Cinq-Mars-la-Pile

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Cinq-Mars-la-Pile
Cinq-Mars-la-Pile
La Mairie.
Blason de Cinq-Mars-la-Pile
Blason
Cinq-Mars-la-Pile
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Chinon
Intercommunalité Communauté de communes Touraine Ouest Val de Loire
Maire
Mandat
Sylvie Pointreau
2020-2026
Code postal 37130
Code commune 37077
Démographie
Gentilé Cinq-marsiens
Population
municipale
3 842 hab. (2021 en augmentation de 11,01 % par rapport à 2015)
Densité 191 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 20′ 54″ nord, 0° 27′ 45″ est
Altitude Min. 37 m
Max. 101 m
Superficie 20,11 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Cinq-Mars-la-Pile
(ville-centre)
Aire d'attraction Tours
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Langeais
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Cinq-Mars-la-Pile
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Cinq-Mars-la-Pile
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Cinq-Mars-la-Pile
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Cinq-Mars-la-Pile
Liens
Site web www.cinq-mars-la-pile.fr

Cinq-Mars-la-Pile (/sɛ̃ maʁ la pil/ Écouter) est une commune française du département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Cinq-Mars-la-Pile est une commune située une quinzaine de kilomètres à l'ouest de Tours, la préfecture d'Indre-et-Loire. Elle s'établit au nord de la Loire, adossée au coteau. Elle est traversée par le Breuil qui termine quelques kilomètres plus loin sa course dans la Roumer, juste avant que cette dernière ne se jette dans la Loire.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique de Cinq-Mars-la-Pile.

La commune est bordée sur son flanc sud-est par la Loire (3,71 km), qui en constitue la limite communale. Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 24,98 km, comprend un autre cours d'eau notable, le Breuil (5,717 km sur la commune), et divers petits cours d'eau pour certains temporaires[1],[2].

Le cours de la Loire s’insère dans une large vallée qu’elle a façonnée peu à peu depuis des milliers d’années. Elle traverse d'est en ouest le département d'Indre-et-Loire depuis Mosnes jusqu'à Candes-Saint-Martin, avec un cours large et lent. La Loire présente des fluctuations saisonnières de débit assez marquées. Sur le plan de la prévision des crues, la commune est située dans le tronçon de la Loire tourangelle, qui court entre la sortie de Nazelles-Négron et la confluence de la Vienne[3], dont la station hydrométrique de référence la plus proche est située à Langeais. Le débit mensuel moyen (calculé sur 34 ans pour cette station) varie de 142 m3/s au mois d'août à 753 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 3 060 m3/s et s'est produit le , la hauteur maximale relevée a été de 4,89 m le [4],[5]. La hauteur maximale historique a été atteinte le 27 septembre 1856 avec 6,80 m[6]. Sur le plan piscicole, la Loire est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[7].

Le Breuil, d'une longueur totale de 14,6 km, prend sa source dans la commune d'Ambillou et se jette dans la Roumer à Langeais, après avoir traversé 4 communes[8]. Plusieurs moulins à eau établis sur son cours ont cessé de fonctionner au XXe siècle, le dernier en [9]. Sur le plan piscicole, le Breuil est également classé en deuxième catégorie piscicole[7].

Quatre zones humides[Note 1] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée du Breuil aux Tronchées », « la vallée du Breuil de Velantan à Cinq-Mars-la-Pile », « la vallée du Breuil du Château de La Touche à Vélantan » et « la vallée de la Loire de Mosnes à Candes-Saint-Martin »[10],[11].

Voies de communication[modifier | modifier le code]

Un échangeur de l'autoroute A85, situé sur le territoire de Cinq-Mars-la-Pile, dessert également la ville de Langeais. À son entrée, les destinations extrêmes affichées sont Nantes et Lyon.

Depuis , une piste cyclable en site propre relie Cinq-Mars-la-Pile à Langeais[12].

Transports publics[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une gare SNCF qui la relie par TER à Tours, vers l'est, et à Saumur, Angers et Nantes, vers l'ouest.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[13]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[14].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 711 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Lignières-de-Touraine à 6 km à vol d'oiseau[15], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 700,0 mm[16],[17]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Cinq-Mars-la-Pile est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[19],[20],[21]. Elle appartient à l'unité urbaine de Cinq-Mars-la-Pile, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[22] et 5 172 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[23],[24].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[25],[26].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (26,9 %), zones agricoles hétérogènes (20 %), forêts (17,6 %), zones urbanisées (14,3 %), prairies (12,3 %), eaux continentales[Note 4] (4,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,9 %), cultures permanentes (1,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,2 %)[27]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Cinq-Mars-la-Pile est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[28]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[29].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Cher, la Loire et le Breuil. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1991, 1999 et 2001[30],[28].

Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Bourgueil, est classée au niveau de risque 1, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[31].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cinq-Mars-la-Pile.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[32]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 98,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 507 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1501 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[33],[34].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1990, 1993, 1996, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1995, 1999, 2001 et 2013[28].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Pile, de Cinq-Mars-la-Pile

Attestée sous les formes Terra Sancti Medardi en 915, ecclesia de Pila Beati Medardi en 1012, Prioratus Sancti Medardi de Pila et Sancto Medardo en 1170, ecclesia Sancti Medardi de Pila en 1247, Sancti Marcius, villa Sancti Marci en 1272[35].

« Cinq-Mars » représente une cacographie de « Saint-Mars », attestée dès la fin du XVIe siècle. Saint-Mars est une déformation du nom hagiotoponymique de saint Médard[36].

Le complément -la-pile est l'évocation de la Pile de Cinq-Mars.

Histoire[modifier | modifier le code]

La seigneurie de Cinq-Mars (alias Saint-Médard)[37],[38],[39],[40] ne cessa de passer de famille en famille seigneuriale depuis le XIe siècle au moins : les Cinq-Mars, L'Isle-Bouchard, Rougé et Châteaugiron (maisons féodales apparentées) ; les La Trémoïlle par acquisition, suivis des Husson-Tonnerre ; les Ruzé d'Effiat par acquisition ; enfin, les d'Albert de Luynes par acquisition.

Depuis les d'Albert de Luynes, cinq familles ont acquis les château et domaine de Cinq-Mars : François-Charles Moisant en 1797 (1764-1808 ; aussi propriétaire de Langeais et de la Perraudière, et beau-frère de Goüin-Moisant) puis sa fille Magdeleine-Zéphirine Moisant (1807-1878) (cf. Charles Moisant, sur Man8Rove), femme de René Boisseau de Beaulieu (Postérité) ; M. et Mme Mathieu Maucler en 1845 ; M. et Mme Louis Bussienne en 1856 ; Théobald-Arthur Genty en 1877 ; M. et Mme Nicolas Untersteller depuis 1957 puis leur fils Louis-Paul Untersteller (né en 1940)[44].

À l'été 1944, le pont ferroviaire fut détruit par un bombardement allié[45].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1953 1959 Alexandre Petit    
1959 1970 Gui Padieu DVD Ingénieur agronome
1970 1977 Marcel Le Droff    
1977 1988(décès) Jean-Pierre Cottet DVD Conseiller général du canton de Langeais (1982-1988)
mars 1989 juin 1995 André Ricou    
juin 1995 mars 2014 Jean Gouzy DVG Conseiller général du canton de Langeais (2008-2015)
mars 2014 mai 2020 Jean-Marie Carles DVG Retraité
Conseiller départemental depuis 2015
mai 2020 En cours Sylvie Pointreau DVG  
Les données manquantes sont à compléter.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué une fleur à la commune au Concours des villes et villages fleuris[46].

Jumelage[modifier | modifier le code]

Le canton de Langeais, dont fait partie la commune de Cinq-Mars-la-Pile, est jumelé depuis 1986 avec la ville allemande d'Eppstein[47].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[49].

En 2021, la commune comptait 3 842 habitants[Note 5], en augmentation de 11,01 % par rapport à 2015 (Indre-et-Loire : +1,19 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2001 1871 1021 2701 6261 6901 7282 2001 889
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8221 9991 9801 9622 0542 1522 1362 0582 003
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 0101 9411 7991 7911 8371 7311 6131 8502 110
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
2 0802 0321 9552 1962 3702 6213 1243 2263 415
2018 2021 - - - - - - -
3 6213 842-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Cinq-mars-la-pile se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Langeais.

L'école maternelle publique et l'école élémentaire Courier accueillent les élèves de la commune.

Économie[modifier | modifier le code]

La commune était le siège d'un Centre de Coordination et de Sauvetage (CCS, RCC en anglais - Rescue and Coordination Center) compétent pour les accidents aériens en région Ouest[52]. Ce centre a brièvement été impliqué dans les opérations de recherche du vol Air France 447 qui a disparu le 1er juin 2009[53]. Ce RCC est fermé depuis le 31 août 2015 et son activité est reprise par le RCC de Lyon Mont Verdun[54].

Un CDC (Centre de Détection et de Contrôle Militaire) est localisé sur la base aérienne de Cinq Mars la Pile.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La pile gallo-romaine de Cinq-Mars-la-Pile est dessinée en 1770 par Félix Le Royer de La Sauvagère, dans son Recueil d’antiquités dans les Gaules.
  • Pile de Cinq-Mars : la commune tire son nom d'une pile romaine, curieuse tour de briques juchée sur le coteau d'une trentaine de mètres de haut. Son état de conservation en fait un des éléments majeurs du patrimoine gallo-romain du département. Elle est datée du IIe siècle apr. J.-C. Il s'agit de la plus haute pile funéraire de Gaule (les autres édifices se trouvant en Aquitaine) surplombant la vallée de la Loire d'une cinquantaine de mètres.
Borne de la Terre sacrée.
  • Borne de la Terre sacrée, monument érigé à la mémoire de tous les soldats morts lors de la Première Guerre mondiale et œuvre du sculpteur et ancien poilu Gaston Deblaize. Il a réalisé cinq autres bornes semblables qui se trouvent au cimetière national d'Arlington à côté de Washington, dans la chapelle du Simple soldat de l'église Saint-Louis des Invalides, sur le récif de Guernic, en face du fort de Penthièvre au large de la presqu'île de Quiberon dédiée aux morts américains (une réplique de cette borne, plus accessible, a été érigée près du parking du Fozo sur la commune de Saint-Pierre-Quiberon en 1997), sur la plage de la Terre sacrée, à Ajaccio et à Meures (Haute-Marne), village natal de Gaston Deblaize. Cette borne fut installée dans le village en l'honneur de Robert H. Dunlap, général américain des Marines, qui fut tué en mai 1931 en essayant de sauver une femme lors d'un éboulement de terrain dans le village. Vétéran de la Première Guerre mondiale, il était en France pour suivre les cours du Collège militaire[55].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Cinq-Mars-la-Pile

Les armes de Cinq-Mars-la-Pile se blasonnent ainsi :

De gueules au chevron fascé-ondé d'argent et d'azur de six pièces, accompagné de trois lionceaux d'argent[56].

Armes du marquis de Cinq-Mars.
Armes du marquis de Cinq-Mars.

Il s'agit d'une variante des armes de Henri Coiffier de Ruzé d'Effiat, marquis de Cinq-Mars.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Étude consacrée à l'histoire de la formation et de l'architecture de la commune de Cinq-Mars-la-Pile.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
  2. « Carte hydrologique de Cinq-Mars-la-Pile », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
  4. « Référentiel hydrométrique », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  5. « Station hydrométrique K6830020, la Loire à Langeais »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
  6. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 52.
  7. a et b (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Fiche Sandre - le Breuil », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  9. Le Parisien étudiant, « Sortir - Bonnes adresses : Moulin de la Gouspillère », sur etudiant.aujourdhui.fr, (consulté le ).
  10. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur terresdeloire.net (consulté le ).
  11. « L'inventaire départemental des zones humides », sur indre-et-loire.gouv.fr, (consulté le ).
  12. Malo Richard, « Voie verte ou l’appel de l’Agglo : Loisirs sportifs – Cinq-Mars-la-Pile », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  13. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  14. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  15. « Orthodromie entre Cinq-Mars-la-Pile et Lignières-de-Touraine », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  18. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
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  24. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
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  32. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
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  35. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Tome 3, page 1583. Lire en ligne
  36. Le site Internet de la Ville
  37. « Cinq-Mars, p. 93-96 », sur Histoire de Touraine, t. III, par Jean-Louis Chalmel, chez Armand Mame à Tours, 1828.
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