Chronologie des actes terroristes en France

Gravure (1803) la date précédemment proposée, 1883, étant une absurdité du point de vue artistique.[réf. souhaitée] de l'attentat de la rue Saint-Nicaise en décembre 1800.
Cette chronologie présente l'ensemble des événements en lien avec le terrorisme sur le territoire national français.
Attentats ou tentatives d'attentats en France au XVIe siècle[modifier | modifier le code]
Années 1570[modifier | modifier le code]
- : massacre massif des protestants déclenché à Paris par les catholiques, le jour de la Saint-Barthélemy, prolongé pendant plusieurs jours dans la capitale, puis étendu à plus d'une vingtaine de villes de province durant les semaines suivantes et même les mois suivants.
Années 1580[modifier | modifier le code]
- : assassinat à Blois du duc de Guise, chef de la Ligue catholique, par la garde personnelle du roi Henri III et sur ordre de celui-ci.
- : assassinat, à Saint-Cloud, du roi Henri III, poignardé par le moine dominicain Jacques Clément. Blessé au bas-ventre et mal soigné, le roi meurt le lendemain vers 3 heures du matin d'une péritonite.
Attentats ou tentatives d'attentats en France au XVIIe siècle[modifier | modifier le code]
Années 1610[modifier | modifier le code]
- : assassinat, à Paris, du roi Henri IV, poignardé par le catholique fanatique François Ravaillac dans la rue de la Ferronnerie (au droit des actuels numéros 8-10), alors qu'il allait à l'Arsenal rendre visite à Sully, souffrant[1].
Attentats ou tentatives d'attentats en France au XVIIIe siècle[modifier | modifier le code]
Années 1790[modifier | modifier le code]
De à , la France subit un terrorisme d'État connu sous l'appellation de la Terreur.
Années 1800[modifier | modifier le code]
Attentats ou tentatives d'attentats en France au XIXe siècle[modifier | modifier le code]
Années 1830[modifier | modifier le code]
- : attentat du boulevard du Temple contre Louis-Philippe Ier, perpétré par Giuseppe Fieschi. Il rate sa cible et fait 19 morts et 42 blessés.
Années 1850[modifier | modifier le code]
- : tentative d'assassinat contre Napoléon III par l'Italien Felice Orsini[2].
Années 1890[modifier | modifier le code]
- : l'anarchiste Auguste Vaillant jette une bombe à la Chambre des députés pour venger Ravachol. La bombe fait une cinquantaine de blessés (dont Vaillant).
- 1894 : procès des Trente et vote de la troisième loi scélérate.
- : assassinat du président de la République Sadi Carnot, à Lyon, par l'anarchiste italien Sante Geronimo Caserio.
- 1898 : Conférence internationale de Rome pour la défense sociale contre les anarchistes.
Attentats ou tentatives d'attentats en France au XXe siècle[modifier | modifier le code]
Années 1930[modifier | modifier le code]
- : assassinat à Paris (hôtel Salomon de Rothschild) du Président de la République Paul Doumer par Paul Gorgulov
- : assassinat à Marseille du ministre Louis Barthou et du roi Alexandre Ier de Yougoslavie. Peut-être planifié par les Oustachis croates, l'assassinat fut exécuté par un révolutionnaire bulgare Vlado Chernozemski appartenant à l'Organisation révolutionnaire intérieure macédonienne[3].
- : tentative d'assassinat du président du Conseil Léon Blum, organisée par la Cagoule, groupe d'extrême-droite.
- : assassinat par la Cagoule de l'économiste soviétique Dimitri Navachine, ancien gouverneur de la Banque Commerciale pour l'Europe du Nord – Eurobank, contrôlée par l'URSS .
- : assassinat par la Cagoule des frères Carlo et Nello Rosselli, antifascistes italiens, à Bagnoles-de-l'Orne, sur ordre de Mussolini.
- : deux attentats à la bombe à Paris, contre la Confédération générale du patronat français au 4, rue de Presbourg et l'Union des industries métallurgiques au 45, rue Boissière, tuant deux agents de police, en faction devant chacun de ces lieux. Ces deux actions terroristes, perpétrés par la Cagoule et qui avaient pour objectif d’en faire accuser les communistes, sont connues sous le nom d'attentats de l'Étoile, en raison de la proximité de la place de ce nom[4].
Années 1940[modifier | modifier le code]
Date | Type | Morts | Blessés | Lieu et description |
---|---|---|---|---|
1940 - 1944 | Fusillades et pendaisons, tortures, destructions massives | Les nazis occupent tout ou partie de la France et s'y livrent rapidement à une politique de terreur : arrestation et déportation, le plus souvent sans retour, des résistants et des Juifs, tortures, nombreuses fusillades et pendaisons, villages rasés. | ||
au | Fusillades | entre 1 122 et 45 000 (terroristes compris) | Massacre de Sétif, Guelma et Kherrata.Vague d'attentats en Algérie française. | |
Explosif | 16 | environ 30 | un express Paris Tourcoing déraille près d'Arras, à cause d'un sabotage perpétré par des éléments proches du PCF et de la CGT.[5]. |
Années 1950[modifier | modifier le code]
Date | Type | Morts | Blessés | Lieu et description |
---|---|---|---|---|
Explosif | 0 | 0 | attentat à la Banque Commerciale pour l'Europe du Nord – Eurobank à Paris. | |
Explosif | 0 | 0 | attentat à la Banque Worms, boulevard Haussmann à Paris[6]. | |
Explosif, armes à feu | 9 | 1 | Toussaint rouge, plusieurs attentats au sein de l'Algérie revendiqué par le FLN début des événements d'Algérie/Guerre d'Algérie. | |
2 | 0 | assassinat de Maurice Dupuy et son escorte à Tebessa. | ||
1 | 0 | assassinat de Ali Chekkal, ancien vice-président de l'Assemblée algérienne par le FLN au stade de Colombes[7]. | ||
20/ | Armes à feu, couteau | 1396 | >100 | massacres du Constantinois, nombre de morts difficile à estimer. |
1 | 0 | assassinat de Mohamed Mahiddine responsable du FLN algérien pour le sud de la France par le MNA à Marseille. | ||
6 | 4 | attentat mené par le FLN algérien faisaint six morts et quatre blessés à Paris. | ||
2 | 0 | assassinat de Hocine Cherchalli, Député algérien et de Ahmed Bekhat, secrétaire de l'Union des Travailleurs Algériens par le FLN à Paris, station de métro Sévres-Babylone. | ||
0 | 0 | attentat manqué contre le sénateur d'Alger Henri Borgeaud, boulevard Suchet à Paris (non revendiqué). | ||
Mitraillage | 0 | 1 | dans un marché de Livry-Gargan (indépendantistes algériens)[8]. | |
Explosif | 0 | 0 | explosion au Palais Bourbon (le groupe Jeune Nation est suspecté). | |
Balles de colt | 1 | 3 | tentative ratée d'assassinat du ministre de l'information Jacques Soustelle par Ouraghi Mouloud dit «le Chef» (Front de libération nationale algérien) sur la Place de l'Étoile à Paris[9]. | |
Explosif | 0 | 0 | explosion à bord d'un SNCASE SE.2010 Armagnac reliant Oran à Paris (FLN)[10]. |
Années 1960[modifier | modifier le code]
- : six attentats de l'OAS à Paris.
- : bombe à la Bourse de Paris (14 blessés).
- : attentat du train Strasbourg-Paris (28 morts et 170 blessés).
- 23 au : nuit des paras à Metz (4 morts et 27 blessés).
- : série d'attentats de l'OAS.
- : onze attentats de l'OAS à Paris.
- : tentative d'assassinat de Yves Le Tac par l'OAS.
- : Attentat d'Issy-les-Moulineaux à la voiture piégée (3 morts, 50 blessés).
- : quinze attentats à la bombe dans Paris.
- : quinze nouveaux attentats dans Paris.
- : attentat du Petit-Clamart contre le général de Gaulle, organisé par l'OAS.
- : cinq jeunes se revendiquant "au nom de l'anarchie" ont utilisé un cocktail Molotov pour attaquer une librairie rue de l'Abbé-Grégoire (numéro 33), à Paris, alors qu'ils souhaitaient viser une autre librairie diffusant des ouvrages d'extrême-droite, au numéro 27[11].
- : l'extrême-droite[Qui ?] fait exploser une librairie maoïste rue Gît-le-Cœur à Paris.
- : attentats contre Renault et plusieurs banques dans Paris.
Années 1970[modifier | modifier le code]
Années 1970 à 1973[modifier | modifier le code]
- : attentats visant les locaux des journaux La Nation et Le Parisien libéré.
- : attentat au journal Minute.
- : attentat à la station Invalides (huit blessés).
- : attentat à la librairie Palestine (Paris), faussement revendiqué par le groupe juif Massada, en fait un attentat raciste.
- : attentat du Mossad (service de renseignement israélien) à Paris contre Mahmoud Hamchari, qui meurt le .
- : une bombe est posée par l'organisation Septembre noir devant l'Agence juive rue Fortuny à Paris[12].
- : prise d'otages à l'ambassade d'Arabie saoudite par un commando palestinien.
- : attentat devant le consulat algérien à Marseille, organisé par le Groupe Charles-Martel (4 morts, 12 blessés)[13].
Année 1974[modifier | modifier le code]
- : attentats contre les voies ferrées françaises menant à l'Espagne par les Groupes d'action révolutionnaire internationalistes.
- : voitures piégées contre L'Aurore, Minute et L'Arche par des Palestiniens[réf. nécessaire].
- : attentat à la grenade au Drugstore Saint-Germain à Paris, revendiqué par Carlos (2 morts, 34 blessés).
- : assassinat du colonel Ramon Trabal, attaché militaire d'Uruguay, ex-chef du renseignement militaire uruguayen (SID). Revendiqué par les « Brigades internationales Raúl Sendic », d'après le nom d'un des leaders Tupamaros. Toutefois, le commissaire Pierre Ottavioli de la Brigade criminelle abandonna très vite la piste des Tupamaros. Alberto Sendic, le frère de Raúl Sendic, et le commissaire Pierre Ottavioli, estimaient tous deux que le crime avait été commis par le Mossad pour le compte de militaires uruguayens qui s'opposaient au général Gregorio Álvarez : ainsi, pour Alain Labrousse, « il n'a jamais fait de doute qu'il s'agissait là d'un règlement de comptes entre clans militaires »[14] (un coup d'État militaire avait eu lieu en Uruguay en ). La veille de son assassinat, Trabal, se sentant menacé, s'était réfugié chez Laurita Mourâo, une diplomate brésilienne fille du général putschiste Olímpio Mourão Filho[15].
Année 1975[modifier | modifier le code]
- : attaque à la roquette d'un commando palestinien mené par Carlos et Johannes Weinrich contre El Al à l'aéroport d'Orly (trois blessés)[16].
- : attaque d'un commando palestinien à l'aéroport d'Orly contre un avion israélien (vingt blessés)[16].
- : attentat au journal Minute.
- : double attentat à l'explosif contre les bureaux de Toulouse et Lyon de la compagnie Air Algérie, revendiqué par le Groupe Charles-Martel.
- : bombe à la gare de l'Est (un mort, six blessés).
- : une voiture piégée explose devant le consulat d'Algérie à Paris, attentat revendiqué par le Groupe Charles-Martel.
- : attentats contre le secrétaire général de Force ouvrière et, par erreur, contre l'homonyme du rédacteur en chef du journal Le Parisien libéré, Bernard Cabannes, qui est tué.
- : Fusillade de la rue Toullier : sur le point d'être arrêté, Carlos abat Raymond Dous et Jean Donatini, deux inspecteurs de la DST[17], et Michel Moukharbal, un informateur libanais. Un troisième policier, Jean Herranz, commissaire de la DST, est grièvement blessé[18].
- : bombes dans trois succursales de banques espagnoles.
- : tentative d'assassinat de Bartolome Valle, attaché militaire à l'ambassade espagnole (revendiqué par les Brigades internationales Juan Paredes Manot).
- : l'ambassadeur de Turquie, Ismail Erez, et son chauffeur sont abattus par l'ASALA.
- : double attentat au journal L'Express.
- : attentat à l'ambassade portugaise.
Année 1976[modifier | modifier le code]
- : prise d'otages d'un car scolaire à Djibouti dans la zone de Loyada (deux enfants morts, six blessés)[19]
- : attentat à l'Office de tourisme algérien (revendiqué par le Front de libération unifié de la nouvelle Algérie).
- : fondation du Front de libération nationale corse, Liste des actions terroristes attribuées ou revendiquées par le FLNC depuis 1976
- : assassinat de Joaquim Anaya, ambassadeur de Bolivie (revendiqué par les Brigades internationales Che Guevara).
- : bombe à la maison de la culture arménienne (un mort).
- : attentat à la bonbonne de gaz à Paris (quatre morts).
- : tentative contre Homayoun Keykavoussi, attaché culturel de l'ambassade iranienne (revendiqué par les Brigades internationales Reza Rezayi).
- : attentat contre Jean-Marie Le Pen (cinq blessés).
Année 1977[modifier | modifier le code]
- : attentat contre la Librairie palestinienne à Paris, revendiqué par les Sections phalangistes de sécurité (extrême droite).
- : assassinat de Jean-Antoine Tramoni, le meurtrier de Pierre Overney, par les Noyaux armés pour l'autonomie populaire.
- : bombes dans les locaux de deux sociétés franco-soviétiques à Paris, revendiqué par le Front d'action pour la libération des Pays baltes.
- : enlèvement à Paris du directeur de Fiat-France, Luchino Revelli-Beaumont, libéré deux mois plus tard contre rançon. Alors revendiqué par la « guérilla péroniste argentine », l'enlèvement pourrait avoir été organisé par la dictature argentine.
- : tentative contre l'ambassadeur de Mauritanie (revendiqué par les Brigades internationales Mustapha El Wali Sayed).
- : bombe au domicile de Marcel Boiteux, directeur général d'EDF, revendiqué par le Comité d'action contre les crapules atomiques.
- : trois attentats à Châlons-sur-Marne contre le consulat italien, le Parti socialiste et le Parti communiste français, revendiqués par les Comités d'action fasciste.
- : attentats à la bombe contre des bâtiments ou des sites en lien avec l’énergie nucléaire par des militants d’extrême-gauche agissant sous la dénomination de CARLOS.
- : meurtre du gardien de l'Amicale des Algériens en Europe par les Commando Delta.
- : attentat dans un hôtel de travailleurs algériens à Marange-Silvange, revendiqué par les Commando Delta.
- : attentat au magasin Fauchon à Paris.
- : bombe au cabaret Raspoutine à Paris.
Année 1978[modifier | modifier le code]
- : attentat contre un foyer Sonacotra à Nice, revendiqué par le Groupe Charles-Martel.
- : assassinat à la voiture piégée du politique d'extrême-droite François Duprat, près de Caudebec-en-Caux.
- : assassinat du militant anticolonialiste Henri Curiel à Paris par les Commando Delta.
- : attentat à Orly contre la compagnie El Al (trois terroristes tués, deux policiers tués)[20].
- : attentat contre le Club Méditerranée à Paris, revendiqué par le Front de la libération nationale française (1 blessé).
- : attentat à la bombe au château de Versailles, revendiqué par l'Armée républicaine bretonne.
- : bombe au domicile de Jean Dutourd.
- : attentat au domicile d'Yves Mourousi, revendiqué par la section franco-arabe du front du Refus[21] (dix blessés).
- : bombe au Bazar de l'Hôtel de Ville (1 mort, 17 blessés).
Année 1979[modifier | modifier le code]
- : quatre attentats contre des commissariats parisiens, revendiqués par le Groupe d’Offensive pour la Radicalisation des Luttes, lié au mouvement autonome.
- : bombe contre un foyer d'étudiants juifs à Paris, revendiqué par le Collectif autonome d'intervention contre la présence sioniste en France et la paix israëlo-égyptienne (33 blessés)[22],[23].
- : attentat au journal Le Matin de Paris, revendiqué par la Ligue des combattants contre l'occupation juive (un groupe d'extrême droite).
- : huit attentats du FLNC contre des banques parisiennes.
- : attentat du FLNC au Palais de Justice.
- : attentat dans les locaux du journal Le Monde, revendiqué par la Ligue des combattants contre l'occupation juive (un groupe d'extrême droite).
- : fondation d'Action directe, Liste des attentats d'Action directe de 1979 à 1987
- : Nuit bleue à Paris, douze attentats (trois commissariats, deux banques, une permanence de l'UDF, un garage, une agence ANPE, une agence EDF, une perception, une annexe du Ministère des Finances…), revendiqués par le Collectif communiste révolutionnaire.
- : deuxième Nuit bleue à Paris, douze attentats.
- : troisième Nuit bleue à Paris, 22 attentats, revendiqués par le FLNC.
- : attentats contre trois entreprises turques parisiennes, revendiqués par l'ASALA.
- : bombes au ministère du Travail et au siège de la Sonacotra par des autonomes.
- : assassinat du militant Pierre Goldman à Paris par Honneur de la Police.
- : série de lettres piégées au fisc parisien.
- : attentats de l'ASALA à Paris contre Turkish Airlines, KLM et Lufthansa.
- : assassinat de Yilmaz Çolpan, directeur de l'Office de tourisme turc à Paris, revendiqué par l'ASALA.
Années 1980[modifier | modifier le code]
Année 1980[modifier | modifier le code]
- : attentat à l'ambassade de Syrie (1 mort, 8 blessés).
- : attentat à Paris contre Aéroflot.
- : bombe du FLNC à l'Hôtel de Ville de Paris.
- :
- bombe au foyer des étudiants protestants à Paris (quatre blessés), revendiquée par le Groupe Charles Martel.
- attentats du Front communiste antinucléaire contre cinq entreprises parisiennes.
- : attentat à la bombe contre l'Association des étudiants musulmans, revendiquée par le Groupe Charles Martel.
- : attentat au consulat d'Algérie à Aubervilliers, revendiquée par le Groupe Charles Martel.
- : attentat contre la police à Paris, revendiqué par le FLNC (4 blessés).
- : assassinat du physicien nucléaire Yahya Al-Meshad, qui travaillait pour l'Irak, par le Mossad, à Paris.
- : bombe au siège du MRAP à Paris.
- : tentative d'assassinat du premier ministre du Chah d'Iran Shapour Bakhtiar à son domicile (deux policiers tués, un civil tué)[24].
- : attaque du consulat général de Turquie à Lyon.
- : attentat de la rue Copernic. Quatre morts et 46 blessés.
- : bombe désamorcée à la Bourse de Paris.
Année 1981[modifier | modifier le code]
- : attentat contre Chanel.
- : deux bombes sur les Champs-Élysées, revendiquées par l'ASALA.
- : assassinat par l'ASALA de deux diplomates turcs à Paris : Reşat Morali, attaché aux Affaires du Travail, et Tecelli Ari, conseiller aux Affaires Religieuses.
- : bombe à la cité d'urgence du Baou. Une autre est désamorcée devant la cité Bassens à Marseille. 29 familles sinistrées.
- : une bombe explose à l'aéroport d'Ajaccio lors de l'arrivée du président en campagne Giscard d'Estaing, faisant 1 mort et huit blessés[25],[26].
- : attentat palestinien à l'hôtel Intercontinental à Paris (15 blessés).
- : prise d'otage au consulat turc à Paris par des membres de l'ASALA (1 mort, 3 blessés, 40 otages[27]).
- : double attentat sur les Champs-Élysées.
- fin : six attentats à la bombe dans Paris.
- : attentat d'un groupe arménien à la Gare de l'Est (2 blessés).
- : attentat contre la société polonaise Botrans, revendiquée par le Groupe Charles Martel.
Année 1982[modifier | modifier le code]
- : assassinat de Charles Robert Ray, attaché militaire américain, à Paris. Revendiqué par les FARL[28].
- : attentat à la bombe visant le train Paris-Toulouse, près de Limoges, attribué à Carlos (5 morts, 28 blessés)[29].
- : assassinat du diplomate israélien Yacov Barsimento, à Paris. Revendiqué par les FARL[28].
- : une voiture piégée explose devant le siège du magazine Al Watan Al Arabi rue Marbeuf à Paris faisant un mort et 63 blessés (attentat revendiqué par Carlos).
- : triple attentat anti-arabes à Calenzana.
- : Fusillade de la rue des Rosiers (6 morts, 22 blessés)[30].
- : la plus violente «nuit bleue» de l'histoire de la Corse (99 attentats).
- : 2 artificiers sont tués par la bombe qu'ils désamorçaient avenue de La Bourdonnais à Paris. Revendiqué par les FARL[31].
- : attentat contre la voiture du responsable de la sécurité de l’ambassade d’Israël en France, à proximité du lycée Carnot. Revendiqué par l'Unité Combattante Marcel Rayman d’Action Directe et les Fractions armées révolutionnaires libanaises.
Année 1983-1984[modifier | modifier le code]
- : deux policiers sont tués et 1 autre grièvement blessé avenue Trudaine à Paris alors qu'ils avaient repéré un commando d'Action directe.
- : attentat à l'aéroport d'Orly, bombe placée par l'ASALA (8 morts, plus d'une cinquantaine de blessés)[27].
- : attentat à la bombe au bureau d'Air Algérie à Marseille, revendiqué par le Groupe Charles Martel.
- : bombe dans un foyer Sonacotra de Marseille[réf. nécessaire].
- : incendie criminel au domicile du trésorier de la Confédération des Français musulmans rapatriés d'Algérie et de leurs amis (CFMRAA).
- : bombe à la foire internationale de Marseille, à proximité des stands de l'Algérie et des États-Unis (1 mort, 26 blessés). Attentat revendiqué par plusieurs organisations[32].
- : 23 blessés dans un attentat contre la préfecture de la Guadeloupe, à Basse-Terre par l'Alliance Révolutionnaire Caraïbe (ARC) [33],[34]
- : Le Grand Véfour, attentat qui fait une dizaine de blessés dont Maurice et Françoise Rudetzki.
- : deux attentats attribués à Carlos perpétrés à la gare Saint-Charles de Marseille et dans le TGV Marseille-Paris font 4 morts et 45 blessés.
- : attentats d'Alfortville des Loups-Gris et du gouvernement turc dirigés contre le mémorial du génocide arménien à Alfortville. 13 blessés dont deux graves.

La salle Jean Mermoz (île du Ramier, Toulouse), détruite par deux engins explosifs afin d'y empêcher la tenue d'un meeting de Jean-Marie Le Pen, en juin 1984.
- : bombe à la salle Jean-Mermoz à Toulouse, empêchant la tenue d'un meeting de Jean-Marie Le Pen.
Années 1985-1986[modifier | modifier le code]
- : assassinat de René Audran, directeur des affaires internationales de la Délégation générale pour l'Armement, devant son domicile de La Celle-Saint-Cloud, revendiqué par Action directe.
- : un attentat à la bombe contre le magasin Marks and Spencer situé boulevard Haussmann fait 1 mort et 15 blessés[35].
- : un attentat à la bombe détruit le cinéma Rivoli Beaubourg (4e arr. de Paris) lors d'un festival du film juif où l'on projette Eichmann, l'homme du 3° Reich. 18 blessés dont Fabrice Nicolino qui sera à nouveau blessé dans l'Attentat contre Charlie Hebdo (2015).
- : Tentative d’assassinat, porte des Ternes à Paris, contre le Contrôleur général des armées Henri Blandin, revendiquée par Action directe.
- 1985-1986 : vague d'attentats à Paris en 1985 et 1986 perpétré par le groupe de Fouad Ali Saleh dont celui de la rue de Rennes.
- : tentative d'assassinat manquée sur Guy Brana (vice-président du Conseil national du patronat français (CNPF), ancêtre du MEDEF), devant son domicile du Vésinet par Action directe. Son chauffeur est blessé.
- : attentat d'un disquaire de Draguignan qui vendait des billets d'un concert de SOS Racisme, revendiqué par les Commandos de France contre l'invasion maghrébine.
- : une bombe explose dans les locaux de la Brigade de répression du banditisme, quai de Gesvres, à Paris (1 policier tué, 30 blessés). Attentat revendiqué par le Commando Loïc Lefèvre Action directe le [36].
- : bombe dans un marché à Toulon, revendiquée par S.O.S. France (4 morts).
- : assassinat du PDG de Renault Georges Besse, boulevard Edgar-Quinet à Paris, revendiqué par Action directe (bien que le journaliste Dominique Lorentz situe cet assassinat dans le contexte du contentieux Eurodif avec l'Iran).
- : tentative d'assassinat, attribuée à Action directe, contre Alain Peyrefitte, ancien garde des Sceaux, près de son domicile de Provins (Seine-et-Marne), au moyen d'une bombe ventouse placée sous sa voiture. Un employé municipal est tué.
Années 1987 à 1989[modifier | modifier le code]
- : tentative d’assassinat, attribuée à Action directe, contre Jean-Louis Bruguière, magistrat antiterroriste, au moyen d'un piège à la grenade posé devant son appartement parisien[37].
- : assassinat d'Ali André Mécili, avocat et politique algérien, à Paris.
- : assassinat à Ajaccio du docteur Jean-Paul Lafay, président de l'association d'aide aux victimes du terrorisme en Corse[38].
- : assassinat de Dulcie September, représentante de l'ANC sud-africaine, à Paris.
- : bombe au foyer Sonacotra du Cannet (Alpes-Maritimes), faussement revendiqué par le groupe juif Massada, attribué à des néo-nazis proche du PNFE et de la FPIP (4 blessés).
- : bombe au journal Le Globe à Paris, attribué à des néo-nazis proche du PNFE et de la FPIP.
- : attentat du cinéma le Building, par un catholique intégriste et ancien candidat du Front national, contre la projection de La Dernière tentation du Christ.
- : attentat du cinéma Saint-Michel attribué à un groupe catholique intégriste, protestant contre la projection de La Dernière tentation du Christ de Scorsese. 13 blessés (dont 4 gravement).
- : attentat contre un foyer Sonacotra à Cagnes-sur-Mer (Alpes-Maritimes), faussement revendiqué par le groupe juif Massada, attribué à des néo-nazis proche du PNFE et de la FPIP (1 mort, 12 blessés).
- : attentat contre l'hôtel de région des Pays de la Loire à Nantes revendiqué par l'Armée Révolutionnaire Bretonne.
Années 1990[modifier | modifier le code]
- : assasinat du premier ministre du Chah d'Iran Shapour Bakhtiar à son domicile de Suresnes, ainsi que de son secrétaire[39].
- : attentat contre la synagogue de Villepinte (Seine-Saint-Denis), attribué à des néo-nazis.
- - : détournement du vol AF 8969 par le GIA.
- 1995-1996 : Vague d'attentats attribués au GIA, dont celui du RER B à la station Saint-Michel.
- : attentat à la voiture piégée sur le vieux port de Bastia, 1 mort et 2 blessés (dont le leader nationaliste Charles Pieri) dans un contexte de guerre fratricide entre factions nationalistes corses[40].
- : Attentat du RER B à Port-Royal
- : attentat contre le journal Tribune juive[41].
- : attaque de la gendarmerie de Pietrosella (Corse) au cours de laquelle sera dérobée l'arme utilisée pour l'Assassinat de Claude Érignac.
- : Assassinat de Claude Érignac, préfet de Corse, dans une rue d'Ajaccio par un groupuscule indépendantiste. Après des années d'enquête, Yvan Colonna, accusé d'être le tueur, sera condamné à la réclusion criminelle à perpétuité assortie d'une période de sûreté de 22 ans.
- : attentats contre la DDE et l'URSAAF à Ajaccio.
Année 2000[modifier | modifier le code]
- : attentat à Quévert (Côtes-d'Armor) contre un McDonald's, attribué à des indépendantistes bretons, mais non résolu par la justice, 1 mort[42].
- : découverte d'un engin explosif devant le Centre international de conférences Kléber à Paris, revendiqué par le FLNC.
- : découverte d'une voiture piégée renfermant une centaine de kilogrammes d'explosifs à Marseille, revendiqué par Armata Corsa.
- : colis piégé dans les locaux du syndicat intercommunal de la Baule-Escoublac (Loire-Atlantique) faisant 1 mort[43].
- Décembre 2000 : un groupe djihadiste basé à Francfort, composé d'Algériens et de Franco-Algériens dont certains étaient passés par l'Afghanistan, prépare un attentat contre le marché de Noël de Strasbourg. Ils sont arrêtés et condamnés en 2003[44],[45].
Attentats ou tentatives d'attentats en France au XXIe siècle[modifier | modifier le code]
Année 2001[modifier | modifier le code]
- : incendie dans un centre de recrutement de la Marine nationale à Pau, revendiqué par l'Association totalement anti-guerre[46].
- : une voiture remplie d'explosifs est découverte à Paris, revendiqué par Armata Corsa.
Année 2002[modifier | modifier le code]
- :
- attentat contre un hôtel des impôts à Marseille, revendiqué par le FLNC.
- à Paris, un attentat manqué vise la caserne de Reuilly, revendiqué par le FLNC.
- : incendie du bureau régional du Secours populaire à Toulouse par des néonazis[47].
- 14 juillet 2002 : Maxime Brunerie, membre du parti d’extrême droite MNR, tente d’assassiner le président de la République Jacques Chirac.
- : attentat raté contre la trésorerie générale à Nice, revendiquée par le FLNC.
Année 2003[modifier | modifier le code]
- : double attentat contre la direction régionale des Douanes et de la Trésorerie générale à Nice, 16 blessés légers. Revendiqué par le FLNC UC.
Années 2004-2005[modifier | modifier le code]
- : voiture piégée contre le préfet Aïssa Dermouche à Nantes. Affaire non résolue.
- : attentat contre l'ambassade d'Indonésie à Paris, revendiqué par le Front islamique français armé (10 blessés)[48].
Année 2006[modifier | modifier le code]
Années 2007-2008[modifier | modifier le code]
- : attentat contre une Caisse d'épargne à Marseille[50].
- : 2 gardes-civils espagnols sont abattus par un commando d'ETA sur le parking d'un centre commercial à Capbreton (Landes).
- 2007 : en Corse, 180 attentats sont recensés au cours de l'année[49].
- 2007-2008 : attentats contre des radars automatiques, certains étant revendiqués par la Fraction nationaliste armée révolutionnaire.
- : deux membres du groupe néo-nazi Nomad 88, proche de la « Droite socialiste », mitraillent une cité à Saint-Michel-sur-Orge[51].
- décembre 2008 : interpellation en France et en Belgique d'individus islamistes, considérés comme proches d'Al-Qaïda[52].
- : un groupe inconnu, le Front révolutionnaire afghan, informe les autorités après avoir déposé des bâtons de dynamite (sans détonateurs) au Printemps à Paris[53].
- : arrestation à Paris de Rany Arnaud, 29 ans, un islamiste isolé soupçonné d'avoir voulu faire sauter le bâtiment de la DCRI[54].
Année 2009[modifier | modifier le code]
Année 2010[modifier | modifier le code]
Année 2011[modifier | modifier le code]
Année 2012[modifier | modifier le code]
Date | Responsables | Location et description |
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Mohammed Merah | Tueries de Toulouse et Montauban : le terroriste islamiste franco-algérien Mohammed Merah tue sept personnes, trois militaires et quatre civils (dont trois enfants d'une école juive), et en blesse six autres à Toulouse et à Montauban. Appartenant à la nébuleuse Al-Qaida, il est abattu par le RAID le .
|
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78 attentats sont recensés au cours de l'année[55]. | |
19 septembre | Attentat contre une épicerie Cacher Naouri à Sarcelles, 1 blessé[56]. |
Année 2013[modifier | modifier le code]
Date | Description |
---|---|
9 janvier 2013 | Attentat contre trois militantes kurdes du PKK à Paris, le tueur est un Turc, Omer Güney, 30 ans mis en examen pour « assassinats en relation avec une entreprise terroriste » mais il décède en 2016 avant son procès des suites d'un cancer. Les enquêteurs s'interrogent sur une potentielle implication des services secrets turques : le Millî İstihbarat Teşkilatı [57]. |
![]() |
21 attentats sont recensés au cours de l'année[55]. |
25 mai | Attentat de 2013 à La Défense, Un individu attaque à l'arme blanche un soldat en faction à La Défense. Le soldat est blessé dans la tentative d'égorgement[58] mais sort de l'hôpital quelques jours après son agression. L'individu interpellé est mis en examen et placé en détention provisoire pour association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste. |
Un militaire de 23 ans, aux idées d'extrême droite, est arrêté près de Lyon, pour avoir projeté de tirer à l'arme à feu contre la mosquée des Minguettes à Vénissieux. L'individu reconnaît le projet d'attentat qu'il avait l'intention de commettre le à l'occasion de la fin du ramadan. L'homme reconnaîtrait également avoir lancé, dans la nuit du 20 au , un cocktail molotov sur la porte de la mosquée de Libourne, en Gironde[59]. |
Année 2014[modifier | modifier le code]
- : attaque contre un commissariat de Joué-lès-Tours de 2014, un individu armé d'un couteau, pénètre dans le commissariat de Joué-lès-Tours, faisant trois blessés dont deux graves. Il est abattu sur les lieux par la police. L'auteur de l'agression est un converti à l'islam, radicalisé récemment. Il a crié « Allahu akbar » durant son agression[60].
Année 2015[modifier | modifier le code]
- Attentats de janvier 2015 en France
- Attentat contre Charlie Hebdo
- Prise d'otages du magasin Hyper Cacher de la porte de Vincennes
- Assaut de Dammartin-en-Goële
- Attaque du 3 février 2015 à Nice
- Affaire Sid Ahmed Ghlam
- Attentat de Saint-Quentin-Fallavier
- Attentat du train Thalys le 21 août 2015
- Attentats du 13 novembre 2015 en France
- Opération policière du 18 novembre 2015 à Saint-Denis
Année 2016[modifier | modifier le code]
- Attaque d'un commissariat de police parisien de janvier 2016
- Attentat déjoué avant l'Euro 2016
- Double meurtre du 13 juin 2016 à Magnanville
- Attentat du 14 juillet 2016 à Nice
- Attentat de l'église de Saint-Étienne-du-Rouvray
- Attentat manqué de Notre-Dame de Paris
Année 2017[modifier | modifier le code]
- Attaque contre des militaires au Carrousel du Louvre
- Attaque du 18 mars 2017 à Orly
- Attentat du 20 avril 2017 sur l'avenue des Champs-Élysées à Paris
- Attaque du 6 juin 2017 à Notre-Dame de Paris
- Attentat du 19 juin 2017 sur l'avenue des Champs-Élysées à Paris
- Attaque contre des militaires à Levallois-Perret
- Attentat de la gare Saint-Charles de Marseille
Année 2018[modifier | modifier le code]
- Attaques du 23 mars 2018 à Carcassonne et Trèbes
- Attaque du 12 mai 2018 à Paris
- Attentat du marché de Noël de Strasbourg
Année 2019[modifier | modifier le code]
- Attentat de la prison de Condé-sur-Sarthe
- Attentat de la rue Victor-Hugo à Lyon
- Attentat de la préfecture de police de Paris
- Attaque de la mosquée de Bayonne pour laquelle la qualification d'attentat terroriste n'est pas retenue par la justice française mais est proposée par de nombreuses personnalités ou journaux.
Année 2020[modifier | modifier le code]
- Attentat du 3 janvier 2020 à Villejuif
- Attentat du 4 avril 2020 à Romans-sur-Isère
- Attaque du 27 avril 2020 à Colombes
- Attaque du 25 septembre 2020 à Paris
- Assassinat de Samuel Paty
- Attentat de la basilique Notre-Dame de Nice
Année 2021[modifier | modifier le code]
Année 2022[modifier | modifier le code]
- 2 mars 2022, à la maison centrale d'Arles, un détenu islamiste agresse violemment Yvan Colonna, qui en décède le 22 mars.
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
- Terrorisme en France
- Liste d'attentats islamistes en France
- Chronologie des attentats commis par Action directe
- Liste des groupes armés présents en France
- Chronologie des actions de la Bande noire
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Agathe Dahyot, Jérémie Baruch, Soren Seelow et Francesca Fattori, Cibles, auteurs…, radiographie des 78 projets d’attentat recensés en France depuis 2013, Le Monde, Les Décodeurs, .
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « Ravaillac assassine Henri IV », sur herodote.net (consulté le ).
- René Vignolle, « 14 janvier 1858 Attentat d'Orsini », herodote.net, (consulté le )
- (en) « Live footage of King Alexander’s Assassination (1934) », The Public Domain Review (consulté le )
- http://images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1938/B315556101_MIDSOC_1938_01_12.pdf
- Ina : déraillement d'un train à Arras suite au mouvement de contestation de l'automne 1947
- http://museedelapresse.com/monde-le-no-2058 Le Monde du 7 septembre 1951
- « Ben Sadok, assassin d'Ali Chekkal est condamné aux travaux forcés à perpétuité », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- La Nouvelle République no 4008 du 18-11-1957
- http://www.memoria.dz/d-c-2013/guerre-liberation/soustelle-chappe-peu-un-attentat-plein-paris
- « jeudi 19 décembre 1957 », sur http://aviation-safety.net (consulté le ).
- « QUATRE JEUNES GENS ÉCROUÉS POUR L'ATTAQUE DE LA LIBRAIRIE de la rue de l'Abbé-Grégoire », sur Le Monde
- « Rue Fortuny », parisrevolutionnaire.com, (consulté le )
- Yvan Gastaut, « La flambée raciste de 1973 en France », Revue Européenne des Migrations Internationales, (consulté le )
- Sergio Israel, El Enigma Trabal, Montevideo, Trilce, 2002, cité par Alain Labrousse (2009), Les Tupamaros. Des armes aux urnes, Paris, éd. du Rocher, 446 p., p. 173-174
- Roger Rodríguez, La última noche, Trabal se refugió en la casa de una diplomática brasileña, La República, 21 décembre 2009
- "Im Schatten des Schakals: Carlos und die Wegbereiter des internationalen Terrorismus" par le journaliste Oliver Schröm, aux éditions Ch. Links Verlag, 2012 [1]
- Page dédiée sur la base nominative et circonstanciée des policiers français victimes du devoir
- Karl Laske, « 27 juin 1975, trois morts rue Toullier à Paris(...) », Libération, (lire en ligne)
- « Prise d'otages à Djibouti en 1976 : le chauffeur du car scolaire raconte », leparisien.fr, (consulté le )
- « Mémorial en ligne des policiers morts en service »
- Christophe Carrière, Yves Mourousi Ombre et Lumière, p. 117
- « Depuis 30 ans, la communauté juive plusieurs fois ciblée », sur Le Figaro,
- Attentat foyer israélite, Archives d'Antenne 2, 27 mars 1979
- « Mémorial en ligne des policiers français morts en service »
- [vidéo] TF1, journal de 20 heures, « Attentat aéroport Ajaccio », sur ina.fr, INA, (consulté le )
- Stéphane Kovacs et Blandine Le Cain, « Depuis 1980, une quinzaine d'attentats dans les gares et aéroports européens », sur lefigaro.fr, Le Figaro, (consulté le )
- Bonnie Cordes, Bruce Hoffmann, Brian M. Jenkins, Konrad Kellen, Sue Moran, William Sater, Trends in International Terrorism, 1982 and 1983, Rapport de la RAND Corporation. Les chiffres de ce rapport traitent du Terrorisme international: ils excluent donc les attentats commis par des terroristes à l'intérieur de leur pays, ainsi que les attentats commis par des gouvernements contre leurs propres citoyens (terrorisme d'État).
- Dominique Lorentz, Secret atomique. La bombe iranienne ou la véritable histoire des otages français au Liban, Les Arènes, 2002, p. 138, qui cite Roland Jacquard, Les Dossiers secrets du terrorisme.
- « Compte rendu de l'audience du procès « Carlos » en 2011 », sur fenvac.org/, (consulté le ).
- Attentat de la rue des Rosiers : des suspects identifiés 32 ans plus tard, lepoint.fr, 4 mars 2015
- https://www.universalis.fr/evenement/9-31-aout-1982-graves-attentats-a-paris-et-mesures-antiterroristes/
- « 30 septembre 1983 - France. Attentat à la foire de Marseille - Événement - Encyclopædia Universalis », sur Encyclopædia Universalis (consulté le )
- « Luc Reinette et trois autres indépendantistes s'évadent de la prison de Basse-Terre », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Pointe-à-Pitre sous les bombes », sur www.vice.com (consulté le )
- https://www.ina.fr/video/CAC88029403
- « Mémorial en ligne des policiers français morts en service: Marcel BASDEVANT | POLICE JUDICIAIRE - DRPJ 75 », sur policehommage.blogspot.fr (consulté le )
- Interrogé par le juge Marsaud, Jean-Marc Rouillan démentit toute implication dans cette tentative d'attentat. La piste de la "branche lyonnaise" fut envisagée. Cependant le juge Bruguière ne semblait pas convaincu de la responsabilité d'Action directe (Alain Marsaud, Avant de tout oublier, Denoël 2002)
- https://www.lemonde.fr/archives/article/1987/06/19/la-situation-en-corse-apres-l-assassinat-du-docteur-lafay-m-robert-pandraud-a-ajaccio-le-deshonneur_4049221_1819218.html
- « Chapour Bakhtiar, l'Iranien égorgé dans sa forteresse », leparisien.fr, 2000-07-08cest00:00:00+02:00 (lire en ligne, consulté le )
- https://www.lemonde.fr/societe/article/2005/05/20/charles-pieri-figure-historique-du-mouvement-nationaliste-corse_652392_3224.html
- http://www.liberation.fr/france/0101202479-attentat-contre-tribune-juive-douze-neonazis-arretes
- Il y a 15 ans, l'attentat de Quévert, france3-regions.francetvinfo.fr, 12 avril 2015
- Attentat de La Baule, Philippe Rivet condamné à 28 ans de réclusion, lemonde.fr, 16 décembre 2005
- "10 à 12 ans de prison pour les coupables, L'Obs, 12 mars 2003.
- Nathalie Cettina, "Note d'actualité no 51 - France : inventaire des procédures judiciaires ouvertes à l'encontre de terroristes islamistes", 20 septembre 2006.
- http://www.start.umd.edu/gtd/search/IncidentSummary.aspx?gtdid=200110100001
- http://www.start.umd.edu/gtd/search/IncidentSummary.aspx?gtdid=200205120004
- Attentat hier contre l'ambassade de l'Indonésie à Paris - Perplexité et inquiétude à Jakarta, ledevoir.com, 9 octobre 2004
- [2]
- Un attentat non revendiqué provoque d'importants dégâts matériels dans une banque à Marseille, lemonde.fr, 21 avril 2007
- Tribunal d'Evry : le groupuscule néonazi voulait créer une armée, Le Parisien, 15 mars 2010
- Philippe Madelin, Terrorisme : une menace considérée très réelle en France, Rue89, 13 décembre 2008
- Cinq bâtons de dynamite au magasin Printemps à Paris, rue89.com, 16 décembre 2008
- Jean Chichizola, Un apprenti terroriste voulait «faire sauter» la Direction du renseignement, Le Figaro, 10 mars 2009.
- (fr) [3]
- Par Maïram Guissé Le 19 avril 2017 à 18h41, « Attentat à l'épicerie casher : «Je veux comprendre pourquoi la ville de Sarcelles a été visée» », sur leparisien.fr, (consulté le )
- « Assassinat de trois militantes kurdes à Paris : le suspect renvoyé aux assises », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Militaire agressé à La Défense : le suspect mis en examen », Le Monde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le )
- « Un militaire arrêté, projetait d'attaquer une mosquée près de Lyon », sur Le Monde, 11 août 2013.
- « Militaires agressés à Paris : les précédentes attaques contre les forces de l'ordre », leparisien.fr, (consulté le )