Bruay-sur-l'Escaut
Bruay-sur-l'Escaut | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Valenciennes | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Valenciennes Métropole | ||||
Maire Mandat |
Sylvia Duhamel 2020-2026 |
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Code postal | 59860 | ||||
Code commune | 59112 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bruaysiens | ||||
Population municipale |
11 309 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 1 688 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
333 383 hab. (2021) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 23′ 56″ nord, 3° 32′ 25″ est | ||||
Altitude | Min. 17 m Max. 34 m |
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Superficie | 6,7 km2 | ||||
Type | Grand centre urbain | ||||
Unité urbaine | Valenciennes (partie française) (banlieue) |
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Aire d'attraction | Valenciennes (partie française) (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Anzin | ||||
Législatives | Vingtième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | site officiel | ||||
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Bruay-sur-l'Escaut [bʁyɛ syʁ lɛsko] est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Bruay-sur-l'Escaut, ville du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, est proche de Valenciennes (5 km), et de la frontière belge (ville de Quievrain ou Bonsecours) à 10 km.
La commune fait partie de la Communauté d'agglomération de Valenciennes Métropole.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 670 hectares ; son altitude varie entre 17 et 34 mètres[1].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Idéalement placé au sein du territoire Valenciennois, Bruay-sur-l'Escaut dispose d'un réseau d'infrastructures qui la rend très accessible :
• Routières (RD75, RD375, RD935, RD2020 et prochainement le Contournement Nord de Valenciennes )
• Autoroutières (accès A2 Paris et A23 Lille à 9 km)
• Ferroviaires (Gare de Valenciennes à 5 km)
• Aériennes (Aérodrome de Valenciennes à 17 km, Aéroport Lille-Lesquin 45 km)
• Fluviales (Port fluvial de la ville, Port de plaisance de Valenciennes à 5 km)
• Transport en commun (1 ligne de Tramway et 2 lignes de bus)
• Nombreuses pistes cyclables et chemins piétonniers-nature.
• Proximité avec la Belgique et l'Angleterre (via le Thalys et les ferrys)
Proche des grandes métropoles
[modifier | modifier le code]Lille à 45 minutes. Paris à 2h15. Bruxelles à 1h30.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par l'Escaut canalisée, le Jard, le canal de Saint Saulve, la Vieil Escaut de Valenciennes[2], le canal du jard[3], le fleuve l'Escaut[4] et divers autres petits cours d'eau[5],[Carte 1].
L'Escaut est un fleuve européen de 355 km de long, qui traverse trois pays (France, Belgique et Pays-Bas), avant de se jeter en mer du Nord. La partie canalisée en France relie Cambraià , après avoir traversé 34 communes[6].
Deux plans d'eau complètent le réseau hydrographique : l'étang de la Gare d'Eau (0,9 ha) et l'étang des Cheminots, d'une superficie totale de 14,8 ha (3,7 ha sur la commune)[Carte 1],[7].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Escaut ». Ce document de planification concerne un territoire de 2 005 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de l'Escaut. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte Escaut et Affluents (SyMEA)[8].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 727 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Valenciennes à 5 km à vol d'oiseau[11], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 694,1 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Bruay-sur-l'Escaut est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Valenciennes (partie française)[Note 2], une agglomération internationale regroupant 56 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[16],[17]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française), dont elle est une commune du pôle principal[Note 4],[17]. Cette aire, qui regroupe 102 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (72,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (61,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (65,6 %), forêts (15,3 %), prairies (10,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,5 %), zones humides intérieures (1,2 %), mines, décharges et chantiers (0,2 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[20]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est découpé en plusieurs quartiers (Bruay centre, Thiers, Le Pinson, les Hauts Champs, le Pont de Bruay, le Fruitier, le Rivage, la Folie. le Pré des cloches) et lieux-dits (La Baillette, les Ruelles, le Point du Jour, le gros caillou).
Logement
[modifier | modifier le code]En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 4 764, alors qu'il était de 4 424 en 1999[I 1].
Parmi ces logements, 93,8 % étaient des résidences principales, 0,2 % des résidences secondaires et 6,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 88,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 10,3 % des appartements[I 2].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 55,2 %, en hausse par rapport à 1999 (53,3 %). La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) était de 22,8 % % contre 22,2 % en 1999[I 3].
Projets d'aménagement
[modifier | modifier le code]- Création d'un Pôle Social Communal (comprenant le CCAS et les services PMI et assistantes sociales du Département)
- Création de deux Espaces Livres et Jeux Thiers et Pont de Bruay
- Réaménagement de la place des Farineau et agrandissement de la mairie
- Agrandissement de la médiathèque communale pour devenir un espace culturel comprenant médiathèque, service numérique et espace musical
- Remplacement de 70 % de l'éclairage public et installation de 40 caméras
Tous les projets dans les Guides Budgets de la commune, comprenant le PPI (plan pluriannuel d'investissement) : https://www.bruaysurescaut.fr/rubrique-5156.html[21]
Toponymie
[modifier | modifier le code]Appelé Bruail, Brueil, Bruel ou même encore Bruech il y a plusieurs siècles, la commune s'est ensuite appelée Bruay. Un bruail désignait alors un bois dans un marais. Mais à la suite de nombreuses confusions avec la commune de Bruay-en-Artois dans le Pas-de-Calais qui créaient des problèmes importants au niveau commercial et administratif puisque le courrier s'acheminait souvent dans la mauvaise commune, il a été décidé de changer le nom de Bruay en Bruay-sur-l'Escaut par un décret du , signé par le président de la République Émile Loubet.[réf. nécessaire]
Histoire
[modifier | modifier le code]Des origines à la période industrielle
[modifier | modifier le code]Bruay tire son origine d'une villa mérovingienne qui devient, au début du VIIIe siècle, propriété de Pharaïlde issue d'une famille noble du Brabant. Elle est proclamée sainte peu de temps après sa mort et l'Église ratifie son culte[22]. Des récits parlent d'une basilicula sanctae Pharaïldis détruite par les Normands lors de l'invasion de 879 à 883[23]. Le premier document mentionnant une paroisse date de 1206. Bruay appartient au comté de Hainaut. Vers 1292, Jean de Beaumont est mis en déroute à Bruay. La commune passe sous domination bourguignonne, puis espagnole. Ruiné par les troubles de la Fronde, le traité est finalement rattaché à la France par le traité de Nimègue en 1678. La houille est découverte vers 1720 et l'essor de l'activité industrielle provoque une importante augmentation démographique[22].
La Première Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Les Allemands dynamitent les deux églises de la ville, celle de Thiers (Saint-Adolphe) et l'église Sainte-Pharaïlde, mais elles seront reconstruites. La cloche Françoise-Marie de 700 kg de l'église Sainte-Pharaïlde, fondue en 1665, est enlevée par les Allemands, mais elle sera remplacée par Germaine-Marie le [23].
La fosse Thiers est elle aussi dynamitée, le . Le souffle de l'explosion arrache les toitures des maisons du coron à proximité ; la mine est reconstruite et l'exploitation reprendra en 1919.[réf. nécessaire]
La Seconde Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Bruay a été impliquée dans la grande grève patriotique des cent mille mineurs du Nord-Pas-de-Calais en mai-juin 1941, l'un des premiers actes de résistance collective à l'occupation nazie en France, le plus spectaculaire, et de loin le plus important par le nombre de participants. Arthur père et fils, Léon et Clémentine (née Decker) Farineau résistants, faisant partie du Front national de la Résistance, sont torturés par les Allemands. La place du centre-ville de Bruay-sur-l'Escaut porte leur nom.
Parmi les résistants communistes de la région, l'instituteur à Raismes-Sabatier Pierre Cuvelier dans la banlieue de Valenciennes qui dès 1940 récupéra dans la forêt de Raismes des armes abandonnées lors de la défaite puis participa aux chaînes d'évasion. D de son nom de code « Jacques », est fusillé par la Gestapo au champ des Quatorze à Préseau le 31 août 1944 à 25 ans[24]. Il était le chef des mouvements de Résistance dans le Valenciennois. La commune est libérée le par les Américains. Lucien Mars, un grand résistant dans le Valenciennois, arrêté le 19 mai 1944 et torturé par les Allemands puis transféré en camps de concentration où il meurt le 27 février 1945, est élu conseiller municipal, le 29 avril 1945 après sa mort[24].
Deux lieutenant FTP tomberont dès , près du café Maka d'un coron de Bruay-sur-l'Escaut[25], où une "Commune libre" à leur mémoire sera fondée en 1944 par les commerçants[25].
L'ancienne gare
[modifier | modifier le code]Malgré sa taille modeste, la ville avait sa gare rue Berthelot, qui n'existe plus maintenant mais qui a transporté du charbon et des passagers pendant 128 ans de Somain à Péruwelz en Belgique.[réf. nécessaire]
Les industries
[modifier | modifier le code]La ville a un grand passé brassicole et possédait beaucoup de quincailleries et quelques industries minières (mine de Thiers et lavoir de charbon). Ce passé est révolu. Une cartonnerie est sortie de terre, à l'ancien emplacement de la gare, il y a quelques années, issue d'un projet qui date de 1995. D'autres industries sortent de terre en ce moment[Quand ?].[réf. nécessaire]
La mine
[modifier | modifier le code]Les premiers forages pour trouver de la houille commencent en 1728 à la limite d'Escautpont. Les raisons qui ont poussé les personnes de l'époque à chercher des veines de charbon est due au fait que les ressources en bois étaient épuisées (déforestation), l'industrie de l'époque étant très gourmande en combustible. La mine de Thiers de 139 mètres, la fosse Lagrange, est creusée en 1858, sur un gisement de charbon. Lors du creusement, les ouvriers ont dû faire face aux sables mouvants et à une eau qui envahissait le chantier à un débit de 45 m3/min. La mine portait le nom de l'administrateur des mines d'Anzin de l'époque. Elle a produit 308 tonnes de charbon par jour en 1923, et 100 tonnes avant la Seconde Guerre mondiale. Elle est fermée en 1954. Le terril, riche en schistes, est utilisé pour la fabrication de matériaux utilisés pour la construction des autoroutes.[réf. nécessaire]
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Européennes de 2024
[modifier | modifier le code]Dans cette commune, aux élections européennes du 9 juin 2024, Manon Aubry arrive deuxième (10,44% contre 7,45% en 2019)[26],[27], la liste de Valérie Hayer n'étant que 3ème avec 6,43% (contre 8,49% en 2019)[26],[27] devant celle du PCF (6,05% contre 4,54% en 2019)[26],[27]. La participation est en nette baisse, à 44,34% contre 40,38%[26],[27], mais reste inférieure à la moyenne nationale (52,50%). Dans le département, la liste Bardella progresse en général de près de 8 points, contre 6 en moyenne nationale, à 37,34 contre 29,56%[28],[29], notamment dans d'autres villes minières comme Denain, Lourches Saint-Amand-les-Eaux ou Anzin.
Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]- Rattachements administratifs
La commune se trouve depuis 1824 dans l'arrondissement de Valenciennes du département du Nord.
Elle faisait partie depuis 1801 à 1982 du canton de Valenciennes-Nord, année où elle intègre le canton d'Anzin[30]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Bruay-sur-l'Escaut relève du conseil de prud'hommes de Valenciennes, de la Cour administrative d'appel de Douai, de la Cour d'appel de Douai, de la Cour d'assises du Nord, du tribunal administratif de Lille, du tribunal d'instance de Valenciennes, du tribunal de commerce de Valenciennes, du tribunal de grande instance de Valenciennes, du tribunal paritaire des baux ruraux de Valenciennes et du tribunal pour enfants de Valenciennes[31].
- Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton d'Anzin
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la vingtième circonscription du Nord.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Bruay-sur-l'Escaut est membre de la communauté d'agglomération Valenciennes Métropole, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2000 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales. Cette intercommunalité est constituée par la fusion de la communauté de communes de la vallée de l'Escaut, de la communauté de communes du Pays de Condé et du syndicat intercommunal à vocation Multiple (SIVOM) de Trith-Saint-Léger et environs
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Aux élections municipales et communautaires de 2014, deux listes étaient présentes au premier tour : la liste socialiste (LSOC) « Ensemble pour les Bruaysiens » conduite par le maire sortant Jacques Marissiaux et la liste divers droite (LDIV) conduite par Sylvia Duhamel[32]. cette seconde liste l'a emporté dès le premier tour avec 51,97 des suffrages exprimés contre 48,02 à l'autre liste, l'abstention étant de 38,28 %[33].
Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans le Nord, la liste menée par la maire sortante, Sylvia Duhamel, remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 2 038 voix (62,74 %, 28 conseillers municipaux élus, dont 5 communautaires), devançant largement les listes menées respectivement par[34] :
- Julien Bécourt (606 voix, 18,38 %, 3 conseillers municipaux élus) ;
- Jacques Leclercq (RN, 294 voix, 8,91 %, 1 conseiller municipal élu) ;
- Frédéric Musy (238 voix, 7,22 %, 1 conseiller municipal élu) ;
- Dimitri Mozdzierz (LO, 90 voix, 2,73 %, pas d'élus).
L'abstention s'est élevée à 57,71 %, dans un contexte marqié par la Pandémie de Covid-19 en France
Administration municipale
[modifier | modifier le code]Le nombre d'habitants de la ville étant compris entre 10 000 et 19 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 33[35].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Politique de développement durable
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Au 28 janvier 2015, Bruay-sur-l'Escaut est jumelée avec[43] :
- Waltershausen (Allemagne) depuis 1962.
Par ailleurs, la commune a signé en 1994 un contrat de partenariat avec la commune de Jugów en Pologne[43].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[44],[Note 6].
En 2021, la commune comptait 11 309 habitants[Note 7], en évolution de −2,87 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 41,0 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,5 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 5 338 hommes pour 5 973 femmes, soit un taux de 52,81 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
[modifier | modifier le code]Bruay-sur-l'Escaut est située dans l'Académie de Lille.
Établissements scolaires
[modifier | modifier le code]Elle administre quatre écoles maternelles et quatre écoles élémentaires[48].
Le département gère le collège Jean-Macé[49].
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Plusieurs fois dans l'année, la fête foraine (ou « ducasse » pour les nordistes) est installée au moins 2 jours sur la place.
En octobre (ou début novembre), les Lum'Rottes, fête dans l'esprit Halloween, est célébrée dans le quartier des Ruelles.
En décembre, le marché de Noël se déroule sur la Place, des associations vendent des petits objets pour Noël ; l'argent récolté a pour but de financer les associations pour des voyages. À la fin du marché, un feu d'artifice est tiré devant la mairie (il n'a pas eu en 2015 en raison de l'état d'urgence).
Le 14 Juillet, au matin, une cérémonie en mémoire des soldats français a lieu devant le monument aux morts ; l'après-midi, des animations se déroulent sur la place ou à l'étang de pêche ; au soir un/des artistes se présentent sur scène encore une fois sur la place, un feu d'artifice est tiré à l'étang de pêche (autrefois tiré depuis la place). Les manifestations du 14 juillet 2016 (sauf la cérémonie du matin) n'ont pas eu lieu, étant prévues le 15 juillet 2016, les festivités sont annulées sur-le-champ en raison de l'attentat du 14 juillet 2016 à Nice ; les festivités sont reportées fin août, mais sous haute surveillance.
En juillet de nombreuses animations prennent place dans la ville (marché semi-nocturne, cinéma en plein air, après-midi jeux, courses de caisses à savon, etc). En 2017 un grand carnaval des géants s'est déroulé début juillet.
Sports
[modifier | modifier le code]Bruay-sur-l'Escaut offre une variété d'activités sportives à travers ses nombreuses associations locales, reflétant l'esprit dynamique de la ville. Voici un aperçu des options disponibles pour les résidents et visiteurs de toutes les tranches d'âge.
- Danses
- Varity Line Dance et Top Dance : Ces associations proposent des cours de danse country et en ligne pour adultes et enfants à partir de 15 ans, dans un environnement familial.
- The Villains : Association consacrée à la danse hip-hop et aux cultures urbaines pour tous, dès l'âge de trois ans.
- Gymnastique et fitness
- APas de Géants et Société de Gymnastique Bruaysienne offrent des programmes de gymnastique et de fitness pour tous les âges, y compris des activités adaptées aux seniors.
- Mon Yoga Bien-Être : Des sessions de yoga sont disponibles pour les adultes, mettant l'accent sur le bien-être mental et physique.
- Sports individuels
- Association Bruaysienne de Cyclotourisme : Active depuis plus de 40 ans, cette association organise des sorties de cyclotourisme et de VTT.
- Ping Pong Club Bruaysien et Pétanque Bruaysienne : Ces clubs encouragent la pratique du tennis de table et de la pétanque à travers des compétitions et des loisirs.
- Sports de combat
- Aiki-Jujutsu Marotokan Bruaysien et Judo Club de Bruay-sur-l'Escaut : Ils offrent des formations en arts martiaux et en judo pour toutes les compétences et tous les âges.
- École Ying Chuan : Cet établissement enseigne le Kung Fu et d'autres arts martiaux chinois, ainsi que des techniques de self-défense.
- Autres activités
- Billard Club Bruaysien : Propose des entraînements et des compétitions de billard dans différentes disciplines.
- Association Cynophile Bruaysienne : Offre des conseils et de l'aide pour l'éducation des chiens de toutes races.
Ces associations ne sont que quelques exemples des nombreuses options disponibles à Bruay-sur-l'Escaut, démontrant l'engagement de la ville à promouvoir un mode de vie actif et inclusif pour tous ses habitants[50].
La ville a été de nombreuses fois[Quand ?] récompensée[Par qui ?] dans quelques disciplines[Lesquelles ?].
Médias
[modifier | modifier le code]Culte
[modifier | modifier le code]La commune possède deux églises catholiques : Sainte-Pharaïlde (centre-ville) et Saint-Adolphe (cité minière de Thiers). L'église Saint-Adolphe a bénéficié de gros travaux dans le cadre du projet de rénovation urbaine [6] et a rouvert le dimanche 3 décembre 2017, jour où l'on y célèbre la messe en l'honneur de sainte Barbe, sainte patronne des mineurs.
Il existe aussi deux églises évangéliques à Bruay, rue Henri Legrand et cité du Faubourg.
Une mosquée est frontalière avec la ville d'Escautpont.
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]Le niveau de vie médian pour cette localité est de 13 370 € annuels, soit un niveau moins haut (-47,98 %) que le revenu médian de la France, estimé à 19 785 €. Environ 61 % des foyers fiscaux de la commune sont imposables et le taux de pauvreté s'élève à 15,8 points de plus que le taux de pauvreté français (13,9 %). L'indice de Gini de 40 % démontre une inégalité de la distribution des revenus plus forte que celle de la France (30 %). L'écart inter-décile se situe à 10,1, avec 10 % des habitants les plus pauvres percevant au plus 2 576 € tandis que les 10 % de la population les plus riches gagnent au moins 26 098 €.
Le montant moyen d'impôts locaux par foyer fiscal s'élève à 635 € (3 949 000 € au total collectés par la commune). Concernant l'impôt sur le revenu, la population est taxée à hauteur de 439 € en moyenne et par foyer. C'est un total moins élevé que l'impôt moyen du département (1 146 €)[51].
Emploi
[modifier | modifier le code]En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 7 767 personnes, parmi lesquelles on comptait 63,5 % d'actifs dont 52,7 % ayant un emploi et 10,8 % de chômeurs[I 4].
On comptait 1 676 emplois dans la zone d'emploi, contre 1 232 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 4 108, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 8] est de 40,8 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre moins d'un emploi pour deux habitants actifs[I 5].
Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Au 31 décembre 2010, Bruay-sur-l'Escaut comptait 406 établissements : 1 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 20 dans l'industrie, 59 dans la construction, 249 dans le commerce-transports-services divers et 77 étaient relatifs au secteur administratif[I 6].
En 2011, 67 entreprises ont été créées à Bruay-sur-l'Escaut[I 7], dont 35 par des autoentrepreneurs[I 8].
La ville compte[Quand ?] 2 supermarchés (Super U et ALDI), 3 pharmacies, 3 magasins FDJ (tabac et magazines), au moins 5 restaurants (friteries, kébab, restaurant traditionnel), 3 infrastructures automobiles (Audi, Skoda et Inter Garage), 3 boucheries, ainsi que 6 salons de coiffure[réf. nécessaire].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Sainte-Pharaïlde. L'église remplace une chapelle construite au début du VIIIe siècle, puis détruite par les Normands. Elle est reconstruite au début du Xe siècle[22]. L'église actuelle est construite en 1891, détruite par les Allemands le 7 octobre 1918 et reconstruite le 16 octobre 1921. L'ancienne église avait un cimetière autour d'elle, sa petite taille obligeait à déterrer les défunts pour en enterrer de nouveaux. Un cimetière, plus grand est construit en 1867 sur la route nationale, il est toujours en fonction. Le coq de la girouette du clocher a été remplacé en 1980. Dans l'église se trouvent trois objets répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[52] :
- le reliquaire de sainte Pharaïlde et de sainte Barbe, daté du XIVe siècle et « classé » depuis le 11 mai 1993[53] ;
- le cénotaphe de sainte Pharaïlde, daté du XIe siècle et « classé » depuis le 15 avril 1896[54] ;
- La statue de sainte Scholastique, datée du XVIIe siècle et « classé » depuis le 1er février 1971[55].
- L'église Saint-Adolphe de Thiers.
- Au cimetière : le monument aux morts des deux guerres mondiales, la stèle pour les morts d'Algérie.
- La fontaine dédiée à sainte Pharaïlde. Selon la légende, la sainte fait jaillir cette source pour permettre aux ouvriers agricoles de se désaltérer[22].
- La Verrerie de Bruay autorisée par décret Royal en 1828.
La mairie actuelle a été construite en 1877 en remplacement d'un ancien bâtiment trop ancien, puis agrandie en 1972-1973.[réf. nécessaire]
Les géants
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Médaille de la ville
[modifier | modifier le code]Il s'agit d'une pièce ronde qui contient une colombe avec un rameau d'olivier dans son bec, les armes de la ville, un soleil, un épi de maïs, un chevalet de mine, une enclume avec un marteau et une pince et une devise : Paix Travail Fraternité.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Pierre-Joseph Fontaine (1810-1877), inventeur d'un parachute destiné à freiner la chute des cages de mine, né à Bruay-sur-l'Escaut.
- Maurice Delage (1906-1959), ingénieur français, Compagnon de la Libération.
- Édouard Hautcœur (1830-1915), prélat et historien fondateur de l'Université catholique de Lille.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de Bruay-sur-l'Escaut se blasonnent ainsi : Coupé : En chef, écartelé : aux 1 et 4, d'or au lion de sable ; aux 2 et 3, d'or au lion de gueules ; en pointe, d'azur à trois canettes d'argent. |
La commune a été très longtemps sous l'autorité des seigneurs de Croÿ, dont le dernier fut Emmanuel de Croÿ (1718-1784).
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Le livre de Raymond Durut "Bruay Sur l'Escaut à travers douze siécles d'histoire"
Les livres de Jean-Pierre Dhesse "Mémoires en images de Bruay sur l'Escaut" tomes 1 et 2[56]
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Valenciennes (partie française) comprend une ville-centre et 55 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Depuis 2007, après une dissidence de 18 ans.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Bruay-sur-l'Escaut » sur Géoportail (consulté le 20 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Insee
[modifier | modifier le code]- Dossier relatif à la commune, [lire en ligne]
- LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
- LOG T2 - Catégories et types de logements.
- LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
- EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
- EMP T5 - Emploi et activité.
- CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.
- DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
- DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Sandre, « la Vieil Escaut de Valenciennes »
- Sandre, « le canal du jard »
- Sandre, « le fleuve l'Escaut »
- « Fiche communale de Bruay-sur-l'Escaut », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- Sandre, « l'Escaut canalisée »
- « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- « SAGE Escaut », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Bruay-sur-l'Escaut et Valenciennes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Valenciennes » (commune de Valenciennes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Valenciennes » (commune de Valenciennes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Valenciennes (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Bruay-sur-l'Escaut ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- KEEO, « Journaux et guides municipaux »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur bruaysurescaut.fr (consulté le ).
- Le patrimoine des communes du Nord, Flohic, (ISBN 978-2-84234-119-0, lire en ligne), p. 50
- fiche Église de Bruay-sur-l'Escaut, Site du diocèse de Cambrai.
- Dictionnaire Maitron
- La VDN Patrick Frère le [1]
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- [4]
- [5]
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Liste des juridictions compétentes pour une commune », sur le site du ministère de la Justice et des Libertés (consulté le ).
- « Candidatures par commune », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Résultats définitifs », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- Pauline Bayart, « Bruay. Le discours au vitriol de Sylvia Duhamel adressé à l'opposition », L'Observateur de l'Avesnois, (lire en ligne, consulté le ).
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 278, lire en ligne.
- « Annuaire statistique du département du Nord. Pour … (0000AnNord_0... », sur Mnesys (consulté le ), p. 124-125..
- « Le Petit Nord : journal politique quotidien ["puis" journal républicain quotidien du matin "puis" journal républicain absolument indépendant] », sur Gallica, (consulté le ), p. 3..
- Notice DELANNOY Alphée, Jean-Baptiste par Justinien Raymond, Yves Le Maner, version mise en ligne le 24 novembre 2010, dernière modification le 24 novembre 2010
- Notice MANOUVRIER Berthe (née COULON Berthe, Julienne) par Jean-Pierre Besse, Claude Pennetier, version mise en ligne le 19 décembre 2011, dernière modification le 2 février 2012
- « Sylvia Duhamel est officiellement maire de Bruay-sur-l'Escaut », sur le site du quotidien La Voix du Nord, (consulté le ).
- Patrick Frère, « Bruay-sur-l'Escaut: Sylvia Duhamel réélue maire pour un deuxième mandat : Sylvia Duhamel, maire sortante, victorieuse du premier tour du scrutin du 15 mars avec 62,74 % des suffrages exprimés, a été réélue maire lors du conseil municipal de ce jeudi 28 mai. », La Voix du Nord, (lire en ligne).
- « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bruay-sur-l'Escaut (59112) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- « Nord (59), Bruay-sur-l'Escaut, écoles »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
- « Nord (59), Bruay-sur-l'Escaut, collège »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
- « Annuaire des associations - Bruay sur l'escaut », sur www.bruaysurescaut.fr (consulté le )
- « Données fiscales et impôts pour Bruay-sur-l'Escaut | Le Monde.fr », sur Le Monde.fr (consulté le ).
- « Liste des objets historiques de la commune de Bruay-sur-l'Escaut », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le reliquaire de sainte Pharaïlde et de sainte Barbe », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le cénotaphe de sainte Pharaïlde », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le cénotaphe de sainte Pharaïlde », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- KEEO, « L'histoire de Bruay sur l'Escaut »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur bruaysurescaut.fr (consulté le ).