, tel qu’il apparaît la première fois vers 1020 (in villa Romules), est interprété comme tiré d’un nom propre romain, Romulus[9],[10],[11].
Économie
Aperçu général
En 2009, la population active s'élevait à 277 personnes, la commune ne proposant que 130 emplois (l’indicateur de concentration d'emploi est de 47 %). Parmi les emplois localisés dans la commune, l'emploi salarié domine d'une courte majorité (59 %)[12].
Dans la population active de la commune, la proportion de salariés est de 75 % ; et 71 % des actifs de la commune travaillent hors de la commune[13].
Agriculture
Dix-neuf exploitations étaient installées dans la commune en 2010, un chiffre stable depuis 2000[14] (dont 12 professionnelles en 2000[15]). Dix pratiquent les grandes cultures, et quatre des cultures permanentes, le restant se partageant entre élevage ovin et polyculture. La surface agricole utilisée, 1267 ha, est elle en hausse (8, 75 %) : elle est surtout affectée aux grandes cultures (à 76 %)[14].
La culture de l’olivier est pratiquée dans la commune depuis des siècles, tout en étant limitée à certains versants. Le terroir de la commune se situe en effet à la limite altitudinale de l’arbre, qui ne peut que difficilement être exploité au-delà des 650 mètres : à Roumoules, il s’agit des versants bien exposés des vallons entaillant le plateau de Valensole. L’oliveraie de Roumoules occupait plus d’une dizaine d’hectares au début du XIXe siècle. Actuellement, elle a régressé mais reste relativement importante (entre 1000 et 3500 pieds exploités)[16].
Les cultures sont irriguées avec l'eau du canal EDF. Un agriculteur expérimente à grande échelle l'irrigation au goutte-à-goutte enterré, pour un champ de lavande[17].
Industrie-Construction
En 2011, sur les 39 établissements de la commune, dix se trouvent dans le secteur de l'industrie ou de la construction[18]. Ce secteur employait 23 salariés en 2009[19].
Activités de service
Sur les 39 établissements de la commune, 24 se trouvent dans le secteur des services commerciaux, et 5 dans celui de l'administration[18]. Ce secteur employait 32 salariés en 2009[19].
Le tourisme est peu développé : la commune ne compte aucune installation d'accueil, et les résidences secondaires ne représentent qu'un quart des logements de la commune[20].
Histoire
Antiquité
Roumoules tire son origine d’un établissement romain périphérique de Riez. La présence romaine sur la commune est attestée par trois découvertes : en 1957, une sépulture antique appartenant certainement à une nécropole a été découverte au Play, elle contenait probablement les restes d’un centurion et pourrait dater du Ier ou IIe siècle après Jésus-Christ[21]. En 1965, on a découvert à proximité un fer de pilum.
Un peu plus au nord, au lieu-dit "Verdillon", a été découverte en 1964 une sépulture à incinération constituée d’un vase en tôle de bronze et contenant des ossements humains incinérés[22].
Enfin, la troisième trace de la présence de Romains est une inscription antique connue depuis le XVIe siècle mais non visible du fait des transformations de l’église. Elle a peut-être été réemployée dans la construction de l’autel. Il s’agit d’une épitaphe datée du Ier siècle av. J.-C., de Marcus Annius Severus à son épouse Julia Tessallys.
Moyen Âge
Au Moyen Âge, il existait deux communautés, à Roumoules, et à Saint-Martin-d’Alignosc. Ce dernier aurait pris le nom de Saint-Martin-de-Rimat après un incendie[23]. Fin XIIIe et début XIVe siècles, Jacques de Nati (?-v.1338) fut seigneur de Roumoules[24] ; il succéda à son père Georges décédait vers 1321[25]. En 1309, Guillaume de Roumoules est signalé comme seigneur de Roumoules, de Beaujeu, de Bédéjun, de Bras-d'Asse, d'Entrages, de Majastres, de Vergons et d'Estoublon[26]. En 1353, Rostang de Roumoules lui succéda comme seigneur du lieu.
La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Puis, Aix se soumet en octobre 1387, ce qui précipite le ralliement des carlistes, dont le co-seigneur de Roumoules, Foulques du Puy. Il obtient un « chapitre de paix » de Marie de Châtillon le 2 janvier 1388 et prête hommage à Louis II d'Anjou, âgé de dix ans[27]. La communauté villageoise, qui avait soutenu Charles de Duras, se rallie également à la fin de la guerre[28].
La communauté de Saint-Martin-le-Rimat ou Saint-Martin-d’Alignosc, qui comptait 24 feux en 1315, est fortement dépeuplée par la crise du XIVe siècle (Peste noire et guerre de Cent Ans) et annexée par celle de Roumoules au XVe siècle[29]. Les deux communautés relevaient de la viguerie de Moustiers[23].
Temps modernes
La Réforme connaît un certain succès à Roumoules, et une partie des habitants se convertissent. Malgré les guerres de religion, une communauté protestante se maintient au XVIIe siècle autour de son temple, grâce à l’édit de Nantes (1598). Mais l’abolition de l’édit de Nantes (1688) lui fut fatale, et elle disparut, ses membres émigrant ou étant convertis de force[30]. Le fief de Roumoules est érigé en marquisat en 1649[31] pour les Grimaldi en 1649[29]. Elle passe ensuite aux Régusse puis, au XVIIIe siècle, à la famille de Clérissy qui est à l'origine de la réputation des faïences de Moustiers-Sainte-Marie.[réf. nécessaire]
Révolution française
Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[32]. Saint-Martin-le-Rimat, qui forme une commune de manière éphémère au début de la Révolution, est rattaché à Roumoules avant 1794[33].
Époque contemporaine
Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : Roumoules, avec deux habitants traduits devant la commission mixte, est relativement peu touchée[34].
Comme de nombreuses communes du département, Roumoules se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle en possède déjà une qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu[35]. La même instruction est donnée aux filles, même si la loi Falloux (1851) n’impose l’ouverture d’une école de filles qu’aux communes de plus de 800 habitants[36].
Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée à Roumoules. Plusieurs dizaines d’hectares produisaient du vin, destiné à l’autoconsommation et à la vente sur les marchés régionaux. Cette culture est aujourd’hui abandonnée[37].
Héraldique
Blasonnement : |
Politique et administration
Intercommunalité
Roumoules fait partie, depuis le , de la communauté d'agglomération Durance Luberon Verdon.
Municipalité
Environnement et recyclage
La collecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés et la protection et mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté d'agglomération Durance Luberon Verdon.
Démographie
En 2014, Roumoules comptait 729 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2005, 2010, 2015, etc. pour Roumoules). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.
Lieux et monuments
Le château de Campagne est le principal monument de la commune. Situé dans la vallée du Colostre entre Riez et Roumoules, la terre de Campagne est, selon l’inventaire de production du 28 novembre 1618, l’un des plus anciens domaines seigneuriaux de Provence. On sait qu’en 1324 il appartenait à la famille de Podio, coseigneurs de Riez et de Roumoules. Le château actuel a été construit vers 1680-1690. Il a eu de nombreux propriétaires dont la famille Grimaldi en faveur de qui la seigneurie de Roumoules est érigée en baronnie. Il est finalement acheté en 1782 par Pierre Joseph Clérissy, célèbre faïencier de Moustiers-Sainte-Marie.
De plan rectangulaire, il est encadré par deux pavillons carrés, qui sont eux-mêmes encadrés de tours rondes. Sa toiture en faïences multicolores est classée monument historique[46],[47]. C’est le plus grand toit de tuiles émaillées de Provence, avec 42 000 tuiles de 25 cm sur 13, formant des motifs géométriques (losanges et chevrons)[48]. Son vestibule est dallé de carreaux émaillés vert ou jaune[49].
Le château de Saint-Martin-d’Alignosc, ou de Saint-Martin-le-Rimat, domine la vallée du Colostre. Le bâtiment principal date de la fin du XVIIIe siècle et du début du XIXe. Il est précédé par une terrasse encadrée de deux tourelles, et de jardins offrant des jets d’eau. Il a également appartenu à Pierre Clérissy[50].
L’église paroissiale Saint-Pierre-ès-Liens est un ancien prieuré de l’abbaye de Lérins. Sa nef à deux travées est accostée de bas-côtés ; nef et bas-côtés sont plafonnés. Le bas-côté nord débouche sur une chapelle d’architecture gothique, voûtée sous croisée d'ogives, qui date du XVIe siècle[51]. L’abside est voûtée sous croisée d’ogives et ornée de peintures du XIXe siècle[52]. À part la chapelle gothique, l’église, qui a dû être voûtée en plein cintre, date du XVIIe siècle[53]. Sa crèche date d’avant 1850[54].
- Émetteur de Roumoules, près de la commune : équipement de radiodiffusion pour RMC (Radio Monte-Carlo).
Personnalités liées à la commune
- L'abbé Charles Léon Spariat (1860-1936), né à Roumoules, prêtre et écrivain
Évènements
Voir aussi
Articles connexes
- Liste des anciennes communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Liste des communes des Alpes-de-Haute-Provence
Liens externes
Sources
Bibliographie
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p.
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017)
Notes
- Roger Brunet, « Canton de Riez », Le Trésor des régions, consultée le 8 juin 2013
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
- Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 13 août 2012
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 97
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 80
- [1], base Dicrim, consultée le 13 août 2012
- Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares, Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p 376
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne)., § 10521, p 635
- Bénédicte Fénié, Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, 2002 (réédition), ISBN 978-2-87901-442-5, p. 55
- Insee, Dossier local - Commune : Roumoules, p. 5
- Insee, Dossier local, op. cit., p. 7
- Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio)
- Insee, Dossier local, op. cit., p. 17
- Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe-XXIe siècles », Méditerranée, 109 | 2007, p. 58
- Lætitia Gentili, « Test grandeur nature d'une nouvelle technique d'irrigation », La Provence, 28 octobre 2014, p. 3.
- Insee, Dossier local, op. cit., p. 15
- Insee, Dossier local, op. cit., p. 16
- Insee, Dossier local, op. cit., p. 18
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 21
- François Salviat, « Circonscriptions de Provence-Côte d'Azur-Corse (région nord) », Gallia, Tome 28, no 2, 1970. p. 451 et 453.
- Daniel Thiery, « Roumoules », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2011, mis à jour le 23 décembre 2011, consulté le 13 août 2012
- AD du 13, série B2f123v.
- AD du 13, série B2f123v
- Marie-Zéphirin Isnard, État documentaire et féodal de la Haute-Provence : nomenclature de toutes les seigneuries de cette région et de leurs possesseurs depuis le XIIe siècle jusqu'à l'abolition de la féodalité ; état sommaire des documents d'archive communales antérieures à 1790 ; bibliographie et armoiries, Digne, Vial, 1913, p. 446
- Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, p. 408 (note 33).
- Geneviève Xhayet, op. cit., cartes p. 417-418 et p. 419.
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 193
- Édouard Baratier, « Les protestants en Provence », cartes 118 et 119 et commentaire in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit.
- Édouard Baratier et Ernest Hildesheimer, « Les fiefs provençaux au XVIIIe siècle », carte 111 et commentaire in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit.
- Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-298
- EHESS, notice communale de Roumoules sur la base de données Cassini, consultée le 31 juillet 2009
- Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations », 1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001, p. 72.
- Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
- Labadie, op. cit., p. 16.
- André de Réparaz, op. cit., p. 56 et 59
- Banque du Blason
- [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Puimoisson à Saint-Julien-du Verdon (liste 6), consulté le 6 mars 2013
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
- « Résultats du recensement de la population - Roumoules », sur le site de l'Insee (consulté le )
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- « Recensement de la population au 1er janvier 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- « Populations légales 2011 en vigueur le 1er janvier 2014 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 263-264
- Arrêté du 30 janvier 1992, Notice no PA00080459, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 7 décembre 2008
- Raymond Collier, op. cit., p 514
- Raymond Collier, op. cit., p 513
- Raymond Collier, op. cit., p 267
- Raymond Collier, op. cit., p 176
- Raymond Collier, op. cit., p 488
- Raymond Collier, op. cit., p 231
- Raymond Collier, op. cit., p 532
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