Villers-Bocage (Calvados)
Villers-Bocage | |
La mairie. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Calvados |
Arrondissement | Vire |
Intercommunalité | Communauté de communes Pré-Bocage Intercom |
Maire Mandat |
Stéphanie Leberrurier 2020-2026 |
Code postal | 14310 |
Code commune | 14752 |
Démographie | |
Gentilé | Villersois |
Population municipale |
3 130 hab. (2021 ) |
Densité | 543 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 04′ 44″ nord, 0° 39′ 23″ ouest |
Altitude | Min. 95 m Max. 217 m |
Superficie | 5,76 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Caen (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Aunay-sur-Odon |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.villers-bocage.info |
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Villers-Bocage est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 3 130 habitants[Note 1].
Géographie
La commune est dans le Pré-Bocage, désignation récente, sorte de seuil du Massif armoricain aux confins du Bocage virois, du Bessin et de la plaine de Caen. Son bourg est à 8 km au nord de Aunay-sur-Odon, à 12 km à l'est de Caumont-l'Éventé, à 12 km au sud de Tilly-sur-Seulles et à 25 km au sud-ouest de Caen[1].
Villers-Bocage est majoritairement dans le bassin de la Seulles, par son affluent la Seulline qui délimite le territoire à l'ouest. Quatre de ses courts affluents parcourent le territoire communal. Une frange sud-est est dans le bassin de l'Orne, donnant ses eaux à des petits affluents de l'Odon.
Le point culminant (217 m) se situe en limite nord-est, à la sortie de la D 675 du territoire. Le point le plus bas (95 m) correspond à la sortie de la Seulline du territoire, au nord-ouest. Hormis la partie urbaine, la commune est bocagère.
Le , la commune passe de l'arrondissement de Caen à celui de Vire[3]
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Georges D », sur la commune de Seulline, mise en service en 1997[10] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[11],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 007,2 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à 19 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[14] à 11,2 °C pour 1981-2010[15], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Villers-Bocage est une commune rurale[Note 7],[17]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[18],[19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Villers-Bocage, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[20] et 3 722 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[21],[22].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[23],[24].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (34 %), zones urbanisées (24,4 %), terres arables (20,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10,7 %), zones agricoles hétérogènes (7,5 %), forêts (2,9 %)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Villiers en Boscaige en 1365[27].
L'appellatif toponymique Villers est issu du gallo-roman villare, issu lui-même du latin villa rustica, « domaine rural ». Il est ici adjoint du nom du pays, Bocage, à rapprocher de son homonyme picard où le terme désigne plus directement la végétation[27].
Le gentilé est Villersois[28].
Histoire
Le , lors de sa chevauchée, le roi d'Angleterre Édouard III prend la ville. En 1366, Jeanne Bacon, veuve de Guillaume Bertrand second fils de Robert VIII Bertrand de Bricquebec, fonde le prieuré hospitalier de Sainte-Élisabeth. En 1417, toujours pendant la guerre de Cent Ans, Henri V d'Angleterre s'empare à nouveau de la ville.
Le , la commune est reliée à la gare de Caen par une ligne de chemin de fer qui va à l'origine jusqu'à Aunay-sur-Odon et qui est ensuite prolongée en 1891 jusqu'à la gare de Vire[29]. Le transport des voyageurs sur la ligne Caen - Vire est interrompu le [30]. Le transport de marchandises est par la suite limité à Jurques, puis définitivement suspendu. La ligne est alors déclassée et déferrée.
Le , Michael Wittmann brise l'offensive Perch de la 7e division blindée britannique qui venait de libérer la ville. Relativement épargnée jusqu'alors, la ville est entièrement détruite par les bombardements alliés qui suivent le retrait britannique. Les Allemands ne se retireront définitivement de la ville que le .
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La rue principale de la ville, telle qu'elle apparaît à la mi-.
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Villers-Bocage sous les bombes britanniques le .
Héraldique
Les armes de la commune de Villers-Bocage se blasonnent ainsi : Il s'agit des armes de la famille Bacon à qui appartenait la seigneurie de Villers-Bocage. |
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Administration municipale
Le conseil municipal est composé de vingt-trois membres dont le maire et quatre adjoints[35].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].
En 2021, la commune comptait 3 130 habitants[Note 9], en évolution de +0,81 % par rapport à 2015 (Calvados : +1,02 %, France hors Mayotte : +1,84 %). La population a doublé dans les quarante dernières années du XXe siècle.
Économie et tourisme
La commune de Villers-Bocage est labellisée village étape depuis 2003. Elle est le siège de l'office de tourisme du Pré-Bocage.
Lieux et monuments
- Église Saint-Martin, reconstruite en 1950, inaugurée par monseigneur Roncalli futur Jean XXIII.
- Château de Villers du XVIIe siècle.
- Mairie également reconstruite, inaugurée en 1960 par le général de Gaulle.
- Motte[40] de forme circulaire flanquée d'une basse-cour quadrangulaire à proximité du château moderne.
-
L'église Saint-Martin.
-
Le château.
Patrimoine disparu
- Statue en bronze de François Richard-Lenoir réalisée par Louis Rochet. La statue était entourée d'une grille. Elle est inaugurée le . Sous le régime de Vichy, elle est déboulonnée et fondue dans le cadre de la mobilisation des métaux non ferreux. Le piédestal est resté vide.
Activité et manifestations
Labels
La commune est une ville fleurie (deux fleurs) au concours des villes et villages fleuris[41].
Villers-Bocage fait partie du label Village étape depuis 2003.
Sports
L'Union sportive Villers-Bocage fait évoluer une équipe de football en ligue de Basse-Normandie et deux autres en division de district[42].
Jumelages
- Bampton (Royaume-Uni) depuis 1974.
- Mömbris (Allemagne) depuis 1989, dans l'arrondissement d'Aschaffenbourg en Bavière.
Manifestations
La commune accueille une soirée du festival des Veillées d'été en août, grandes soirées pique-nique et spectacle organisées par l'association Tourisme en Bocage virois.
Personnalités liées à la commune
- Jeanne Bacon est la fille de Roger VI, née du second mariage entre Roger VI Bacon et Éléonore de Villiers (ou de Villers-Bocage). Elle eut un demi-frère Robert, mort en bas âge, né du premier mariage de Roger avec Aelis d'Asnières. Son autre frère Guillaume, né du second mariage de Roger, est lui aussi mort en bas âge (la plaque funéraire des deux fils de Roger Bacon est d'ailleurs visible sur l'un des murs extérieurs de l'église du Breuil-en-Bessin). Elle est l'unique héritière du fief de la famille de Molay Bacon. Deux grandes familles se disputent alors la main de Jeanne, les Bertran(d) de Briquebec et les d'Harcourt. Jeanne épouse en premières noces en 1340, Guillaume Bertran(d), vicomte de Rocheville, second fils de Robert VIII Bertrand de Bricquebec et de Laurence du Merle (sœur du maréchal Foulques du Merle). Son époux meurt au cours de la bataille de Mauron en Bretagne le . En secondes noces, elle épouse Jean Ier de Luxembourg-Ligny († 1364), fils de Waléran II de Luxembourg-Ligny, seigneur de Ligny-en-Barrois, de Roussy et de la Roche.
- Jeanne fonde de son propre chef le , le prieuré hospitalier de Sainte-Élisabeth à Villers-Bocage. Dans cet endroit seront reçus et soignés les pauvres, les passants, les femmes enceintes et les orphelins jusqu’à l’âge de sept ans. Pour commémorer cet acte de bienfaisance, une rue de la ville de Villers-Bocage porte encore son nom aujourd'hui. Jeanne décède en 1376 et est inhumée dans l'abbaye de Saint-Évroult dans l'actuel département de l'Orne. N'ayant point d'enfant, la lignée directe des Molay Bacon s'éteint et l'héritage de la maison de Molay est dispersé entre les descendants indirects de la famille.
- Charles de Tilly (1775-1855), homme politique, maire de Villers-Bocage de 1800 à 1825[43].
- René-Ernest Huet (1886-1914) était un artiste-peintre originaire de Villers-Bocage, prix de Rome en 1908, mort brutalement en 1914 pendant la Première Guerre mondiale à Mamet durant la bataille de la Somme.
- Régis Bodrug, artiste-peintre reconnu dans le département du Calvados avec plusieurs centaines d'expositions à son actif dans la région Basse-Normandie (et en France, à Paris notamment) et l'obtention de plusieurs prix et distinctions dont notamment le prix Holodomor en 2013[44]. Il vit depuis 2013 à Villers-Bocage[réf. nécessaire] et a organisé dans la ville plusieurs manifestations artistiques (une exposition sur le peintre René Huet[45] originaire de Villers-Bocage en 2015 par exemple). Né d'un père d'origine ukrainienne[réf. nécessaire], son engagement artistique a à plusieurs reprises défendu l'Ukraine de ses origines (notamment pour la reconnaissance du génocide du Holodomor en France.)[pertinence contestée]
Notes et références
Notes
- Population municipale 2021.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2012 (site de l'IGN, téléchargement du 24 octobre 2013)
- Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
- « Recueil des actes administratifs du 22 décembre 2016 » [PDF], sur le site de la préfecture du Calvados (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Georges D - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Villers-Bocage et Seulline », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Georges D - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Villers-Bocage et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Villers-Bocage », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse,
- « Ouest-france.fr - Mairie de Villers-Bocage » (consulté le )
- Histoire chronologique des chemins de fer européens et russes
- Wilez.com
- « GASO, la banque du blason - Villers-Bocage Calvados » (consulté le )
- Annuaire du Calvados, année 1850, p.366
- « Le maire, Xavier Lebrun, ne sera pas candidat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- « Marc Hébert a été élu 5e maire de la commune depuis la Libération », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- « Villers-Bocage (14310) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Guy Le Hallé, Châteaux forts de Basse-Normandie, t. II, Louviers, Ysec Éditions, , 160 p. (ISBN 978-2846732154), p. 74.
- « Palmarès du concours des villes et villages fleuris » (consulté le )
- « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – US Villers-Bocage » (consulté le )
- Fiche de Charles de Tilly sur le site de l'Assemblée Nationale
- https://www.ouest-france.fr/normandie/caen-14000/regis-bodrug-recu-le-prix-holodomor-940710
- https://www.ouest-france.fr/normandie/villers-bocage-14310/un-livret-catalogue-edite-sur-le-peintre-rene-huet-3442844
Bibliographie
- Henri Marie, Villers-Bocage : champ de bataille : le combat des tigres: Wittmann contre les rats du désert, Heimdal, 1993
- Henri Marie, Villers-Bocage Normandy 1944, éditions Heimdal, 2011
- Frédéric Deprun, Yann Jouault : Villers-Bocage, autopsie d'une bataille, éditions Heimdal, 2015