Correns

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Correns
Correns
Vue de Correns.
Blason de Correns
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Brignoles
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Provence Verte
Maire
Mandat
Nicole Rullan
2020-2026
Code postal 83570
Code commune 83045
Démographie
Population
municipale
897 hab. (2021 en augmentation de 0,45 % par rapport à 2015)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 29′ 16″ nord, 6° 04′ 42″ est
Altitude Min. 139 m
Max. 561 m
Superficie 37,06 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Brignoles
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brignoles
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Correns
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Correns
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Correns

Correns [kɔʁɑ̃s] est une commune française située en Pays de la Provence verte dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Correns est située dans le centre du Var au nord de Brignoles, à l'entrée des gorges de la Bagarède et du Vallon Sourn, sur les rives de l'Argens.

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Cours d'eau traversant la commune[1] :

  • le fleuve Argens ;
  • les ruisseaux de Saint Andrieu, de Vallongue, de Correns.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Du point de vue de la topographie, la commune de Correns est constituée d’un ensemble de plateaux et collines (dont les altitudes varient de 258 à 542 m), traversé par le cours d’eau de l’Argens. Le village, implanté en bordure de ce cours d’eau, se localise au centre de la commune[2].

76 % du territoire de la commune de Correns est recouvert par la forêt[3].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 835 mm, avec 6,4 jours de précipitations en janvier et 2,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montfort-sur-Argens_sapc », sur la commune de Montfort-sur-Argens à 4 km à vol d'oiseau[6], est de 14,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 789,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −11 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Sismicité[modifier | modifier le code]

Commune située dans une zone de sismicité faible[11],[12].

Vue panoramique de Correns.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Commune membre de la Communauté d'agglomération de la Provence Verte.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Correns est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[13],[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brignoles, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe dix communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].

La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[18],[19].

Le Schéma de cohérence territoriale (SCoT) Provence Verte Verdon a été approuvé le . Il est applicable depuis le [20].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (79,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (62,5 %), cultures permanentes (19,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (5,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,7 %), zones agricoles hétérogènes (0,7 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

  • L’agriculture biologique est très développée sur la commune[22]. On y compte un apiculteur, deux aviculteurs, un fromager, un maraicher, deux oléiculteurs, quatre viticulteurs labellisés « bio »[23]. La commune a choisi comme slogan : CORRENS « 1er Village BIO de France ». La viticulture garde la place principale dans les productions.
  • Coopérative vinicole dite Société coopérative agricole[24],[25], moulin à huile, puis coopérative agricole (coopérative oléicole)[26].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Commerces[modifier | modifier le code]

  • Commerces et services de proximité[28], et même une épicerie spécialisée[29].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestée sous la forme Correno en 920.

L'étymologie la plus vraisemblable fait appel à la racine oronymique pré-indo-européenne kor une des variantes connues de kar (« pierre, rocher ») peut-être accompagnée ici du suffixe ligure -inc. Le village est dans un défilé aux parois abruptes.

Histoire[modifier | modifier le code]

Blason[modifier | modifier le code]

Description : D'argent aux trois huchets d'azur[30].

Préhistoire[modifier | modifier le code]

  • Quelques vestiges découverts dans l'abri de Sous-Ville témoignent de l'occupation du site depuis la Préhistoire.
  • La butte qui domine l'Argens fut sans nul doute occupée à l'époque pré-romaine par un oppidum transformé en citadelle à l'époque gallo-romaine.

Du temps des Romains[modifier | modifier le code]

  • Quelques villae s'établissent à Saint-Marc et à Sous-Ville. La première agglomération médiévale s'installe au Xe siècle au pied du fort Gibron, ancienne résidence des abbés de Montmajour.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Le pape Serge IV accorda la même année des indulgences particulières à ceux qui assisteraient à la consécration de Notre-Dame de Correns, reprenant la tradition instaurée en 972 lors de la consécration de la première église. Depuis cette date, tous les vendredis , Correns fête son « Pardon ». À l'origine partielle, cette indulgence (catholicisme) devint plénière au XVIIe siècle, en vertu d'une bulle pontificale d'Urbain VII. Les péchés sont pardonnés à tous les fidèles qui pénètrent dans l'église par la « porte du Pardon », ouverte le par l'évêque de Toulon. Les cérémonies commencent la veille à 2 heures de l'après-midi et se terminent le lendemain de la fête à la même heure.

La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l'Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. La communauté de Correns soutient les Duras jusqu’en 1386, puis change de camp pour rejoindre les Angevins grâce aux négociations patientes de Marie de Blois, veuve de Louis Ier et régente de leur fils Louis II. La reddition d'Aix a également pu jouer un rôle dans la volte-face de la communauté[31].

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Pendant les guerres de Religion, le chef protestant La Burlière s'était réfugié à Correns après avoir ravagé les terres du baron Humbert de Vins à Brignoles. À la tête de ses troupes, Hubert de Garde de Vins attaqua en 1578 Correns qui n'avait pas de remparts. La Burlière et ses hommes s'enfuirent pendant la nuit, mais ils furent rattrapés au moment où ils traversaient la forêt de châtaigniers : 400 protestants périrent dans la bataille.

En 1613, alors que la commune ne comptait que 1 000 habitants, 53 235 fidèles vinrent en procession de toute la Provence, confesser leurs péchés aux 500 prêtres prévus pour l'occasion. De là vient le proverbe provençal « C'est le pardon de Correns » pour désigner de grands rassemblements populaires.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1971 juin 1995 Louis Soldner    
juin 1995 28 juin 2020 Michaël Latz PS  
28 juin 2020 en cours Nicole Rullan[32]    

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

La commune a engagé dans une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[33].

Budget et fiscalité[modifier | modifier le code]

Les comptes 2010 à 2019 de la commune s’établissent comme suit[34],[35] :

Évolution financière en milliers d'€uros.
Postes 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019
Produits de fonctionnement 1 648  1 080  1 343  1 154  1 035  1 076  1 106  1 129  1 140  1 170 
Charges de fonctionnement 1 628  975  1 028  1 051  1 043  1 019  1 033  1 072  1 075  1 078 
Ressources d’investissement 2 138  758  399  835  435  438  468  1 011  583  577 
Emplois d’investissement 2 003  1 444  627  564  422  421  540  569  960  806 
Dette 1 604  894  809  752  778  755  845  1 432  1 533  1 262 
Source : Ministère de l’Économie et des Finances[36]

Fiscalité 2019

  • Taux d’imposition taxe d’habitation : 13,61 %
  • Taxe foncière sur propriétés bâties : 22,23 %
  • Taxe foncière sur les propriétés non bâties : 75,13 %
  • Taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0 %
  • Cotisation foncière des entreprises : 0 %
  • Montant total des dettes dues par la commune : 1 262 000 euros. Population légale : 915 habitants, soit 1380 euros par habitant.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 17 990 [37].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].

En 2021, la commune comptait 897 habitants[Note 4], en augmentation de 0,45 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5001 5691 4851 5331 5141 5161 5111 3141 335
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5281 2891 1531 1241 0831 008895808782
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
770652653577608625582472515
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
472462414521569661793867905
2021 - - - - - - - -
897--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[42] :

  • école maternelle ;
  • école primaire ;
  • collèges à Brignoles ;
  • lycées à Brignoles.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[43],[44]:

  • médecins à Le Val, Cotignac, Carcès, Barjols ;
  • pharmacies à Le Val, Cotignac, Carcès, Barjols ;
  • hôpitaux à Brignoles.

Cultes[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux :

  • Église paroissiale Notre-Dame[46] : dans la nuit du , l'église s'écroula et fut reconstruite par Jean Pomet et Jean-Baptiste Franque, architectes avignonnais. Les travaux commencés en 1734 furent terminés en 1741. Le pape Clément XII autorisa pour la nouvelle église le transfert des indulgences accordées à l'ancienne. L'église est constituée d'une nef centrale à trois travées voûtées d'arêtes, flanquée de deux bas-côtés. L'abside renferme un maître-autel en bois doré baroque surmonté d'une Gloire entourée d'anges au-dessus d'un tabernacle sphérique. L'église est aujourd'hui confiée par l'évêque de Fréjus à la communauté Saint-Jean.
  • Les ruines de l'ancienne église d'Ascau[47] : à l'ouest du village. Il ne reste qu'un pan de mur de l'ancien prieuré construit au Xe siècle[48]. Le capitulaire de Sainte-Marie de Correns nous apprend que les moines possédaient au XIe siècle vingt églises en Provence et qu'ils installèrent en 1065 le système des droits de plantation de vignes dans leur juridiction.
Dans les ruines du prieuré a été découverte une inscription latine, ainsi traduite : « sera damné quiconque transformera le prieuré en abbaye ».
Église vieille-La-Murette[49].
Cimetière de l'église vieille[50].
  • Le calvaire monumental : situé à 1 km au sud-ouest du village. Croix en fer forgé placée au sommet d'une dolomie.
  • Monument aux morts[51] : Conflits commémorés : Guerre franco-allemande de 1914-1918 - 1939-1945[52].

Autres éléments de patrimoines :

  • Monuments place du Général-de-Gaulle[53],[54],[55].
  • Le vieux-village[56] : village « descendu » : l'ancien village occupait la butte qui domine l'Argens. On y remarque de belles maisons Renaissance, des passages voûtés, des rues en escaliers, et une inscription du XVIIIe siècle, rue des Coulets. Il existe aussi un vieux lavoir avec une fontaine de 1862, fontaine aux mascarons et un vieil ormeau sur la place de l'Église.
  • L'enceinte du village : quelques restes de courtines entourent le château[57].
  • La tour de l'Horloge : beffroi du XVIe siècle surmonté d'un campanile cylindrique XIXe siècle[58].
  • Le fort Gibron[59] : sur la butte qui domine l'Argens, vestiges d'un donjon (6,20 m x 9,30 m) en bel appareil construit à l'intérieur d'une courtine quadrangulaire (20,15 m x 24,35 m) et contre lequel s'appuie l'ancien logis des abbés de Montmajour[60]. La dénomination « Gibron » n'apparaît qu'au XVIIIe siècle (en provençal, gibre signifie givre, verglas).
  • Rochers, abris défensifs[61] et grottes de Bagarède[62],[63].
  • Grotte de Sous-Ville[64],[65].
  • La porte Saint-Germain : classée monument historique, XIIe siècle, à herse, donne accès au vieux village.
D'après la légende, saint Germain se serait arrêté à Correns à son retour de Rome, devenant ainsi le patron du village.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jean-Joseph Siméon (1759-1818), homme politique, député du Var de 1806 à 1810.
  • Jacques Rozier (1926-2023), cinéaste de la Nouvelle Vague, auteur notamment d'« Adieu Philippine » et des « Naufragés de l'île de la Tortue », réalisa en 1956 son deuxième court métrage « Rentrée des Classes » dont l’action est située à Correns et l’interprétation assurée essentiellement par les enfants et les habitants du village. Film panthéiste, inspiré par Jean Renoir et Jean Vigo, il raconte l'école buissonnière d’un enfant du village, préférant l'immersion dans une nature foisonnante et étincelante d'une journée de fin d'été à l'enfermement dans une classe close et sombre.
  • Jacques Loussier (1934-2019), compositeur et pianiste de jazz français, célèbre pour avoir fait le lien entre Bach et le jazz, fondateur du Studio Miraval.
  • Le couple d'acteurs américains Angelina Jolie (1975-) et Brad Pitt (1963-) est installé dans le domaine de Miraval depuis 2008[71], et s'y sont mariés le [72] (plusieurs années après leur divorce, Angelina Jolie a vendu ses parts dans le domaine).
  • Le groupe britannique The Cure y a enregistré l'album Kiss Me, Kiss Me, Kiss Me en 1986[73].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. L'eau dans le bassin Rhône-Méditerranée.
  2. PLU Rapport de présentation. 2.1.1 Le site, p. 9
  3. PLU 2.5.2.1 Le foncier forestier
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Correns et Montfort-sur-Argens », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Montfort-sur-Argens_sapc », sur la commune de Montfort-sur-Argens - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Montfort-sur-Argens_sapc », sur la commune de Montfort-sur-Argens - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  11. Didacticiel de la réglementation parasismique
  12. Arrêté préfectoral du 20 mai 2011 relatif à l'élaboration de l'état des risques naturels et technologiques majeurs des biens immobiliers
  13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Brignoles », sur insee.fr (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. PLU sur www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/.
  19. PLU Correns.
  20. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) Provence Verte Verdon.
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  22. Producteurs
  23. site officiel de la commune consulté le 9 juin 2012
  24. « enquête thématique régionale (coopératives agricoles de Provence-Alpes-Côte d'Azur) : coopérative vinicole dite Société coopérative agricole, La Fraternelle puis La Corrensoise », notice no PA00081562, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  25. « coopérative vinicole dite Société coopérative agricole, L'Amicale puis La Corrensoise », notice no IA83001323, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  26. « moulin à huile, puis coopérative agricole (coopérative oléicole) », notice no IA83001322, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. ébergements et restauration
  28. Commerces de proximité
  29. L'épicerie de Brad Pitt
  30. Comté de Provence : Correns, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
  31. Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, cartes p. 417-418 et p. 419.
  32. Bulletin municipal n°40 Automne 2020
  33. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Correns, consultée le 26 octobre 2017
  34. Les Comptes des Communes, Analyse des équilibres financiers fondamentaux Les comptes des communes, Chiffres Clés - Fonctionnement - Investissement - Fiscalité - Autofinancement – Endettement : La Commune de Correns
  35. Correns: la dette en 2019
  36. Les comptes individuels des communes et des groupements à fiscalité propre (années 2000 à 2019)
  37. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. Établissements d'enseignements.
  43. Professionnels et établissements de santé.
  44. Numéros utiles.
  45. Paroisse Saint-Germain
  46. Église paroissiale Notre-Dame, sur patrimages.culture.gouv.fr/
  47. Église d'Ascau, sur patrimages.culture.gouv.fr/siteArcheo/
  48. Église vieille (l')
  49. Église vieille-La-Murette
  50. Cimetière de l'église vieille
  51. Monument aux morts
  52. Monument aux morts dans l'église de Correns
  53. Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site du ministère français de la Culture (base architecture et patrimoine), photographies de CAOA, S. Réol, Gaëtan Congès, Jean-Marie Michel (AFAN – INRAP), archives de la médiathèque de l'architecture et du patrimoine, et service de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
  54. Correns - église catholique Notre-Dame; Diocèse Fréjus-Toulon
  55. Le retable de l'église Notre-Dame, chef-d'œuvre de l'art baroque
  56. Village
  57. Château
  58. Notice no PM83000200, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture collectivité tour de l'horloge
  59. Aujourdʼhui, le Fort abrite les activités du Chantier
  60. Le fort Gibron
  61. Les abris défensifs du vallon Sourn, par Paul Courbon
  62. Rochers de Bagarède
  63. Grotte de Bagarède, dans le Vallon Sourn
  64. Grotte de Sous-Ville
  65. L'abri de Sous-ville
  66. Pont de Bailloux
  67. Pont de Pontfract ; les Pardaries
  68. Menhir de Prats-Boulins
  69. « jardin du château de Miraval, pré-inventaire (jardins remarquables ; documentation préalable) », notice no IA83000382, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  70. Nécropole de Miraval
  71. Dépêche de l'AFP
  72. article de l'express : mariage Jolie-Pitt
  73. RTBF

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]