Groslay

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Groslay
Groslay
L'hôtel de ville.
Blason de Groslay
Blason
Groslay
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Sarcelles
Intercommunalité CA Plaine Vallée
Maire Patrick Cancouët
Code postal 95410
Code commune 95288
Démographie
Gentilé Groslaysiens
Population
municipale
8 416 hab. (2021 en diminution de 2,15 % par rapport à 2015)
Densité 2 863 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 59′ 00″ nord, 2° 21′ 00″ est
Altitude Min. 51 m
Max. 123 m
Superficie 2,94 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Deuil-la-Barre
Législatives 7e circonscription du Val-d'Oise
Localisation
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Liens
Site web http://www.mairie-groslay.fr/

Groslay [ɡʁolɛ] Écouter est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France.

Ses habitants sont appelés les groslaysiens[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Groslay est située sur le flanc est de la butte-témoin portant la ville de Montmorency, à 15 km au nord de Paris.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Groslay est parcouru par le ru des Haras en grande partie souterrain, visible principalement dans 2 bassins de rétention destinés à éviter les inondations.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

La commune est limitrophe de Montmorency, Saint-Brice-sous-Forêt, Sarcelles, Deuil-la-Barre et Montmagny.

Transports et déplacements[modifier | modifier le code]

Groslay est desservie par la gare de Groslay, sur la ligne H du Transilien, branches Paris-NordPersan-Beaumont / Luzarches. La gare est desservie à raison d'un train omnibus au quart d'heure du lundi au vendredi, et d'un train à la demi-heure en soirée (après 20 h 30) et le week-end. Il faut de 15 à 17 minutes de trajet à partir de la gare du Nord.

La commune est également desservie par la ligne 1527 (Eaubonne - Garges-Sarcelles), la ligne 1537 (Sarcelles - Épinay-sur-Seine) du réseau de bus de la Vallée de Montmorency exploitée par Transdev Valmy ainsi que par l'antenne scolaire de la ligne 95.02 du Réseau de bus Roissy Ouest.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 681 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bonneuil-en-France à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 616,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Groslay est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[12] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[15],[16].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de Groslay est attesté pour la première fois sous la forme Graulido en 862, Graulidum en 862[17], Grolidum, Groolaium, Groela, Groelium, Grooletum, Groeletum, Grodoletum, Grolitium, Gloleium, Groleyum, Groloi en 1293[18].

Le nom de Groslay doit son origine à la nature du sol de certains de ses champs. En ancien français, le mot groele qui dérive du gaulois graua désignait un terrain contenant de petits cailloux. Ainsi la nom de la ville ne doit rien à la femelle du sanglier... Il y a pourtant plus de deux cents ans l'abbé Lebeuf pouvait déjà écrire en tête de sa notice sur Groslay : "Le vulgaire croit que ce nom est composé de deux mots qui signifient : gros-sanglier"... (Pacaud (Abbé Georges), Groslay de Seine et Oise p.15-17). Ainsi, le vrai blason de Groslay n'est pas celui qui porte une tête de sanglier mais celui qui figure sur la page de couverture de l'ouvrage de l'abbé Pacaud[19] .

Voir Grosley (Eure)

Histoire[modifier | modifier le code]

Le passage à niveau de Groslay, vers 1909.

Le premier seigneur de Groslay est Odon ou Éudes de Groslay à la fin du XIe siècle. Au XIIIe siècle, le village devient un fief des Montmorency, puis des Condé au XVIIe siècle[20].

La commune vit essentiellement de la vigne et du maraîchage jusqu'au début du XXe siècle (la culture du poirier s'y développe à partir de 1860). Groslay connaît une évolution comparable au village voisin de Montmorency : construction de châteaux de plaisance au XVIIIe siècle, de propriétés bourgeoises au XIXe siècle puis l'urbanisation pavillonnaire du XXe siècle, facilitée par la mise en service, en 1877, de la ligne de chemin de fer Paris - Persan-Beaumont.

De par sans doute l'éloignement relatif des grands axes de communication routiers et la faible superficie de la commune, Groslay n'a pas connu l'urbanisation brutale de certaines de ses voisines dans les années 1960 et 1970. L'habitat collectif y reste minoritaire et à taille humaine. Cependant, depuis les années 2000, les derniers espaces verts, les vergers et les champs de pivoines qui faisaient le charme du village disparaissent rapidement face à l'urbanisation. En 2007, le parc municipal et le parvis de la mairie ont fait l'objet d'une rénovation totale.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[21], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Sarcelles après un transfert administratif effectif au .

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Montmorency[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Groslay fait partie de la juridiction d’instance de Montmorency, et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[23],[24].

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Deuil-la-Barre

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la septième circonscription du Val-d'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la Communauté d'agglomération de la vallée de Montmorency (CAVAM), un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre.

Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du 27 janvier 2014, qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, cette intercommunalité fusionne avex sa voisine pour former, le , la communauté d'agglomération Plaine Vallée dont la commune est désormais membre.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors du second tour des élections municipales de 2020, la liste menée par le maire sortant, Joël Boutier (DVD) est arrivée en troisième position, avec 29,54 % des suffrages exprimés, devancé par la liste menée par Patrick Cancouët (DVD) qui a obtenu la majorité des suffrages exprimés avec 38,37 % des voix, et celle de François Jeffroy (écologiste, 31,57 %)[25].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1811 1816
(décès)
Pierre François Comartin    
1816 1846 Pierre Joseph Comartin   Négociant, vice-président de l'Athénée Royal
Fils du précédent
? 1857 Jean-Baptiste de la Chaussée    
1857 1865 Octave Comartin   Fils de Pierre Joseph Comartin
Maire en 1870   Paul du Boÿs    
Maire en 1878   Alphonse Lasson    
Les données manquantes sont à compléter.
octobre 1947 mai 1953 Marcelle Laurent    
mai 1953 mars 1965 André Maury    
mars 1965 mars 1971 Roger Donnet    
mars 1971 mars 1977 Marcel Glo    
1977 1983 André Burin   Docteur
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983 juillet 2020 Joël Boutier[26],[27] DVD
(app. UMPLR)
Cadre de banque
Vice-président de la CAVAM (2008 → 2015)
Vice-président de la CA Plaine Vallée (2016 → 2020)
juillet 2020[28],[29] En cours
(au 6 juillet 2022)
Patrick Cancouët DVD Docteur ès sciences physiques, ingénieur chimiste,
Commandant de réserve dans l'armée de terre,
Vice-président de la CA Plaine Vallée (2020 → )

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2008[30].

Jumelages[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].

En 2021, la commune comptait 8 416 habitants[Note 3], en diminution de 2,15 % par rapport à 2015 (Val-d'Oise : +3,39 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0391 0091 0761 0631 1951 1701 0471 0741 044
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0391 0241 0721 0301 1071 1151 1891 2331 448
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5281 6952 0142 5273 0564 0013 6393 6174 138
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
4 7445 4425 1964 9145 9107 3858 0408 0118 460
2015 2020 2021 - - - - - -
8 6018 4748 416------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Monument historique[modifier | modifier le code]

Chœur de l'église Saint-Martin.
Résurrection du Christ.

Groslay compte un monument historique sur son territoire ;

  • église Saint-Martin, cour du Rocher / rue Paul-du-Boys (classée monument historique par arrêté du [35]) : Elle se compose essentiellement d'une nef et d'un bas-côté sud gothiques du XIIIe siècle ; et d'un prolongement de la nef avec chœur à l'abside en hémicycle ainsi que d'un collatéral nord et d'un prolongement du collatéral sud du XVIe siècle. Les parties ajoutées en premier lieu affichent le style gothique flamboyant, alors que les finitions des parties ajoutées pendant la dernière campagne de travaux sont empreintes de la Renaissance, mais seule l'abside est conçue entièrement dans le style de la Renaissance. À la suite de remaniements et ajouts maladroits, uniquement la façade septentrionale et en partie la façade du chevet conservent leur caractère authentique. L'intérieur est assez harmonieux et construit avec grand soin, ne présentant pas de rupture réelle entre les différentes parties. La véritable richesse de l'église est ses six verrières Renaissance, constituées dans certains cas de fragments montés ensemble. Classées monuments historiques au titre des objets depuis 1897, elles représentent l'arbre de Jessé, des scènes de la vie de saint Martin, la Nativité, le baptême du Christ, le martyre de sainte Agathe, la messe de saint Grégoire et la Résurrection du Christ[36],[37],[38].

On peut également signaler les lieux suivants !

  • Château Claude-de-Beauharnais, 30 rue de Montmorency : cette demeure a connu de multiples propriétaires depuis ses origines, vers 1650. En 1779, Claude de Beauharnais, comte des Roches, l'acquiert. Cinq ans plus tard, son neveu Alexandre de Beauharnais, premier époux de la future impératrice Joséphine de Beauharnais, en hérite. C'est Alexandre, grand-père de Napoléon III, qui transforme la maison de campagne, d'un étage et avec un mansarde, dans le château actuel. Faisant équerre avec la maison d'origine, c'est un édifice de style classique d'ordre composite, orné par des pilastres et des frontons sculptés[38].
  • Mairie, 21 rue du Général-Leclerc : elle est installée depuis 1936 dans cette ancienne maison bourgeoise du XIXe siècle.
  • Château-Vieux, 25 rue de Montmorency : le bâtiment actuel, sans intérêt architectural, est édifié au XIXe siècle sur les fondations d'un ancien château seigneurial appartenant aux Montmorency. C'est actuellement la maison de retraite des sœurs salésiennes de Marie-Immaculée. Le parc a été en grande partie loti, mais conserve quelques arbres d'essences rares dans la région[38].
  • Centre Belle-Alliance, 8 rue Albert-Molinier : c'est un petit château de style Louis XIII datant de 1880 environ, avec une façade en brique et pierre de taille et des combles à la française. Une partie du grand parc a été soustraite pour permettre la construction de plusieurs établissements scolaires. Le château appartient aujourd'hui au département des Hauts-de-Seine, qui y a installé un centre de formation pour adultes handicapés[38].
  • Abreuvoir et lavoir, 13 rue Pierre-Corre : il s'agit de deux bassins de forme ovale, dont l'un est protégé par un abri en charpente. Ces équipements datent du XIXe siècle. L'eau provenait d'une source proche de l'église[38].
  • Buste de Ferdinand Berthoud, place Ferdinand Berthoud : ce buste placé sur un petit obélisque a été installé en 1907 en mémoire de l'horloger de Louis XVI. Le buste actuel n'est toutefois qu'une copie de 1949, l'original ayant été fondu sous l'Occupation, en 1942[38].
  • Monument aux morts, au cimetière : œuvre du sculpteur François Gir de 1920, ce monument se compose d'une stèle en pierre, comportant à gauche le bas-relief d'une femme voilée agenouillée, et à droite une plaque en marbre blanc encastrée, arborant quant à elle le bas-relief d'un poilu en pied, entièrement équipé. Ce monument rend hommage aux soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale. Les noms des victimes de la Seconde Guerre mondiale ont été rajoutés ultérieurement[38].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Buste de Ferdinand Berthoud.

Groslay au cinéma et à la télévision[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Descriptif des armes authentiques de Groslay établies sous le contrôle de la Société Française d'Héraldique.

Le blason se doit d'évoquer d'abord le plus ancien suzerain de pays : l'Abbaye de Saint-Denis. C'est pourquoi nous avons représenté les armes de celles-ci : les trois lis de France et un clou de la Sainte Croix.

Il fallait ensuite rappeler que les barons de Montmorency présidèrent durant cinq siècles, aux destinées du village : deux cantons portent donc les aiglettes (ou alérions) de cette illustre famille.

Le quatrième canton c'est le blason des princes de Bourbon-Condé, successeurs des précédents, en 1632.

Enfin on a placé au centre le raisin et le soleil, parce que Groslay fut d'abord un vignoble exposé au midi.

“Écartelé, au premier, de l'Abbaye de Saint-Denis ; aux deuxième et troisième, d'or à quatre alérions d'azur, cantonnés ; au quatrième, de Bourbon-Condé, et, sur le tout, de gueules à la grappe de raisin d'or accompagnée en chef d'un soleil du même et, en pointe, d'une rivière d'argent en fasce.”


Armes de Groslay

Les armes de Groslay se blasonnent ainsi[39]:

De gueules, au pampre mouvant de la pointe, tigé et feuillé d'argent, fruité d'or ; au chef aussi d'or, chargé d'une hure de sanglier de sable, allumée et défendue de gueules.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • François Collin, Groslay à bâtons rompus, éditions du Valhermeil, 2006, 143 pages.
  • Pacaud (Abbé Georges), Groslay de Seine et Oise, le terroir, les habitants, les évènements depuis les origines, 1949, 2e éd., 1966. 3e éd, revue et augmentée, avec la contribution de Jean Aubert, 1990, 178 p.[40]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Site de la mairie de la ville de Groslay », sur mairie-groslay.fr.
  2. « Communes limitrophes de Groslay » sur Géoportail..
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Groslay et Bonneuil-en-France », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Le Bourget » (commune de Bonneuil-en-France) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Le Bourget » (commune de Bonneuil-en-France) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. Dans un acte de donation de vignes à l'abbaye de Saint-Denis
  18. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  19. Couverture de l'ouvrage de l'abbé Pacaud
  20. Origine et évolution du nom de Groslay
  21. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  22. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
  24. Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
  25. Fabrice Cahen, « Municipales : Joël Boutier battu à Groslay par Patrick Cancouët : Le maire sortant de Groslay (Val-d'Oise), élu depuis 1983, a été battu par son rival (Dvd) Patrick Cancouet », La Gazette du Val-d'Oise,‎ .
  26. D.P., « Joël Boutier retrouve son fauteuil de maire », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
  27. « La droite divisée à Groslay », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
  28. C.L., « Municipales à Groslay : Patrick Cancouët détrône Joël Boutier : Candidat malheureux en 2014, Patrick Cancouët a cette fois réussi le pari de déboulonner Joël Boutier, maire depuis 1983 », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La deuxième fois aura donc été la bonne. Patrick Cancouët (DVD) sera officiellement élu maire de Groslay ce vendredi soir à 20h30, cinq jours après sa victoire aux élections municipales, lors d'une triangulaire qui l'a vu décrocher 38,89 % des suffrages ».
  29. Fabrice Cahen, « Val-d’Oise. Patrick Cancouët aux commandes de la mairie à Groslay : Professeur de chimie à l'université Paris XIIIe et commandant réserviste dans l'armée de terre, Patrick Cancouët, est le nouveau maire (Dvd) de Groslay (Val-d'Oise) », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).< « La première séance du conseil municipal restera marquée par le départ de Joël Boutier, ex-maire (Dvd) durant 37 ans, qui n’a pas souhaité siéger dans l’opposition et a préféré démissionner quelques heures avant l’assemblée locale ».
  30. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Groslay, consultée le 26 octobre 2017
  31. a et b site de la mairie - Page des jumelages
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Notice no PA00080079, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Notice no PM95000310, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  37. Mathieu Lours, « Groslay - Saint-Martin », Églises du Val-d’Oise : Pays de France, vallée de Montmorency, Gonesse, Société d’histoire et d’archéologie de Gonesse et du Pays de France,‎ , p. 148-153 (ISBN 9782953155402).
  38. a b c d e f et g Michel Rival et Valérie Jacquemin, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Groslay », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II,‎ , p. 683-688 (ISBN 2-84234-056-6).
  39. « Blason de Groslay », sur Armorial de France (consulté le ).
  40. « valmorency.fr ».