Sivergues

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Sivergues
Sivergues
Sivergues.
Blason de Sivergues
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Vaucluse
Arrondissement Apt
Intercommunalité Communauté de communes Pays d'Apt-Luberon
Maire
Mandat
Martine Calas
2020-2026
Code postal 84400
Code commune 84128
Démographie
Gentilé Siverguois, Siverguoises
Population
municipale
47 hab. (2021 en augmentation de 17,5 % par rapport à 2015)
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 49′ 45″ nord, 5° 24′ 13″ est
Altitude 570 m
Min. 430 m
Max. 993 m
Superficie 9,39 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Apt
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Apt
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Sivergues
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Sivergues
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Sivergues

Sivergues est une commune française, située dans le département de Vaucluse en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie[modifier | modifier le code]

« C'est bougrement perché Sivergues ! et perdu au diable... » (Henri Bosco[1]).

Communes limitrophes de Sivergues
Saignon
Buoux Sivergues Auribeau
Vaugines Cucuron

Localisation[modifier | modifier le code]

Sivergues est située sur la face nord du massif du Grand Luberon, à 570 mètres d'altitude. L'on y accède par la route départementale 114, après plusieurs kilomètres en cul-de-sac.

Panneau Fin de la route à l'entrée du village

Sivergues fait partie du Parc naturel régional du Luberon.

Les communes limitrophes sont Buoux à l'ouest, Saignon au nord, Auribeau à l'est. Au sud, par delà le Luberon Cucuron et Vaugines.

En voiture et en temps normal Buoux est à 9 km et 14 minutes, Saignon à 9 km et 16 minutes, Auribeau à 10 km et 18 minutes, Apt à 11 km et 21 minutes, Bonnieux à 16 km et 22 minutes. Avignon est à 1 h 15 et 65 km.

Les commerces, écoles, établissements de santé, etc. les plus proches se situent à Apt, même s’il y en a aussi à Saignon mais plus restreins.

Avec ses 43 habitants et 4,6 hab./km² ainsi que sa localisation en pleine nature loin des villes, Sivergues a tout d'un espace à faible densité de population ( - de 30 hab./km²), et c'est la troisième commune la moins peuplée du Vaucluse.

Passage du GR9.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La rivière Aigue Brun y passe, elle se situe au nord de la commune et fait la limite avec Buoux et Saignon.

Aigue Brun après de fortes pluies

Relief[modifier | modifier le code]

Le relief de la commune peut se diviser en deux grandes zones :

  • au nord, le bas des flancs du Luberon où se mêlent ravins et plateaux avec l'Aigue Brun ;
  • au sud, le relief s'élève jusqu'à la ligne de crête de la montagne du Luberon. Les altitudes les plus hautes se situent à l'extrême sud-est, au niveau de cette ligne avec 993 m aux Estrugets. Nombreux ravins parallèles d'orientation nord-sud.
Depuis les Estrugets avec vue sur le Mourre Nègre sommet du Luberon à 1125m d'altitude

Utilisation du sol[modifier | modifier le code]

Principalement des bois et forêts, quelques terres agricoles au niveau des plateaux au nord.

Risques sur la commune[modifier | modifier le code]

Les risques recensés sur la commune sont :

- Feux de forêt. La commune se trouvant au cœur du Luberon, le risque est d'autant plus présent, et c'est pour cela que notamment en été il faut y être très vigilant, il existe même une carte d'accès aux massifs l'été sur le site de la préfecture de Vaucluse, qu'il faut consulter avant sa randonnée dans le massif en été.

- Mouvement de terrain : éboulements, chute de pierres et de blocs ; glissement de terrain ; tassements différentiels.

- Séisme : Zone de sismicité 4 (moyenne). Contrairement à la vallée d'Apt qui est en risque modéré, comme Sivergues, les villages perchés du Luberon sont classés en risque moyen, c'est-à-dire en zone 4 sur une échelle de 5.

- Autres : Les risques suivants ne sont pas référencés, mais avec le réchauffement climatique ils s'accentuent ces dernières années : la sécheresse, les fortes chaleurs (même si le village est en hauteur, il y a fait environ 40 °C lors de la canicule de ), et les fortes pluies, qui peuvent provoquer des ruissellements. Néanmoins, la commune n'est pas classée en risque inondation, car la rivière qui y passe se situent 100 m d'altitude plus bas que le centre du village.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 845 mm, avec 6,1 jours de précipitations en janvier et 3,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Apt-Viton », sur la commune d'Apt à 5 km à vol d'oiseau[4], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 770,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 43,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −16,4 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Sivergues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Apt, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (90,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (78,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,4 %), zones agricoles hétérogènes (9,9 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

L'origine de la localité semble être datée du Ve siècle, lorsque la femme de saint Castor et six compagnes y auraient fondé un couvent. Certains d'ailleurs attribuent le nom de la commune à ses six vierges. Cité en 1067 : "Sex Virgae" et vers 1200 : "Siuergia"[réf. nécessaire].

D'après Albert Dauzat et Charles Rostaing, ce toponyme provient du nom d'homme latin *Sivius, d'après Sivinius, et suffixe -enicum ; le passage de Sivinicum à Sivergues étant comparable à celui de Dominicus à Doumergue[15].

Au XIIe siècle, Sivergues appartient aux comtes de Forcalquier. Le castrum y est créé dans un territoire vierge de toute occupation humaine[16]. Lorsque le comté de Forcalquier perd son indépendance en 1209, à la mort de Guillaume II, un de ses neveux, Guillaume de Sabran tente de le relever. Après une lutte de dix ans, il passe un accord à Meyrargues le avec Raimond Bérenger IV, comte de Provence et lui aussi héritier du comté de Forcalquier. Par cet accord, la moitié sud du comté, dont Sivergues, lui est donnée. Guillaume de Sabran conserve sa moitié de comté jusqu'à sa mort, vers 1250[17].

Au XIIIe siècle, édification de l'église primitive Saint-Trophime.

1481, à la suite de la mort du roi René, le comté de Provence dont Sivergues fait partie est incorporé au royaume de France sous l'appellation de « province royale française ».

En 1501, le seigneur fait venir des Vaudois (entre 7 et 8 familles selon les sources) pour occuper les terres.

En 1545, Sivergues comme de nombreux autres villages vaudois, est fortement touché par la répression conduite par Jean Maynier, baron d’Oppède.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Sivergues

Les armes peuvent se blasonner ainsi :

D'or à la croix de huit pointes pommetée de sable, chargée d'une colombe fondante d'argent, accompagnée en chef d'une fleur de lys accostée de deux tours, le tout d'azur.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Mairie de Sivergues.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
    Frédéric Lazard   préhistorien
  janvier 1955 Antonin Aillaud    
    André Aillaud    
avant 1988 mars 2001 Raoul Esparon    
mars 2001 mars 2004 Paul Pessemesse    
mars 2004 mars 2008 Yves Le Dizes    
mars 2008 2020 Gisèle Martin sans étiquète  
2020 En cours Martine Calas sans étiquète  
Les données manquantes sont à compléter.

Fiscalité[modifier | modifier le code]

L'imposition des ménages et des entreprises à Sivergues en 2009[18]
Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale
Taxe d'habitation (TH) 4,50 % 0,00 % 7,55 % 0,00 %
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 4,50 % 0,00 % 10,20 % 2,36 %
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 50,00 % 0,00 % 28,96 % 8,85 %
Taxe professionnelle (TP) 00,00 % 20,00 % 13,00 % 3,84 %

La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[20].

En 2021, la commune comptait 47 habitants[Note 4], en augmentation de 17,5 % par rapport à 2015 (Vaucluse : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1361351251091071098610696
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
104107108100103101817767
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
574750423944354016
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
293338413930444839
2018 2021 - - - - - - -
4547-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Vue depuis les hauteurs de Sivergues vers les monts de Vaucluse et son sommet, le signal de Saint-Pierre.

Sur cette commune se pratiquent la chasse, les randonnées équestres, pédestre et VTT et plus globalement le tourisme vert.

Agriculture et production[modifier | modifier le code]

L'on y produit du lavandin et du miel. Les vignes de la commune, même s'il n'y en a que très peu, produisent des vins qui ne sont pas en appellation d'origine contrôlée, ils peuvent revendiquer, après agrément, le label vin de pays d'Aigues[23].

Élevage ovin et caprin.

Tourisme[modifier | modifier le code]

Comme l'ensemble des communes du Luberon, le tourisme joue un rôle, directement ou indirectement, dans l'économie locale.

On peut considérer trois principales sortes de tourisme en Luberon. Tout d'abord, le tourisme historique et culturel qui s'appuie sur un patrimoine riche des villages perchés ou sur des festivals. Ensuite, le tourisme détente qui se traduit par un important développement des chambres d'hôtes, de l'hôtellerie et de la location saisonnière, par une concentration importante de piscines et par des animations comme des marchés provençaux. Enfin, le tourisme vert qui profite des nombreux chemins de randonnées et du cadre protégé qu'offrent le Luberon et ses environs[24].

Une chambre d'hôtes + auberge.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le village de Sivergues et son église.
Une propriété de Sivergues.

Sivergues, terminus de la route goudronnée (CD 114), attire les amateurs de vieilles pierres et de randonnées sauvages.

  • Église Saint-Pierre-et-Sainte-Marie (fin XVIe). Simple façade avec un oculus.
  • Temple protestant du XIXe siècle sur une hauteur nord.
  • Ruelles en calade.
  • Au Castellas : ruines d'un château médiéval et d'une église romane dédiée à saint Trophime (XIIe siècle) ; cimetière vaudois. Compter une demi-heure à quarante minutes de marche depuis le village.
  • Plusieurs tombes rupestres (creusées dans le roc) aux Cros et au Domaine de Paris.
  • Nombreuses cabanes en pierre sèche ou bories.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Frédéric Lazard, préhistorien, maire de Sivergues.

Frédéric Lazard, né le , à Sivergues, révéla très tôt ses dons pour la musique - c'était un clarinettiste éminent, et il exerça ses talents dans de nombreuses sociétés musicales - tout en étant passionné par la préhistoire. Appelé sous les drapeaux, il fit son armée au 99e régiment d'infanterie de Lyon. De retour dans ses foyers, en 1888, il continua à prospecter des sites dans le pays d'Apt et plus spécifiquement le plateau des Claparèdes[25].

L'importance de ses découvertes, retint l'attention de plusieurs érudits locaux avec lesquels, il lia des liens d'amitié. Aussi, en 1903, lors de leur fouille en commun à la Baume Croupatière ou grotte Saint-Gervais à Bonnieux, ils décidèrent de fonder une société de préhistoriens ouverte à l'ensemble de leurs collègues à travers toute la France. C'est en janvier 1904 qu'elle fut formalisée. Outre Frédéric Lazard, on trouvait ses amis Marc Deydier, notaire à Cucuron, Anfos Martin, du Tricastin, Albert Moirenc, agent voyer dans le Vaucluse, Ivan Pranishnikoff, un des fondateurs de la Nacioun gardiano et Paul Raymond, médecin à Pont-Saint-Esprit. Ils donnèrent à leur regroupement le nom de Société préhistorique de France. Il est à souligner qu'une plaque commémorative fut posée sur les parois de la grotte de Bonnieux, en septembre 2004, lors du congrès du centenaire qui se tint à Avignon[25].

Parallèlement, Lazard s'intéressa à la numismatique et à l'histoire de sa région. La compilation de tous ses travaux et ses découvertes durant un demi-siècle, fut publiée, en 1943, sous le titre Les environs d'Apt préhistorique. Étude sur le vallon de Buoux, le versant nord du Luberon et le plateau des Claparèdes, aux points de vue préhistorique et archéologique, aux éditions Rullière d’Avignon[25].

Frédéric Lazard prit une part importante dans la vie communale de Sivergues. D'abord adjoint au maire, il devint premier magistrat de sa commune durant 40 ans. Durant tout son mandat, il lutta pour maintenir une école publique dans son village, ce qui lui valut d’être nommé officier de l’Instruction Publique. Il mourut dans sa maison de Rocsalière, en novembre 1945. Albert Lazard, son fils, a fait don des 6 000 pièces de sa collection au musée d’Apt le . L'une de ses salles porte désormais le nom du préhistorien[25].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Henri Bosco a décrit le site dans son roman "Le Trestoulas"
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Sivergues et Apt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Apt-Viton », sur la commune d'Apt - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Apt-Viton », sur la commune d'Apt - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Apt », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. Albert Dauzat, Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, 1979 (ISBN 2-85023-076-6), p. 658.
  16. Yann Codou, « Le paysage religieux et l'habitat rural en Provence de l'antiquité tardive au XIIe siècle », Archéologie du monde médiéval, tome 21, 2003, p. 55.
  17. Mariacristina Varano, Espace religieux et espace politique en pays provençal au Moyen Âge (IXe – XIIIe siècles). L'exemple de Forcalquier et de sa région, thèse soutenue à l'université d'Aix-Marseille I, 2011, p. 486.
  18. « Impôts locaux à Sivergues », taxes.com.
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. Le label Vin de pays d'Aigues concerne les communes suivantes dans le département de Vaucluse : Ansouis, Apt, Auribeau, La Bastide-des-Jourdan, La Bastidonne, Les Beaumettes, Beaumont-de-Pertuis, Bonnieux, Buoux, Cabrières-d'Aigues, Cabrières-d'Avignon, Cadenet, Caseneuve, Castellet, Cavaillon, Cheval-Blanc, Cucuron, Gargas, Gignac, Gordes, Goult, Grambois, L'Isle-sur-la-Sorgue, Joucas, Lacoste, Lagarde-d'Apt, Lagnes, Lauris, Lioux, Lourmarin, Maubec, Ménerbes, Mérindol, Mirabeau, La Motte-d'Aigues, Murs, Oppède, Pertuis, Peypin-d'Aigues, Puget, Puyvert, Robion, Roussillon, Rustrel, Saignon, Saint-Martin-de-Castillon, Saint-Martin-de-la-Brasque, Saint-Pantaléon, Saint-Saturnin-d'Apt, Sannes, Saumane, Sivergues, Les Taillades, La Tour-d'Aigues, Vaugines, Viens, Villars, Villelaure, Vitrolles-en-Luberon.
  24. Voir Massif du Luberon
  25. a b c et d Frédéric Lazard, (1862-1945), préhistorien et maire de Sivergues, GénéProvence, septembre 2014.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]