Saint-Jeannet (Alpes-de-Haute-Provence)

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Saint-Jeannet
Saint-Jeannet (Alpes-de-Haute-Provence)
Le hameau de Saint-Jeannet.
Blason de Saint-Jeannet
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Digne-les-Bains
Intercommunalité Provence-Alpes Agglomération
Maire
Mandat
Jacqueline Pierrisnard
2020-2026
Code postal 04270
Code commune 04181
Démographie
Population
municipale
47 hab. (2021 en diminution de 25,4 % par rapport à 2015)
Densité 2,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 57′ 12″ nord, 6° 07′ 27″ est
Altitude Min. 567 m
Max. 971 m
Superficie 21,14 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Digne-les-Bains
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Riez
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Jeannet
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Saint-Jeannet
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Saint-Jeannet

Saint-Jeannet est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Le nom de ses habitants est Saint-Janens[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Le village est situé à 580 m d’altitude[1].

Carte élémentaire montrant les limites de la commune, les communes voisines, les zones de végétation et les routes
Saint-Jeannet et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

Géologie[modifier | modifier le code]

Relief[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le ravin des Cardaires, très engravé et à sec.

Le principal torrent est le ravin des Cardaires, qui traverse entièrement la colline et rassemble tous les écoulements de l’est de la commune[2].

Le ravin des Brandaires coule au sud-ouest de la commune et se jette dans le Rancure.

Environnement[modifier | modifier le code]

La commune compte 602 ha de bois et forêts, soit 28 % de sa superficie[1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Mézel auquel appartient Saint-Jeannet est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[3], et en zone 3 (risque modéré) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[4]. La commune de Saint-Jeannet est également exposée à trois autres risques naturels[4] :

  • feu de forêt,
  • inondation,
  • mouvement de terrain : la commune est presque entièrement concernée par un aléa moyen à fort[5].

La commune de Saint-Jeannet n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[6] ; aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[6] et le Dicrim n’existe pas non plus[7].

La commune a été l’objet d’un arrêté de catastrophe naturelle en 1996 pour des inondations et des coulées de boue[4].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du village apparaît pour la première fois vers 1200 (castrum Sant Johannis), est nommé d’après saint Jean le Baptiste ou saint Jean apôtre, sous sa forme occitane et avec un suffixe diminutif local, qui a été francisée par la suite[8],[9].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 818 mm, avec 6,3 jours de précipitations en janvier et 4,2 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St Jurs », sur la commune de Saint-Jurs à 9 km à vol d'oiseau[12], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 828,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38 °C, atteinte le ; la température minimale est de −16,5 °C, atteinte le [Note 1],[13],[14].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[15]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Jeannet est une commune rurale[Note 2],[17]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[18],[19].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Digne-les-Bains, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (74 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (44,3 %), forêts (29,7 %), zones agricoles hétérogènes (25,3 %), terres arables (0,7 %)[22].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Économie[modifier | modifier le code]

Un centre équestre est implanté dans la commune.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune était traversé par une voie antique allant de Riez à Digne : de nombreux sites ont été retrouvés auprès de cet ancien itinéraire[23], qui suivait la vallée des Cardaires[2].

Le village médiéval est signalé vers 1200 par les chartes[8]. L’église paroissiale relevait des évêques de Riez qui nommaient le prêtre et percevaient les revenus attachés à l’église[2]. La communauté relevait elle de la viguerie de Digne[2]. Le recensement de 1315, effectué lors de l’optimum climatique médiéval, dénombre 40 feux[24]. Le , Pierre Miracle et son frère Bérenger possédérent des parts de seigneurie à Saint-Jeannet et à Bras-d'Asse (Baillie de Digne) pour lesquels ils prêtèrent hommage au comte de Provence[25]. La crise des XIVe et XVe siècles (grande peste et guerre de Cent Ans) provoque l’effondrement de la communauté de Saint-Jeannet, qui disparaît totalement et est déclarée inhabitée en 1471[24].

Le village abandonne son site perché (actuel quartier Saint-Jean, actuellement en ruines) pour le site actuel, probablement à la fin du XVe siècle[2].

Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[26]. Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Jeannet[27].

Monument aux morts de 1914-1918.

Comme de nombreuses communes du département, Saint-Jeannet se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle possède déjà une école qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu[28]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants, ne concernent pas Saint-Jeannet[29]. Quand la première loi Duruy (1867) est votée, ce seuil est abaissé à 500 habitants, ce qui n’oblige toujours pas la commune à une ouverture : cependant, l’école de filles est ouverte autour de 1870[30] .

Plusieurs fois, le conseil municipal de la commune voisine d'Entrevennes a émis le souhait de se voir rattacher des sections de Saint-Jeannet. Le conseil municipal de Saint-Jeannet a toujours refusé énergiquement, et a toujours été suivi par le ministère de l'Intérieur[31].

Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée à Saint-Jeannet. Le vin produit était destiné à l’autoconsommation. Cette culture est aujourd’hui abandonnée[32].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Saint-Jeannet
Blason de Saint-Jeannet Blason
D'azur à un Saint-Jean de carnation revêtu d'une peau de chameau d'or adextré d'un agneau d'argent passant derrière lui[33].
Devise
À Saint-Jeannet fais ce qui Me Plait.
Détails
Armes parlantes.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1945   Adrien Manent[34]    
         
1965 mars 2001 Raymond Moulin    
avant 2005 2007 Roselyne Isnard    
avant 2007 En cours
(au 21 octobre 2014)
Jacqueline Pierrisnard[35],[36] DVG[37],[38]
PCF[39]
Retraitée
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Saint-Jeannet a fait partie, de 2005 à 2012, de la communauté de communes de l'Asse et de ses Affluents, puis de 2013 à 2016 de la communauté de communes Asse Bléone Verdon. Cette dernière a fusionné avec d'autres communautés de communes pour constituer la communauté d'agglomération Provence-Alpes Agglomération, existant depuis le .

Démographie[modifier | modifier le code]


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[41].

En 2021, la commune comptait 47 habitants[Note 4], en diminution de 25,4 % par rapport à 2015 (Alpes-de-Haute-Provence : +2,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
331374280290324316329303309
1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
315327296274268242264251238
1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
2012251831621121161017376
1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008
605342524347385053
2013 2018 2021 - - - - - -
615047------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution démographique avant 1765
1315 1471
40 feuxinhabité

L’histoire démographique de Saint-Jeannet, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1811 à 1861. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. En 1911, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1836[44]. Depuis les années 1950, la population de Saint-Jeannet oscille entre 40 et 60 habitants.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L’église paroissiale Notre-Dame-de-l’Espérance, construite à la fin du XVe siècle[2] sur l’emplacement d’une ancienne chapelle, est reconstruite et agrandie en 1834[45], puis entièrement rénovée en 2008[2]. Le chœur est voûté sous croisée d'ogives[45]. Le clocher-mur est placé au-dessus du portail occidental.

La chapelle Saint-Jean (monument historique inscrit depuis 1954[46]), du XVIe siècle selon l’Atlas historique de Provence, du XIVe selon Raymond Collier et du XIIe siècle selon la DRAC (date de fondation), ancienne église paroissiale, est construite au-dessus du village. Sa nef, constituée d’une travée sous croisée d’ogives, et d’une demi-travée, voûtée en berceau, débouche sur un chœur à chevet plat. Cet édifice est un bon exemple de l’architecture du XIVe siècle, souvent réparée (notamment à la fin du XVIIe siècle, courant XIXe et fin du XXe siècle)[47],[24].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Roger Brunet, « Canton de Mézel », sur Le Trésor des régions (consulté le ).
  2. a b c d e f et g Daniel Thiery, « Saint-Jeannet », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2011, mis à jour le 23 décembre 2011, consulté le 15 août 2012.
  3. Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence,, , p.39.
  4. a b et c Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 15 août 2012.
  5. Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 37.
  6. a et b Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 97.
  7. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 15 août 2012.
  8. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne)., § 28438, p 1622
  9. Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 61.
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Saint-Jeannet et Saint-Jurs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « St Jurs », sur la commune de Saint-Jurs - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  14. « Station Météo-France « St Jurs », sur la commune de Saint-Jurs - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  15. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  17. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  23. Géraldine Bérard, Carte archéologique des Alpes-de-Haute-Provence, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 1997, p 412
  24. a b et c Baratier, Duby et Hildesheimer 1969, p. 195.
  25. Guichard, Digne, t.II, p.116
  26. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-298
  27. Jean-Bernard Lacroix, « Naissance du département », in La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 113
  28. Jean-Christophe Labadie (dir.), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p.9.
  29. Labadie 2013, p. 16.
  30. Labadie 2013, p. 18.
  31. Philippe Nucho, Les structures territoriales des Alpes-de-Haute-Provence, Digne-les-Bains : éditions de Haute-Provence, 1993. (ISBN 2-909800-07-5), p. 62.
  32. André de Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe – XXIe siècles] », Méditerranée, no 109,‎ , p.56 et 59 (lire en ligne).
  33. « Banque du Blason »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  34. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
  35. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Puimoisson à Saint-Julien-du Verdon (liste 6), consulté le 6 mars 2013.
  36. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
  37. Jacquelyne Pierrisnard est l’une des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Gérard Schivardi (PT) à l’élection présidentielle de 2007, cf Parrainages élection présidentielle 2007, consulté le 28 juillet 2010 et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2007.
  38. Jacquelyne Pierrisnard est l’une des 500 élus qui ont parrainé Nathalie Arthaud (LO) à l’élection présidentielle de 2012, Conseil constitutionnel, « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République », Journal officiel, 31 mars 2012.
  39. https://www.lemonde.fr/provence-alpes-cote-d-azur/alpes-de-haute-provence,04/saint-jeannet,04181/
  40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  44. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 287.
  45. a et b Collier 1986, p. 157 et 380.
  46. Arrêté du 22 avril 1954, notice de la Base Mérimée, consultée le 11 décembre 2008
  47. Collier 1986, p. 163-164.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]