Sannois
Sannois | |||||
Hôtel de ville. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Val-d'Oise | ||||
Arrondissement | Argenteuil | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Val Parisis | ||||
Maire Mandat |
Bernard Jamet 2020-2026 |
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Code postal | 95110 | ||||
Code commune | 95582 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Sannoisiens, Sannoisiennes | ||||
Population municipale |
26 768 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 5 600 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 58′ 00″ nord, 2° 15′ 00″ est | ||||
Altitude | 56 m Min. 42 m Max. 169 m |
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Superficie | 4,78 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Argenteuil-1 | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
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Liens | |||||
Site web | ville-sannois.fr/ | ||||
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Sannois est une commune du département du Val-d'Oise et de la région Île-de-France. Ses habitants se nomment les Sannoisien(nes).
Géographie
Localisation et communes limitrophes
Sannois est située sur le flanc Est des buttes de Cormeilles et d'Orgemont, à quinze kilomètres au nord-ouest de Paris. La commune est limitrophe d'Argenteuil, Cormeilles-en-Parisis, Franconville, Ermont et Saint-Gratien.
Voies de communication et transports
Sannois est desservie par une gare du Transilien Paris Saint-Lazare depuis le . Précédemment, elle était située sur la ligne C du RER.
La ville est également desservie par la ligne 261 de la RATP ainsi que par la ligne 95-19 du réseau Busval d'Oise.
D'autre part, la ville est traversée par l'autoroute A15 ainsi que l'A115.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Centinodium au XIIe siècle[2], Centum Nuces en 1205[3], Cennoiz en 1208, Cent noys[4], Cent-Noix en 1304, Sanois en 1403, Sampnoix en 1564, Sanoy en 1711[5].
Plusieurs hypothèses fantaisistes ont été proposées : Sannois serait issu du latin centum nuces, « cent noix » ou plutôt « cent noyers »[6], la ville comptant alors beaucoup de vergers, et donc d'arbres fruitiers. Elle pourrait aussi avoir des origines celtes et provenir des mots san « herbe à fourrage » et noue « terre grasse »[7]. Une origine latine serait aussi possible avec le nom centinodium qui signifie « cent mesures de bois de chauffage »[réf. nécessaire].
Ces explications impliquent le rejet arbitraire de la forme la plus anciennement attestée Centinodium, sauf la dernière qui lui donne une signification erronée. De toute évidence, la forme tardive et isolée Cent-Noix est une fantaisie de scribe et ne correspond pas aux formes anciennes régulièrement mentionnées et à la forme actuelle Sannois. Quant au terme de noyer en français, il est issu du latin populaire *nucarius « noyer »[8]. Le terme « celte » qualifie anciennement aussi une langue celtique qui, en Gaule hors Bretagne, ne peut être que du gaulois et il n'existe aucun terme gaulois san signifiant « herbe à fourrage », ni aucun terme gaulois noue signifiant « terre grasse ». Quand bien même san existerait, il est incompatible avec les formes les plus anciennement attestées en Cen-. Quant à noue, il s'agit d'une confusion, il existe effectivement un terme noue « terre grasse et humide servant de pâturage » en ancien français[9] (autrement noë cf. nom de famille Delanoë), attesté en latin médiéval sous la forme nauda et issu vraisemblablement du gaulois *nauda. Cependant, il ne convient pas phonétiquement, car -nauda> -noda n'est pas -nodium et n'a pas pu aboutir à -noiz, -nois. En revanche, -nodium a régulièrement donné -noi.
Selon les toponymistes, il s'agit peut-être d'une forme masculine du latin centinodia « renouée des jardins » qui aurait donné Santenoge (Haute-Marne, Centenoiges 1218)[10]. L'herba centinodia (centĭnōdĭus, a, um, mot-à-mot centum « cent » + nodus « nœud », c'est-à-dire « qui a cent nœuds ») ou centinode, est une espère de renouée, dont le nom savant est polygonum.
Le nom de « Sannoisien » a été donné à un sous-étage de l'Oligocène (ère tertiaire / Cénozoïque), situé entre -37 et -30 millions d'années. Les principaux faciès sont des marnes à cyrènes (bivalves), des argiles vertes, et le calcaire de Sannois.
Histoire
Les premiers indices d'occupation humaine autour du territoire actuel de Sannois datent du Paléolithique moyen (nombreux outils en pierre taillée) ; ils furent découverts au lieu-dit le Puits-Gohier, à l'emplacement de l'échangeur actuel de l'A15. Ces vestiges, les plus anciens découverts en vallée de Montmorency, sont constitués de plusieurs milliers de pièces en silex ou en grès, racloirs, bifaces, pointes, lames, etc.
Aux XIe – XIIe siècles, il est fait pour la première fois mention de Sannois (à l'époque Centinodium) dans un registre ecclésiastique. Le village s'établit alors autour de son église et de son château au pied du mont Trouillet.
Aux XVIe et XVIIe siècles, la ville connaît un véritable essor du fait de sa situation géographique entre Pontoise et Paris et à l'établissement d'un relais de poste. L'église date du XVIIe siècle et il y avait plusieurs châteaux; celui de Cernay, de Crinon, et de l'Ermitage.
Ce village fut le premier qui, en 1626, admit l'établissement des sœurs de la Charité.
L'activité de la ville est alors essentiellement agricole, et surtout viticole, en particulier à partir du XVIIIe siècle.
En 1870, la ville comptait 223 hectares de vigne qui occupait près de la moitié de la population.
Au XIXe siècle, l'agriculture disparaîtra peu à peu au profit de l'industrie. Il ne subsistaient en 1900 que 45 hectares de vignes. Les carrières de plâtre, qui connurent une grande expansion avec l'arrivée du chemin de fer en 1863, ont toutes été fermées à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Récemment, la mairie de Sannois a replanté un petit vignoble et créé un poste de vigneron municipal. Les premières vendanges ont eu lieu à l'automne 2006.
L'archiviste-paléographe André Vaquier signale dans ses ouvrages que Sannois frappa quelque temps ses propres jetons pour pallier la pénurie de monnaie qui suivit immédiatement la guerre.
La ville posséda quelque temps un gâteau qui lui était propre, aux noix et à la pâte d'amandes, qui se nommait « le pavé de Sannois ».
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Antérieurement à la loi du [11], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et son arrondissement d'Argenteuil après un transfert administratif effectif au .
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Val-d'Oise.
Elle faisait partie de 1793 à 1964 du canton d'Argenteuil , année où elle intègre le canton de Cormeilles-en-Parisis du département de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, elle devient en 1967 le chef-lieu du canton de Sannois[12]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton d'Argenteuil-1.
La commune est le siège d'une juridiction d’instance. Elle relève de la juridiction de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[13],[14].
Intercommunalité
La commune était membre de la communauté d'agglomération du Parisis depuis 2013.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles (loi MAPAM) du , qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la Communauté d'agglomération Val Parisis dont est désormais membre la commune.
Tendances politiques
Lors des élections municipales de 2014 dans le Val-d'Oise, Bernard Jamet a remporté les élections municipales le avec 48,19 % des voix[15]. Il a succédé le à Yanick Paternotte, maire depuis le .
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[20],[Note 1].
En 2021, la commune comptait 26 768 habitants[Note 2], en diminution de 0,87 % par rapport à 2015 (Val-d'Oise : +3,39 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
Il s'appuie sur les écoles et les collèges suivants :
Écoles primaires
- Groupe scolaire Pasteur
- École Belle-Etoile
- École Jules-Ferry
- École Henri-Dunant
- École Gambetta
- École Emile-Roux
- École Gaston-Ramon
- Institution Notre-Dame (école primaire privée)
Collèges
- Collège Jean-Moulin
- Collège Voltaire
- Institution Notre-Dame (collège privé)
Lycée professionnel adapté
- L.E.A. La Tour-du-Mail
Enseignement privé
- Institution Notre-Dame, de la maternelle à la terminale, dont le bâtiment lycée a été reconstruit en 2013.
- Fondation d'Auteuil - lycée professionnel et lycée professionnel agricole.
Sports
Sannois possède 2 clubs de football, l'Entente Sannois Saint-Gratien évoluant en National 2 , ainsi que la G.A.F.E.P.
La ville dispose de l'un des trois clubs de football américain du département, les Gaulois, qui sont actuellement en 2e Division.
Équipements sportifs
- Le stade Auguste-Delaune
- Le stade des Orphelins d'Auteuil (G.A.F.E.P.)
- La piscine Pierre-Williot, qui dispose d'un bassin de 25 x 10 mètres.
- Le palais des sports Jean-Claude-Bouttier
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 33 850 €, ce qui plaçait Sannois au 8 004e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[22].
Emploi
Le taux de chômage, en 2016, pour la commune s'élève à 13,3 %, un chiffre nettement supérieur à la moyenne nationale (9,7 %)[23].
Lieux et monuments
Monument historique
Sannois ne compte qu'un seul monument historique sur son territoire.
- Moulin de Sannois sur le mont Trouillet (inscrit monument historique par arrêté du [24]) : Ce moulin à vent fut édifié en 1759 par François Roger, un vigneron de Franconville. Appartenant au type des moulins Chandelier, entièrement pivotable, il remplaça un premier moulin de 1625 et fut désaffecté dès 1866. Deux autres moulins existaient sur le sommet du mont Trouillet, butte-témoin de 162 m d'altitude offrant un large panorama au visiteurs. La maison du meunier existe toujours non loin du moulin. Le site fut classé en 1934, et le moulin acquis par la ville quatre ans plus tard. Après une première restauration à la fin des années 1930, l'influence des intempéries rend nécessaire une deuxième restauration, entamée en octobre 1976. La ville a également acquis la maison du meunier en 1978[25]. Les visites ont été suspendues en 2007 afin de permettre son démontage et sa restauration complète et fonctionnelle en atelier en Belgique. Remis en place entre et , il est actuellement ouvert aux visites le premier dimanche de chaque mois, en après-midi (sauf en janvier, août et septembre)[26].
Autres éléments du patrimoine
- Musée Utrillo-Valadon, place du Général-Leclerc : Situé dans la villa Rozée, il expose des œuvres de Maurice Utrillo, de sa mère Suzanne Valadon et du peintre André Utter dans une salle du rez-de-jardin. Les autres salles présentent les dons des artistes contemporains ayant exposé au musée.
- Depuis , le maire et la municipalité de Sannois ont souhaité ouvrir le musée aux œuvres d'artistes contemporains.
- Le musée est ouvert à la visite du mercredi au dimanche, matin et après-midi, moyennant un droit d'entrée modique[27].
- Le musée est actuellement fermé (au 10 aout 2018), car le bâtiment menace de s'effondrer.
- Musée de la Boxe, 88 rue du Poirier-Baron, au Palais des Sports Jean-Claude-Bouttier : Inauguré le , il rassemblait, dans trois salles, plus de 8 000 objets consacrés à l'histoire de la boxe depuis l'antiquité, patiemment accumulés par un passionné qui avait proposé sa collection à la municipalité afin de la présenter au public.
- Le musée était ouvert à la visite tous les jours (sauf le dimanche après-midi), moyennant un droit d'entrée modique[28].
- Le musée a définitivement fermé le et les collections ont été dispersées.
- Église Saint-Pierre-Saint-Paul, place de l'Église : En remplacement d'une église du XVe siècle agrandie par deux fois au XVIIe siècle mais devenant trop vétuste, elle a été érigée entre 1900 et 1934[25] dans un style néoroman. Cyrano de Bergerac y est inhumé. La paroisse relève du diocèse de Pontoise.
- Maison d'Alexandre Ribot, 121 boulevard Charles-de-Gaulle : L'homme politique, plusieurs fois Président du Conseil, a habité cette grande maison bourgeoise de 1881 pendant les dernières années jusqu'à sa mort en 1923. C'est aujourd'hui une propriété communale[25].
- Château de Cernay, 12 avenue du Château : Il ne s'agit en fait que d'une villa bourgeoise du XIXe siècle, remplaçant un premier édifice de 1790 bâti pour Nicolas-Médard Audinot. La moitié de la villa a été démolie, mais les anciennes écuries et la porte d'entrée des communs subsistent toujours, rue de Cernay. Le parc de 4 ha a été loti durant les années 1920[25].
Jardins et espaces verts
- Le Mont Trouillet, site boisé et protégé de 30 hectares,
- Le square Jean Mermoz,
- Le square Alexandre Ribot
- Le square Laurens.
- Le square des Piretins.
- Le Jardin botanique de Sannois des plantes médicinales, géré par une association locale.
La commune participe au Concours des villes et villages fleuris et possède trois fleurs au classement pour le moment[29].
Culture
Équipements culturels
- L'espace Michel Berger (EMB), salle de spectacle vouée aux musiques actuelles.
- Le centre Cyrano-de-Bergerac.
Héraldique
Personnalités liées à la commune
- Achille, l'aîné parmi les frères Archambault, tous deux compagnons de captivité de Napoléon 1er, a résidé à Sannois et y est mort le .
- Savinien Cyrano de Bergerac est mort à Sannois en 1655. Le principal centre culturel de la ville porte son nom.
- Madame d'Houdetot (1730-1813), sœur de Madame d'Épinay, qui inspira une grande passion à Jean-Jacques Rousseau, résida à Sannois.
- César-François Cassini (1714-1784) prit le moulin de Sannois comme base de départ de sa carte de France.
- Joseph Duruey, (1741-1794), seigneur de Sannois, administrateur du trésor du roi Louis XVI, guillotiné le sur la place de la Révolution à Paris.
- François Magendie (1783-1855), physiologiste et médecin, est mort à Sannois.
- Charles Augustin Sainte-Beuve, écrivain, a séjourné à Sannois.
- Boïeldieu, compositeur, a séjourné à Sannois.
- Maurice Utrillo a peint environ 150 toiles à Sannois entre 1912 et 1914 ; la plupart appartient à sa plus grande période artistique, la « période blanche ». Célèbre essentiellement pour ses vues de Montmartre et de la banlieue parisienne, son style est à la fois naïf et raffiné, teinté d'une certaine mélancolie. Très tôt victime de l'alcoolisme, c’est à l’occasion d’un de ses séjours de « repos » à la clinique du docteur Revertégat en 1912, 1913 et 1914 que le peintre découvrit Sannois.
- Louis de Robert (1871-1937), écrivain mort et enterré à Sannois.
- Jacques Berlioz (1889-1969), acteur né à Sannois.
- Paul Signac a travaillé à Sannois.
- Albert Marquet a travaillé à Sannois.
- Marcel Barbu (1907-1984), candidat à la présidentielle de 1965, a vécu à Sannois, y a créé dans les années 1950 une association de défense des mal-logés. Il a été inhumé dans l'ancien cimetière de la ville.
- Jean-Marie Ledannois (1940-2014), artiste peintre abstrait né à Sannois[30]. Régis Debray lui a consacré une monographie[31].
- Serge de Beketch (1946-2007) est conseiller municipal de Sannois en 1995.
Notes et références
Notes
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
- « Communes limitrophes de Sannois » sur Géoportail.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 642b
- Le premier pouillé du diocèse de Paris, doyenné de Gonesse, datant de 1205 cite : ecclesia de Centum Nucibus, De Donatione episcopi.
- Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
- André Vaquier Du nom de Sannois, Société historique et archéologique de l'arrondissement de Pontoise et du Vexin, 1965
- Adrien de Valois, Notitia Galliarum..., page 143.
- Georges Poisson, Évocation du grand Paris. La banlieue nord-ouest, Éditions de minuit, 1960
- Site du CNRTL : étymologie de "noyer" (lire en ligne)
- [Site du CNRTL : étymologie de "noue" http://www.cnrtl.fr/etymologie/noue]
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
- Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
- Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
- « A Sannois, Bernard Jamet (DVD) fait tomber Paternotte », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
- Notice « LABEUR Jean », Le maitron en ligne.
- « Bernard Jamet confronté aux emprunts toxiques à Sannois : Un peu plus de cent jours après le second tour des municipales, nous vous proposons de dresser le bilan des premiers pas des nouveaux maires. Aujourd'hui, l'élu (DVD) de Sannois », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
- Alexandre Boucher, « Municipales : le maire sortant garde le cap à Sannois : Après un premier mandat houleux marqué par la démission de nombreux adjoints et conseillers, Bernard Jamet (DVD), candidat à sa succession, n’a rien perdu de son assurance », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- « Bernard Jamet a pris sa carte aux Républicains : Le maire de Sannois, non encarté durant la campagne des municipales, avait quitté l'UMP lors de la bataille Copé-Fillon. », L'Écho-Le Régional, (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le )
- « Comparateur de territoires−Commune de Sannois (95582) | Insee », sur www.insee.fr (consulté le )
- Notice no PA00080205, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Jacques Delaplace et Claude Adam, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Sannois », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II, , p. 805-815 (ISBN 2-84234-056-6).
- « Le moulin et la vigne », sur Sannois (site officiel) (consulté le ).
- « Musée Utrillo-Valadon », sur Sannois (site officiel) (consulté le ).
- « Musée de la Boxe », sur Sannois (site officiel) (consulté le ).
- « SANNOIS », sur www.villes-et-villages-fleuris.com (consulté le )
- Emmanuel Bénézit: Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs. Gründ, 1999. Voir tome 8 page 411.
- Régis Debray: Ledannois, le territoire de l'œil. Editions Pierre Horay, Paris, 1977.
Annexes
Articles connexes
- Moulin de Sannois
- Vallée de Montmorency
- Vins d’Argenteuil
- Entente Sannois Saint-Gratien
- Liste des communes du Val-d'Oise
Bibliographie
- André Vaquier, Du nom de Sannois,