Raismes

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Raismes
Raismes
La fosse Sabatier.
Blason de Raismes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Valenciennes
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Porte du Hainaut
Maire
Mandat
Aymeric Robin
2020-2026
Code postal 59590
Code commune 59491
Démographie
Gentilé Raismois
Population
municipale
12 055 hab. (2021 en diminution de 4,64 % par rapport à 2015)
Densité 362 hab./km2
Population
agglomération
333 383 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 50° 23′ 23″ nord, 3° 29′ 12″ est
Altitude Min. 17 m
Max. 124 m
Superficie 33,31 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Valenciennes (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Valenciennes (partie française)
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Saint-Amand-les-Eaux
Législatives Vingtième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Raismes
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Raismes
Géolocalisation sur la carte : Nord
Voir sur la carte topographique du Nord
Raismes
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Raismes

Raismes [ʁɛm] est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

La commune a été au XIXe siècle et au XXe siècle un grand centre de l'exploitation minière dans le Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais : la Compagnie des mines de Vicoigne a exploité ses fosses nos 1, 2, 3 et 4, et la Compagnie des mines d'Anzin ses fosses La Grange et Sabatier. Outre le chevalement du puits Sabatier no 2, il subsiste également un bon nombre de terrils et de cités minières.

Géographie[modifier | modifier le code]

Ville située au Nord de Valenciennes avec un accès par la sortie Sortie 7 de l'autoroute A23, Raismes possède, avec Saint-Amand-les-Eaux et Wallers, une grande forêt dominée au sud par le terril de Sabatier, haut de plus de 100 mètres.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 731 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Valenciennes à 4 km à vol d'oiseau[3], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 694,1 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records VALENCIENNES (59) - alt : 50m, lat : 50°19'41"N, lon : 3°27'39"E
Records établis sur la période du 01-02-1987 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,3 1,4 3,3 5 8,4 11,4 13,5 13,2 10,7 8 4,4 2 6,9
Température moyenne (°C) 3,9 4,5 7,4 10,1 13,6 16,6 18,7 18,6 15,5 11,7 7,3 4,5 11
Température maximale moyenne (°C) 6,4 7,6 11,4 15,1 18,8 21,9 24 24 20,4 15,5 10,2 6,9 15,2
Record de froid (°C)
date du record
−14,9
07.01.09
−13,3
04.02.12
−11,9
13.03.13
−4,9
11.04.03
−1,1
06.05.19
1,1
02.06.06
5
31.07.15
5,6
20.08.14
−0,4
30.09.18
−6,2
24.10.03
−10,1
23.11.1998
−11,6
18.12.10
−14,9
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
15,3
09.01.15
19,2
26.02.19
23,9
31.03.21
28
20.04.18
31,2
29.05.17
35
28.06.11
40,9
25.07.19
37,2
12.08.03
34,8
15.09.20
28,6
01.10.11
21,8
12.11.1995
16,2
31.12.22
40,9
2019
Précipitations (mm) 54,3 47,3 50,8 41,8 57,9 63,1 66,4 67,6 52,1 60,1 63,9 68,8 694,1
Source : « Fiche 59606004 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Raismes est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Valenciennes (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 56 communes[10] et 333 383 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française), dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 102 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (73,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (67,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (70,8 %), zones urbanisées (13,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3 %), eaux continentales[Note 3] (2,6 %), zones agricoles hétérogènes (2,5 %), mines, décharges et chantiers (2,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,8 %), prairies (1,7 %), terres arables (1,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

La gare de Raismes est desservie par des trains assurant des relations entre Valenciennes et Douai. Elle est également desservie par les lignes 2, 12, 13 et S2 du réseau Transvilles.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Ramœ, titre de Godescale, évêque d'Arras ; 1156. Raymes, cartulaire du Hainaut ; 1309. Raimoœ. Rmoœ[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Rame de l'ancien tramway de Valenciennes, qui desservit la ville de 1881 à 1964, à l'époque de la traction vapeur
La rue Henri-Durre pendant l'Entre-deux-guerres, avec, à droite, la plate-forme de l'ancien tramway de Valenciennes.

Exploitation charbonnière[modifier | modifier le code]

Le chevalement du puits Sabatier no 2, en 2011.

L'exploitation minière a duré environ 140 ans, à travers six fosses dont quatre exploitées par la Compagnie des mines de Vicoigne et deux par la Compagnie des mines d'Anzin. Il subsiste un assez grand nombre de terrils de dimensions variables, de cités, ainsi que deux églises des mines.

En 1886, les mineurs font grève pour obtenir une augmentation de salaire, qui est accordée. Mais le patron refuse de signer un texte, préférant ne donner que sa parole, car il est plus facile de revenir sur une promesse orale, et la signature est aussi une capitulation humiliante. Malgré une prolongation de la grève de quinze jours pour obtenir la sécurité d'un accord écrit et signé, les mineurs n'obtiennent pas satisfaction sur ce point[17].

Première guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le 25 août 1914, l'armée impériale allemande exécute 15 civils à Vicoigne lors des atrocités allemandes commises au début de l'invasion[18].

La première guerre mondiale provoque des destructions à Raismes. Le , un industriel qui avait acheté avant la guerre des usines pour 250 000 Francs perçoit douze millions de dommages de guerre[19].

Communauté polonaise[modifier | modifier le code]

À partir de 1923, des immigrants polonais s'installent à Raismes, principalement pour trouver du travail à la mine. Ils construisent l'église Sainte-Cécile de la cité Pinson. Presque cent ans plus tard, les descendants de ces immigrants vivent toujours dans la ville. Pour leur rendre hommage, tous les ans est organisé un « marché polonais » à Raismes.

Seconde guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le , est arrêté à Raismes Gilbert Bostsarron, membre de la résistance, mouvement Libération-Nord. Il sera fusillé au fort de Bondues[20].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Maire en 1802-1803 : Remy[21]. Maire en 1807 : Baudrin[22]. Maire en 1931 : Léopold Dusart, propriétaire, cafetier, conseiller d'arrondissement[23].

Émerchicourt : Marcel Quévy, maire de Mortagne-du-Nord, Régis Roussel, maire d'Émerchicourt, et Aymeric Robin, maire de Raismes et président de la CAPH en visite le 29 juillet 2020.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
maire en 1835 ? M. Baudrin   Propriétaire
Conseiller d'arrondissement[24]
1884 1919 Ferdinand Lepez Radical-socialiste Député de la 2e circonscription de Valenciennes (1893-1906)[25]
Les données manquantes sont à compléter.
1945 1947 Jules Moriamez[26] PCF Ouvrier métallurgiste
1947 1949 ?    
1949 1954 Jules Moriamez PCF Ouvrier métallurgiste
Décédé en fonction
1954 1964 Clément Beauchamp[27] PCF Ouvrier fondeur
1964 décembre 1985 Élise Lefebvre-Musmeaux[28] PCF Secrétaire puis commis-greffier
Conseillère générale de Saint-Amand-les-Eaux-Rive droite (1967 → 1985)
Démissionnaire
décembre 1985 juin 2013[29] René Cher PCF Directeur d'école
Conseiller général de Saint-Amand-les-Eaux-Rive droite (1985 → 2011)
Député suppléant d'Alain Bocquet (1988 → 2012)
Démissionnaire
juin 2013[30] En cours Aymeric Robin PCF Fonctionnaire
Conseiller général de Saint-Amand-les-Eaux-Rive droite (2011 → 2015)
Président de la CA de la Porte du Hainaut[31] (2020 → )
Élu pour le mandat 2014-2020
Réélu pour le mandat 2020-2026[32]

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal d'instance de Valenciennes, du tribunal de grande instance de Valenciennes, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Valenciennes, du conseil de prud'hommes de Valenciennes, du tribunal de commerce de Valenciennes, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[33],[Note 4].

En 2021, la commune comptait 12 055 habitants[Note 5], en diminution de 4,64 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
1 9591 6771 8552 3752 5083 0103 6183 6784 107
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
4 3054 4504 5194 7024 8965 5596 4366 6347 871
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
7 5528 7348 41012 16512 86612 13312 20314 57718 737
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
18 35716 57315 60614 09913 69913 48412 68712 64212 055
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 40,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,3 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 6 059 hommes pour 6 409 femmes, soit un taux de 51,4 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
1,1 
5,1 
75-89 ans
9,7 
13,5 
60-74 ans
15,0 
20,2 
45-59 ans
18,9 
18,2 
30-44 ans
17,8 
20,1 
15-29 ans
18,0 
22,7 
0-14 ans
19,5 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Sports[modifier | modifier le code]

  • L'AS Raismes Vicoigne évolue en Division d'Honneur Régionale de la Ligue du Nord-Pas-de-Calais de football. C'est un partenaire du Valenciennes Football Club, géographiquement proche et club professionnel.
  • L'Entente Cyclisme Raismes Petite Forêt Porte du Hainaut évolue en 2013 en Coupe de France des Clubs DN2. Elle y évoluera toujours en 2014.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Lieux[modifier | modifier le code]

Monuments[modifier | modifier le code]

L'église Sainte-Cécile.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Nicolas Rolin.
Locomotive type 040T KDL construite à Raismes par la Société Franco-Belge et préservée sur le Chemin de fer Froissy-Dompierre, dans la Somme

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de Raismes se blasonnent ainsi : "D'azur à trois clefs d'or mises en pal, 2 et 1, les pannetons en haut et à dextre."

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Raismes et Valenciennes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Valenciennes » (commune de Valenciennes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Valenciennes » (commune de Valenciennes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Valenciennes (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b Statistique archéologique du Département du Nord : seconde partie, Lille-Paris, Librairie Quarré et Leleu A. Durand, , p.429.
  17. Michelle Perrot, Les ouvriers en grève. Tome 2 : France 1871-1890. Paris : Éditions de l’École des hautes études en sciences sociales, 2001 (généré le 29 janvier 2023). Disponible sur Internet : <http://books.openedition.org/editionsehess/584> (ISBN 9782713225635).
  18. John Horne et Alan Kramer, 1914 Les atrocités allemandes, Tallandier, , 640 p. (ISBN 2-84734-235-4), p. 483
  19. Cent ans de vie dans la région, Tome II : 1914-1939, La Voix du Nord éditions, n° hors série du 17 février 1999, p. 45
  20. Cent ans de vie dans la région, tome 3 : 1939-1958, La Voix du Nord éditions, hors série du 17 juin 1999, p. 45
  21. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 279, lire en ligne.
  22. « Annuaire statistique département du Nord Année 1807 », p. 146-147..
  23. Paul-Denis du Péage, Recueil de généalogies lilloises, tome II, Lille, 1907, p. 723-724, lire en ligne.
  24. « Almanach royal et national... : présenté à Sa Majesté et aux princes et princesses de la famille royale », sur Gallica, (consulté le ).
  25. « Ministère de la culture - Base Léonore », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
  26. Yves Le Maner et Odette Hardy-Hémery, « MORIAMEZ Jules », sur Le Maitron.
  27. « BEAUCHAMP Clément », sur Le Maitron.
  28. Odette Hardy-Hémery, « LEFEBVRE Lily, dite aussi LEFEBVRE-MUSMEAUX [née MUSMEAUX Élise] », sur Le Maitron.
  29. « Raismes: René Cher prépare sa succession en passant le témoin », sur lavoixdunord.fr, (consulté le ) : « René Cher a annoncé officiellement qu’il quittait son siège de premier magistrat vendredi dernier lors d’un conseil municipal. Après 42 ans de dévouement à sa commune, il va retrouver au moins jusque mars 2014 un siège de simple conseiller municipal. Une décision prise pour laisser les rênes dans les meilleures conditions possibles à Aymeric Robin, son actuel adjoint aux finances. ».
  30. Sébastien Crépel, « Passage de témoin à la mairie de Raismes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur l'Humanité, (consulté le ) : « Aymeric Robin, trente-huit ans, succède à René Cher, maire (PCF) depuis vingt-huit ans. ».
  31. Daniel Carlier, « Aymeric Robin élu à la Présidence de la Porte du Hainaut », sur va-infos.fr, (consulté le ).
  32. Laurent Goudet, « Raismes : Après sa large victoire, les nouvelles ambitions d’Aymeric Robin »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur L'Observateur du Valenciennois, (consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Raismes (59491) », (consulté le ).
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  38. « Eglise Sainte-Cécile de la cité du Pinson », notice no PA59000151, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 13 septembre 2011
  39. « Puits no 2 de la fosse Sabatier de la Compagnie des mines d'Anzin », notice no PA59000168, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 13 septembre 2011
  40. « Château », notice no PA00107780, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 13 septembre 2011