Saint-Sauves-d'Auvergne

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Saint-Sauves-d'Auvergne
Saint-Sauves-d'Auvergne
Le bourg.
Blason de Saint-Sauves-d'Auvergne
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Issoire
Intercommunalité Communauté de communes Dômes Sancy Artense
Maire
Mandat
David Sauvat
2020-2026
Code postal 63950
Code commune 63397
Démographie
Gentilé Saint-Sauviens
Population
municipale
1 128 hab. (2021 en augmentation de 0,45 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 36′ 26″ nord, 2° 41′ 19″ est
Altitude Min. 710 m
Max. 1 328 m
Superficie 49,86 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Sancy
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Sauves-d'Auvergne
Liens
Site web saint-sauves-auvergne.fr

Saint-Sauves-d'Auvergne est une commune française, située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont appelés les Saint-Sauviens.

Géographie[modifier | modifier le code]

Cette localité rurale se situe dans la haute vallée de la Dordogne à proximité des célèbres stations thermales de La Bourboule et du Mont-Dore dans le parc naturel régional des volcans d'Auvergne. Elle est à une cinquantaine de kilomètres au sud-ouest de Clermont-Ferrand.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Saint-Sauves-d'Auvergne est limitrophe de huit autres communes.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 174 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Sulpice », sur la commune de Saint-Sulpice à 6 km à vol d'oiseau[3], est de 9,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 001,7 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Sauves-d'Auvergne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (65,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (64 %), forêts (19,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (14 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %), zones urbanisées (1,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sancti Sylvani en 1315, Saint Saulves en 1510, Saint Salves en 1639 , Saint Saulve en 1789, Sauve-Libre à la Révolution, pour devenir Saint-Sauves d'Auvergne[Note 2].

Le village de Saint-Sauves tiendrait son nom d'un évêque du proche Orient antique : Sanctus Silvanus. Ce martyr, connu sous le nom de Saint Sylvain, vivait à Gaza sous le règne de l'empereur Dioclétien.

Histoire[modifier | modifier le code]

Dès l'époque gallo-romaine, le site de Saint-Sauves est occupé avec la découverte d'objets d'argile cuite aux XIXe et début XXe siècles à l'ouest du bourg (les Perties). Au IVe siècle, Saint-Sauves connaît une ère de christianisation. Au temps des invasions barbares, le bourg de Saint-Sauves est fortifié et constitue déjà un lieu d'asile.

Au Moyen Âge, Saint-Sauves est un fief appartenant à la maison de La Tour d'Auvergne. Des châteaux sont construits à Méjanesse, Châteauneuf et Choriol (aujourd’hui disparus). Pendant la guerre de Cent Ans, le bourg, situé près de la voie stratégique Clermont-Aurillac, souffre des privations et des pillages de troupes de passage.

Sous l'Ancien Régime, le territoire de la paroisse de Saint-Sauves, rattaché à la sénéchaussée de Riom puis de Clermont, est partagé entre les seigneuries de Granges (Tauves), avec notamment la maison de Lévis puis la famille de La Croix de Castries, du Planchat, de Murat et de Bains (Mont-Dore).

Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le prêtre réfractaire Jean Brugière est arrêté le 28 germinal an II pour être présenté au tribunal révolutionnaire de Besse. Il sera condamné à mort le 12 floréal an II par le tribunal criminel du Puy-de-Dôme et guillotiné le jour même à Clermont-Ferrand. À cette époque, Saint-Sauves est dénommé Sauve-Libre[13].

Le bourg et des villages environnants sont ravagés par plusieurs incendies tout au long des XVIIIe et XIXe siècles.

Pendant la guerre de 1914-1918 périssent 118 Saint-Sauviens. Un habitant est tué lors de la guerre du Rif en 1925, neuf pendant la guerre de 1939-1945, un en Indochine en 1949 et un en Algérie en 1958.

C'est en 1936 que le nom de Saint-Sauves est individualisé en Saint-Sauves-d'Auvergne[13].

Au cours de la guerre de 1939-1945, de jeunes habitants, réfractaires au Service du travail obligatoire, rejoignent le maquis de la zone III FFI dirigée par le docteur de Bourg-Lastic, Willy Mabrut alias Tonton, vers 1943 et 1944 et forment le maquis de Saint-Genès-Champespe en juin 1944.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Sauves-d'Auvergne est membre de la communauté de communes Dômes Sancy Artense[14], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Rochefort-Montagne. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[15]. Jusqu'en 2016, elle faisait partie de la communauté de communes Sancy-Artense Communauté[16].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement d'Issoire, à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[14]. Avant , elle faisait partie du canton de Tauves[17].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Sancy pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[14], et de la troisième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010 (quatrième circonscription avant 2010)[17].

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Élections de 2020[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal de Saint-Sauves-d'Auvergne, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[18], pour un mandat de six ans renouvelable[19]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15[20]. Les quinze conseillers municipaux sont élus au premier tour, le , avec un taux de participation de 81,41 %, se répartissant en : douze sièges issus de la liste de David Sauvat et trois sièges issus de la liste de Claude Brut[21].

Les trois sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire de la communauté de communes Dômes Sancy Artense se répartissent en : deux sièges issus de la liste de David Sauvat et un siège issu de la liste de Claude Brut[21].

Chronologie des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1977 2001 Pierre Bertrand SE Vétérinaire
2001 2008 Jean-Claude Souchal SE Chirurgien-dentiste
2008 2014 Claude Brut SE Contrôleur des impôts
mars 2014
(réélu en 2020)
En cours
(au )
David Sauvat[22],[23] SE Agriculteur

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

La commune est labellisée « 1 fleur » au Concours des villes et villages fleuris.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].

En 2021, la commune comptait 1 128 habitants[Note 3], en augmentation de 0,45 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 7822 3531 9831 6862 2252 1312 0692 0242 295
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 1642 1242 0102 2352 2452 3222 4092 3742 518
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 1092 0051 8511 6361 7001 7501 7181 5041 347
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 3681 3111 1431 0911 0301 0521 1291 1401 123
2017 2021 - - - - - - -
1 1331 128-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Vieille femme enroulant une pelote, Henrique Pousão (1881)
  • Fête du couronnement de la rosière depuis 1914 (week-end suivant le )
  • Exposition des œuvres de peintres locaux d'avril à octobre
  • Centre national et international de musique et d'accordéon Jacques-Mornet (lieu-dit les Ludines)

Économie[modifier | modifier le code]

Les ressources de la commune proviennent notamment de l’agriculture telle que l’élevage des bovins et ovins et la production laitière (la commune de Saint-Sauves d'Auvergne est située dans l'aire géographique de l'A.O.P. des fromages Bleu d'Auvergne, Cantal, Fourme d'Ambert et Salers).

Son économie repose également sur l'artisanat, la sylviculture et le tourisme généré par les sites naturels du massif du Sancy (la commune étant située dans le parc naturel régional des volcans d’Auvergne) et l’activité thermale des stations voisines de La Bourboule et du Mont-Dore.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Verrou glaciaire de Saint-Sauves (vallée de la Dordogne et rocher de Châteauneuf classés ZNIEFF)
  • Villages abandonnés de Cheix (Méjanesse) et des Renardières (époque médiévale)
  • Église de style néo-roman (XIIe – XIXe siècles)
  • Ancien porche de l'église (époque Renaissance) - inscrit au titre des monuments historiques (arrêté ministériel du 25 octobre 1962)
    Tilleul de Sully à Saint-Sauves-d'Auvergne
    Tilleul de Sully à Saint-Sauves-d'Auvergne
  • Tilleul dit de Sully (XVIIe siècle)
  • Pont sur la Dordogne (XVIIIe siècle)
    Croix (calvaire) du village de L'Estomble, à Saint-Sauves-d'Auvergne
    Croix (calvaire) du village de L'Estomble, à Saint-Sauves-d'Auvergne
  • Pierre provenant de la forteresse de la Bastille (exposée dans l'ancienne mairie)
  • Monument aux morts de la Grande Guerre (1920) du sculpteur Jean Camus - inscrit au titre des monuments historiques (arrêté préfectoral du 10 avril 2019)
    Croix (calvaire) du village de L'Estomble, à Saint-Sauves-d'Auvergne
    Croix (calvaire) du village de L'Estomble, à Saint-Sauves-d'Auvergne

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Paysage de Saint-Sauves, Henrique Pousão (1881)

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Sauves-d'Auvergne Blason
Écartelé, au 1, d'azur semé de fleurs de lys d'or à la tour d'argent maçonnée de sable brochant, au 2, de gueules au chef échiqueté d'argent et d'azur de deux tires, au 3, d'or à trois chevrons de sable, au 4, d'azur à la croix d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Au Moyen Âge, Saint-Sauves est un fief appartenant à la maison de La Tour d'Auvergne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Saint-Sauves-d'Auvergne et Saint-Sulpice », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saint-Sulpice », sur la commune de Saint-Sulpice - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Saint-Sulpice », sur la commune de Saint-Sulpice - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  14. a b et c « Commune de Saint-Sauves-d'Auvergne (63397) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. « CC Dômes Sancy Artense (No SIREN : 200069169) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  16. « CC Sancy Artense Communauté (No SIREN : 246300677) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  17. a et b « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
  18. Loi no 2013-403 du relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral, article 51, et son décret d'application no 2013-938 du .
  19. « Election des conseillers municipaux et du maire », sur le site de la DGCL.
  20. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  21. a et b « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  22. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme » [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  23. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme » [PDF], sur mairesruraux63.fr, Association des maires ruraux du Puy-de-Dôme (consulté le ), p. 8.
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.