Travaillan

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Travaillan
Travaillan
La mairie et la poste.
Blason de Travaillan
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Vaucluse
Arrondissement Carpentras
Intercommunalité Communauté de communes Aygues Ouvèze en Provence
Maire
Mandat
Isabelle Daladier-Martin
2020-2026
Code postal 84850
Code commune 84134
Démographie
Gentilé Travaillanais, Travaillanaises
Population
municipale
713 hab. (2021 en diminution de 1,11 % par rapport à 2015)
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 11′ 01″ nord, 4° 54′ 12″ est
Altitude 85 m
Min. 75 m
Max. 112 m
Superficie 17,65 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Camaret-sur-Aigues
(banlieue)
Aire d'attraction Orange
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vaison-la-Romaine
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Travaillan
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Travaillan

Travaillan est une commune française située dans le département de Vaucluse, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune située à 11 km[1] d'Orange[2] et 39 km d'Avignon.

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

  • Les routes départementales 154 et 975 arrivent au bourg alors que la route départementale 93 l'évite par le nord et que la route départementale 23 passe à l'extrême sud de la commune.
  • L'autoroute la plus proche est l'autoroute A7.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Commune desservie par le réseau régional Sud Mobilité[3].

Transports aériens[modifier | modifier le code]

Les aéroports les plus proches sont :

Relief[modifier | modifier le code]

La commune est relativement plate avec une différence de 37 mètres seulement entre le point le plus haut de la commune, à l'extrême Est de celle-ci, et le point le plus bas, situé au Sud-ouest du bourg, en bordure de commune.

Géologie[modifier | modifier le code]

La commune se trouve située sur le Plan de Dieu dont le sol est principalement constitué d'alluvions quaternaires, dépôt de galets roulés et d'un substrat d'argile rouge apportés à la fin des glaciations par l'Ouvèze et l'Aygues[4].

Sismicité[modifier | modifier le code]

Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[5].

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[6] :

  • L'Aygues traverse la commune au nord-ouest du bourg,
  • le ruisseau la gayère.
  • et le canal de Carpentras passe sur la commune au sud-ouest du bourg.

Travaillan dispose de la station d'épuration intercommunale de Camaret-sur-Aigues d'une capacité de 61 800 équivalent-habitants[7].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 724 mm, avec 5,9 jours de précipitations en janvier et 3,1 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Orange », sur la commune d'Orange à 9 km à vol d'oiseau[10], est de 14,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 719,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −14,5 °C, atteinte le [Note 1],[11],[12].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[13]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Château de Travaillan.
Le vieux Travaillan.

Aucun vestige de la préhistoire ou de l'antiquité n'a été trouvé sur le territoire de cette commune. Son histoire écrite commence au XIIe sièclede Travaillano est signalé comme étant le siège d'un prieuré dont les ruines se trouvent encore dans le vieux village[15]. Dans un autre texte, daté de 1237, se trouve, dans un acte de donation fait par Raymond de Toulouse, comte de Provence à Raymond Ier des Baux, prince d'Orange, la dénomination de Trevillon[16].

Le même Raymond Ier, en 1253, rendit hommage de son fief à Guillaume Béroard, évêque de Carpentras, procureur d'Alphonse de Poitiers, frère de Louis IX. Dix ans plus tard, une bulle de Clément IV confirma ce fief aux princes d'Orange. L'Église étant entrée en possession du Comtat Venaissin, en 1297, Bertrand des Baux, rendit alors hommage à Nicolà de Franzesi, Recteur du Comtat, pour son castrum seu villam de Travelliam[16].

François Clouet, Dame au bain, portrait supposé de Diane de Poitiers, baronne de Sérignan et dame de Travaillan.

En 1326, Raymond V des Baux, se vit contraint de fixer des limites entre les communautés de Camaret et de Travaillan[16]. Témoignages de ce temps, une porte fortifiée du XIVe siècle se trouve en limite d'une propriété privée et un mur arasé des anciens remparts dans un champ[15].

Renaissance[modifier | modifier le code]

Au XVe siècle, ce fief, tout comme celui de Camaret passa aux barons de Sérignan[16]. Diane de Poitiers, baronne de Sérignan, qui séjourna dans le Comtat Venaissin du 26 juin au , fut donc Dame de Travaillan. Les nouveaux seigneurs tirèrent une part importante de leurs revenus du Bois de Velage - la plus importante forêt de plaine de la région - et de cinq grosses fermes du Plan de Dieu[4].

Période moderne[modifier | modifier le code]

Jusqu'en 1791, Travaillan n'avait été qu'une annexe de Camaret[4]. Jean-François d'Olivier, baron de Gérente, président de l'Assemblée du Comtat Venaissin et originaire du village lui fit trouver son autonomie. Le fut créé le département de Vaucluse, constitué des districts d'Avignon et de Carpentras, mais aussi de ceux d'Apt et d'Orange, qui appartenaient aux Bouches-du-Rhône, ainsi que du canton de Sault, qui appartenait aux Basses-Alpes.

Au milieu du XIXe siècle, Jules Courtet signale que l'idée vint de fertiliser le Plan de Dieu, de plus en plus déboisé, en l’irriguant avec les eaux de l'Aigues[4].

Période contemporaine[modifier | modifier le code]

Mémorial du Plan de Dieu.

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les troupes nazis en retraite occupèrent l'aérodrome d'Orange Plan de Dieu. Le commandement des forces alliées désireux de faire sauter ce verrou pour remonter vers Strasbourg en ordonna le bombardement entre le et le . L'US Air Force fut chargée de cette mission. Les batteries anti-aériennes de l'ennemi répliquèrent et dans ces raids périrent les pilotes Hugh B. Grandall, Harold V. Duggleby, Warren E. Semple (), Robert D. Sampson () et Donald A. Tracy (). Un mémorial à leur mémoire et tous les morts de la seconde guerre sur le Plan de Dieu a été élevé au milieu des vignes à la limite de la commune et de celle de Violès.

Depuis le , le vignoble de Travaillan produit des vins classés en Plan-de-dieu (côtes-du-rhône villages). Un sentier botanique (petite randonnée), qui serpente à travers les vignes, permet de découvrir ce terroir viticole. Il est accessible de la place de la Mairie[15].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La forme la plus ancienne est de Travillano, attestée en 1137. Ce toponyme suggère le nom d'un homme latin, Trebellius, auquel a été ajouté le suffixe - anum, signifiant la possession[17].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Travaillan

Les armes peuvent se blasonner ainsi[18] :

D'azur à la fasce échiquetée de gueules et d'argent de trois tires, accompagné en chef d'une étoile de seize rais d'or et en pointe d'une croisette cléchée, vidée et pommetée de douze pièces du même.[19]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie et la poste.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 juin 2020 Gérard Sanjullian    
juin 2020 En cours Isabelle Daladier-Martin SE  
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la communauté de communes Aygues Ouvèze en Provence depuis la création de celle-ci le .

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Travaillan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[20],[21],[22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Camaret-sur-Aigues, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[23] et 5 265 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[24],[25].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Orange dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[26],[27].

La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[28].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (78,7 %), zones agricoles hétérogènes (7,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,9 %), terres arables (2,4 %), forêts (1,4 %), zones urbanisées (0,1 %)[29]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Fiscalité[modifier | modifier le code]

L'imposition des ménages et des entreprises à Travaillan en 2009[30]
Taxe Part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale
Taxe d'habitation (TH) 7,90 % 0,00 % 7,55 % 0,00 %
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 16,78 % 0,00 % 10,20 % 2,36 %
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 42,67 % 0,00 % 28,96 % 8,85 %
Taxe professionnelle (TP) 00,00 % 16,00 % 13,00 % 3,84 %

La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.

La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[31]).

Budget et fiscalité 2017[modifier | modifier le code]

En 2017, le budget de la commune était constitué ainsi[32] :

  • total des produits de fonctionnement : 478 000 , soit 654  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 451 000 , soit 616  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 104 000 , soit 142  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 240 000 , soit 328  par habitant ;
  • endettement : 306 000 , soit 418  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 7,90 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 16,78 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 42,67 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2015 : médiane en 2015 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 793 [33].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].

En 2021, la commune comptait 713 habitants[Note 4], en diminution de 1,11 % par rapport à 2015 (Vaucluse : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
158126148177220246319366409
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
400435426441409374367338349
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
383415424403371373382364388
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
406445510528623676650649677
2014 2019 2021 - - - - - -
718711713------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Vignoble du Plan de Dieu.

Tourisme[modifier | modifier le code]

Tourisme viticole (plusieurs caves de dégustation) et tourisme de randonnées (plusieurs circuits pédestres et vélo à proximité) constituent les principaux modes. On trouve sur la commune plusieurs gîtes et chambres d'hôtes qui permettent l'accueil des touristes.

Agriculture[modifier | modifier le code]

Le vignoble produit des vins classés en Côtes-du-rhône villages sous le nom de Plan-de-dieu (AOC). Les vins qui ne sont pas en appellation d'origine contrôlée peuvent revendiquer, après agrément, le label vin de pays de la Principauté d'Orange.

Commerce[modifier | modifier le code]

Le bar Chez Gégène, qui porte le label Bistrot de pays[38],[39], adhère à une charte dont le but est de « contribuer à la conservation et à l’animation du tissu économique et social en milieu rural par le maintien d’un lieu de vie du village ».

Patrimoine[modifier | modifier le code]

Entrée du vieux Travaillan.

La partie la plus ancienne est le vieux village, où se trouvent :

  • Le Prieuré du XIe siècle, dédié à saint Pons, fut dès 1137 donné comme manse à la sacristie de l'église cathédrale d'Orange. Aujourd'hui en ruines, seule subsiste son abside qui a été transformée en remise pour outils agricoles[16].
  • Les calvaires.
  • Vestiges de l’ancien château « Castis Trabelhani ».
  • Chapelle du Vieux-Travaillan[40], vestiges[41].
  • Ancienne porte[42] du vieux village de Travaillan (XIVe siècle)[43].
  • À l'est du bourg, on trouve le château Saint-Jean[44].
  • Près du vieux village, réduit actuellement à une grosse ferme, se dresse une croix de pierre à double face. Sur un côté, a été sculpté le crucifié, sur l'autre un personnage non identifié qui semble tenir un livre[16].
  • Monuments commémoratifs :

Équipements ou Services[modifier | modifier le code]

Foyer communal de Travaillan.

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune possède une école primaire publique. Ensuite les éleves vont au collège Victor-Schœlcher[47] à Sainte-Cécile-les-Vignes [48] puis au lycée régional polyvalent de l'Arc[49] à Orange [50].

Sports et loisirs[modifier | modifier le code]

La commune héberge l'aéroclub du Plan de Dieu. Ces membres peuvent être autorisés par le commandant de la base aérienne 115 Orange-Caritat à utiliser l'aérodrome d'Orange Plan de Dieu, à vocation militaire.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[51] :

  • Médecins à Camaret-sur-Aigues, Sérignan-du-Comtat,
  • Pharmacies à Camaret-sur-Aigues, Sérignan-du-Comtat,
  • Il existe un centre hospitalier au niveau de Saint-Pierre, au nord de la commune.

Vie locale[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'un foyer communal.

Cultes[modifier | modifier le code]

La paroisse catholique fait partie du diocèse d'Avignon, doyenné d'Orange Bollène[52]. L'église actuelle fut érigée dans un style roman du XIXe siècle[4]. Placée sous le vocable de l'Immaculée Conception, elle fut construite entre 1853 et 1857 sur une terre offerte par le baron Joseph-Louis de Gérente[16].

Écologie et recyclage[modifier | modifier le code]

La collecte et le traitement des déchets des ménages et déchets assimilés, la gestion de l'assainissement collectif, la lutte contre les nuisances sonores, le contrôle de la qualité de l'air et la protection et mise en valeur de l'environnement font partie des compétences de la communauté de communes Aygues Ouvèze en Provence.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Lieux et itinéraires
  2. « Travaillan », sur Provenceweb.
  3. réseau régional Sud Mobilité
  4. a b c d et e Jules Courtet, op. cit., p. 320.
  5. Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48
  6. L'eau dans la commune
  7. Description de la station Camaret-sur-Aigues
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Travaillan et Orange », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Orange », sur la commune d'Orange - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Station Météo-France « Orange », sur la commune d'Orange - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  15. a b et c Patrick Saletta, op. cit., p. 515.
  16. a b c d e f g et h Robert Bailly, op. cit., p. 428.
  17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, 1968, p. 1941.
  18. Aygues Ouvèze en Provence : Travaillan, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
  19. Armorial des communes du Vaucluse
  20. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Unité urbaine 2020 de Camaret-sur-Aigues », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  24. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  25. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  26. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Orange », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  28. PLU
  29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  30. « Impôts locaux à Travaillan », taxes.com.
  31. Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
  32. Les comptes de la commune
  33. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. La charte Bistrot de Pays Bistrot de Pays
  39. Fédération nationale des bistrots de pays
  40. Chapelle du Vieux-Travaillan, vestiges
  41. Vestiges de l’ancien château et la chapelle
  42. Porte ancienne des fortifications
  43. « Porte des fortifications (ancienne) », notice no PA00082178, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. Château Saint Jean
  45. Monument aux morts
  46. Pilotes Américains au Plan de Dieu
  47. « Site du collège Victor Schœlcher », Académie Aix-Marseille, .
  48. « carte scolaire 2009 ».
  49. « Site du lycée régional polyvalen de l'Arc », Académie Aix-Marseille, .
  50. Éducation en Vaucluse
  51. Professionnels et établissements de santé
  52. doyenné d'Orange-Bollène

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]