Artigues (Var)

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Artigues
Artigues (Var)
Village d'Artigues.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Brignoles
Intercommunalité Communauté de communes Provence Verdon et membre du Pays de la Provence Verte
Maire
Mandat
Yves Souque
2020-2026
Code postal 83560
Code commune 83006
Démographie
Gentilé Artiguais, Artiguaises
Population
municipale
288 hab. (2021 en augmentation de 18,52 % par rapport à 2015)
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 35′ 39″ nord, 5° 48′ 41″ est
Altitude Min. 351 m
Max. 641 m
Superficie 31,85 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Marseille - Aix-en-Provence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Artigues

Artigues est une commune française située dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune, située entre Rians et Varages, se trouve à 23 km de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume[1] et à 40 km d'Aix-en-Provence.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La montagne d'Artigues au sud du village, culmine à 693 m. Au nord, s'étend le Bois du Mont-Major. Le village domine la vallée du Grand Vallat.

Le village est situé sur une langue de terre propice aux châtaigniers[2].

Sismicité[modifier | modifier le code]

Il existe trois zones de sismicité dans le Var :

  • Zone 0 : Risque négligeable. C'est le cas de bon nombre de communes du littoral varois, ainsi que d'une partie des communes du centre Var. Malgré tout, certaines de ces communes ne sont pas à l'abri d'un effet tsunami, lié à un séisme en mer.
  • Zone Ia : Risque très faible. Concerne essentiellement les communes comprises dans une bande allant de la montagne Sainte-Victoire au massif de l'Esterel.
  • Zone Ib : Risque faible. Ce risque, le plus élevé du département mais qui n'est pas le plus haut de l'évaluation nationale, concerne 21 communes du nord du département.

La commune d'Artigues est en zone sismique de faible risque « Ib »[3].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 893 mm, avec 5,8 jours de précipitations en janvier et 2,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Varages », sur la commune de Varages à 12 km à vol d'oiseau[6], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 786,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 44,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −12,5 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

L'accès au village d'Artigues se fait par la route départementale D 65, entre Rians et Esparron, ainsi que par la D 3, entre Rians et Ollières[11]. La sortie de l'A8 la plus proche est la no 34, qui dessert Saint-Maximin-la-Sainte-Baume.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Commune desservie par le réseau régional Zou ! (ex-Varlib)[12].

Lignes SNCF[modifier | modifier le code]

  • La gare TGV la plus proche est celle de Meyrargues.
  • L'ancienne gare d'Artigues, sur la ligne Central-Var des Chemins de fer de Provence, aujourd'hui disparue.

Transports aériens[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie et eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[13] :

  • Vallat du Carm ;
  • Ruisseaux :
    • de Malvallon,
    • de Castillon.

Artigues dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 250 équivalent-habitants[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Artigues s'écrit Artiga en provençal selon la norme classique et Artigo selon la norme mistralienne[réf. nécessaire].

C'est un toponyme qui peut avoir le sens d'une « terre défrichée ».

Histoire[modifier | modifier le code]

La grotte préhistorique de Rigabe, sur la commune d’Artigues, massif du Mont-Major[15], contient des traces d’occupation humaine vieilles de 40 000 ans[16].

Une charte mentionne le « Castrum Artyga »[17] dès 1032, et son église dès 1093. Alors que le village est habité jusqu'à milieu du XIVe siècle, le territoire connait un premier abandon, d'une cinquantaine d'années. Un second abandon a lieu au XVIe siècle et se poursuit jusqu'au début du XVIIIe siècle[18].

Vers l’an 1000, le site où se trouve actuellement le village d'Artigues est appelé le «château des défrichements». Le seigneur Geoffroy de Rians (né en 955) et son épouse, Scocie de Riez, font don d’Artigues et de ses terres à l’abbaye Saint-Victor de Marseille[19],[20].

En 1600, sous le roi Henri IV, Artigues se sépare de Rians dont elle dépendait jusqu'alors.

L’église paroissiale actuelle, dédiée à sainte Foy, date de 1742[21].

En 1774, lors de son deuxième voyage à Rome, Benoît-Joseph Labre, alors qu’il était partout rejeté à cause de son état miséreux, est hébergé par une famille de paysans, les Bellon, au hameau éponyme. Avant de repartir, Labre enseigne au chef de famille un « secret » de reboutage pour remettre les membres en place[22]. Durant près de deux siècles les Bellon passent pour être des rebouteux célèbres dans la région. Le docteur Etienne Bellon n’eut ni fils ni successeur en tant que « médecin des pauvres » une rue d'Aix-en-Provence porte son nom. Au hameau des Bellons, la maison où fut reçu Labre existe toujours, elle est occupée depuis cent ans par la famille Brémond[23].

Une vingtaine d’éoliennes de 125 mètres de haut (accusées par certains de défigurer ce paysage [24]) ont été installées sur les communes d’Artigues et d’Ollières.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[25]
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1791 Jean-Baptiste Giraud   Curé de la paroisse
1791 1812 Toussaint Queirel   Cultivateur
1812 1817 Antoine-Casimir de Gautier de la Molle   Propriétaire
1817 1828 Jean-Alexandre-Lazare Provens   Propriétaire
1828 1831 Joseph Coquilhat   Ménager
1831 1835 Jean-Joseph-Alexandre Coquilhat   Ménager
1835 1839 Jean-Joseph-Laurent Coquilhat   Ménager
1839 1870 Louis-Jean-Baptiste-Arthur Denans   Propriétaire
1870 1896 Hippolyte-Jean-Baptiste Denans   Propriétaire
1896 ? Laurent-Bienvenu Bellon   Propriétaire
Les données manquantes sont à compléter.
1986 mars 1989 Louis Pector sans étiquette chef d'entreprise
mars 1989 2020 Gabriel Magne[26] sans étiquette exploitant agricole
2020 En cours Yves Souque    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

En 2021, la commune comptait 288 habitants[Note 2], en augmentation de 18,52 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
290250246266314320294270270
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
275252254208189183172157138
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
127116114998288798176
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
46625370112110191222205
2014 2019 2021 - - - - - -
240283288------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[31] :

  • Les élèves de la commune commencent leur scolarité à l'école primaire de Saint-Martin-de-Pallières. Elle accueille 80 élèves, de 3 communes différentes[32].
  • Écoles primaires à Rians, La Verdière, Ginasservis,
  • Collèges à Vinon-sur-Verdon, Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, Barjols,
  • Lycées à Saint-Maximin-la-Sainte-Baume.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[33] :

  • Médecins à Rians[34], Ginasservis, La Verdière,
  • Pharmacies à Rians, Pourrières, Vinon-sur-Verdon,
  • Hôpitaux à Pertuis (BdR), Aix-en-Provence (BdR) et Brignoles (Var)

Cultes[modifier | modifier le code]

  • La paroisse catholique d'Artigues dépend du diocèse de Fréjus-Toulon, et dispose d'un lieu de culte, l'église Sainte-Foy, rattaché à la paroisse de Rians[35].

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Fiscalité[modifier | modifier le code]

Budget et fiscalité 2020[modifier | modifier le code]

En 2020, le budget de la commune était constitué ainsi[36] :

  • total des produits de fonctionnement : 501 000 , soit 1 878  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 314 000 , soit 1 175  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 14 000 , soit 53  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 60 000 , soit 224  par habitant ;
  • endettement : 46 000 , soit 172  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 13,00 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 11,60 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 93,88 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 25 010 [37].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Artigues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[39],[40],[41].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[42],[43].

Le plan local d'urbanisme de la commune a été approuvé le 18 janvier 2018[44],[45].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (81 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (16,5 %), terres arables (12,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,8 %), cultures permanentes (3,8 %), zones agricoles hétérogènes (1,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,8 %)[46]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

Tourisme[modifier | modifier le code]

Commerces[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Grotte préhistorique de La Rigabe[56].
  • Deux tours gallo-romaines[57].
  • Église Sainte-Foy, église paroissiale actuelle de 1742[58],
son autel, retable et tableau d'autel[59],
et sa cloche de 1676[60],[61].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jean-Pierre Péroncel-Hugoz, né le 16 mars 1940 à Marseille, chevalier de la Légion d'honneur, chevalier de l’ordre de la Pléiade, membre à vie de la Société des rédacteurs du Monde, grand-reporter émérite, ancien chroniqueur à La Nouvelle Revue d'histoire, à Paris, ex-blogueur sur le journal en ligne marocain le360, à Casablanca, auteur de dix ouvrages. Domicilié au hameau des Bellons, commune d’Artigues, où sa famille est propriétaire depuis 1925.
  • Jean-Baptiste de Gautier de la Molle (avocat général au Parlement d'Aix) qui a construit le château à la fin du XVIe siècle[69].
  • Marcel Marius Bellon, né le 31 janvier 1897 à Artigues.
  • Jean-Baptiste Giraud, qui refusa de prêter serment à la Constitution civile du clergé[70].

Blasonnement[modifier | modifier le code]

Blason d'Artigues

Les armes d'Artigues se blasonnent :

D'azur à la fasce d'argent chargée du mot ARTIGUES en lettres capitales de gueules[71].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Itinéraire
  2. Le village
  3. sismicité du Var sur le site de la préfecture
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Artigues et Varages », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Varages », sur la commune de Varages - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Varages », sur la commune de Varages - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  11. carte d'état major de la préfecture du Var
  12. Réseau régional Zou ! (ex Varlib)
  13. L'eau dans la commune
  14. Description de la station GRAND HUBAC
  15. Grotte de Roquerousse (grotte Rigabe)
  16. Ka grotte de La Rigabe
  17. Cartulaire de l'Abbaye de Saint-Victor de Marseilles, publié par M. Guérard
  18. a et b Notice no IA83001208, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  19. Le Var : ses monuments, ses sites, ses objets d'art, ses légendes, Volume 1, par Jean Belgrano, Impr. Nouvelle, 1966, "Le 5 janvier 904, deux habitants de Rians, Jeoffroy et Scocie, son épouse, s'en vinrent trouver l'abbé de St-Victor pour lui faire don de toutes les propriétés leur appartenant, et sur lesquelles se trouvaient autrefois un monastère détruit par les Sarrasins"
  20. Le dévotion monastique féminine en Provence (fin Xe – XIe siècles), par Eliana Magnani
  21. Église Sainte-Foy, sur l'Observatoire du patrimoine religieux
  22. Saint Benoît Joseph Labre et la prière des 3 Cœurs
  23. La Famille Bellon
  24. Un parc éolien proche de la Sainte-Victoire sous le feu des critiques
  25. Joseph Salvarelli, Les Administrateurs du département du Var (1790-1897). Notices biographiques (1897), pp.329 [1]
  26. Gabriel Magne a parrainé Frédéric Nihous dans le cadre de l'élection présidentielle de 2007.
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Établissements d'enseignements
  32. école primaire
  33. Professionnels et établissements de santé
  34. Médecins, pharmacie
  35. fiche de la paroisse Sainte-Foy
  36. Les comptes de la commune
  37. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  38. Les 43 villages provençaux de la Provence verte
  39. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  40. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  41. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  42. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Marseille - Aix-en-Provence », sur insee.fr (consulté le ).
  43. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  44. PLU
  45. Plan local d'urbanisme : précisions
  46. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  47. L'Escalagau, élevage d'escargots
  48. Le Guide Var, par Michel de La Torre, Paris, 1989.
  49. Coopérative vinicole de Rians et Artigues
  50. Chambre d'hôtes
  51. Le Passe "Tant"
  52. Parc photovoltaïque au lieu-dit "Font-Salade"
  53. Parc éolien
  54. Projet éolien d’Artigues et d’Ollières. Défrichement aux lieux-dits « Carraire Ouest » et « Carraire Est »
  55. Projet éolien d’Artigues et d’Ollières
  56. Le Paléolithique moyen de la grotte de Rigabe (Artigues, Var), par M. Escalon de Fonton, H. de Lumley. Gallia Préhistoire Année 1960 3 pp. 1-46
  57. Tours gallo-romaines
  58. Église Sainte-Foy
  59. Notice no PM83002542, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture autel, retable et tableau d'autel : Sainte Foy de Conques au pied de Marie et Jésus
  60. Notice no PM83000020, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de l'église-Sainte-Foy
  61. Cloche de l'église
  62. « bourg castral d'Artigues », notice no IA83001208, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  63. Le château
  64. Historique du château et du village d'Artigues
  65. Les oratoires dans l'espace rural varois, par Joël Candau. Le Monde alpin et rhodanien. Revue régionale d’ethnologie Année 1985 13-2-3 pp. 83-107
  66. Les titulatures d'oratoires dans le département du Var, par Joël Candau. Le Monde alpin et rhodanien. Revue régionale d’ethnologie Année 1990 18-1-2 pp. 65-84
  67. La tour et le pigeonnier de "La Modeste"
  68. Lavoirs du Var
  69. Jean-Baptiste de Gautier de la Molle
  70. Canton de Rians: Giraud Jean-Baptiste, curé. 30 juin 1793
  71. Verdon Mont-Major : Artigues, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]