Crestet

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Crestet
Crestet
Le village et son château.
Blason de Crestet
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Vaucluse
Arrondissement Carpentras
Intercommunalité Communauté de communes Vaison Ventoux
Maire
Mandat
Florence Bertrand
2020-2026
Code postal 84110
Code commune 84040
Démographie
Gentilé Crestelains, Crestelaines
Population
municipale
422 hab. (2021 en augmentation de 3,43 % par rapport à 2015)
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 13′ 06″ nord, 5° 05′ 05″ est
Altitude 300 m
Min. 199 m
Max. 567 m
Superficie 11,48 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Vaison-la-Romaine
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vaison-la-Romaine
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Crestet
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Crestet
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Crestet

Crestet (en occitan provençal : Lou Crestet ou Lo Crestet[Note 1]) est une commune française située dans le département de Vaucluse, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie[modifier | modifier le code]

Accès et transports[modifier | modifier le code]

La commune de Crestet est située au sud de la route départementale 938, entre Vaison-la-Romaine et Malaucène. L'autoroute la plus proche est l'autoroute A7, sortie no 21 Orange centre.

Crestet est desservie par la ligne 11 de TransVaucluse (Vaison-la-Romaine - Carpentras). Un arrêt unique se situe au niveau de la mairie[1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Sismicité[modifier | modifier le code]

Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Crestet est arrosée par l'Ouvèze[3], ainsi que d'autres ruisseaux qui l'alimentent, notamment le Groseau[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 798 mm, avec 6,1 jours de précipitations en janvier et 3,3 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Puyméras », sur la commune de Puyméras à 6 km à vol d'oiseau[7], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 700,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −10 °C, atteinte le [Note 2],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Crestet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vaison-la-Romaine, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,3 %), zones agricoles hétérogènes (32,1 %), cultures permanentes (16,5 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Le territoire actuel du Crestet dépendait de la confédération des Voconces[18]. Sur celui-ci ont été exhumés, lors de fouilles, un autel aux Nymphes Percenes, une stèle, un cippe funéraire épigraphique au quartier de Chabrières et des tombes à mobilier sur celui de Pabas[19].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

En conflit ouvert avec l'évêque de Vaison, Raymond de Toulouse, comte de Provence, attaqua et détruisit le siège épiscopal contraignant le prélat à se réfugier à Crestet où il possédait château. Puis, il assiégea celui-ci et s'en empara en 1189[20]. L'évêque fut contraint de chercher refuge au château d'Entrechaux[19].

L'affaire n'en resta pas là. Les troupes épiscopales ayant brûlé le château comtal et massacré la garnison, par deux fois, Raymond VI, en 1238, puis Raymond VII, en 1251, attaquèrent le palais épiscopal de Vaison. L'évêque se réfugia à nouveau au Crestet et décida d'y rester[18].

Renaissance[modifier | modifier le code]

Statue de Guillaume II de Cheisolme à Crestet (sculpture XX es)

Au cours du mois de , les religionnaires assiégèrent le Crestet avec 1 500 fantassins, 500 cavaliers et quatre canons. Ils se heurtèrent à une défense organisée (grêle de balles, jets de pierres et de pots à feu). Les assaillants laissèrent sur le terrain 150 morts et se retirèrent avec 300 blessés. Ils décidèrent à nouveau de recommencer en 1574, alors que Henri III séjournait à Avignon et réussirent à s'emparer du château de l'évêque par escalade[21].

Les prélats de Vaison, guerre finie, retournèrent dans leur cité épiscopale en 1585[22].

Période moderne[modifier | modifier le code]

Le fut créé le département de Vaucluse, constitué des districts d'Avignon et de Carpentras, mais aussi de ceux d'Apt et d'Orange, qui appartenaient aux Bouches-du-Rhône, ainsi que du canton de Sault, qui appartenait aux Basses-Alpes.

Dans la seconde moitié du XIXe siècle, se développa sur la commune une industrie liée à l'argile (tuiles et briques)[23].

Période contemporaine[modifier | modifier le code]

De 1907 à 1952, la ville possède une gare sur la Ligne d'Orange à Buis-les-Baronnies, aujourd'hui une école[24] .

À partir de 1930, René Durieux, un sculpteur installé au Crestet, exposa certaines de ses œuvres dans les rues de son village. Les plus célèbres furent un Bacchus, aujourd'hui volé, et une Cérès. Le village abrite le Centre régional d'art et de sculpture[22].

Pour permettre la liaison ferroviaire entre Orange et Le Buis, le Pont du Moulin est construit en 1905. La voie ferrée fonctionna jusqu'en 1953.

Son vignoble produit des ventoux AOC[22].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Crestum : 1243, castrum Crestii : 1300, forme masculine et dialectale du français crête, s'applique à une arête rocheuse[25].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Crestet

Les armes peuvent se blasonner ainsi :

D'azur à la tour d'or, ouverte du champ, maçonnée de sable, accostée des lettres C et R capitales aussi d'or.[26]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Mairie du Crestet.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1983 1993 Julien Plantevin    
1993 2013 Georgette Guintrand    
2014 2020 Florence Bertrand    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la communauté de communes Pays Vaison Ventoux, qui fait elle-même partie du syndicat mixte d'aménagement de l'Aygues et du syndicat mixte d'aménagement du bassin de l'Ouvèze (SIABO).

Fiscalité[modifier | modifier le code]

L'imposition des ménages et des entreprises à Crestet en 2009[27]
Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale
Taxe d'habitation (TH) 6,60 % 0,00 % 7,55 % 0,00 %
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 9,80 % 0,00 % 10,20 % 2,36 %
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 29,00 % 0,00 % 28,96 % 8,85 %
Taxe professionnelle (TP) 00,00 % 16,98 % 13,00 % 3,84 %

La Part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].

En 2021, la commune comptait 422 habitants[Note 5], en augmentation de 3,43 % par rapport à 2015 (Vaucluse : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
367361463455532535530530514
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
539536542489485451437413381
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
330313326318316326310314268
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
291269297326404432467473409
2017 2021 - - - - - - -
412422-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

Le vignoble produit des vins classés en ventoux (AOC). Les vins qui ne sont pas en appellation d'origine contrôlée peuvent revendiquer, après agrément, le label Vin de pays de la Principauté d'Orange.

Tourisme[modifier | modifier le code]

Tourisme viticole (caves de dégustation) et tourisme de randonnées (plusieurs circuits pédestres et vélo à proximité). On trouve sur la commune plusieurs gîtes et chambres d'hôtes qui permettent l'accueil des touristes.

Équipements ou Services[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune fait partie avec St-Marcellin-lès-Vaison d'un RPI, les écoles sont de ce fait regroupées : St Marcellin lès Vaison prend en charge les élèves des deux villages de la maternelle au CE2, Crestet du CM1 au CM2, une navette relie les deux écoles[32], ensuite les élèves sont affectés au collège Joseph-d'Arbaud à Vaison-la-Romaine[33], puis vers le lycée Stéphane Hessel à Vaison-la-Romaine[33].

Sports[modifier | modifier le code]

La commune compte une amicale de bouliste, ainsi qu'un tennis club.

Santé[modifier | modifier le code]

- 2 médecins généralistes sont installés sur la commune depuis .

On trouve sur la commune voisine de Vaison-la-Romaine :

  • un centre médico-social (rue Laënnec) avec des consultations PMI, le planning familial, etc.,
  • des médecins généralistes, dentistes, un cabinet de radiologie et d'échographie, plusieurs pharmacies,
  • deux maisons de retraite et un foyer logement,
  • un centre hospitalier muni d'un service d'urgences et où quelques spécialistes assurent des consultations externes.

Vie locale[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Église Saint-Sauveur.

La construction de l'église du village date de 890. Elle est réaménagée par l'ajout de trois chapelles, en 1380, 1495 et 1563. Elle n'est dédiée à saint Sauveur qu'en 1760.

Écologie et recyclage[modifier | modifier le code]

La collecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés et la protection et mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes Pays Vaison Ventoux. Il existe une déchetterie à l'entrée de Vaison-la-Romaine et une décharge à gravats à Villedieu[34]. La commune est incluse dans la zone de protection Natura 2000 « l'Ouvèze et le Toulourenc », sous l'égide du ministère de l'Écologie, de la DREAL Provence-Alpes-Côte-d'Azur, et du MNHN (service du patrimoine naturel)[35].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Château de Crestet.
Chapelle de l'Annonciade.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Roger Anger, l'architecte d'Auroville, était propriétaire du château[37].
  • Jacques Cortès, évêque de Vaison, mort et enterré au Crestet en 1570[38].
  • René Durieux (1898-1952), peintre, mort à Crestet.
  • Ferdinand Piéchaud (1890-1958), médecin, professeur à la Faculté de médecine de Bordeaux, propriétaire d'une maison de la vieille ville.
  • Charley Schmitt, historien du village et de son environnement. Une plaque rappelle son nom sur la place du château.
  • Jean-Bernard Plantevin, chanteur, auteur, interprète d'expression provençale.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Norme mistralienne ou Norme classique, la première étant utilisée sur la signalisation locale.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. liste des lignes de bus de TransVaucluse
  2. Zonage sismique règlementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48
  3. Fiche de l'Ouvèze sur le site du SANDRE
  4. Fiche du Groseau sur le site du SANDRE
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Crestet et Puyméras », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Puyméras », sur la commune de Puyméras - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Puyméras », sur la commune de Puyméras - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vaison-la-Romaine », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a et b Jean-Pierre Saltarelli op. cit., p. 145
  19. a et b Robert Bailly, op. cit., p. 161
  20. Jules Courtet, op. cit., p. 153.
  21. Jules Courtet, op. cit., p. 153
  22. a b et c Jean-Pierre Saltarelli op. cit., p. 146
  23. Jules Courtet, op. cit., p. 152
  24. « Route du petit train de Buis », sur inventaires-ferroviaires.fr (consulté le ).
  25. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, 1968, p. 1763.
  26. Armorial du Comtat Venaissin
  27. « Impôts locaux à Crestet », taxes.com.
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Enseignement publique primaire en Vaucluse
  33. a et b Carte scolaire du Vaucluse
  34. infos-pratiques sur le site de la mairie de Séguret, aussi membre de la communauté de communes Pays Vaison Ventoux
  35. Responsabble Natura 2000
  36. « Eglise paroissiale Saint-Sauveur et Saint-Sixte », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  37. D'après Château du Crestet à vendre sur le site de William Montgomery
  38. Jules Courtet, op. cit., p. 153.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, A. Barthélemy, Avignon, , 475 p. (ISBN 2-903044-27-9)
  • Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique des communes du département de Vaucluse, Avignon, Seguin Ainé, , 400 p. (lire en ligne)
  • Charley Schmitt, Le Crestet, village vauclusien (Mieux connaître Crestet, village vauclusien), C. Schmitt, (ISBN 2-9506601-5-0)
  • Diane Sutherland et Jon Sutherland, The Secrets of Provence (en anglais), Star Fire, , 192 p. (ISBN 978-1-84786-308-9)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]