Championnat de France interclubs de Scrabble duplicate

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Le Championnat de France interclubs de Scrabble duplicate est un tournoi de Scrabble par équipes de joueurs licenciés dans un même club qui a lieu chaque année. Cette compétition a subi de nombreuses évolutions dans son organisation au cours des années.

Formule actuelle[modifier | modifier le code]

À chaque série nationale du classement de Scrabble duplicate correspond un indice de valeur (IV) : Super-série (14 pts), 1A (13 pts), 1B (12 pts), 2A (11 pts), 2B (10 pts), 3A (9 pts), 3B (8 pts), 4A ou 4B (7 pts), 4C ou 4D (6 pts), 5A ou 5B (5 pts), 5C ou 5D (4 pts), 6A ou 6B (3 pts), 6C ou 6D (2 pts), 7 (1 pt). Les équipes sont réparties en divisions selon la somme des indices de valeur des joueurs de chaque équipe. Les divisions 1 à 3 sont constituées d'équipes de 7 joueurs. Les divisions 4 à 6 sont constituées d'équipes de 5 joueurs. Chaque équipe comprend généralement au moins un remplaçant, le plus souvent affecté à l'arbitrage.

  • Divisions 1 et 2 : IV supérieur à 55.
  • Division 3 : IV entre 36 et 55.
  • Division 4 : IV entre 26 et 35.
  • Division 5 : IV entre 16 et 25.
  • Division 6 : IV inférieur à 16.

Une phase qualificative est organisée par centres régionaux. Elle consiste en trois parties prétirées de Scrabble duplicate, jouées en 3 minutes. On additionne simplement les scores de tous les joueurs de chaque équipe et les résultats sont regroupés au niveau national. Les 12 premières équipes de division 2 et les 8 premières équipes des autres divisions sont qualifiées pour la finale, qui a lieu chaque année dans une ville différente. Les quatre premières équipes de la finale du championnat Interclubs de l'année précédente sont qualifiées directement pour la finale.

Lors de la finale, les équipes sont réparties en poules de 4 et disputent des matchs à un contre un : à l'issue de chaque partie les scores des joueurs des 2 équipes sont comparés : pour des matches entre deux équipes de 7 joueurs, le score le plus élevé rapporte 14 points, le deuxième 13 points, etc. (respectivement, des points de 10 à 1 sont attribués pour les équipes de 5 joueurs). La somme des points apportés par les joueurs de chaque équipe donne le score du match.

Après les 3 matches de poules, les équipes terminant premières des 4 poules de division 1+2 forment la division "toutes catégories", celles terminant deuxièmes forment la "première division", les 8 autres forment la "seconde division". Les 2 premières équipes des autres poules sont qualifiées pour des demi-finales suivies d'une finale qui désigne le Champion de France interclubs de la division.

Les 3 premières équipes de la division "toutes catégories" et le vainqueur de la phase qualificative (s'il est au moins en première division) ou le quatrième de la division "toutes catégories" sont qualifiées pour les Championnats d'Europe interclubs de Scrabble duplicate pour y retrouver 3 équipes belges et une équipe suisse.

Palmarès[modifier | modifier le code]

2022 (Finale à Arles, 25-26 juin)[modifier | modifier le code]

La formule de jeu est toujours inchangée par rapport à 2013. C'est le retour de cette compétition interclubs après l'annulation des championnats 2020 et 2021 pour cause de crise sanitaire. La reprise est difficile avec une participation en baisse de 30 % en nombre d'équipes engagées. En finale, Le Bouscat s'impose et remporte son sixième titre.

Qualification (547 équipes, par centres régionaux, le ) : Division 2 (14 équipes, 1. Nancy, 2. Fruges, 3. Bougival), Division 3 (86 équipes), Division 4 (195 équipes), Division 5 (214 équipes), Division 6 (38 équipes).

2019 (Finale à Saint-Avold, 29-30 juin)[modifier | modifier le code]

La formule de jeu est toujours inchangée par rapport à 2013. Rouen renoue avec le titre après sa victoire en 2016 après avoir battu Le Bouscat en demi-finale, puis une équipe de Paris renforcée cette année, en finale. Ces championnats auront été marqués par la canicule et des conditions de jeu éprouvantes pour les joueurs.

Qualification (785 équipes, par centres régionaux, le ) : Division 2 (17 équipes, 1. Strasbourg, 2. Villeneuve-le-Roi, 3. Paris Louvre), Division 3 (145 équipes), Division 4 (258 équipes), Division 5 (291 équipes), Division 6 (74 équipes).

2018 (Finale à Mérignac, 9-10 juin)[modifier | modifier le code]

La formule de jeu est toujours inchangée par rapport à 2013. Le Bouscat conserve son titre en finale toutes catégories devant Rouen une nouvelle fois. Chamalières complète le podium et se qualifie pour la première fois pour les Interclubs européens.

Qualification (771 équipes, par centres régionaux, le ) : Division 2 (16 équipes, 1. Villeneuve-le-Roi, 2. Le Bouscat Métaphore, 3. Chamalières), Division 3 (128 équipes), Division 4 (269 équipes), Division 5 (292 équipes), Division 6 (66 équipes).

2017 (Finale à Carpentras, 17-18 juin)[modifier | modifier le code]

La formule de jeu est inchangée par rapport à 2013. Le Bouscat détrône Rouen pour le titre de champion de France toutes catégories.

Qualification (794 équipes, par centres régionaux, le ) : Division 2 (22 équipes, 1. Montpellier Frérèche, 2. Unieux Galopin, 3. Fruges 1), Division 3 (146 équipes), Division 4 (243 équipes), Division 5 (327 équipes), Division 6 (56 équipes).

2016 (Finale à Bron, 11-12 juin)[modifier | modifier le code]

La formule de jeu est inchangée par rapport à 2013. Le club de Rouen conserve son titre de champion de France toutes catégories.

Qualification (814 équipes, par centres régionaux, le ) : Division 2 (19 équipes, 1. Le Bouscat 1, 2. Villeneuve-le-Roi, 3. Fruges 1), Division 3 (143 équipes), Division 4 (263 équipes), Division 5 (330 équipes), Division 6 (59 équipes).

2015 (Finale à Carpentras, 13-14 juin)[modifier | modifier le code]

La formule de jeu est inchangée par rapport à 2013. Le club de Montpellier a qualifié cinq équipes en finale, ce qui constitue un nouveau record (plusieurs clubs avaient déjà qualifié quatre équipes). En Division 6, à la suite d'une réclamation, l'équipe de Vichy, finaliste, a été déclassée place pour avoir joué toute la compétition avec un indice supérieur au maximum de sa division.

Qualification (827 équipes, par centres régionaux, le ) : Division 2 (19 équipes, 1. Villeneuve-le-Roi, 2. Ronchin, 3. Nancy), Division 3 (148 équipes), Division 4 (253 équipes), Division 5 (336 équipes), Division 6 (71 équipes).

2014 (Finale à Bron, 14-15 juin)[modifier | modifier le code]

La formule de jeu est inchangée par rapport à 2013, excepté un aménagement concernant la composition des poules : à la suite du cas du Bouscat en 2013, deux équipes d'un même club, en finale dans une même division ne doivent plus obligatoirement être dans la même poule et se rencontrer lors du premier match. Cette règle avait été appliquée en 2009, 2010 et 2011, où deux équipes de Montpellier étaient présentes en division 6, ce qui n'avait pas empêché qu'elles se retrouvent en finale en 2009.

Qualification (856 équipes, par centres régionaux, le ) : Division 2 (21 équipes, 1. Le Bouscat Carbonnieux, 2. Fruges, 3. Strasbourg), Division 3 (137 équipes), Division 4 (274 équipes), Division 5 (344 équipes), Division 6 (80 équipes).

2013 (Finale à Saint-Étienne, 8-9 juin)[modifier | modifier le code]

La division 7 créée en 2011 est supprimée, ce qui a créé une polémique au sein de la fédération[1]. Les indices de valeurs de plusieurs divisions sont modifiés en conséquence : division 4 (IV compris entre 26 et 35), division 5 (IV compris entre 16 et 25), division 6 (IV inférieur à 16).

Qualification (815 équipes, par centres régionaux, le ) : Division 2 (16 équipes, 1. Rouen, 2. Marseille Phocéen, 3. Annecy), Division 3 (150 équipes), Division 4 (249 équipes), Division 5 (295 équipes), Division 6 (90 équipes).

2012 (Finale à Voujeaucourt, 2-3 juin)[modifier | modifier le code]

L'IV de la division 7 devient < 13 et celui de la division 6 entre 13 et 19.

Qualification (848 équipes, par centres régionaux, le ) : Division 2 (16 équipes, 1. Rouen, 2. Villeneuve-le-Roi, 3. Paris Élysées-Denfert), Division 3 (143 équipes), Division 4 (147 équipes), Division 5 (265 équipes), Division 6 (224 équipes), Division 7 (53 équipes).

2011 (Finale à Orléans, 14-15 mai)[modifier | modifier le code]

Introduction d'une septième division, à l'indice de valeur très bas (IV < 12), elle est de fait réservée à des équipes composées de joueurs de séries 6 et 7. La division 6 est dorénavant réservée aux équipes à l'IV entre 12 et 19, les autres divisions sont inchangées.

Qualification (869 équipes, par centres régionaux, le ) : Division 2 (24 équipes, 1. Paris Élysées Denfert, 2. Montrouge, 3. Bondoufle), Division 3 (149 équipes), Division 4 (176 équipes), Division 5 (300 équipes), Division 6 (190 équipes), Division 7 (30 équipes).

2010 (Finale à Carpentras, 12-13 juin)[modifier | modifier le code]

Mêmes modalités qu'en 2008.

Qualification (836 équipes, par centres régionaux, le ) : Division 2 (21 équipes, 1. Villeneuve-le-Roi, 2. Montrouge, 3. Vourles), Division 3 (154 équipes), Division 4 (168 équipes), Division 5 (289 équipes), Division 6 (204 équipes).

2009 (Finale à Bron, 6-7 juin)[modifier | modifier le code]

Mêmes modalités qu'en 2008.

Qualification (843 équipes, par centres régionaux, le ) : Division 2 (24 équipes, 1. Le Bouscat, 2. Montrouge, 3. Ronchin), Division 3 (153 équipes), Division 4 (169 équipes), Division 5 (300 équipes), Division 6 (197 équipes).

2008 (Finale à Savigny-le-Temple, 31 mai - 1er juin)[modifier | modifier le code]

À la suite de l'introduction de subdivisions A et B des séries 1 à 3, certains IV des joueurs sont modifiés (1A: 13, 1B: 12, 2A: 11, 2B: 10, 3A: 9, 3B: 8). Les divisions sont remodelées : Division 6 (IV < 20), Division 5 (IV entre 20 et 27), Division 4 (IV entre 28 et 35), Division 3 (IV ≤ 55), Division 2 (IV > 55). Les 8 premières équipes des divisions 3 à 6 et les 12 premières équipes de division 2 sont qualifiées pour la finale. Les 4 premiers de la finale précédente sont qualifiés d'office et sont rejoints par les équipes qualifiées en division 2 pour former 4 poules de 4 : à l'issue des 3 matches de poule, les premiers forment la division Toutes catégories (4 équipes), les deuxièmes forment la Division 1 (4 équipes) et les troisièmes et quatrièmes forment la nouvelle Division 2.

Qualification (813 équipes, par centres régionaux, le ) : Division 2 (22 équipes, 1. Le Bouscat, 2. Montrouge, 3. Montpellier), Division 3 (170 équipes), Division 4 (157 équipes), Division 5 (264 équipes), Division 6 (200 équipes).

2007 (Finale à Carpentras, 2-3 juin)[modifier | modifier le code]

À la suite de l'introduction des subdivisions C et D dans les séries 4 à 6, certains indices de valeurs sont modifiés (4A-4B: 7, 4C-4D: 6, 5A-5B: 5, 5C-5D: 4, 6A-6B: 3, 6C-6D: 2). Les modalités sont par ailleurs les mêmes qu'en 2006.

Qualification (818 équipes, par centres régionaux, le ) : Division 1 (16 équipes), Division 2 (40 équipes), Division 3 (174 équipes), Division 4 (264 équipes), Division 5 (259 équipes), Division 6 (75 équipes).

2006 (Finale à Bron, 10-11 juin)[modifier | modifier le code]

Introduction d'une sixième division. Les divisions sont renommées Division 1 à Division 6. Les divisions 1 à 3 sont composées d'équipes de 7 joueurs et les divisions 4 à 6 sont composées d'équipes de 5 joueurs. Les IV des divisions sont dorénavant : Division 6 (IV ≤ 14), Division 5 (IV entre 15 et 22), Division 4 (IV entre 23 et 30), Division 3 (IV entre 41 et 50), Division 2 (IV entre 51 et 65), Division 1 (IV > 65).

Qualification (797 équipes, par centres régionaux, le ) : Division 1 (8 équipes), Division 2 (34 équipes), Division 3 (160 équipes), Division 4 (212 équipes), Division 5 (253 équipes), Division 6 (130 équipes).

2005 (Finale à Lille, 11-12 juin)[modifier | modifier le code]

Mêmes modalités qu'en 2000.

Qualification (621 équipes, par centres régionaux, le ) : Elite (8 équipes), Nationale (35 équipes), Excellence (108 équipes), Honneur (193 équipes), Promotion (277 équipes).

2004 (Finale à Bron, 12-13 juin)[modifier | modifier le code]

Mêmes modalités qu'en 2000.

Qualification (601 équipes, par centres régionaux, le ) : Elite (10 équipes), Nationale (44 équipes), Excellence (87 équipes), Honneur (196 équipes), Promotion (264 équipes).

2003 (Finale à Tours, 14-15 juin)[modifier | modifier le code]

Mêmes modalités qu'en 2000.

Qualification (642 équipes, par centres régionaux, le ) : Elite (5 équipes), Nationale (42 équipes), Excellence (87 équipes), Honneur (199 équipes), Promotion (309 équipes).

2002 (Finale à Bron, 1er-2 juin)[modifier | modifier le code]

Mêmes modalités qu'en 2000.

Qualification (613 équipes, par centres régionaux, le ) : Elite (11 équipes), Nationale (29 équipes), Excellence (88 équipes), Honneur (202 équipes), Promotion (283 équipes).

2001 (Finale à Cormontreuil, 16-17 juin)[modifier | modifier le code]

Mêmes modalités qu'en 2000.

Qualification (556 équipes, par centres régionaux, le 1er avril) : Elite (11 équipes), Nationale (35 équipes), Excellence (69 équipes), Honneur (174 équipes), Promotion (267 équipes).

2000 (Finale à Bron, 17-18 juin)[modifier | modifier le code]

Modification des IV des joueurs en fonction de leur série (Super-série: 14, 1: 13, 2: 10, 3: 8, 4A: 7, 4B: 6, 5A: 5, 5B: 4, 6A: 3, 6B: 2, non classé : 1) et des divisions : Promotion (IV >= 30), Honneur (IV entre 31 et 40), Excellence (IV entre 41 et 50), Nationale (IV entre 51 et 65) et introduction de la division Elite (IV > 65). Les 8 premières équipes de chaque division sont qualifiées pour la finale.

Qualification (518 équipes, par centres régionaux, le ) : Elite (5 équipes), Nationale (31 équipes), Excellence (71 équipes), Honneur (177 équipes), Promotion (234 équipes).

1999 (Finale au Mans, 19-20 juin)[modifier | modifier le code]

Mêmes modalités qu'en 1995. Un titre scolaire est créé (équipes régionales), qui ne sera pas reconduit, faute de participants.

Qualification (460 équipes, par centres régionaux, le ) : Nationale (40 équipes), Excellence (75 équipes), Honneur (165 équipes), Promotion (180 équipes).

1998 (Finale à Saint-Ouen, 13-14 juin)[modifier | modifier le code]

Mêmes modalités qu'en 1995. Distinction d'IV entre les joueurs de série 4A (5) et 4B (4).

Qualification (413 équipes, par centres régionaux, le ) : Nationale (33 équipes), Excellence (77 équipes), Honneur (144 équipes), Promotion (169 équipes).

1997 (Finale à Bron, 14-15 juin)[modifier | modifier le code]

Mêmes modalités qu'en 1995.

Qualification (351 équipes, par centres régionaux, le ) : Nationale (27 équipes), Excellence (72 équipes), Honneur (126 équipes), Promotion (126 équipes).

1996 (Finale à Paris, 15-16 juin)[modifier | modifier le code]

Mêmes modalités qu'en 1995.

Qualification (309 équipes, par centres régionaux, le ) : Nationale (31 équipes), Excellence (62 équipes), Honneur (100 équipes), Promotion (116 équipes).

1995 (Finale à Vichy, 17-18 juin)[modifier | modifier le code]

Les 8 premières équipes de chaque division à l'issue de la qualification sont dorénavant qualifiées pour la finale.

Qualification (276 équipes, par centres régionaux, le ) : Nationale (20 équipes), Excellence (63 équipes), Honneur (84 équipes), Promotion (109 équipes).

1994 (Finale à Bron, 4-5 juin)[modifier | modifier le code]

Mêmes modalités qu'en 1993.

Qualification (225 équipes, par centres régionaux, le ) : Nationale (25 équipes), Excellence (40 équipes), Honneur (47 équipes), Promotion (113 équipes).

1993 (Finale à Rouen, 8-9 mai)[modifier | modifier le code]

La qualification se fait dorénavant à partir du classement par divisions de la phase qualificative. Les 12 premières équipes de division Nationale et les 6 premières des autres divisions sont qualifiées pour la finale. Les équipes de division Nationale se rencontrent au sein de deux poules de 6, suivies de matches de classement. Les titres par division sont dorénavant attribués à l'issue de la finale. Les IV sont modifiés : Promotion (IV ≤ 20), Honneur (IV entre 21 et 30), Excellence (IV entre 31 et 45) et une division Nationale (IV entre 46 et 60) dorénavant plafonnée.

Qualification (201 équipes, par centres régionaux, le ) : Nationale (25 équipes), Excellence (43 équipes), Honneur (38 équipes), Promotion (95 équipes).

1992 (Finale à Bron, 20-21 juin)[modifier | modifier le code]

Les équipes repassent de 5 à 7 joueurs. La phase régionale est supprimée et la qualification (deuxième division) devient open. On distingue 4 catégories selon la somme des indices de valeur (IV) attribués à chaque joueur selon sa série (SN1: 15, SN2: 10, SN3: 7, SN4: 5, SN5: 3, SN6: 2, non classé : 1) : Promotion (IV inférieur ou égal à 20), Honneur (IV entre 21 et 30), Excellence (IV entre 31 et 40) et Nationale (IV supérieur à 40) qui attribuent des titres de champion de France, à partir du classement de la deuxième division. Les 3 premières équipes de chacune de 6 zones géographiques sont qualifiées pour la finale (première division) ainsi que les 5 premiers du classement non déjà sélectionnés et le champion Interclubs en titre.

1991 (Finale à Montgeron, 22-23 juin)[modifier | modifier le code]

Mêmes modalités qu'en 1989.

1990 (Finale à Lyon, 16-17 juin)[modifier | modifier le code]

Mêmes modalités qu'en 1989.

1989 (Finale à La Rochette, 17-18 juin)[modifier | modifier le code]

La finale regroupe dorénavant les 8 premières équipes de l'édition précédente et 16 équipes issues de la qualification (les deux premières équipes de chacune de 6 zones géographiques sont qualifiées, complétées par 4 autres équipes selon le classement national).

1988 (Finale à Orléans, 4-5 juin)[modifier | modifier le code]

La finale (première division) regroupe 24 équipes : les 6 premières équipes de l'édition précédente et 18 équipes issues de la qualification (deuxième division). Leur classement se fait par addition des places des joueurs de chaque équipe lors de 3 parties duplicate (les deux premières équipes de chacune de 6 zones géographiques sont qualifiées, complétées par 4 autres équipes selon le classement national). La deuxième division comprend les équipes classées de 9 à 16 de la finale précédente rejointes pas les équipes qualifiées par une phase régionale.

1987 (Finale à L'Isle-d'Abeau, 3-4 octobre)[modifier | modifier le code]

Les équipes sont maintenant composées de 5 joueurs. La finale (première division) regroupe normalement 24 équipes : les 6 premières équipes de l'édition précédente et 18 équipes issues de la qualification (deuxième division). Leur classement se fait par addition des places des joueurs de chaque équipe lors de 3 parties duplicate (les deux premières équipes de chacune de 6 zones géographiques sont qualifiées, complétées par 4 autres équipes selon le classement national). La deuxième division comprend les équipes classées de 7 à 24 de la finale précédente rejointes pas les équipes qualifiées par une phase régionale.

1986 (Finale à Paris, 4-5 octobre)[modifier | modifier le code]

La finale (première division) regroupe toujours 16 équipes, mais ce sont dorénavant les 10 premières équipes de l'édition précédente et les 6 premières issues de la qualification (deuxième division).

1985 (Finale à Courbevoie, 22-23 juin)[modifier | modifier le code]

La finale (première division) regroupe dorénavant 16 équipes : les 8 premières équipes de l'édition précédente et 8 équipes issues de la qualification (deuxième division). La deuxième division comprend les équipes classées de 11 à 16 de la finale précédente, les équipes classée 9 à 14 de la deuxième division précédente, rejointes pas les équipes qualifiées par une phase régionale.

1984 (Finale à Rungis, 20-21 octobre)[modifier | modifier le code]

Mêmes modalités qu'en 1983.

1983 (Finale à Paris, 15-16 octobre)[modifier | modifier le code]

La finale (première division) regroupe 12 équipes : les 8 premières équipes de l'édition précédente et 4 équipes issues de la qualification (deuxième division). La deuxième division comprend les équipes classées de 9 à 12 de la finale précédente, les équipes classée 5 à 8 de la deuxième division précédente, rejointes pas les équipes qualifiées par une phase régionale.

1982 (Finale à Lyon, 15-16 octobre)[modifier | modifier le code]

Les équipes passent de 8 à 7 joueurs (dont obligatoirement 3 joueurs non classés nationaux et au plus 2 joueurs de série 1 ou 3 joueurs de série 1 et 2). La finale (première division) regroupe 12 équipes : les 6 premières équipes de l'édition précédente et 6 équipes issues de la qualification (deuxième division). La deuxième division comprend les équipes classées de 9 à 12 de la finale précédente, les équipes classée 5 à 8 de la deuxième division précédente, rejointes pas les équipes qualifiées par une phase régionale.

1981 (Finale Paris, 17-18 octobre)[modifier | modifier le code]

Il y a cette année 108[2] équipes au départ. Après les éliminatoires régionales, les 8 finales de zones (au lieu de 6, pour tenir compte du succès grandissant de l'épreuve), ont regroupé 34 équipes à Avignon, Béziers, Chalon-sur-Saône, Lyon, Nancy, Paris (2 poules A et B) et Poitiers et leurs vainqueurs sont qualifiés pour la finale.

Finale : 1. Grenoble 1, 2. Paris PLM 2, 3. Lyon PLM, 4. Paris Etoile Verte, 5. à 8. Villeneuve-le-Roi, Marseille Phocéen 1, Cesson, Chalon-sur-Saône.

1980 (Finale Lyon, 14-15 juin)[modifier | modifier le code]

88[3] équipes se sont engagées. Les six clubs vainqueurs des finales de zone[4] organisées à Avignon, Limoges, Lyon, Nancy, Orléans et Paris, qui ont regroupé 31 équipes, sont qualifiés pour la finale.

Finale : 1. Grenoble I, 2. Paris Etoile Rouge, 3. Lyon PLM I, 4. Monaco / Malvan, 5. Villeneuve-le-Roi, 6. Freyming-Merlebach I.

1979 (Finale Lyon, 23-24 juin)[modifier | modifier le code]

66 équipes au départ[5]. Après des éliminatoires régionales, une qualification regroupe 25 équipes le dans 6 centres régionaux, qualifiant chacun une équipe pour la finale. Philippe Lormant, président de la FFSc, qualifie les Interclubs de plus belle épreuve organisée par la FFSc.

  • Poule A à Paris : 1. Villeneuve-le-Roi, 2. Nanterre, 3. Châtenay-Malabry, 4. PLM Paris II.
  • Poule B à Paris : 1. Dieppe, 2. Freyming-Merlebach, 3. Lille, 4. Nantes.
  • Poule C à Forbach : 1. Forbach, 2. Strasbourg.
  • Poule D à Avignon : 1. Monaco / Malvan (Vence), 2. Grenoble II, 3. Perpignan, 4. Nice.
  • Poule E à Nice : 1. PLM Lyon I, 2. Cannes / Antibes, 3. PLM Marseille, 4. Nice Côte d’Azur.
  • Poule F à Lyon : 1. Grenoble, 2. Vienne, 3. Saint-Mandé / Saint-Maur, 4. Aix / Culoz, 5. Bagnols-sur-Cèze / Avignon, 6. Limoges.

Finale : 1. Grenoble, 2. Villeneuve-le-Roi, 3. Lyon, 4. Monaco / Malvan, 5. Forbach, 6. Dieppe.

Classements[modifier | modifier le code]

Nombre de titres toutes catégories[modifier | modifier le code]

12 clubs seulement ont remporté les 42 titres de Champion de France Interclubs en Scrabble duplicate. En 2022, Le Bouscat rejoint Saint-Leu-la-Forêt au nombre de titres.

Nombre de titres (toutes divisions confondues)[modifier | modifier le code]

76 clubs ont gagné au moins un titre dans une des divisions de la finale du championnat Interclubs. En 2022, Nîmes remporte son premier titre, Le Bouscat et Montpellier se rapprochent de Paris en tête du classement avec 11 titres chacun.

Les "0.5" correspondent à des titres pour lesquels deux clubs étaient associés en une même équipe.

Nombre de podiums (toutes divisions confondues)[modifier | modifier le code]

137 clubs sont montés au moins une fois sur un podium d'une finale d'un Championnat de France Interclubs. En 2022, Le Havre, Mulhouse et Saint-Amand-les-Eaux ont obtenu leur premier podium et avec ses 2 nouveaux podiums, Montpellier se rapproche de Paris en tête de classement.

Les "0.5" correspondent à des podiums pour lesquels deux clubs étaient associés en une même équipe.

Nombre d'équipes qualifiées en finale[modifier | modifier le code]

252 clubs ont déjà qualifié une ou plusieurs équipes à une finale du championnat de France interclubs de Scrabble duplicate. Le record d'équipes qualifiées d'un même club la même année est de cinq, par le club de Montpellier en 2015. En 2022, les clubs de Mennecy, Montarnaud, Olonne, Royan, Saint-Amand-les-Eaux et Masevaux ont participé pour la première fois à la finale des Interclubs.

Les "0.5" correspondent à des titres pour lesquels deux clubs étaient associés en une même équipe.

Références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. (fr) « Pétition sur le site du club de Montpellier » (consulté le )
  2. Scrabble-Infos n°24, mars 1981
  3. Scrabble Infos n°21, juin 1980
  4. Scrabble Infos n°20
  5. Scrabble-Infos n°13, mai 1979