Île d'Or
Île d'Or | ||||
L'île d'Or, en 2007. | ||||
Géographie | ||||
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Pays | France | |||
Localisation | Mer Méditerranée | |||
Coordonnées | 43° 24′ 39″ N, 6° 50′ 48″ E | |||
Superficie | 0,010 950 km2 | |||
Côtes | 0,594 km | |||
Point culminant | 15 m | |||
Géologie | Île continentale | |||
Administration | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d'Azur | |||
Département | Var | |||
Démographie | ||||
Population | Aucun habitant | |||
Autres informations | ||||
Découverte | Préhistoire | |||
Fuseau horaire | UTC+01:00 | |||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Géolocalisation sur la carte : Var
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Îles en France | ||||
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L'île d'Or — /ildɔʁ/ — appartient à la partie est de la commune française de Saint-Raphaël, dans le département du Var. Partie intégrante du paysage, cette île fait face à la plage du Débarquement du Dramont.
L'îlot est composé de rochers volcaniques rouges — rhyolite — comme le reste du massif de l'Esterel dont il fait partie et par ailleurs il bénéficie d'un environnement particulier. En effet il se détache du rivage très proche car à terre la plage se compose d'estérellites bleues qui côtoient le bleu, variant sans cesse, de la mer Méditerranée. Ainsi les nuances de la teinte de la mer diffèrent en fonction de l'état du ciel qui s'y reflète, tantôt éclatant tantôt chargé. À ces données il faut adjoindre suivant l'heure l'effet des rayons du soleil, sans oublier le vert de la végétation. Ceci explique l'attrait du lieu pour de très nombreux artistes.
Cet îlot rocheux n'apparaît dans l'histoire qu'à la toute fin du XIXe siècle. Peu après une première acquisition, Auguste Lutaud, second propriétaire, érige une tour dite sarrasine qui témoigne bien de l'ambiance Belle Époque. Ceci est le prétexte à la déclaration d'un royaume autoproclamé. Il s'y tient alors de nombreuses fêtes mondaines avec des personnalités que la mode vient d'amener en villégiature sur la Côte d'Azur. Puis la Première Guerre mondiale met un terme aux festivités. À la fin de la Seconde se déroule devant l'île une partie du débarquement de Provence. Au cours de la célébration du premier anniversaire de celui-ci, la tour subit un incendie accidentel et ce n'est que dix-sept ans plus tard qu'elle est restaurée. Ainsi, devenue une résidence secondaire, elle demeure privée. Il est possible que l'album L'Île Noire, des Aventures de Tintin d'Hergé, sorti en 1937, en soit inspiré.
Localisation
[modifier | modifier le code]L'île d'Or est située en mer Méditerranée. Elle fait partie du quartier du Dramont de la commune française de Saint-Raphaël dans le Var. Cette commune littorale de la Côte d'Azur possède trente-cinq kilomètres de côtes[1]. Le Dramont comme tous les quartiers communaux est à l'est du chef-lieu. Second quartier du littoral après celui de Boulouris, il est distant du centre communal d'environ huit kilomètres.
Le rivage est proche de l'île d'Or, avec au nord-nord-ouest, à 630 m, la plage du Débarquement et à l'est, à 400 m, la pointe de l'Esquine de l'Ay. L'île est desservie au nord-nord-est, à 430 m, par le port abri du Poussaï[2]. Orientée vers ce dernier, elle mesure environ 195 m de long et 113 m de large avec une superficie de 1,095 ha et culmine à 15 m[3].
Géologie
[modifier | modifier le code]L'île d'Or appartient au massif de l'Esterel. Constituée de rhyolites (p), elle apparait d'autant plus rougeoyante que la plage du Débarquement, qui lui fait face, est constituée de galets bleutés. Ces galets résultent de déblais artificiels (Z) d'une carrière d'estérellite (E) exploitée depuis l'antiquité[4]. L'explication de cette particularité est géologique.
La Provence cristalline, ou Provence varisque, regroupe d'une part les massifs métamorphiques, migmatitiques et granitiques des Maures et de Tanneron, d'autre part une dépression permienne à remplissage sédimentaire et enfin le massif de l'Esterel. Les formations géologiques les plus anciennes datent de l’âge permien c'est-à-dire à la fin de l’ère primaire — soit environ 250 Ma. Elles affleurent dans les massifs des Maures et de Tanneron et forment le socle hercynien. Le massif volcanique de l'Estérel en émerge. Ce volcanisme est de type rift continental[5]. Il est donc limité à l'est par un bassin sédimentaire et au nord par le massif de Tanneron. Ses coulées volcaniques comportent des rhyolites rouges[6]. Dans ce paysage se trouve l'affleurement du Dramont d’âge oligocène inférieur — environ 30 Ma[7]. Il correspond à l'intrusion d'estérellite. Cette roche calco-alcaline bleutée est intrusive dans les grès et les rhyolites permiennes[8].
Toponymie
[modifier | modifier le code]La toponymie de l’île d’Or ne fait apparemment l'objet d’aucune étude. Ainsi le lieu ne semble pas nommé sur les portulans ou les cartes marines antérieures au XVIIIe siècle. Cependant il est établi que « suite à la prise de Constantinople en 1453, l'expansion ottomane jusqu'au Maghreb engendre une guerre perpétuelle entre les deux rives de la Méditerranée, via une piraterie barbaresque[9] ». Donc le lieu est connu des navigateurs notamment arabes. Or Laurence Bureau-Lagane rapporte que la devise prise par le propriétaire en 1910, Auguste Ier, est « Le salut est dans la sincérité[10] ». Ceci se trouve conforté par les inscriptions figurées sur des éléments qui nous sont parvenus — ex-libris[I 1], cartes postales[I 2], médailles[11], vignettes[12] —, où se trouve النَّجَات فِي الصَّدْق (elnajât_ fî elSadq_). En effet l'ensemble النَّجَات فِي (elnajât fî), c'est-à-dire « sincère, honnête, qui ne trompe pas, dans la sincérité », est probablement suivi d’une combinaison de lettres qui a du sens الصَّدْق (elSadq_), d'une racine signifiant « le salut ». C'est-à-dire dans le contexte maritime, un amer que l'on ne peut pas confondre avec un autre et qui permet de savoir exactement où l'on est — qui dit la vérité. Ainsi il est possible que la devise soit issue d'une appellation arabe « l'île crédible ».
Une attestation est trouvée durant la première moitié du XVIIIe siècle[13]. Ainsi sur le Plan de la baye de Nagaye[N 1] de Jacques Ayrouard, pilote du roi, il est écrit « Isle dor »[15]. Puis en 1764 la carte Port de Nagaye et coste voisines de Jacques-Nicolas Bellin porte « I. d'Or »[16]. Cependant ce cartographe ne travaille qu'en cabinet sans faire lui-même de levée, de ce fait il est possible que le nom qu'il donne s'éloigne de l'attribution locale[17]. Puis sur la carte de Cassini no 169 dite d'Antibes, levée en 1778-1780, apparait la dénomination « L'Isle de Do »[18]. De nouveau figure sur le cadastre napoléonien en 1826 l'appellation « Isle d’Or »[19]. Toutefois « Ile de Do » est la terminologie retenue en 1838 sur la Carte routière de la Provence divisée en ses quatre départemens d'Eustache Hérisson[20] et sur celle du Département du Var éditée par Bellue[21],[N 2]. En 1846, toujours éditée par Bellue, la carte marine des Phares et fanaux des côtes de la mer Méditerranée indique « I. d'O »[22]. Enfin en 1856, Hippolyte de Villeneuve-Flayosc prend, sur la Carte géologique et hydrographique du Var, des Bouches du-Rhône, de Vaucluse et des Basses-Alpes (ancienne Provence), le nom « Ile d'Or »[23]. Aucun lien ne semble établi entre « île de Do » et les appellations antérieures ou postérieures qui pour certaines paraissent faire sens.
Histoire
[modifier | modifier le code]Écueil
[modifier | modifier le code]Ainsi qu'en attestent de nombreuses fouilles archéologiques sous-marines, des routes maritimes romaines longent les côtes méditerranéennes. C'est ainsi qu'en 2017 dix épaves sont déclarées face au Dramont — Dramont A à Dramont J[N 4][27]. Elles datent de 50 av. J.-C.[28] au Ve siècle apr. J.-C.[N 5] La présence parfois très proche (80 m) de l'île d'Or en fait, selon certaines hypothèses, un écueil sur lequel les navires s'éventrent[30].
Parmi eux, un navire gît par quarante-deux mètres de fond, après avoir fait naufrage entre 425 et , à quelque 500 m à l'ouest de l'île d'Or[31]. Inventée par Jane Issaverdens et Frédéric Dumas, l'épave Dramont E est déclarée le [31] — alors qu'entre-temps de très nombreux pilleurs sévissent — son étude est finalisée en 1995. Il s'agit d'un navire de taille plutôt modeste, d'environ seize mètres de longueur hors tout et avec un port en lourd voisin d'une quarantaine de tonnes. Il transporte de grosses amphores cylindriques, appartenant pour la plupart au type Keay 35[N 6], au contenu semble-t-il essentiellement constitué d'huile et de salaisons de poisson, mais aussi des amphores du type Keay 25[N 6] et des spatheia[N 7] de tailles variées pour conserver des olives ainsi qu'en témoigne la présence persistante de noyaux. De surcroît il existe un lot important de plats et d'assiettes en céramique sigillée claire, et peut-être, chose rare et voire unique, un chargement complet de tubuli de voûte — ou fusées céramiques[N 3]. La cargaison indique que le navire vient de l'Afrique romaine et même très vraisemblablement d'un port de l'actuelle Tunisie. Les pièces de monnaie trouvées à bord permettent une datation du naufrage à l'époque du royaume vandale. L’épave est bien la preuve que la conquête vandale ne caractérise pas une interruption mais au contraire un maintien du trafic maritime entre Rome et l'Afrique[34].
Île privée
[modifier | modifier le code]Lors d'une croisière de huit jours en à bord de son cotre Bel-Ami, Guy de Maupassant dans son récit Sur l'eau décrit l'éclat des lieux : « La rade d'Agay forme un joli bassin bien abrité, fermé, d'un côté, par les rochers rouges et droits, que domine le sémaphore, au sommet de la montagne, et que continue, vers la pleine mer, l'île d'Or, nommée ainsi à cause de sa couleur[35] ». Puis deux jours plus tard, il s'y arrête pour une partie de pêche : « Une demi-heure plus tard, nous embarquions tous les trois dans le youyou et nous abandonnions le Bel-Ami pour aller tendre notre filet au pied du Drammont, près de l'île d'Or[36]. »
Le , l'État vend aux enchères le rocher appelé l'île d'Or. Léon Sergent (1861-1931[37])[I 3] en fait l'acquisition pour 280 francs[38],[39] — soit 1 112,16 euros en 2019[40]. À titre de comparaison à la même date le prix d'une bicyclette « de travail » — le salaire moyen mensuel d'un ouvrier est de 150 francs[41] — varie de 250 à 400 francs[42],[N 8], alors qu'une automobile Peugeot, dont la construction en série vient de naître, varie de 7 000 à 25 000 francs selon les modèles[43]. Léon Sergent est un boursier de l'École nationale d'arts et métiers d'Aix qui forme des chefs d’ateliers et des contremaîtres d’usine. Il se déclare géomètre lors du recensement de 1881 à Saint-Raphaël. En effet il se trouve dans cette ville où s'arrêtent en 1863, trois trains par jour, dans chaque sens, qui relient Paris à Cannes. Certes, la bourgade est alors moins connue et moins mondaine que Cannes ou Nice mais elle est moins chère et commence à fixer l'aristocratie anglaise qui prise cette French Riviera[N 9] découverte sur le chemin de l'Italie[45]. C'est ainsi qu'il épouse le Catherine Mary Bentall (1859-1952) une riche anglaise en villégiature. Devenu l'un des architectes de Saint-Raphaël, il est donc aussi bien introduit dans la colonie anglaise dont il devient peu après 1894 vice-consul[46]. Cette proximité laisse supposer que c'est ainsi qu'il fait la connaissance du docteur Auguste Lutaud[I 4]. Pendant quelques années sa famille et ses amis profitent de l'île. Ils y vont en pique-nique, parfois ils y passent la nuit à la belle étoile[47].
Royaume autoproclamé
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Un acte notarié, détenu par les descendants du Dr Lutaud[49], établit la vente de l'île le par Léon Sergent et Catherine Bentall, son épouse, à Auguste Lutaud — il en a l'usufruit et ses deux fils la nue-propriété — pour 300 francs-or[39] — soit 1 191,73 euros en 2019[40]. Selon Bureau-Lagane, les successeurs de Lutaud rapportent qu'à la suite d'une partie de whist Léon Sergent « ayant perdu une somme assez importante, propose de le [Lutaud] rembourser en cédant l'île[50] ». Ceci semble une rumeur peu vraisemblable ; l'hypothèse d'une proposition d'achat à Sergent, dont le départ prochain et définitif dans le Jura est connu, paraît plus probable[49].
Auguste Lutaud (1847-1925) est un gynécologue qui, après une thèse soutenue à Paris en 1874, est médecin de l'hôpital français de Londres. Puis il séjourne en Angleterre et voyage aux États-Unis avant de se fixer à Paris[51] où il est médecin à l'hôpital Saint-Lazare initialement lieu de traitement pour femmes[52]. Ce praticien anglophone d'un certain renom, découvre la Côte d'Azur par le biais de ses clientes anglaises qui vont se reposer à Cannes et à Nice[53]. Le il achète à Valescure, quartier de Saint-Raphaël, le chalet Les Mimosas, maison de gardien du pensionnat des Demoiselles — actuellement La Moineaudière[I 5] —, à la société civile des terrains de Saint-Raphaël Valescure qui le cède par adjudication en raison d'une liquidation judiciaire[54]. Puis le il fait, dans les mêmes conditions, l'acquisition de la pension qu'il transforme en maison de cure — hôtel Continental puis hôtel des Anglais —[55] en prenant pour architecte Léon Sergent avant de la revendre le [56],[57],[58],[I 6]. Entre-temps ayant acquis toujours de la même société le un terrain contigu[59], il y fait construire la villa des Agaves[60] par Léon Sergent. Ce pavillon de gardien avec écuries au rez-de-chaussée[61],[62] est revendu avec l'hôtel des Anglais[56]. Il réside de nouveau en 1908 et en 1909 au chalet Les Mimosas[63],[64] vendu finalement le [65]. Initialement locataire d'un chalet forestier au pied du Dramont, il fait bâtir une maison sur le domaine public grâce à un bail emphytéotique de trente ans obtenu en 1905[66] qui donne sur le port abri du Poussaï et d'où il voit l'île. Il nomme cette demeure chalet de l'île d'Or[67]. Ses successeurs y passent encore leurs vacances[68].
Alors qu'il a soixante-deux ans, dès le , il fait construire sur l'île qu'il vient d'acquérir une tour — dite de nos jours tour sarrasine[N 11] —[I 7]. La section est carrée, ce qui est particulier. Ainsi, en Corse, où des tours génoises se trouvent en grand nombre, les sections en sont très majoritairement rondes[69]. Par ailleurs il est établi que « les tours quadrangulaires […] ont une plus grande capacité d'élévation[70] ». Ainsi que l'indique la presse d'époque, Léon Sergent, précédent propriétaire et architecte, construit la tour[71]. Ceci est toujours présent dans « les souvenirs de ses descendants[72] ». Il fait partie des invités lors de l'inauguration[73]. Pierre-François Cabasse agit en tant qu'entrepreneur[74],[I 7] et Augustin Camba, dessinateur de l'architecte[75], est retenu[76]. Enfin les carriers qualifiés pour l'extraction des pierres[77] et les tailleurs de pierres pour leur mise en forme[78], employés au Dramont sont commis[68],[N 12]. Selon les propos d'Anne-Marie Guillot[N 13], descendante d'Aurelio Borgini tailleur de pierre et restaurateur au Dramont[N 14] — et père d'Amelia, future marraine de l'île —, le campanile crénelé à section carrée qui surmonte l'église San Martino e Sisto de Vellano[I 8] — proche de Pescia en Toscane — d'où proviennent ces ouvriers italiens du Dramont influence peut-être la construction[79],[82],[N 15]. Cette hypothèse est controversée[N 16]. L'eau, le sable, le ciment et les poutrelles d'acier nécessaires à la solidité de l'édifice sont acheminés par bateau. Mais la pierre, hormis celle des créneaux qui vient d'Italie, est extraite de l'île même ce qui explique la couleur rouge de la construction[76],[N 17]. Elle a une emprise au sol de huit mètres sur huit pour une hauteur de dix-huit mètres qui inclut cinq étages. Les murs ont une épaisseur d'un mètre à la base qui va en s'amenuisant. Le tout est couronné par un faux-mâchicoulis sur consoles crénelé. L'ensemble est terminé en après seize mois de travaux[76].
Le l'inauguration, rapportée par la presse locale et nationale[85], est célébrée dans une ambiance Belle Époque. Devant tous les élèves de l'école du Dramont, la meilleure d'entre eux présente sur un coussin rouge des branches de chêne, d’olivier et de laurier qui symbolisent l'honneur, la paix et la gloire[86]. Puis elle adresse un hommage[N 20] au propriétaire qui est couronné « Roi de l'île d'Or » par Angelo Mariani, son père spirituel du jour. Enfin lui sont remises une clef et une couronne dorées[88] ainsi qu'un sceptre dont l'une des extrémités représente un trident[N 21],[87]. À son tour, cette fillette, Amelia Borgini, est couronnée et élevée au rang de princesse d'un jour[89] puis elle reçoit cette clé symbolique — comme en témoigne un cliché de la cérémonie — qui permet d'accéder au royaume et d'y pêcher en l'absence de sa majesté[79]. Il semble alors que l'île s'appelle momentanément « Sainte-Amélie »[89]. Lors de cette inauguration, à laquelle assistent Louis Hudelo, préfet du Var, Oscar Roty, médailleur, Antoine Lumière, père des photographes, etc. probablement pour faire prévaloir une ambiance sarrasine il déclare : « Mahomet […] autorisait la polygamie pour les hommes seulement ; moi, je l'autorise pour les hommes et pour les femmes[90]. » Ceci est ponctué de l'hymne royal[91],[90],[92]. Un bal clos le banquet[93].
Ultérieurement ayant pris le titre d'Auguste Ier, roi de l'île d'Or, sa majesté fait sienne la devise « Le salut est dans la sincérité[N 22] »[10]. Les armoiries du roi autoproclamé apparaissent. Son blason évoque un écu divisé en 4 parties :
- représente une tour sur une île dans la mer avec un soleil levant depuis la droite ;
- a pour fond deux parties, en haut unicolore, en bas des bandes horizontales de couleurs alternées, avec par-dessus un croissant aux pointes vers la gauche et une étoile ;
- a le même fond que le précédent mais avec un trident entrelacé avec un serpent[N 23] ;
- représente une langouste.
Les supports sont constitués de deux monstres dressés en vis-à-vis sur deux branches d'olivier. L'ensemble est surmonté d'une couronne. Ceci est dominé par Insulae Aureæ Proprio Motu[N 24],[N 25]. Ses armes figurent aussi sur les ex-libris de sa bibliothèque[I 1] et sur les cartes postales qu'il élabore[I 2],[I 9],[N 26]. Une grande plaque incluse dans la roche et faisant face au Dramont les porte aussi. Il fait également émettre des vignettes représentant la tour sur son île. Enfin lors de sa présence, il fait hisser au sommet de la tour un drapeau carnation sur lequel figurent un croissant et une étoile à cinq branches symbole de la civilisation islamique[86],[96],[97].
Le souvenir de deux fêtes-anniversaires mémorables de ce couronnement nous est parvenu. Lors de ces réceptions certains invités se rendent sur l'île, mais le repas fastueux est donné au Dramont, sous les pins, où il est plus aisé de servir un banquet pour une centaine de convives. L'île et sa tour servent alors de décor. Les menus sont agrémentés par Albert Robida[I 10] dessinateur et caricaturiste célèbre à son époque qui illustre déjà Le Parnasse hippocratique du Docteur Minime[98] — nom de plume de Lutaud. Nous avons bien connaissance de la première le [99],[100],[I 10] au cours de laquelle Angelo Mariani remet au roi des médailles commémoratives — avec l'année de création du royaume selon le calendrier hégirien — figurant également les armes et le domaine royal[N 27],[N 28],[N 30],[100], mais celle qui est annoncée[104],[105] puis fait l'objet de comptes-rendus dithyrambiques dans la presse locale[106],[107] et nationale[108] est donnée en l'honneur de Charles Lutaud, gouverneur de l'Algérie, frère du roi Auguste Ier, le . Entre autres[109], parmi les invités se trouvent le général Gallieni et son épouse. Pour imaginer l'ambiance, au milieu d'un beau parterre convié par Xavier Paoli, chef des Commandements de sa majesté[I 12], lors des toasts Auguste Ier nomme ministre de la Marine Ernest Grandclément, avocat lyonnais, qui, en arrivant, a tiré quelques coups de canon depuis son yacht Estello et il nomme consul de son royaume à Londres Lord William Cecil. Puis il propose de revenir à une république ce qui provoque un tollé de ses sujets qui se prononcent pour le maintien d'une royauté. Ces agapes se prolongent en soirée par un verre de champagne chez un membre de la bonne société raphaëloise[107]. Alors que l'île n'est jamais habitée[49], Auguste Ier n'abdique pas et conformément à ses dernières volontés l'urne contenant ses cendres repose dans un rocher de l'île derrière une plaque où figure 1925, l'année de son décès[110].
Débarquement de Provence
[modifier | modifier le code]Durant la Seconde Guerre mondiale, la tour est pillée et le blason du roi Auguste qui orne le grand rocher face au littoral sert de cible à une batterie de l'occupant. De ce fait il n'en subsiste que quelques traces[111]. Le , a lieu le débarquement de Provence — Operation Dragoon[N 31] — qui crée un second front en France. Les plages de débarquement situées sur le flanc droit de la zone d'assaut portent le nom de code Camel. Elles s'étendent sur environ quinze kilomètres depuis la rive est de la rivière Argens à Agay. Elles sont attribuées à la 36e division d'infanterie — dite Texas Division[N 32] —, sous le commandement du major général John E. Dahlquist. Trois plages sont retenues et parmi celles-ci se trouve au centre celle du Poussaï — Camel Green Beach —, face à l'île d'Or. En première instance cette plage de galets[N 33] est considérée comme assez grande pour les opérations initiales, mais trop petite pour des forces de suivi. Les 2e et 3e bataillons du 141e régiment d'infanterie mènent ensemble l'assaut. Ils ne rencontrent que l'opposition d'armes légères. Au cours de la préparation et de l'engagement « un seul obus est rentré dans la tour par une fenêtre et par miracle il n'a pas explosé[111]. » Puis le 143e régiment d'infanterie débarque comme prévu sur le terrain conquis. Finalement, il est suivi, sur ordre du commandant de la force opérationnelle navale 87, le contre-amiral Spencer S. Lewis, par le 142e régiment qui renonce à un débarquement à Fréjus en raison de l'opposition ennemie. Ce sont donc vingt mille soldats qui débarquent devant l'île en moins de dix heures[116],[117].
Face à l'île d'Or se tiennent alors des commémorations. Lors du premier anniversaire, le , un monument aux morts surmonté d'une immense croix de Lorraine est inauguré en présence du général de Lattre de Tassigny et du ministre de la guerre André Diethelm. Pour clôturer l'évènement un feu d'artifice est tiré et une fusée en retombant met accidentellement le feu à la tour ce qui en détruit l'intérieur hormis l'escalier[111]. Les propriétaires reçoivent, en , au titre des dommages de guerre 7 343,92 NF — soit 12 117,67 euros en 2019[40] —[66]. La plage vue depuis l'île devient la plage du Débarquement et vingt ans plus tard, le , le général de Gaulle y inaugure, en place de la croix de Lorraine, un monument en estérellite[111],[N 33].
Résidence secondaire
[modifier | modifier le code]En 1962, Léon, le second et dernier fils d'Auguste Lutaud, vend à François Bureau (1917-1994[118])[119],[I 13] la presque totalité de l'île en excluant la partie qui abrite la tombe de son père. Son fils Olivier lui cède en 1965 cette parcelle[120]. Après la Seconde Guerre mondiale cet ancien officier de la Marine française, qui dès son origine appartient aux Forces navales françaises libres, dirige la compagnie de navigation Denis frères (CNDF) avant d'en être le président[121]. Il passe alors ses vacances aux Issambres, quartier de Roquebrune-sur-Argens, et probablement lors de navigations il est séduit par le lieu[66]. Dès son acquisition, en un an, il restaure la tour dont il ne reste que les murs extérieurs et l'escalier. Il consolide les façades et les créneaux, restaure les étages en respectant les ouvertures d'origine et crée de nouvelles citernes. Enfin il développe par apport de terre un jardin méditerranéen. Plus tard, pour disposer d'électricité, il installe un groupe électrogène. Ceci lui permet, de façon spartiate, d'y passer en famille toutes ses vacances[122]. Le matin du , lendemain de sa participation à la 50e commémoration du débarquement de Provence, il meurt à 76 ans lors de l'un de ses traditionnels tours de l'île à la nage[123]. Une plaque en granit rose est apposée par ses enfants sur un rocher face au large pour rappeler son attachement à l'île[124].
La propriété appartient toujours à sa famille qui entreprend en 2000 une campagne de restauration sous l'égide de l'architecte Olivier Detroyat[125]. Elle étanchéifie les façades et rénove les créneaux. L'eau de pluie est récupérée sur le toit. Cette eau contenue dans deux citernes est non potable. L'une est destinée à alimenter les étages par gravité, l'autre, au pied de la tour, sert de stockage. Le gaz alimente quelques appareils ménagers. Enfin l'électricité est fournie depuis 2012 par des panneaux solaires sur le haut du toit derrière les créneaux[123]. Pour mémoire, il existe un vitrail créé par Jacques Robinet[126]. La tradition de grandes fêtes à l'occasion d'anniversaires du royaume est maintenue. Ainsi pour le centenaire de la fête mémorable de 1913 un concours d'arts graphiques est organisé[127] et le , une randonnée kayak précède une course à la nage autour de l'île, sans omettre une régate, suivie d'une grande anchoïade offerte à tous, puis dans l'après-midi ont lieu des joutes nautiques. En soirée, la remise des prix des concours annonce un apéritif puis vient une grande paella, l'ensemble est clos par l'embrasement de la tour et un feu d'artifice à la tombée de la nuit[128]. En saison estivale, les alentours de cette île privée constituent un site apprécié pour la pratique de la plongée sous-marine, du kayak de mer qui en fait facilement le tour ou pour un mouillage bref lors la navigation de plaisance. Le pavillon de la compagnie de navigation Denis frères, aujourd'hui disparue, flotte lorsque la tour est occupée — comme le fait à son époque l'emblème du roi Auguste Ier —[123].
Personnalités invitées
[modifier | modifier le code]Auguste Lutaud organise de grandes réceptions mondaines. Ainsi une partie des invités est citée par la presse tant lors de l'inauguration du royaume qu'en 1911 ou pour la fête-anniversaire du . Les nombreux journalistes conviés témoignent du souhait de publicité. Les médecins, qui constituent l'entourage professionnel, ne manquent pas. Quant aux membres de la bonne société en villégiature à Saint-Raphaël, ils assurent l'éclat des fêtes[90],[107]. Plus récemment quelques personnalités sont conviées[129].
Belle Époque
[modifier | modifier le code]Après celle de 1911[100], Auguste Ier donne la fête de 1913 en l'honneur de la visite officielle de son frère cadet Charles Lutaud (1855-1921[130]) gouverneur général de l'Algérie du au [131]. Il s'agit d'un haut fonctionnaire qui occupe de nombreux postes de préfet. Alors préfet du Rhône, il fait la connaissance du général Gallieni (1849-1916[132]) gouverneur militaire de Lyon et ils se lient d'amitié. Ce dernier passe ses périodes de congé à La Gabelle, sa propriété de Fréjus[133], où il convie souvent Charles Lutaud[103]. Le passé colonial du général — Afrique noire, Indochine, Madagascar — et la fonction en Afrique du Nord de Lutaud, qui considère que les musulmans ne peuvent devenir égaux en droit aux Français qu'après une période dite d'assimilation[134], sont vraisemblablement autant d'éléments qui expliquent leur présence conjointe.
Les invitations, adressées à une centaine de personnalités[107], sont formulées par Xavier Paoli (1833-1923[135]), chef des Commandements du roi. Ce Corse a pour ancêtres le général Paoli et est allié par sa mère au maréchal Sébastiani[136]. Son titre officiel de « commissaire spécial de la police des chemins de fer de Paris-Lyon-Méditerranée[137] » est obscur et discret. Il ne reflète pas celui d'« ancien commissaire délégué auprès des souverains en France » sous-jacent à son nom lorsqu'il publie ses mémoires — Leurs Majestés — libéré de toute obligation de réserve[138]. En effet il est attaché à la police politique et doit assurer la sécurité des souverains étrangers lors de leur séjour incognito en France, rapporter quotidiennement au ministère de l'Intérieur leurs faits et gestes et rendre « leur séjour chez nous aussi agréable que possible. » Ce « gardien de Rois » est le « grand chambellan de la République »[139]. Cette fonction se retrouve au sein du royaume de l'île d'Or.
Les cartons d'invitation doivent être retournés avant le chez Angelo Mariani (1838-1914[141]) à la villa Mariani — ou villa Andréa[142] — de Valescure[I 12]. Ceci témoigne de sa proximité avec son parent Paoli qu'il reçoit par ailleurs chez lui[143],[144]. Mais plus que tout, ce préparateur en pharmacie corse qui invente et commercialise le vin Mariani à base de feuilles de coca macérées dans du vin de Bordeaux — distribué dans le monde entier[145] — est un ami d'Auguste Ier. L'hospitalité accordée à ce dernier par Julius Jaros, beau-frère de Mariani, à New-York lors d'un périple aux États-Unis d'Amérique en témoigne[146]. Plus tard, après l'inauguration de la tour, Georges Régnal[N 35], directeur de la Simple Revue, rapporte : « par modestie, M. Mariani n'avait pas permis que le vin de coca figurât sur le menu, mais il en fut fait une rude consommation. Dans l'île on s'en restaura, ou bien on le prit comme apéritif ; et sur la terre ferme, sous prétexte qu'il est digestif, les amateurs ne s'en privèrent pas[148]. » De même une dédicace fort aimable accompagne le portrait d'Auguste Lutaud dans les Figures contemporaines, tirées de l'album Mariani[51]. Ainsi qu'en témoignent les photographies et les listes d'invités ce proche participe aux fêtes.
La colonie anglaise est aussi présente avec Lord et Lady William Cecil qui appartiennent à l'aristocratie anglaise. Lord William Cecil (1854-1943) est un officier membre de la cour d'Angleterre. En 1892 il est nommé Groom in Waiting de la reine Victoria jusqu'à sa mort en 1901. Il n'est donc pas étonnant que le roi Auguste Ier le nomme consul à Londres — d'autant que plus tard, en 1927, il est nommé Gentleman Usher de George V[149]. Son épouse, Mary Rothes Margaret Cecil (1857-1919[150]), est à l'origine de leur présence à Valescure puisque le couple séjourne à la villa Lou Casteou construite le par son père William Amhurst Tyssen-Amherst[151],[152]. Dès le début du XXe siècle, en raison des fouilles archéologiques qu'elle mène et qui donnent lieu à des publications, elle fait partie comme son père du milieu égyptologique[153],[154].
Les artistes ne manquent pas quel que soit leur domaine. Certes Antoine Lumière (1840-1911[155]) — père des frères Lumière —, peintre et photographe, n'assiste qu'à l'investiture du fait de sa disparition. Il vient d'Anthéor, proche quartier de Saint-Raphaël, où une bastide construite à sa demande en bord de mer lui permet de s'adonner à la peinture[156]. De même Oscar Roty (1846-1911[157]), propriétaire depuis 1897 de la villa Marie à Valescure[158],[159], n'assiste qu'au couronnement. Ce médailleur connu notamment pour sa création de la Semeuse, membre de l'Académie des beaux-arts, est le ministre des Beaux-Arts[160]. Mais Carolus-Duran (1837-1917[161]) est toujours présent. Son appartenance en 1905 à l'Académie des beaux-arts et sa nomination comme directeur de l'Académie de France à Rome — villa Médicis — sont rappelées. Ce portraitiste « à la mode » fait construire une villa à Saint-Aygulf en 1880[162], il vient donc de Fréjus en voisin[163]. Parmi les académiciens se trouve aussi Jean Aicard (1848-1921[164]) membre de l'Académie française depuis 1909. Ce poète, dramaturge et romancier affectionne particulièrement la Provence et séjourne fréquemment à Saint-Raphaël[165],[166]. Selon la presse il est ministre de l'Instruction publique[167]. L’atmosphère festive et irréelle est bien rendue par P[arisette] qui indique que Paul Bertnay — anagramme de François Xavier Louis Paul Breynat — (1846-1928)[168] « se demandait si cent cinquante feuilletons suffiraient pour raconter la très véridique aventure de la princesse captive qu’il avait certainement entendu gémir dans une oubliette de la tour[100]… » Ce journaliste et romancier populaire lyonnais invité à l'inauguration comme aux fêtes à venir réside lors des périodes balnéaires à sa villa Paulotte d'Anthéor, proche quartier de Saint-Raphaël[169],[170].
La présence du monde politique témoigne de l'importance souhaitée pour ces festivités. Ainsi Louis Hudelo (1868-1945[171]), préfet du Var, est toujours présent. La presse mentionne malicieusement qu'ainsi la République semble adouber un roi[90]. Émile Flach (1853-1926[172]), ancien magistrat, ministre d’État de la principauté de Monaco — fonction créée en 1911 — assure également de sa présence. Mais le plus titré est Julien Simyan (1850-1926[173]) ancien sous-secrétaire d'État aux Postes et Télégraphes. Cet invité de marque est le premier à porter un toast lors du repas de 1913[107].
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Jean Aicard (1848-1921).
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Paul Bertnay (1846-1928).
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Carolus-Duran (1837-1917).
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Mary Rothes Margaret Cecil (1857-1919).
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William Cecil (1854-1943).
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Émile Flach (1853-1926).
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Joseph Gallieni (1849-1916).
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Louis Hudelo (1868-1945).
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Antoine Lumière (1840-1911).
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Charles Lutaud (1855-1921).
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Angelo Mariani (1838-1914).
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Xavier Paoli (1833-1923).
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Oscar Roty (1846-1911).
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Julien Simyan (1850-1926).
Fin du XXe siècle
[modifier | modifier le code]Plus récemment, les occupants invitent à plusieurs reprises l'amiral Philippe de Gaulle (1921-2024[174]) qui possède une villa à Agay[175]. L'amiral John Templeton-Cotill (1920-2011[176]), qui habite le moulin de Ribas à Roussillon, est aussi convié. Cet officier de marine de la Royal Navy est connu de François Bureau avec qui il navigue comme officier de liaison de 1940 à 1944 sur l'aviso Chevreuil qui appartient aux Forces navales françaises libres[119]. Loin de toute attache militaire, Yvon Gattaz (1925-[177]), propriétaire d'une résidence secondaire à Boulouris, y est également accueilli[178].
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Yvon Gattaz (1925-)
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Philippe de Gaulle (1921-2024).
Source artistique
[modifier | modifier le code]L'île d'Or du Dramont est un site inscrit depuis le . Elle est depuis le incluse à ce titre dans le massif de l'Esterel oriental[179],[180]. La roche faite de rhyolite rouge, qui est également le matériau de construction de la tour, avec très peu de végétation, donne toute l'originalité du lieu et son enchantement. Le décor est tel que « l'île d'Or et sa tour sont l'un des sites les plus photographiés du littoral, et aussi une référence touristique et publicitaire pour Saint-Raphaël[76]. »
Poèmes
[modifier | modifier le code]Les chatoiements de l'île d'Or font rêver et en 1909 Gustave Dhyeux (1879-1965[181])[N 36], homme de plume bourguignon[182], lui consacre un poème dans son recueil de poésies Album de Saint-Raphaël-en-Provence.
Île d'Or ! Île de chimères ! |
On voit, à l'aube, sur cette île |
Arts graphiques
[modifier | modifier le code]En 1910, Charles Pardinel produit l'aquarelle Le Dramont et l'île d'Or vus de Boulouris[I 14] qui sert d'entête à l'article « Le Dramont » paru en 1932 dans l'Illustration[I 15]. En 1936, Alphonse Donnadieu, archéologue et conservateur du musée de Fréjus, demande à Paul Bret d'illustrer son ouvrage Paysages de Provence. Celui-ci exécute cent-dix-huit dessins et représente Le Dramont par une création légendée L'Île d'Or[I 16]. Toujours en 1936, le peintre officiel de la Marine Léon Haffner illustre son ouvrage À l’assaut des océans avec notamment une galère du XVIIe siècle. Celle-ci vogue toutes voiles dehors devant l'île d'Or avec — de façon anachronique pour un tel siècle — la tour déjà érigée. L'illustration s'intitule Les Voiles en oreilles de lièvre[184] ce qui est un qualificatif marin. Celui-ci est issu de l'allure au portant[N 37] sous laquelle le navire parait. En effet dans cette configuration — de vitesse optimale —, la voilure est déployée sur chaque bord comme cela est représenté[186]. En 1972, Pierre Boudet réalise une peinture à l'huile sur panneau (27 × 35 cm) nommée comme son sujet L'île d'Or près de Saint-Raphaël. Il n'y emploie pas la technique pointilliste pour laquelle il est connu, mais ayant posé son chevalet peu avant le port abri du Poussaï, il rend compte du paysage avec de nombreuses couleurs[I 17]. Marcel Bouissou, professeur aux Beaux-Arts de Paris, lors d'un séjour sur l'île dessine de façon imaginaire la tour, qui devient un donjon rond, flanqué d'une tour ronde avec quelques meurtrières. Devant la fortification un chevalier vêtu d'une armure monte la garde à pieds armé d'une très longue lance. Ce dessin est intitulé : L'île d'Or en rêve[187]. Le , Ronan Olier est invité comme peintre officiel de la Marine par un amiral, avec huit autres des siens, à fixer la commémoration du soixantième anniversaire du débarquement de Provence. À cette occasion, il saisit l'ensemble du lieu face à la plage du Débarquement et fait figurer sur sa toile l'île. Il donne à son œuvre le titre de La petite île qui inspira Hergé pour L'Île Noire [188]. Le sont remis les prix d'un concours de peintures organisé à l'occasion du centenaire du second anniversaire de la création du royaume[127].
Films
[modifier | modifier le code]Avant 1924, Georges Régnal écrit dans sa Simple Revue : « Si un jour vous voyez présenté un drame moyenâgeux ayant pour titre Le Seigneur de l'île d'Or vous n'ignorerez plus qu'il eut pour décor la tour du Dr Lutaud[189] ». En 1965, dans une scène du film Le Corniaud, qui se déroule prétendument en Italie, l'autostoppeuse Ursula (Beba Loncar) alors qu'elle prend un bain nocturne nue sur la plage du Débarquement est rejointe par Mickey dit Le Bègue (Venantino Venantini). L'île d'Or occupe l'arrière-plan de la scène, qui a lieu à 1 h 7 min 15 s[I 18],[190]. Entre 1994 et 1995 de nombreux passages des cent-quatre épisodes de la série télévisée Extrême Limite sont tournés devant l'île[191]. En 2016, dans le film Planetarium Laura Barlow (Natalie Portman) s'allonge sur la plage du Débarquement nue pour prendre un bain de soleil avec l'île en arrière-plan[I 19].
Décors et promotions
[modifier | modifier le code]En 1930, Michelin utilise pour l’une des 160 illustrations de son guide Côte d'Azur, Haute-Provence un dessin de l’île[192],[I 20]. Pour l'année 1933, les Postes et Télégraphes font éditer un almanach sous forme d'une feuille cartonnée en vert dont l'image centrale, signée JL Beuzon[N 38], représente l'île[I 21]. Déjà avant 1939 la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée (PLM) met en place dans ses wagons une affiche promotionnelle où figure l'île d'Or[I 22]. En 2016, l'illustrateur Richard Zielenkiewicz — qui signe Monsieur Z — figure le lieu sur une affiche[I 23]. Pour son édition de 2016/2017, Hachette dans sa collection Le Routard, utilise une photographie de l'ile sur la première de couverture de son guide Estérel, Côte d'Azur[I 24].
Bandes dessinées
[modifier | modifier le code]Peut-être que l'île d'Or sert d'inspiration à Hergé lorsque paraissent, entre le et le , Les Nouvelles Aventures de Tintin et Milou dans Le Petit Vingtième. En effet, fin 1938, Casterman édite sur cette base l'album L'Île Noire qui est le septième de la série des Aventures de Tintin[123]. Ceci parait conforté lors de l'approche de l'île par la mer depuis l'est. Ainsi à droite de la tour il existe un rocher ressemblant à un gorille de profil comme le brave Ranko décrit dans l'histoire. En réalité l’étude rétrospective de l’album indique que le gorille est plutôt à attribuer à la double influence du film King-Kong et au monstre du loch Ness bien écossais[195]. Les hypothèses quant à l’île modèle sont nombreuses. Selon le mensuel Ça m'intéresse, Hergé vient dans le sud au cours des années 1930, ainsi en longeant la mer Méditerranée depuis Cannes il se trouve sur la corniche de l’Esterel[196]. Cependant la majorité des tintinophiles réfutent l'idée d'un tel voyage[197]. Charles Dierick, membre des Studios Hergé, se penche sur l’énigme et souligne l'absence de gravure ou de photographie évoquant le lieu parmi les 20 000 feuillets laissés par l’auteur[198]. Sachant que cette aventure est censée se dérouler sur une île écossaise où la tour est transformée en véritable château surmonté d'un donjon alors rond[I 25],[N 39], il analyse plusieurs îles fortifiées. Bien qu'elles soient considérées comme possibles par les uns ou les autres, il doit conclure qu’aucune n’est compatible — y compris l'île d'Or couronnée ni d’un château, ni d’une tour ronde —[199],[N 40]. Adoptant alors une démarche inverse, il cherche parmi la documentation d'Hergé un château évoquant celui de L'Île Noire qui permet d'attester de l'île. Trois d'entre eux servent très probablement de modèle pour l'intrigue. Il s'agit d'après une gravure ancienne du château de Warwick, toujours selon une gravure ancienne et un cliché du château d'Arundel et pour l'intérieur du château de Beersel, mais aucun n'est insulaire[205],[N 41]… Ce qui lui fait écrire à propos de l'existence de l'île : « L'imagination y est libre[207]. » Ceci se retrouve sur le site officiel tintin.com qui stipule : « Plusieurs hypothèses se disputent l'origine de l'île qui abrite le château de Ben More. Si d'aucuns y voient les escarpements de côtes rocheuses bretonnes qui auraient inspiré le paysage de l'île, d'autres n'hésitent pas à la situer en Méditérranée [sic], sur la Côte d'Azur du côté de Saint-Raphaël (il s'agirait de l'île d'Or)[208]. »
En , Anne Joncheray élabore le scénario, illustré par Dominique Serafini, d’une bande dessinée Les Trésors de l'île d'Or[209],[I 37]. Deux jeunes plongent depuis un kayak devant l’île d’Or. Un poulpe caché dans une amphore leur fait découvrir une épave coulée il y a 2 000 ans. L’objet est de promouvoir et protéger le patrimoine marin en sensibilisant les jeunes. Ceci bénéficie de fonds européens, du support de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur et de l’Association pour la pêche et les activités maritimes (APAM). En effet l’écrit commercialisé est aussi distribué aux élèves scolaires, médiathèques, et acteurs en lien avec des activités maritimes[210],[211].
Photographies
[modifier | modifier le code]En 1937, le géologue et ingénieur Leo Wehrli, de nationalité suisse, lors d'un voyage en France ne manque probablement pas d'être interpellé par la couleur de la roche de la région. Il réalise alors des clichés, sous forme de diapositives, dont certains concernent l'île d'Or et sont conservées à la bibliothèque de l'École polytechnique fédérale de Zurich[I 38]. Durant deux ans, sur son navire Le pêcheur d'images, Philip Plisson, peintre officiel de la Marine, effectue un reportage photographique à propos de toutes les côtes françaises. Ceci lui permet de publier La France depuis la mer avec dans le volume Des Pyrénées à Menton à la date du plusieurs clichés de l'île d'Or sous différents angles depuis le large[212]. À l'automne 2010, à l'occasion des Voiles de Saint-Tropez, Gilles Martin-Raget, photographe officiel de nombreuses courses au large, prend un cliché de la goélette Atlantic toutes voiles dehors avec l'île d'Or en arrière-plan. Celle-ci, lancée en 2008, est la réplique exacte de la fameuse goélette à trois mâts de Charlie Barr de 1903. Elle établit en 1905 le record de la traversée de l'Atlantique nord à la voile en 12 jours puis le détient pendant 75 ans[213]. En 2012, Michelin choisit, pour illustrer la couverture de son guide vert Côte d'Azur. Monaco, une photographie de l'île[I 39]. Le sont remis les prix d'un concours de photographies organisé à l'occasion du centenaire du second anniversaire de la création du royaume[127].
Musique
[modifier | modifier le code]Le , Benjamin Fincher créateur d'une musique électronique alternative, sort chez Super Issue l'album Santa Lucia — du nom d'une crique de Saint-Raphaël où enfant il passe ses vacances. Celui-ci comprend, comme le nombre de gares, neuf pistes accompagnées chacune d'un cliché en couleur. L'ensemble est scrupuleusement chronométré afin de coïncider au trajet en train de Saint-Raphaël à Cannes. Le troisième morceau musical, qui correspond à la gare du Dramont, s'intitule L'île où dort M. Lutaud (Le Dramont) et dure 2 min 41 s[214],[215].
Cartes postales
[modifier | modifier le code]Le décor particulier qui entoure l'île et l'emblème qu'elle représente pour Saint-Raphaël en raison de sa tour, explique les très nombreuses cartes postales qui la figurent. Elle parait donc sur les cartes postales anciennes. Ainsi, avant toute construction, vers 1900, elle est déjà le sujet d'une phototypie en noir et blanc éditée par Paul Helmlinger et Cie dans une série intitulée La Côte d’Azur sous le titre Le sémaphore d'Agay et l'île d’Or[I 40].
Dès 1910[N 42] , Auguste Lutaud fait éditer à partir d'un cliché une carte postale en noir et blanc visualisant l'île d'Or et sa tour vues depuis l'Est. Cette carte porte au recto en haut à gauche l'inscription arabe النَّجَات فِي الصَّدْق (elnajât_ fî elSadq_)[N 43], à droite ses armoiries et au centre, sous-jacent à l'île, se trouve en Latin Insula Aurea. Elle est dénommée St-Raphaël. L'île d'Or et la tour sarrazine, chaine de l'Estérel et des Maures. À la même époque, au début des années 1910, Antoine Bandieri[N 19], photographe éditeur exerçant à Saint-Raphaël place Pierre-Coullet[217], invité au couronnement et à toutes ses commémorations édite deux cartes postales respectivement intitulées Saint-Raphaël (Var). L'île d'Or et la tour sarrazine et St-Raphaël. L'île d’Or, la tour sarrasine et le sémaphore du Dramont, vus du large[I 41]. Ce n'est que le début d'un engouement. En témoignent les très nombreuses rééditions vers les années 1910 à 1930 d'une phototypie au format 9 × 14 cm de Lévys fils & Cie — ultérieurement Levy et Neurdein réunis[218] — intitulée Agay. Corniche d'Or. Rocher du Dramont et l'île d'Or. Les exemplaires sont tantôt noir et blanc, tantôt colorisés et pour certains bilingues ce qui témoigne de l'intérêt de la colonie anglaise[I 42]. Une des premières cartes postales semi-moderne réalisée à partir d'un cliché aérien, probablement dans les années 1950-1955, par un procédé photographique appelé le bromure semble être Le Dramont. L'île d'Or et vue sur le sémaphore[219] éditée par La Pie Service aérien (Les Applications photographiques d'industrie et d'édition)[220]. Ultérieurement viennent d'innombrables cartes postales modernes réalisées par impression offset à partir de photographies argentiques puis à ce jour à partir de clichés numériques.
Philatélie
[modifier | modifier le code]Auguste Ier émet dès 1910[N 45] des vignettes bleues et blanches aux formats portait — 19 × 24 mm — et paysage — 40 × 23 mm —[222],[N 46], ayant l'apparence de timbres postaux, commémorant l'avènement de son royaume. Cependant celles-ci n'ont aucune valeur et l'affranchissement est toujours assuré par un timbre des Postes, télégraphes et téléphones associé[223],[12],[216].
À l'occasion du cinquantième anniversaire du Débarquement, La Poste émet plusieurs timbres postaux et pour l'oblitération des flammes-annonces temporaires[N 47]. La flamme d'oblitération de Saint-Raphaël est obtenue avec une machine de la Société d'étude et de construction d'appareils de précision (SECAP). Il s'agit d'un type 2, donc la flamme est à gauche du timbre à date. Le modèle 3 de celle-ci est affirmé par une illustration complétée de texte[N 48]. Ainsi sont disposés d'une part le dessin des drapeaux des États-Unis et de la France assemblés avec l'île d'Or vue depuis la terre, et d'autre part le texte « 1944 1994 — 50e anniversaire du débarquement — Saint-Raphaël ». La couronne de la marque postale est à cercle unique. Elle comprend « 83 — St-Raphaël — Var »[I 43].
Un état auto-proclamé indépendant, comme l'île d'Or, le Somaliland, émet en une carte de 150 × 112 mm comprenant onze prêt-à-poster. Ces timbres, au format de 43,2 × 53,3 mm, valent théoriquement de 100 à 1 100 shillings du Somaliland[N 49]. Le premier, plus grand, porte pour fond une copie de la couverture de L'Île Noire, peut-être inspirée de l'île d'Or, puis tous les fonds sont identiques avec à leur partie inférieure la mer et une partie de l'embarcation. Un encart supérieur représente le jeune reporter lors de ses diverses aventures[I 44],[I 45],[226].
La poste belge édite le , à l'occasion du centenaire de la naissance d'Hergé, vingt-cinq timbres correspondant aux vingt-quatre couvertures des albums des Aventures de Tintin, avec au centre un portrait de l'auteur. Il s'agit d'une planche de format 210 × 230 mm tirée à 700 000 exemplaires. Chaque timbre est édité dans une langue différente, choisie en général en fonction des pays où se déroulent les aventures illustrées. Chacun a une valeur faciale de 0,46 euro[I 46]. Concernant celui de L'Île Noire, peut-être inspirée de l'île d'Or, il reprend la couverture de l'édition de 1965. Au verso, Van Hemelrijck, indique en français et en néerlandais, les caractéristiques et les informations relatives aux albums et à l'auteur[I 47].
La Poste, dont la collection Entre ciel et terre… comprend quatre séries, émet le Les îles méditerranéennes l'un des huit collectors de la série Entre ciel et terre… Les îles françaises. Ce collector comprend six timbres autocollants pour une lettre verte de 20 g à destination de la France. L'un d'entre eux, qui porte en légende « L'île d'Or », est une reproduction de photographie aérienne[I 48].
À l'occasion du centième anniversaire de la seconde fête du couronnement d'Auguste Ier — —, le Groupement philatélique Saint-Raphaël Fréjus fait émettre des timbres personnalisés. Il s'agit de feuilles de 30 timbres personnalisées (avec un seul visuel)[I 49], de livrets souvenirs de quatre timbres personnalisés dénommés par La Poste Mon souvenir à moi (4 timbres avec 4 visuels différents)[I 50], et de livrets souvenirs de huit timbres personnalisés également dénommés Mon souvenir à moi (8 timbres avec 2 visuels différents)[I 51]. Les visuels sont autant de reproductions photographiques. L'intérieur des supports est personnalisé par l'agrandissement d'une vue figurant déjà sur un timbre. Tous les timbres mentionnent la date d'émission — — et, alors que les vues de l'île peuvent être différentes, le port abri du Poussaï est toujours au premier plan. Il s'agit de timbres autocollants pour une lettre prioritaire de 20 g à destination de la France.
Médailles
[modifier | modifier le code]Les premières médailles[N 50], qui pour une même gravure sont soit en bronze soit en argent, sont remises lors de la fête de 1911 à Auguste Ier par Angelo Mariani[227]. Il s’agit de médailles commémoratives relatives à l'avènement du royaume[N 27]. Ainsi sur l'avers figure l'île d’Or[N 28], alors que sur le revers il est possible de lire l'année de création du royaume selon le calendrier hégirien[N 30]. Puis en 2016 la ville de Saint-Raphaël commande un modèle de médailles touristiques à la Fonderie saint Luc[I 52],[N 51]. Cette série est rééditée avec un fond un peu différent. Ainsi l'avers représente l'île d’Or[N 52], et le revers représente une vue de la ville[N 53].
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Avers de la médaille touristique de Saint-Raphaël par la Fonderie saint Luc. c. 2016-2019.
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Revers de la médaille touristique de Saint-Raphaël par la Fonderie saint Luc. c. 2016-2019.
Portraits des acquéreurs
[modifier | modifier le code]-
Léon Sergent (1861-1931).
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Auguste Lutaud (1847-1925).
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François Bureau (1917-1994).
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Lindsay Benoist, « Les Bentall Sergent, une famille franco-britannique à Saint-Raphaël (1880-1914) », Bulletin de la Société d’histoire de Fréjus et de sa région, Fréjus, Société d'histoire de Fréjus et de sa région, no 8, , p. 35-45 (vues 1-11) (ISSN 1774-590X, lire en ligne [PDF], consulté le ).
- Laurence Bureau-Lagane, L'Île d'Or, joyau de l'Estérel, Martigné-Briand, Éditions de l'île d'Or, , 58 p., 20 cm (ISBN 978-2-7466-6228-5 et 2-7466-6228-0). L'auteur est l'un des cinq enfants de François Bureau[231]. Elle séjourne régulièrement sur l'île.
- Jean-Pierre Herreyres, « L’île d’Or », Publications de la Société d'histoire de Fréjus et de sa région. Hors-série, Fréjus, Société d'histoire de Fréjus et de sa région, no 19 « Le Dramont. De la cité ouvrière au centre touristique 150 ans d’histoire », , (partie 2) (ISSN 1773-7796). L'auteur est un historien local dont les sources sont nombreuses.
- Damien Carraz, « Des pirates sarrasins dans la mer de Provence », Qantara : magazine des cultures arabe et méditerranéenne, Paris, Institut du monde arabe, no 90 « Les Sarrasins en Méditerranée au Moyen Âge », , p. 38-41 (ISSN 1148-2648).
- « Angelo Mariani (1838-1914) : Blog dédié à l'inventeur corse de la première boisson à la coca », sur angelomariani.wordpress.com (blog), (consulté le ), Le docteur Auguste Lutaud (1847-1925).
- Philippe Pons, « Petite histoire en images de l’île d’Or », sur www.capesterel3c.com Le blog du 3C - Collectif des copropriétaires de Cap Esterel, (consulté le ).L’auteur avance des photographies, des documents personnels et des documents historiques en citant toutes ses sources.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Anonyme, « L’île d’Or, album photos », sur beauxcliches.free.fr (site personnel), (consulté le ).
Notes et références
[modifier | modifier le code]Illustrations
[modifier | modifier le code]- L'ex-libris d'Auguste Ier est visible sur Wikimedia Commons.
- Le recto d'une carte postale imprimée en 1910 est visible sur Wikimedia Commons.
- La photographie de Léon Sergent est visible sur Wikimedia Commons.
- La représentation d'Auguste Lutaud est visible sur Wikimedia Commons.
- Inventaire général du patrimoine culturel (photogr. Françoise Baussan), « 83 - Saint-Raphaël : Maison de villégiature dite La Moineaudière », immatriculation 04830733XE [jpg], sur patrimages.maregionsud.fr, Marseille, Conseil régional Provence-Alpes-Côte d'Azur (consulté le ).
- Notice no IA83000575, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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- Le campanile de San Martino e Sisto de Vellano est visible sur Wikimedia Commons.
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- Le menu de 1911 est visible sur Wikimedia Commons.
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- La carte postale Le sémaphore d'Agay et l'île d'Or éditée par Paul Helmlinger est visible sur Wikimedia Commons.
- Les cartes postales d'Antoine Bandieri intitulées Saint-Raphaël (Var). L'île d'Or et la tour sarrazine et St-Raphaël. L'île d'Or , La tour sarrazine et le sémaphore du Dramont, vus du large sont visibles sur Wikimedia Commons.
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- Le blason de la commune de Saint-Raphaël est visible sur Wikimedia Commons.
Notes
[modifier | modifier le code]- « Nagaye » signifie « Agay»[14].
- Peut-être que la toponymie se trouve dans la prononciation occitane. Pour une oreille française île d’Or se prononce en Provençal « ile dour » — /ilduʁ/ — et île de Do se prononce en Provençal « ile de dou » — /ildədu/.
- Les tubuli de voûte — ou fusées céramiques — sont des éléments de construction qui s'emboitent pour servir de coffrage afin d’obtenir une forme en arche. La juxtaposition des arches permet d'élaborer une voûte (canalisation, plafonds, etc.)[24]. Il est tout à fait unique de trouver une cargaison avec des tubuli de voûte, ils sont habituellement rencontrés assez isolés[25].
- « Lorsqu’on ne connaît pas le nom du bateau qui gît au fond de l’eau, on nomme l’épave du nom du lieu où on l’a retrouvé, et on ajoute une lettre pour différencier les épaves d’un même site[26]. »
- Seule l'épave Dramont H, qui date du XVIIIe siècle, est moderne[29].
- La classification de Simon Keay est telle que les amphores Keay 35 et Keay 25 sont africaines[32].
- Le type « spatheion » est un type d'amphore africaine. Simon Keay « après avoir établi une classe distincte pour ces amphores, fait part de son embarras pour distinguer, en dehors des cas extrêmes, les amphores du type 26, ou spatheia, de certaines amphores cylindriques du type 25[33]. »
- En 1894, le périodique Le Cycle précise que « tout cycliste sait que […] dès la seconde année d'usage, l'instrument est payé[42]. »
- Le terme Riviera est d'origine italienne, évoquant les régions littorales du Golfe de Gênes. L'expression French Riviera est employée par les Anglais au XIXe siècle pour baptiser ce qui devient à la fin du siècle la Côte d'Azur : le terme est créé seulement en 1888 par Stéphen Liégeard[44].
- Le patronyme — Dr Lutaud — figurant sur le cliché n'est pas celui de l'auteur, ainsi qu'en témoigne l'étude graphologique d'une dédicace[48], mais celui du destinataire. Il s'agit probablement d'une photographie adressée par l'architecte Léon Sergent au commanditaire pour témoigner de l'avancée des travaux.
- Cette appellation qui date du XXe siècle présume que le modèle peut remonter au XIe siècle, or il est peut-être beaucoup plus récent datant du dernier quart du XVIe siècle. Toutes époques confondues, il s'agit de guetter la survenue des Sarrasins ou autres qui lors des razzias peuvent capturer les habitants du littoral pour les revendre comme esclaves[69].
- la recherche d'ouvriers habilités pour bâtir se conçoit.
- Anne-Marie Guillot est une petite-fille de Iolande Borgini (épouse Lepré) née en 1901. Cette dernière est l'une des cinq sœurs d'Amelia Borgini (épouse Minéo) née le et décédée le à Bastia. Ces six enfants sont tous nés à Vellano[79], de même que leur père Aurelio né le et leur mère Maria Pieri née le [80].
- Aurelio Borgini est tailleur de pierre en 1910 lors du décès d'un de ses petits-fils[81]. Puis le recensement de 1911 lui retient la profession de restaurateur[80].
- L'hypothèse d'une reproduction du campanile de San Martino e Sisto de Vellano par certains natifs n'est selon ses promoteurs pas certaine[82], car le faux-mâchicoulis sur consoles crénelé n'est pas identique que ce soit sur la tour de l'île d'Or ou sur le pont suspendu de l'oued Cherrat.
- Parmi d'autres, un architecte des bâtiments de France ne retrouve aucune similitude entre le faux mâchicoulis sur consoles du campanile qui surmonte l'église San Martino e Sisto et celui de l'île d'Or.
- L'utilisation de pierres locales pour la construction de la tour est attestée par un cliché aérien de l'île d’Or en 2011. Aucune découverture n'est nécessaire. En cas de monticule préalable, il existe une cavité de volume suffisant. Il est aussi possible de glaner en plusieurs endroits sans laisser de traces.
- Le cliché du couronnement non rogné — probablement issu d'un périodique — se trouve sur Wikimedia Commons.
- La photographie originale est vraisemblablement réalisée par Antoine Bandiéri — Antonio Bandieri (?) —, Italien né à Boretto en 1870, seul photographe et éditeur[83],[84] convié à toutes les manifestations célébrant l'avènement du royaume.
- L'hommage adressé lors de l'inauguration de son royaume à Auguste Ier est le suivant :.
Sire, acceptez sur ce plateau
Cette clef de fleurs entourée.
Que ces hommages vous agrée,
Ô Roi, le premier des Lutaud !
Grand souverain de l'île d'Or.
Pour vos sujets soyez un père.
Que votre règne soit prospère
Pendant de bien longs jours encor.
Vive le roi de l'île d'Or ! - Peut-être s'agit-il du bâton d'Asclépios avec un trident à l'extrémité libre comme le laissent entrevoir les armoiries.
- « Le salut est dans la sincérité » est une assertion retrouvée en Turc[94].
- Il est avancé que le trident est celui de Neptune, dieu de la mer, ramenant à l'étendue qui entoure l'île. L'adjonction d'un serpent entrelacé évoque le bâton d'Asclépios, symbole des médecins dont fait partie Auguste Lutaud. L'ensemble peut également être vu comme un sceptre puisque ce personnage se dit « Auguste Ier, roi de l'île d'Or »[95].
- Insulae Aureæ Proprio Motu, se comprend en fonction de ce qui se trouve sur l'avers de la médaille commémorative Augustus Primus Insulae Aureæ Proprio Motu Rex — Auguste Premier de sa propre volonté roi de l'île d'Or. Ainsi les deux éléments spécifiques, le nom de l'île et le fait qu'il s'est fait roi « de sa propre initiative », sont repris.
- Ci-dessus, un blasonnement des armoiries s'avère vain en l'absence de couleur. Quant à la symbolique — d'ailleurs étrangère à l'héraldique —, elle ne fait pas l'unanimité.
- Au moins sur l'une des cartes postales la signature d'Auguste Ier, en clin d'œil à celle de Charles Quint, est : Yoelrey — lire : Yo el Rey — (Moi, le Roi)[I 9].
- Ces médailles commémoratives en argent mesurent 35 millimètres de diamètre et pèsent 21 grammes[101].
- L'avers des médailles commémoratives — sans valeur faciale — comporte au centre une tour crénelée de cinq étages avec trois fenêtres par niveau et un drapeau flottant au sommet. Cet emblème porte comme symbole une étoile à cinq branches dont l'association à un croissant rappelle la civilisation islamique, également retrouvés dans le ciel[102]. En bas à droite se trouve un soleil se levant aux rayons irradiants. Au pourtour l'inscription se trouve Augustus Primus Insulae Aureæ Proprio Motu Rex — Auguste Premier de sa propre volonté roi de l'île d'Or — et en bas à droite L. Patriarchi[11].
- En Arabe oriental ١٢٢٧ (1227) du calendrier hégirien correspond à 1812 ce qui ne correspond à aucun événement pour le royaume. On peut supposer qu'en réalité il s’agit de ١٣٢۷ (1327) soit 1909 date d'acquisition de l'île. Le second chiffre ٣ étant par méconnaissance de l’Arabe ou par difficulté de gravure devenu ٢.
- Le revers des médailles commémoratives[11] comporte les armoiries d'Auguste Ier — discutées ci-dessus à la section « Royaume autoproclamé » —,[N 25], à l'emplacement réservé habituellement à une devise figure Insulae Aureæ // Proprio Motu — Île d'Or // de sa propre initiative. Au milieu de cet emplacement est inclus en Arabe oriental selon le calendrier hégirien ١٢٢٧ (1227) soit 1812[N 29]. Sous-jacent dans le même calendrier MCCCXXVIII (1328) soit 1910 date à laquelle est proclamé le royaume. L'ensemble est entouré de la devise النَّجَات فِي الصَّدْق (elnajât_ fî elSadq_) « Le salut est dans la sincérité » répétée quatre fois — discutée à la section Toponymie. Enfin se trouve un emplacement pour le nom de la personne à laquelle elles sont destinées ainsi qu'en témoigne l'au moins l'une d'entre elles qui nous est parvenue[I 11],[103]
- Initialement l’opération porte le nom de code Anvil — enclume —, à la demande de Winston Churchill, il devient Dragoon — du double sens anglais : dragon ou forcer — car son option de poursuivre l’avancée à travers les Balkans pour atteindre Berlin avant les Russes est rejetée par les Alliés sur lesquels il doit s'aligner[112].
- L’histoire de la Texas Division commence en 1821. Le Mexique nouvellement indépendant inclut naturellement l'État de Lone Star — futur Texas —, mais ses membres déclarent leur hostilité à un gouvernement qui, selon eux, ne tient pas ses promesses. Ils se regroupent alors en compagnies volontaires et en groupes de combattants[113]. De façon plus récente, le , par apport d’autres forces militaires, la Texas National Guard devient la 36e division d'infanterie[114].
- Green Beach est de nature géologique différente de l'île d'Or. Constituée de galets dus à l'estérellite extraite d'une carrière voisine, les soldats du Débarquement la surnomment Quarry Beach — plage de la carrière. Cette pierre particulière est rappelée par le monument de commémoration[115].
- Philippe Jumaud [non pas Jumeau] (1880-1942) est le directeur gérant du périodique Les Tablettes de la Côte d'Azur : monde, sports, littérature, musique, beaux-arts[140].
- Georges Régnal est le pseudonyme collectif de Casimir et Désirée Langer[147].
- Gustave Dhyeux est le pseudonyme parfois pris par Gustave Gasser[181].
- Une « allure au portant » est une expression qui s'applique aux voiliers. Elle se réalise lorsque les voiles prennent un vent provenant d'un secteur arrière en deçà du travers du mat[185].
- JL Beuzon est indifféremment la signature des frères illustrateurs Joseph Beuzon (1864-1940[193]) ou Louis Beuzon (1872-1949[194]).
- Dans Le Petit Vingtième, que ce soit le en première de couverture[I 26] ou le en page 8[I 27], Hergé ne fait que suggérer la silhouette très lointaine du château qui se découpe sur l'île noire, contrairement à la troisième édition de 1966 selon les nouveaux dessins de Bob de Moor.
- Hormis l'île d'Or, il est émis d'autres hypothèses relatives au lieu où se déroule L'Île Noire. Il existe trois éditions — 1938, 1943 et 1966 de l'album[I 25] mais seule la première sert de base de discussion ; la dernière est redessinée après une visite en Écosse de Bob de Moor. En France, l'île d'Yeu est évocatrice avec le Vieux Château[123] mais elle est trop proche du rivage et le château est sans tour[200]. Le séjour d'Hergé à Locquénolé rend envisageable en baie de Morlaix l'îlot du phare de l'île Noire[123], mais il est accessible à marée basse et le phare carré ne s'apprente pas à un ouvrage défensif[200]. En Écosse, Black Isle (« Île Noire ») est en réalité une presqu'île où se trouve le château de Graig[I 28] dont la tour carrée, non médiévale, date du XVIe siècle[201]. L'île d'Arran est avancée avec le château de Lochranza[123],[I 29],[I 30] mais celui-ci a une tour carrée et sa silhouette ne convient pas, alors que sur cette même île Bob de Moor reprend certains détails du château de Brodick[I 31] pour l'édition de 1966[202]. L'île d'Eilean Donan possède un château[I 32] qui n'est pas sinistre et se trouve relié à la terre ferme par un pont[203]. Enfin, dans les feuillets d'Hergé se trouve sur un îlot le château médiéval de Kisimul[I 33], il est cependant très proche du rivage et sa tour est très basse[203]. Toujours en Écosse, l'île de Mull a pour point culminant le Ben More, de même nom que l'île où les faux-monnayeurs se trouvent. Il s'y tient le château de Duart qui est aussi un modèle possible[204],[I 34]. L'hypothèse de plusieurs éléments mêlés est également avancée[123].
- Charles Dierick n'envisage pas en Belgique, loin de la mer, le donjon, encrassé et de couleur sombre dans les années 1930[I 35], de la porte de Hal à Bruxelles qui a peut être une influence[206],[I 36].
- Une carte postale, éditée à la demande d'Auguste Lutaud, datée de 1910 est connue[216].
- L'inscription latine Insula Aurea « île d'Or » côtoie la devise en arabe النَّجَات فِي الصَّدْق (elnajât_ fî elSadq_) « Le salut est dans la sincérité » — discutée à la section Toponymie.
- Il est possible que le nombre 25 soit imprimé en référence au tarif postal de 25 centimes en vigueur à compter du . Une telle somme permet d'affranchir toutes les cartes postales et lettres de moins de 20 grammes, y compris celles qui sont destinées à l'étranger[221].
- Une lettre affranchie depuis Mâcon le est connue[12].
- La preuve d'une émission des vignettes en format portrait est acquise en 1910, mais ce n'est pas le cas pour celles en format paysage (1910 ? Ou plus tard en 1913 pour la troisième fête ?)[222].
- « La Poste classe les flammes-annonces en flammes « temporaires » dont la durée d'utilisation n'excède pas trois mois consécutifs avec une durée d'utilisation minimum d'un mois [et en] flammes « permanentes » dont la durée d'utilisation n'excède pas deux ans[224]. »
- Pour une flamme-annonce, le modèle 3 est caractérisé par un « dessin linéaire simple se rapportant à l'objet de la publicité accompagné ou non d'un texte aussi succinct que possible[224]. »
- Le Somaliland n'est pas reconnu par la communauté internationale. De ce fait sa monnaie et ses timbres semblent n'avoir aucune valeur. Ses timbres — plutôt vignettes — ne se trouvent pas dans le pays et sont vendus, quelle que soit la valeur affichée, au même prix[225].
- La totalité du sujet, qui figure déjà dans cet article mais pour une part sous forme de notes, est reprise à Discussion:Île d'Or#Médailles.
- Ces médailles touristiques en aluminium cuivré finition or mesurent 34 millimètres de diamètre et pèsent 13,24 grammes pour une épaisseur de 13,24 mm[228].
- L'avers des médailles touristiques — sans valeur faciale — comporte au centre l'île d'Or avec sa tour et au pourtour l’inscription « ILE D’OR * 83 * SAINT RAPHAEL * Fonderie Saint Luc * ».
- Le revers des médailles touristiques comporte une vue partielle de la commune de Saint-Raphaël comprenant le vieux port, la coupole du casino Barrière et l'extrémité des deux flèches de la basilique Notre-Dame-de-la-Victoire. L'ensemble est surmonté par le blason de la commune[I 53]. Au pourtour se trouve l’inscription « VAR * 83 * SAINT RAPHAEL * Fonderie Saint Luc * ».
- Par courriel du , Lindsay Benoist écrit à un contributeur de wikipédia : « Je suis l'arrière-petite-fille de Léon Sergent et de Catherine Mary Bentall. »
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