Mise au tombeau comprenant les huit personnages habituels. Il s'agit d'une copie de celle du Château de Biron. Moulage en plâtre réalisé par l'atelier Virebent de Toulouse à la fin du XIXe siècle[4].
Mise au tombeau en pierre peinte comprenant les huit personnages habituels. Quatre anges surevollent la scène. Ressemble au groupe de Rodez. Début du XVIe siècle[13].
Mise au tombeau en bas relief fixée au mur comportant les huit personnages traditionnels et deux anges. L'attitude de la Vierge n'est pas habituelle puisqu'ici elle penche son visage vers la joue de son fils[15].
Ensemble monumental placé sous un portique comprenant 10 personnages en pierre peinte: les huit traditionnels plus, à droite, le donateur et son Saint Patron. Le chanoine Pierre Dubreuil aurait fait don au Chapitre en 1543. Les statues sur le mur au fond de la crypte ont une autre origine[20].
Mise au tombeau, en pierre comportant 12 personnages datant de 1527 environ. Commandée par Edme Régnier de Romprey et Jeanne de la Ferté son épouse.[23].
Mise au tombeau, en pierre de cinq personnages. Il manque, le Christ, Joseph d'Arimathie et Nicodème. Provient de l'église des Jacobins. Milieu du XVe siècle.[24].
Mise au tombeau en pierre de 10 statues (les 8 traditionnelles plus 2 soldats en relief sur le sarcophage). Actuellement dans la chapelle ND Trouvée elle provient de l'église Saint Pierre détruite. Elle est entourée d'une grille de fer forgé depuis 1908. Un blason est sculpté sur la tombe. Selon Claude Courtépée le donateur serait N.Boyeau bourgeois de Pouilly. Elle est datée de 1521.[25]
Mise au tombeau en pierre de taille située dans la chapelle du château comprenant les huit personnages habituels. Elle fut réalisée au XVe siècle par les frères Pons et Armand de Gontant et Jean de Biron leur successeur. Cinq angelots voletaient au-dessus de la scène. En 1907 elle quitte le château pour entrer dans la collection Pierpont-Morgan et se trouve maintenant au Metropolitan Museum of Art[27][28].
Panneau d'une mise au tombeau intégrée dans l'autel. Elle comporte des personnages supplémentaires en retrait des habituels. Réalisée aux environs de 1575[34].
Mise au tombeau polychrome de 1676, avec ses neuf personnages en grandeur naturelle, sculpté dans du tuffeau par Antoine Chavagnac, sculpteur de la Marine à Brest.
Mise au tombeau, en calcaire de Saintonge, sculptée aux environs de 1500. Elle a totalement perdu ses peintures d'origine car elle fut malencontreusement entreposée de manière précaire dans le jardin de l'abbaye pendant plusieurs décennies.
Mise au tombeau, composée des 8 personnages habituels. Cet ensemble date du XVIe siècle. La chapelle du sépulcre est richement décorée. De part et d'autre de l'enfeu veillent deux soldats; le tombeau est orné de deux anges.
Haut relief de pierre monumental associant une descente de croix, une piéta, une déploration et une mise au tombeau comportant onze personnages plus des anges entourant la scène. Fin du XVe siècle[35].
Restes d'une mise au tombeau comportant quatre personnages. Le Christ, la Vierge, un ange portant les instruments de la Passion et une statue de Saint-Jean dont le style ne correspond pas à celui des autres personnages. Il s'agit probablement d'un ajout. Début XVIe siècle[39].
Mise au tombeau en pierre composée des 8 personnages habituels auxquels viennent s'adjoindre deux anges. Cet ensemble du XVIe siècle provient de l'ancien couvent des Cordeliers de Châlons-en-Champagne.
Mise au tombeau, composée des 8 personnages habituels. Inscription : "Frère François Sarradin, commandeur de céans, a fait faire ce sépulcre en l'an mil cinq cens trente et ung, priez Dieu pour luy" (sur la bordure de la dalle funéraire du tombeau). Date : 1531 (sur la bordure de la dalle funéraire du tombeau).
Mise au tombeau en pierre polychrome, de onze personnages (les huit habituels et trois autres qui pourraient être le donateur et des membres de sa famille)[45] Cette œuvre est achevée en 1471 et placée dans la chapelle où elle se trouve toujours[46].
Mise au tombeau en pierre de huit personnages offerte par Antoinette de Bourbon veuve de Claude de Lorraine au couvent des Cordeliers qu'elle venait de créer. 1567[47].
Mise au tombeau de six personnages en pierre: le Christ, Marie-Madeleine, la Vierge et Saint-Jean, Marie Salomée, plus un personnage non identifié.Elle provient d'une ancienne église brûlée. Sur la robe de Marie-Madeleine figure la phrase suivante: Ave rabbi, spes meae lautis. 1507. On peut tenter la traduction suivante: Salut rabbin espérant que mes fautes me sont pardonnées[49].
Mise au tombeau en calcaire polychrome, semble avoir été déplacée depuis le cimetière vers 1735, œuvre du sculpteur Gnothus, commanditaire Arthuse de Melun, 1522 Classé MH[50].
Mise au tombeau composée de 13 personnages (21 si l'on compte les angelots), le sépulcre aurait été soit élevé par le souhait de Robert Ier de Bar (†1409) ; soit élevé entre 1415 et 1430 pour le tombeau de Baldemar-Johannis de Biebelnheim.
Mise au tombeau en pierre peinte (polychromie moderne) dont les statues mesurent 1,30 m[55]. Le groupe comprend 11 personnages (8 habituels plus 3 hommes) dont la disposition peut être modifiée.Date du début du XVIe siècle.
Mise au tombeau en pierre comprenant les huit personnages habituel plus trois soldats et deux anges agenouillés[58]. Date de la fin XVe, début du XVIe siècle. Cet ensemble ne se trouve pas à son emplacement d'origine[59]
Une sculpture en terre cuite de faible taille représentant le Saint Sépulcre a été détruite en .
Actuellement on peut voir un ensemble composite comprenant Saint Jean et Marie-Madeleine (début XVIe) la Vierge et une Sainte Femme (fin XVIe) un Christ et deux anges (fin XVIe début XVIIe)[60]
Groupe sculpté en stuc armé composé des huit personnages traditionnels de taille humaine. La scène représente l'Onction. Fin du XVIe, début du XVIIe siècle[62].
Calcaire taillé en haut relief vertical représentant la mise au tombeau du Christ avec les 8 personnages traditionnels (environ 1,10 m de hauteur). Seconde moitié du XVIe siècle[63].
Mise au tombeau, composée de 13 personnages, réalisée entre 1554 et 1564 par le sculpteur lorrain Ligier Richier et taillée dans de la pierre de type pierre d'Euville. Elle fut installée dans le bas-côté droit par son fils.
Mise au tombeau dont il ne reste que le Christ gisant, réalisée vers 1520-1550 en pierre calcaire polychrome. Provenant de la chapelle du Saint-Sépulchre attenante à la chapelle du Saint-Esprit, elle est transférée dans l'église Saint-Gildas en 1921.
Cette Mise au tombeau en pierre, est composée de 12 personnages. Aux 8 habituels viennent s'adjoindre trois soldats (sur le sarcophage) et un ange. Cet ensemble date de la fin du XVe/début du XVIe siècle[64].
Mise au tombeau, composée des 8 personnages habituels auxquels viennent s'adjoindre deux anges. Cet ensemble du XVIe siècle vient de Xivry-Circourt en Meurthe et Moselle.
Placé dans une niche sous deux arcades de style flamboyant, le sépulcre regroupe autour du corps du Christ des anges et les Saintes Femmes. Le socle est sculpté de soldats. L'ensemble est de style Rhénan du XVe siècle.
Mise au tombeau de sept personnages en pierre peinte. Elle a été déplacée et restaurée en 1867 puis en 1994. Elle est surmontée par un tableau représentant la tombe du Christ vide[66].
Mise au tombeau en pierre peinte comprenant les huit personnages traditionnels. Elle date du milieu du XVIe siècle mais très endommagée lors de la Révolution, elle a été restaurée au XIXe[67].
Mise au tombeau de sept personnages en pierre (manque Marie-Madeleine). Vient de la chapelle Sépulcrale de Ferry d'Aumont. Très rénovée à la fin du XIXe siècle, les têtes ayant été très endommagées durant la Révolution. Date de la seconde moitié du XVIe siècle[67].
Mise au tombeau de bois peint comprenant les huit personnages habituels. Le christ gisant date du XVe alors que les autres personnages sont du début du XVIIe siècle[71].
Mise au tombeau de pierre comprenant les huit statues habituelles. Les conditions de conservation ont fait que cet ensemble n'est pas en bon état. Fin du XIVe siècle.
Mise au tombeau de sept personnages (il manque une Sainte Femme) en pierre peinte réalisée en 1550 aux frais de Jean Sardon lieutenant local du bailliage d'Amont[75].
Mise au tombeau (déploration) en terre cuite du XVIIe siècle.Située dans la chapelle Saint Pierre[77].Plusieurs artistes auraient participé à sa réalisation. Cette représentation est très proche de celle de Marolles-les-Braults
Mise au tombeau en terre cuite peinte composée des 8 personnages habituels en grandeur nature. Statue exécutée par le sculpteur manceau Charles Hoyau après un marché fait le avec le curé de Marolles, François Angoulvent[78].
Mise au tombeau en pierre polychrome comprenant dix personnages. Les huit habituels plus un soldat et un homme inconnu placé au second plan. Ensemble fortement rénové.
Mise au tombeau en pierre polychrome comprenant cinq personnages: Le Christ, Joseph d'Arimathie, Nicodème, la Vierge, saint Jean et Marie Madeleine.Il manque donc deux saintes femmes. XVIe siècle[83].
Mise au tombeau en pierre composée de neuf personnages:les 8 traditionnels et un ange.Elle a été transférée de l'ancienne chapelle des Tiercelins après la Révolution. XVe siècle[85],[86].
Monument (Onction) en pierre badigeonnée, jadis probablement polychrome, composé des huit personnages traditionnels.Date de la fin du XVe, début du XVIe siècle [87].
Mise au tombeau en marbre composée des huit personnages habituels. Elle aurait été rapportée de Folleville dans la Somme postérieurement à sa réalisation qui date du XVIe Siècle[91].
Mise au tombeau de 1454 en marbre blanc comprenant les personnages habituels. Œuvre réalisée en par deux élèves de Claus Sluter, Jean Michel et Georges de la Sonnette grâce au don fait par Ancelot de Buranfosse marchand à Tonnerre et placée dans l'église du saint Sépulcre[92].
Mise au tombeau en pierre composée des huit personnages traditionnels provenant de l'Abbaye de Vauluisant. Deux Saintes Femmes sont isolées du groupe attribué à Gentil et Dominique de Troyes. Début du second quart du XVIe siècle[93].
Église Notre Dame de l'Assomption, chapelle du Saint Sépulcre.
Mise au tombeau en pierre composée des huit personnages traditionnels. Le Christ est en bois et date du XIVe siècle, les sept autres du XVIe. Proviendrait de l'abbaye Notre-Dame de Dilo[94].
↑Sangouard Antoinette, Sangouard Jacques. L'autel du Saint-Sépulcre de Biron et le tombeau de l'évêque Armand de Gontaut.
In: Bulletin Monumental, tome 142, no 4, année 1984. p. 357-374;
doi : 10.3406/bulmo.1984.6425
http://www.persee.fr/doc/bulmo_0007-473x_1984_num_142_4_6425
Elsa Karsallah, « Un substitut original au pèlerinage au Saint-Sépulcre: les Mises au tombeau monumentales du Christ en France (XVe-XVIe siècles) », dans Reti Medievali Rivista, 2016, vol. 17, no 1, p. 417-428(lire en ligne)