Pierrefort
Pierrefort | |||||
Vue générale de Pierrefort. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Cantal | ||||
Arrondissement | Saint-Flour | ||||
Intercommunalité | Saint-Flour Communauté | ||||
Maire Mandat |
Philippe Mathieu 2020-2026 |
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Code postal | 15230 | ||||
Code commune | 15152 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pierrefortais, Pierrefortaises | ||||
Population municipale |
913 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 37 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 55′ 21″ nord, 2° 50′ 19″ est | ||||
Altitude | 950 m Min. 730 m Max. 1 115 m |
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Superficie | 24,59 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Flour-2 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Cantal
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | pierrefort.fr | ||||
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Pierrefort (Pèirafòrt en occitan) est une commune française, située dans le département du Cantal en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Commune du Massif central sur le Vezou, elle fait partie du parc naturel régional des Volcans d'Auvergne.
Localisation
[modifier | modifier le code]Le pays de Pierrefort se situe dans la partie méridionale du département, à la limite des départements du Cantal et de l'Aveyron. Une grande partie du territoire est compris dans le parc des Volcans d'Auvergne au sud. L'activité volcanique est visible un peu partout sur le territoire. Situé entre le Plomb du Cantal (1 855 m) et la vallée de la Truyère (650 m), le pays de Pierrefort présente un fort dénivelé (1 855 m - 650 m) pour une altitude moyenne de 1 000 m. Cette situation offre donc une grande variation de paysages alternant montagnes, rivières, forêts de hêtres ou de conifères, de plateaux volcaniques ou de schiste. Le territoire communal est bordé à l'ouest à deux reprises par le Brezons, un affluent de la Truyère.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 324 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Valuéjols à 17 km à vol d'oiseau[3], est de 8,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 892,1 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Pierrefort est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[8],[9].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (72,5 %), forêts (11,3 %), zones agricoles hétérogènes (8,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,5 %), zones urbanisées (3,6 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 616, alors qu'il était de 618 en 2015 et de 601 en 2010[I 2].
Parmi ces logements, 65,4 % étaient des résidences principales, 19 % des résidences secondaires et 15,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 79,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 20,9 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Pierrefort en 2021 en comparaison avec celle du Cantal et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (19 %) inférieure à celle du département (20,4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 69 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (62,9 % en 2015), contre 70,8 % pour le Cantal et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Pierrefort[I 2] | Cantal[I 5] | France entière[I 6] |
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Résidences principales (en %) | 65,4 | 67,8 | 82,2 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 19 | 20,6 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 15,6 | 11,7 | 8,1 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la commune provient d'un château qui autrefois surveillait la vallée de la Truyère. Il a été démantelé.
La toponymie de certains lieux du canton (Boussac, Paulhenc, Trénac) indique qu'il y a eu une occupation à l'époque gallo-romaine dans le secteur. En effet, la majorité des noms se terminant en ac signifie : « la villa de... ». Par exemple, Boussac était la villa de Buccius ou Buttius[11],[12].
Histoire
[modifier | modifier le code]Sous Charlemagne, il est nécessaire de mettre un peu d'ordre dans l'immense empire qu'est la France. On institue donc des organes réguliers du pouvoir central appelés « comtés ». Le canton de Pierrefort est rattaché au grand comté d'Auvergne. Ce grand comté est lui-même divisé en cinq comtés mineurs. Le canton de Pierrefort est situé sur la vicomté de Carlat à l'ouest et sur le comté de Tallende à l'est. Les comtés sont eux aussi divisés en vicairies. Pour Pierrefort, à l'est la vicairie de la Planèze et à l'ouest, la vicairie de Barrès.
La naissance de Pierrefort (XIIe – XIIIe siècle)
[modifier | modifier le code]À l'origine, la terre de Pierrefort appartient à Astorg de Curiole et Bernard Jurquet, qui est de la famille d'Oradour (tous deux sont de redoutables seigneurs).
En 1050, l'héritière des Jurquet épouse Astorg de Peyre. La terre passe ainsi dans les mains des seigneurs de Peyre, originaires du Gévaudan. C'est à ce moment-là que naît le Fort des Peyre, donc le village de Pierrefort.
La présence de la famille de Peyre sur les terres de Pierrefort est confirmée en 1177 par la donation de plusieurs droits sur le hameau de Fraissinet (près d'Oradour) au monastère de Bonneval par Guibert de Peyre.
C'est entre 1200 et 1250 exactement, que la famille de Pierrefort, qui est une branche de la famille de Peyre, apparaît. Désormais, le prénom sera suivi de « Peyre de Pierrefort » puis uniquement de « Pierrefort ». Guillaume de Peyre de Pierrefort est le premier à s'appeler ainsi. Il est cité en 1250.
Cela se passe en parallèle de la construction du château. Sa situation privilégiée sur un éperon basaltique et entouré de grosses murailles, le rend imprenable jusqu'au XVIIe siècle.
À la même période Marc de Peyre de Pierrefort prétend au titre de premier baron d'Auvergne en raison de sa participation à la Croisade des Albigeois. Ce titre est revendiqué par les barons d'Apchon, grands rivaux des Peyre. L'affaire n'est réglée que 150 ans plus tard (le ) et donne avantage aux barons de Peyre. Ce titre leur procure plusieurs avantages financiers, terriens et juridiques ainsi qu'une reconnaissance de supériorité sur les autres baronnies. (cet acte est mis en doute par les historiens, mais la noblesse de ce temps accepte le document et le prend pour véritable).
La guerre de Cent Ans (1337 - 1453)
[modifier | modifier le code]Au XIVe siècle, Pierrefort est la ville principale d'une baronnie et cela n'échappe pas aux Anglais. En 1337, la frontière anglaise se trouve au Pont de Tréboul. En 1360, Pierrefort est attaqué mais les murailles résistent un certain temps aux assauts britanniques. Finalement, Pierrefort est occupé et incendié deux fois avant 1363 et une fois partiellement avant 1373. L'édifice le plus endommagé est l'église Saint-Jean-Baptiste construite à l'extérieur de l'enceinte. Peu après, Pierrefort est choisi comme point de réunion avec les Anglais. Mais la guerre n'est pas terminée ; de nombreuses bandes armées sont encore sur le territoire. Et point de Jeanne d'Arc à Pierrefort.
C'est Bernard d'Armagnac (comte de Pardiac, vicomte de Carlat et de Murat, et par mariage, comte de la Marche, de Castres et duc de Nemours) qui "boute" les Anglais hors du territoire de Pierrefort en 1427.
Les guerres de Religion (2de moitié du XVIe)
[modifier | modifier le code]En 1562, la France est secouée par les guerres de Religion.
Dans un rapport au Roi Henri IV, le président de Vernyes (Président du Parlement de Paris au XVIe siècle) décrit le château de Pierrefort comme incommode et ses chemins impraticables pour les canons. On ne peut pas y tenir un siège. Le château de Pierrefort est donc choisi comme magasin d'approvisionnement pour les armées du Roi.
Pierrefort du XVIe au XVIIe, la fin de la baronnie
[modifier | modifier le code]Au début du XVIe siècle Bertrand de Pierrefort meurt sans postérité. Sa veuve donne la baronnie à René d'Hérail, son neveu. En échange, celui-ci prend le nom et les armes des Pierrefort. Cette coutume est très répandue. Lors d'un legs l'héritier doit obligatoirement ajouter à son propre nom et à ses armes, ceux du défunt. L'héritier devient également vassal des personnes (roi, seigneurs plus puissants, monastère...) dont le défunt était lui-même vassal.
Dès lors, le château n'est plus habité et seul un gardien y est maintenu. Ce dernier habite la maison située près de la mairie actuelle.
Après la destruction du château, Pierrefort sombre lentement à cause du désintérêt de ses propriétaires. Cette tendance s'accélère à partir de la deuxième moitié du XVIIe siècle, lorsque Marthe d'Hérail de Pierrefort de La Roue († 1717), baronne d'Ecotay, dernière héritière des Pierrefort, épouse vers 1669 Joseph-Philippe-Hyacinthe de Saint-Martin d'Aglié (di San Martino d’Agliè) (1650-1704), marquis de Rivarol en Piémont (marchese di Rivarolo) et de Saint-Germain (marchese di San Germano), commandant du Royal-Piémont puis maréchal de camp au service de Louis XIV.
- Leur fille Claudine de St-Martin d'Aglié marie le François-Ignace de La Vaissière de Cantoinet. Sa galanterie et ses singularités défrayèrent longtemps la chronique scandaleuse du pays. Elle avait su persuader l'intendant du pays pour obtenir la construction d'un chemin partant d'Entraygues-sur-Truyère où elle possédait le château de Candèze, pour se rendre au château de Cantoinet (à Brieu) où elle demeurait, près de Sainte-Geneviève-sur-Argence.
- Et parmi leurs trois fils, Charles-Amédée Jean-Baptiste de St-Martin d'Aglié (Carlo Amedeo Giovan Battista di San Martino d’Agliè, marchese di Rivarolo) (né vers 1673/1674-† 1749) fut vice-roi de Sardaigne (Viceré di Sardegna) en 1735-1738 et gouverneur d'Alexandrie en 1747-1749 (cf. Enciclopedia Treccani (it).
La Révolution française
[modifier | modifier le code]Pendant la Révolution, l'église de Pierrefort sert de temple de la raison (temple ou l'on célèbre la nouvelle religion et le culte de l'Être suprême). Plusieurs croix sont également arrachées.
Malgré l'abandon du château par ses propriétaires et les destructions de la Révolution, Pierrefort est encore décrit au XIXe siècle, comme "l'endroit le plus considérable du Cantal et le centre de cette contrée"[13].
En , la Foraine de Pierrefort est érigée en commune.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[15].
En 2021, la commune comptait 913 habitants[Note 1], en évolution de +0,44 % par rapport à 2015 (Cantal : −1,36 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement âgée. En 2021, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 23,7 %, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (26,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (41,3 %) est supérieur au taux départemental (36,5 %).
En 2021, la commune comptait 450 hommes pour 463 femmes, soit un taux de 50,71 % de femmes, inférieur au taux départemental (51,1 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Fête des Tersons : organisée tous les ans au printemps autour des bovins de race Aubrac[19].
Sports et loisirs
[modifier | modifier le code]Sports
[modifier | modifier le code]
Loisirs
[modifier | modifier le code]- Médiathèque du Pays de Pierrefort
- Théâtre : tous les deux ans a lieu une pièce de théâtre jouée par des comédiens amateurs (les Amis de théâtre de Pierrefort). Leur répertoire est varié.
- "Les enfants d'Edouard" de M.G Sauvajon
- "Le bal des voleurs" de J.Anouilh
- "La poudre aux yeux" de E.Labiche
- "Dix petits Nègres" d'après A.Christie
- "La savetière prodigieuse" de F.G Lorca
- "Treize à table" de M.G Sauvajon
- "Dormez je le veux"
- "Feu la mère de Madame" de G.Feydeau
- "La barque sans pêcheur" d'Alejandro Casona
- "Les rustres" de C.Goldoni
- "La perruche et le poulet" de R.Thomas
- "La Sauvage" de J.Anouilh
- "À propos de pattes" de E.-J.Sorson
- "Franches lippées" de T.Bernard
- "La dame de l'aube" d'Alejandro Casona(2009)
- La Galerie d'art : « les Éléphants d’Armand », est située au cœur même du village de Pierrefort (place de la Fontaine). Lorsque l'on pénètre à l'intérieur, on ne peut qu'être surpris de voir un tel objet en terre auvergnate. C'est un réel dépaysement, nous quittons momentanément le Cantal pour nous introduire dans le continent africain.
Nous découvrons ainsi des tableaux provenant d'Afrique du Sud (notamment du peintre Matondo) mais aussi des sculptures d'éléphants du célèbre sculpteur Van Den Bergue.
- La Ballade culturelle propose des spectacles tout au long de l'année dans différentes communes du Pays de Pierrefort.
Vie associative
[modifier | modifier le code]De nombreuses associations sont présentes à Pierrefort :
- Association les Tersons avec sa Fête des Tersons Aubrac (15 jours avant Pâques)
- Eruptions de couleurs avec sa Fête de la Peinture (2e samedi de juillet)
- La Petite Boule Montagnarde avec son Championnat d'Europe de Boules carrées
- l’Association Familiale et rurale (CLSH en été, nombreuses activités durant les vacances scolaires pour enfants et adultes)
- Association Mémoire
- Associations sportives:
- Family Football,
- Etoile Sportive Pierrefortaise (club de foot)
- Association basket Pierrefort (pour enfants et adultes)
- Amicale des Sapeurs-pompiers
- Association des vieux camions rouges
- Association des donneurs de sang
- Montrozier-club (club des aînés ruraux)
- Association chrétienne d'entraide et d'animations des personnes âgées
- Association pour l'Animation du Pays de Pierrefort (randonnées accompagnées, VTT, tir à l'arc, orientation...)
- Société de pêche
- Association de chasse
- Comice agricole
- Pierrefort détente (cours de gym)
- Club cycliste, depuis
Économie
[modifier | modifier le code]- Agriculture et élevage (bovins essentiellement)
- Artisans : menuiserie, plomberie, couvreurs, travaux publics, électriciens, maçons,
- Commerces : boulangerie, boucheries, cafés, hôtels, restaurants, fleurs et décoration, fromageries, supérettes, librairie-papeterie, salons de coiffure
- Services : maison des services, médiathèque, office de tourisme, banques, médecins, pharmacies, vétérinaires, kinésithérapeute, dentiste, infirmières, maison de retraite, centre pour handicapés, assurances, école primaire, collège, taxis, transporteur, la Poste
Tourisme : aire d'accueil pour camping cars, D 990 - côte de Chabridet - nord du bourg, route de Saint-Flour, devant le collège.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Ancienne ville fortifiée
- Église paroissiale Saint Jean-Baptiste
- Monument aux morts érigé en 1927, œuvre du sculpteur Maurice-Joseph Grandet[20]
- Chapelle et moulin de Planchis
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jacques Méjansac, homme politique né le à Pierrefort (Cantal) et mort le à Saint-Flour (Cantal).
- Jean-François Clavière, né le à Pierrefort (Cantal) et mort le à Nozerolles (Cantal), homme politique, député du Cantal au Conseil des Cinq-Cents.
- Jean-Baptiste Devillas, député à l'Assemblée nationale de 1789 à 1791, président du Conseil général du Cantal en 1804 et 1807.
- Antoine Richard du Cantal (1802-1891), député, vétérinaire et agronome né sur la commune.
- Armand Bory (1844-1931), député du Cantal (1891-1898) et (1910-1914), conseiller général du canton de Pierrefort (1880-1925)
- Jean Todt, manager de Ferrari, puis président de la Fédération internationale de l'automobile, né à Pierrefort. Une rue à son nom a été inaugurée à Pierrefort le .
- Sylvie Pullès, accordéoniste, médaillée de la ville.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Le blasonnement de Pierrefort est : D'or à la bordure de gueules. |
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres clés - Logement en 2021 à Pierrefort » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 à Pierrefort - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 à Pierrefort - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2021 dans le Cantal » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2021 dans la France entière » (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Commune de Pierrefort (15152). », (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Pierrefort et Valuéjols », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Valuéjols », sur la commune de Valuéjols - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Valuéjols », sur la commune de Valuéjols - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Albert Dauzat, Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des Noms de Lieux en France, Librairie Guénégaud, réédition 1984, p. 99-100, à Bossay.
- Bénédicte Boyrie-Fénié, Jean-Jacques Fénié, Toponymie des Pays Occitans, Édicions Sud-Ouest, 2007, p. 147.
- Revue de la Haute Auvergne, Cahier de doléances, Jean Hannequin, 1996.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Cantal (15) », (consulté le ).
- Fête des tersons, sur le sire de la mairie.
- « Monument aux morts de Pierrefort », notice no PA15000053, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Les différents ouvrages notés ci-dessous parlent de Pierrefort. Ils sont disponibles à la médiathèque du Pays de Pierrefort.
- Jean Anglade et Hervé Monestier, L'Auvergne vue du ciel
- Louis-Jacques Liandier, Cantal,
Villes et Villages du Cantal ; Louis Taurant
- Louis Taurant, Le Cantal, c’était hier,
- Le Cantal, Les éditions du bastion
- Marie-Claire Ricard, Hervé Monestier, Villages d'Auvergne,
- Cantal, le Guide
- Monique Roque, Pierre Soissons, Vaches rouges, montagne à vaches
- Christian Marchi, Le Cantal, Paris, Encyclopédie Bonneton
- Henri Vincenot, Les étoiles de Compostelle
- Patrick Süskind, Le parfum
- Paul Bélard,
- Moissons d’enfance,
- La Rivière aux écrevisses,
- Musée d'Orsay, Un ensemble art nouveau ; la donation Rispal.
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Pierrefort sur le site de l'Institut géographique national