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Guillaume Gallienne

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Guillaume Gallienne
Description de cette image, également commentée ci-après
Guillaume Gallienne à la 42e cérémonie des César en 2017.
Naissance (52 ans)
Neuilly-sur-Seine (France)
Nationalité Drapeau de la France Française
Profession Acteur
Réalisateur
Scénariste
Films notables Jet Set
Astérix et Obélix : Au service de Sa Majesté
Les Garçons et Guillaume, à table !
Yves Saint Laurent
Kaamelott : Premier Volet
Sammy 2
Séries notables Les Bonus de Guillaume

Guillaume Gallienne, né le à Neuilly-sur-Seine, est un acteur, scénariste et réalisateur français, sociétaire de la Comédie-Française.

Guillaume Gallienne a reçu de multiples récompenses dont deux Molières en 2010 et 2011 puis quatre Césars en 2014. Une grande partie de ses récompenses est due à son spectacle autobiographique puis au film qui en est adapté, Les Garçons et Guillaume, à table !, où Guillaume Gallienne joue son propre rôle ainsi que celui de sa mère.

D'autre part, il a marqué les ondes de France Inter durant dix ans en étant narrateur dans l'émission Ça peut pas faire de mal, diffusée le samedi entre 2009 et 2020.

Jeunesse et formation

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Son père est Jean-Claude Gallienne (1928-2009) [1],[2], un industriel du secteur des transports urbains, dont la famille descend d'une longue lignée de pasteurs méthodistes de l'île de Jersey. Sa mère est Mélitta Rotvand (1941) [3],[4], qui descend de l’ancienne aristocratie russo-géorgienne[5].

Qualifié de « personnalité extravagante », Guillaume Gallienne est le troisième enfant d'une fratrie de quatre garçons[6]. Il a également un demi-frère (Thierry, mort en 2020) et une demi-sœur (Bénédicte, morte en 2013), du premier mariage de son père. Il est cousin germain de Ian Gallienne, époux de Ségolène Frère, fille du baron Albert Frère, ainsi que d'Alicia Gallienne[7]. Il passe sa jeunesse dans le 16e arrondissement de Paris[8]. Durant son enfance et son adolescence, il est complexé par sa faiblesse physique. Sa mère le distinguant de ses frères, il en arrive à considérer ne pas être un garçon comme eux, et adopte des attitudes féminines[9]. Lui-même explique, par la suite : « J'ai décidé d'imiter les femmes et en particulier ma maman. Je jouais la fille dans ma chambre mais c'était surtout dans ma tête. Même encore maintenant, il y a des moments où je réagis comme une femme. On me prenait pour un efféminé, pour un homosexuel mais moi je me prenais pour une fille »[10]. Cela le conduit, à l'âge de douze ans, à tomber en dépression. Il parvient à en sortir en « trouvant sa voix » grâce à la phoniatre Claude Fugain (sœur de Michel Fugain) et en consultant un psychanalyste[9]. Cet aspect de sa biographie fournit plus tard la matière de son « seul en scène » Les Garçons et Guillaume, à table !, qu'il adapte ensuite au cinéma[10].

Il entretient une relation distante et complexe avec son père.[réf. nécessaire]

Guillaume Gallienne suit d'abord une scolarité en hypokhâgne au lycée Jean-Pierre-Vernant à Sèvres, commence une maîtrise d'histoire sans pour autant présenter son mémoire[8]. Il découvre sa vocation de comédien à l'âge de 18 ans, à la suite du décès de sa cousine Alicia, à laquelle il était très attaché : « Sa mort, un , m'a réveillé : si je peux crever demain, alors je veux faire du théâtre[11]. » Il est élève au Cours Florent pendant quatre ans (cycle de formation et Classe libre)[12] ; il étudie ensuite au Conservatoire national supérieur d'art dramatique dans les classes de Dominique Valadié, Stéphane Braunschweig et Daniel Mesguich.

Dans les années 1990, il apparaît dans des publicités télévisées telles que celles du label Promotelec[13] ou de la Volkswagen Golf[14].

Au cinéma, le grand public le découvre en 2000 grâce à son rôle dans Jet Set.

À la radio, le comédien prête sa voix à la lecture de grands textes de la littérature (Les Fleurs du mal de Baudelaire, Sodome et Gomorrhe de Marcel Proust...), sur France Inter notamment.

Révélation scénique et seconds rôles au cinéma

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Guillaume Gallienne au FIFF de Namur en octobre 2013 pour la présentation de Les Garçons et Guillaume, à table !.

Dans un autre domaine, il s'associe en 2005 au danseur étoile Nicolas Le Riche pour écrire le livret de son ballet Caligula, donné par le ballet de l'Opéra de Paris[15], et six ans plus tard, il aide le chorégraphe russe Alexeï Ratmansky à adapter Illusions perdues (Honoré de Balzac) pour le ballet du Bolchoï[16].

En 2006, il met en scène Huis clos, de Jean-Paul Sartre, au Théâtre Noh Tessenkai à Tokyo. La distribution réunit Nicolas Le Riche, Thierry de Peretti, Anne Bouvier et Martine Chevallier de la Comédie-Française. La même année il crée la société de productions Don't Be Shy Productions[17], qui coproduit notamment son long-métrage Maryline en 2017.

Parallèlement, il multiplie les apparitions au cinéma, toujours dans des rôles secondaires. Il est souvent recruté pour jouer les bourgeois un peu ridicules : en 2003, dans le film de cape d'épée Fanfan la tulipe ; en 2005 dans Tu vas rire, mais je te quitte, de Philippe Harel ; en 2006, dans La Jungle de Mathieu Delaporte, puis Mon colonel de Laurent Herbiet, ou encore le Marie-Antoinette, de la réalisatrice américaine Sofia Coppola.

II accède aussi à d'autres rôles : en 2003 par François Dupeyron pour Monsieur Ibrahim et les Fleurs du Coran ; en 2007, la comédie dramatique Le Candidat, écrite et réalisée par Niels Arestrup ; et en 2008, il enchaîne le biopic Sagan, de Diane Kurys et Musée haut, musée bas de Jean-Michel Ribes.

C'est sur les planches qu'il parvient à jouer un rôle d'envergure : en 2008, il se lance avec Claude Mathieu dans l'écriture d'un spectacle intime intitulé Les garçons et Guillaume, à table !, dans lequel il revient avec humour sur son enfance, l'éducation qu'il a reçue et les traumatismes qu'elle a pu engendrer[9].

Parcours radiophonique et télévisuel

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Guillaume Gallienne au festival de Cannes 2009.

De à 2010, il anime, dans l'émission Le Grand Journal, sur Canal+, un module intitulé Les Bonus de Guillaume, dans lequel il imagine le bonus DVD d'un film à l'affiche.

À partir de septembre 2009, il anime chaque samedi l'émission Ça peut pas faire de mal sur France Inter, dans laquelle il lit des extraits d’œuvres littéraires[18].

Cette exposition lui permet de décrocher des rôles de plus en plus importants : en 2010, il côtoie le couple incarné par Marina Hands et Julien Doré dans la romance Ensemble, nous allons vivre une très, très grande histoire d'amour..., écrite et réalisée par Pascal Thomas ; puis fait partie de la distribution réunie par Olivier Baroux autour de Kad Merad dans la comédie L'Italien. La grosse production Astérix et Obélix : Au service de Sa Majesté, de Laurent Tirard, lui permet de s'imposer avec le rôle de Jolitorax.

En 2012, il participe à l'album de Juliette Gréco Ça se traverse et c'est beau, en lisant le texte Le Pont Juliette, et chante dans l'album Le Bœuf sur le toit du pianiste français Alexandre Tharaud[19].

En 2013, il est lecteur à l’émission de France Culture Le Gai Savoir en lisant des extraits de Marcel Proust. La même année, sort son premier long métrage.

Le , il met un terme à sa présence sur France Inter comme narrateur après dix ans d'antenne[20]. Sa dernière émission, diffusée le 8 février 2020, est consacrée à l’œuvre poétique de sa cousine, morte trente ans plus tôt, Alicia Gallienne.

Consécration cinématographique

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Guillaume Gallienne en 2012 à l'avant-première de Astérix et Obélix : Au service de sa Majesté.

Les Garçons et Guillaume, à table ! est une adaptation de son spectacle de 2008, où il incarnait déjà sa mère. Le film constituait, jusqu’en 2020, le record de nominations aux César du cinéma en étant présent dans dix catégories[21].

Alors que l'attention des médias se porte sur ce film, Guillaume Gallienne y est revenu, dans l'émission Sept à Huit, pour y confier les similitudes avec sa propre jeunesse : il indique par exemple qu'il « a été obligé d'admettre très tôt qu'il ne pourrait jamais correspondre aux critères de masculinité qu'il y avait dans sa famille », et qu'il a été en butte à l'homophobie dès l'âge de 10 ans[10]. Lui-même précise être bisexuel : « Dans la vie, j'ai toujours aimé les deux. J'étais tombé amoureux d'autres femmes avant et d'autres hommes. J'aurais pu faire la bonne rencontre avec un homme, il se trouve que ça s'est fait avec une femme. [...] Sexuellement, je peux aller partout, no limit, mais dans mon cœur, oui, il se trouve que vraiment j'aime ma femme »[10].

En 2014, Les Garçons et Guillaume, à table !, remporte cinq Césars : meilleur film, meilleur acteur, meilleur premier film, meilleur montage et meilleure adaptation.

Désormais acteur reconnu, il se voit confier des rôles complexes et convoités : en 2014, il prête ses traits à Pierre Bergé dans le biopic Yves Saint Laurent, de Jalil Lespert, qui connaît un joli succès à l'international ; puis en 2016, à Paul Cézanne, dans Cézanne et moi, de Danièle Thompson, qui l'avait dirigé dix ans plus tôt dans Fauteuils d'orchestre. Guillaume Gallienne donne la réplique à Adèle Exarchopoulos en 2016 dans le film de Pierre Godeau Éperdument qui est une adaptation du livre Défense d'aimer de Florent Gonçalves.

Nouveau tournant dans sa carrière, Guillaume Gallienne entre à l'opéra national de Paris[22] pour y mettre en scène l'opéra-bouffe de Gioachino Rossini La Cenerentola, à l'opéra Garnier, du au [23].

En , il est annoncé pour donner des cours à l'université de Princeton[24]. La même année il retrouve, Jalil Lespert qui le fait tourner dans son adaptation cinématographique de la pièce : Le Dindon d'après Georges Feydeau. L'occasion pour lui de retrouver l'humoriste et comédien : Dany Boon avec qui il avait déjà tourné lors du film : Astérix et Obélix : Au service de Sa Majesté et de partager l'affiche avec Alice Pol. Il est ensuite annoncé au casting du film franco-américain : The French Dispatch de Wes Anderson, qui signe sa première expérience en langue anglaise. Ce projet lui permet de donner la réplique à Timothée Chalamet, Léa Seydoux, Cécile de France, Owen Wilson et Kate Winslet.

En 2020, il participe à la composition et la publication du recueil de poèmes posthume de sa cousine Alicia Gallienne, morte en 1990, aux éditions Gallimard[25].

Vie privée

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Guillaume Gallienne est bisexuel, et a eu plusieurs relations amoureuses avec des hommes et des femmes[26]. En 2001, il fait la connaissance d'Amandine Guisez[27], styliste[6], qu'il épouse en 2005[11], surprenant ses parents qui le croyaient homosexuel : « Quand Amandine et moi on a annoncé nos fiançailles à mes parents, ils ne nous ont pas adressé la parole pendant vingt-quatre heures tellement ils étaient décontenancés [10]. »

Guillaume et Amandine Gallienne ont un fils, prénommé Tado, né en 2007[11]. Ils sont chrétiens orthodoxes[6], s'étant convertis à la religion de la famille maternelle de Guillaume[28] et rejoignant l'Église orthodoxe russe[11].

Engagements politiques

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À l'occasion des élections européennes de juin 2014, il s'affirme en européen convaincu dans une vidéo réalisée par Européens sans frontières[29].

Lors de l'élection présidentielle de 2022, il soutient la candidature d'Emmanuel Macron[30].

Résumé de carrière

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Comédie-Française

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Entré à la Comédie-Française le , il en devient le 513e sociétaire le .

Hors Comédie-Française

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Filmographie

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En tant qu'acteur

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Longs métrages au cinéma
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Courts métrages au cinéma
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  • 1994 : Les Flammes du désespoir de Guillaume Husson
  • 1996 : Putain de voleuses d'Edy Garbarski
  • 1996 : Sans doute lui de Shiri Tsour
  • 1997 : Fils de personne de Niels Dubost
  • 1998 : Pop-corn de Yannick Rolandeau : troisième badaud
  • 1999 : Mon plus beau mariage de Guillaume Husson : le prêtre
  • 2001 : Le Cœur sur la main de Marie-Anne Chazel : le snob
  • 2001 : En scène ! d'Yvon Marciano
  • 2001 : L'Élu de Fouad Benamou
  • 2006 : Le Dernier Épisode de Dallas de Guillaume Husson : François
  • 2009 : L'Invitation de Niels Arestrup
  • 2017 : Vitalium, Valentine ! de Jean-Charles Fitoussi
À la télévision
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Films
Films d'animation
Séries d'animation

En tant que réalisateur

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Livres audio

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Parcours à la radio

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Distinctions

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Récompenses

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Guillaume Gallienne en compagnie de son épouse à la 39e cérémonie des César.

Nominations

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Décorations

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Notes et références

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  1. « Jean-Claude Gallienne », sur whoswho.fr, .
  2. Guillaume Gallienne descend, en ligne paternelle, d'une vieille famille jersiaise de pasteurs méthodistes. Il est le fils de Jean-Claude Gallienne, un riche entrepreneur des transports urbains et le petit-fils du résistant gaulliste et maire de Chambourcy, Georges Gallienne (1898-1985), fils du pasteur Gallienne (1871-1953), un des fondateurs des Éclaireurs de France.
  3. Mélitta Rotvand est la fille du journaliste et écrivain Georges Rotvand (descendant des Rotwand, banquiers et philanthropes juifs polonais – convertis au luthéranisme – collaborateurs des grands banquiers Wawelberg) et de Lilia Zelinskaya (1916-1998), mannequin pour Coco Chanel et fille de la princesse géorgienne Melita Cholokashvili (1895-1988), égérie parisienne et couverture du Vogue américain en 1920.
  4. (en) Zaza Anchabadze, European Georgia, Ethnogeopolitics in Caucasus and Ethnogenetical History of Europe, Tbilisi, 2014, p.179 (ISBN 978-9941-0-6322-0)
  5. (en) Manana Gabrichidze, "Georgian Mother and Daughter Who Were Exclusive Models for Coco Chanel", Georgian Journal, rubrique « Culture », 1 Novembre 2015.
  6. a b et c Caroline Rochmann, « Guillaume Gallienne : “Amandine donne ses couleurs à ma vie” », Paris Match, 20 octobre 2012.
  7. « Alicia Gallienne, "L'Autre moitié du songe m'appartient" », sur France Inter, (consulté le )
  8. a et b François Aubel, « Gallienne, le maître du je », Le Figaro, encart « Culture », mardi 19 novembre 2013, page 28.
  9. a b et c Franceculture.fr ; fiche "Guillaume Gallienne" consulté le 2 mars 2014.
  10. a b c d et e « Guillaume Gallienne à Sept à Huit: "Je me prenais pour une fille" », L'Express, 14 janvier 2014 (lire en ligne)
  11. a b c et d Olivier Seguret, « Brillant hybride », Libération, 27 février 2009.
  12. « Théatre Online.com »
  13. Spot publicitaire pour le label Promotelec (1995) sur le site culturepub.fr
  14. Spot publicitaire pour la Golf IV (1999) sur le site culturepub.fr
  15. Lexpress.fr ; ballet caligula Consulté le 2 mars 2014.
  16. Lefigaro.fr ; "le bolchoi retrouve ses illusions à Paris" Consulté le 2 mars 2014.
  17. « DON T BE SHY PRODUCTIONS (PARIS 8) Chiffre d'affaires, résultat, bilans sur SOCIETE.COM - 493049175 », sur www.societe.com (consulté le )
  18. Présentation de l’émission sur le site de France Inter.
  19. Télérama.fr ; album de "Juliette Greco" consulté le 2 mars 2014.
  20. Christophe Gazzano, « France Inter : Guillaume Gallienne fait ses adieux et son autocritique », sur www.oazp.com, (consulté le ).
  21. Non-stop.com ; Guillaume Gallienne roi des césars 2014 consulté le 22 février 2014.
  22. « Guillaume Gallienne », sur operadeparis.fr
  23. a et b « La Cenerentola », sur operadeparis.fr
  24. Guillaume Gallienne, interviewé par Benjamin Locoge, « Guillaume Gallienne, du féminin au masculin », Paris Match, semaine du 9 au 15 novembre 2017, pages 11-13.
  25. Jeunes Rédacteurs, « Alicia Gallienne ou la poétesse révélée trente ans après sa mort », sur Not Magazine, (consulté le )
  26. Guillaume Gallienne marié et bisexuel : "J’ai toujours aimé les deux"
  27. « Amandine Gallienne », sur www.babelio.com
  28. Anne Laure Gannac, « Guillaume Gallienne : “Sans l’analyse, je me serais flingué” », Psychologies Magazine, (consulté le )
  29. EUROPEENSSANSFRONTIERES, « Europeenssansfrontieres Philippe Cayla Guillaume Gallienne Comedie Francaise », (consulté le )
  30. « François Cluzet, Guillaume Gallienne: de nombreuses personnalités du monde de la culture réunies à l'Élysée pour l'investiture d'Emmanuel Macron », bfmtv.com,‎ (lire en ligne, consulté le )
  31. Brigitte Baronnet, « Guillaume Gallienne face à Adèle Exarchopoulos : 1ères photos de tournage de Down By Love », sur allocine.fr, (consulté le ).
  32. a b c et d Interprété par Ben Whishaw en version originale.
  33. « Première bande-annonce de Paddington au Photomaton... heu, pardon, au Pérou », sur Premiere.fr, (consulté le )
  34. Interprété par Ty Burrell en version originale.
  35. Discours de remise du prix Raymond Devos par le ministre de la Culture
  36. 15e palmarès des Étoiles d'or du cinéma français (2014) sur le site officiel, consulté le 25 février 2014.
  37. Décret du 14 novembre 2008 portant promotion et nomination.
  38. Rima Abdul Malak, « Arrêté du 17 octobre 2022 portant nomination et promotion dans l'ordre des Arts et des Lettres », sur le site du ministère de la Culture et de la Communication, (consulté le ).
  39. https://journaldemonaco.gouv.mc/Journaux/2022/Journal-8618/Ordonnance-Souveraine-n-9.554-du-18-novembre-2022-portant-promotions-ou-nominations-dans-l-Ordre-du-Merite-Culturel

Liens externes

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