Montigny-lès-Cormeilles
Montigny-lès-Cormeilles | |||||
![]() Promenade des Impressionnistes | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Île-de-France | ||||
Département | Val-d'Oise | ||||
Arrondissement | Argenteuil | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Val Parisis | ||||
Maire Mandat |
Jean-Noël Carpentier 2020-2026 |
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Code postal | 95370 | ||||
Code commune | 95424 (ex 78424) | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Ignymontains, Ignymontaines | ||||
Population municipale |
21 638 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 5 316 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 59′ 00″ nord, 2° 11′ 00″ est | ||||
Altitude | 130 m Min. 61 m Max. 168 m |
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Superficie | 4,07 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Herblay | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Géolocalisation sur la carte : Val-d'Oise
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | montigny95.fr | ||||
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Montigny-lès-Cormeilles est une commune française, située dans le département du Val-d'Oise, en région Île-de-France.
Tout comme ceux de Montigny-le-Bretonneux dans les Yvelines, ses habitants se nomment les Ignymontains et Ignymontaines[1].
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation et communes limitrophes[modifier | modifier le code]
La commune a une superficie de 407 hectares dont 10 de forêts aménagées ou en cours d'aménagement. Les communes limitrophes sont Cormeilles-en-Parisis, La Frette-sur-Seine, Franconville, Herblay-sur-Seine, Pierrelaye, Beauchamp et Le Plessis-Bouchard.
Le vieux village est situé sur le versant nord /nord-ouest des buttes du Parisis qui sont formées de marne argileuse et de sables de Fontainebleau. Certaines rues et chemins du vieux village ont une pente très forte, surtout sur la face ouest qui descend vers la RD 392.
Les voies routières les plus importantes en trafic qui traversent la commune sont l'autoroute A15 (2×3 voies), la départementale 14 qui traverse une importante zone commerciale et la départementale 392.
Deux gares SNCF desservent la ville : la gare de Montigny - Beauchamp (Réseau Nord et RER C) et celle de La Frette - Montigny (réseau Saint-Lazare).
Climat[modifier | modifier le code]
Montigny-lès-Cormeilles comme toute l'Île-de-France est soumise à un climat océanique dégradé. La localisation de la commune au sein de l'agglomération parisienne provoque une très légère élévation de la température d'un ou deux degrés en fonction des conditions climatiques par rapport aux zones rurales d'Île-de-France. Cet écart est particulièrement notable au lever du jour par temps calme et anticyclonique, et la situation a tendance à s'accentuer au fil des années. La température moyenne annuelle est de 11 °C, le mois le plus le froid est janvier avec +4 °C ; les mois les plus chauds sont juillet et août avec +19 °C (moyenne journalière). Le nombre moyen de jours où la température dépasse 25 °C est de 40, dont 8 au-delà de 30 °C. Dans le Sud du Val-d'Oise, depuis 1955, la durée moyenne annuelle d'ensoleillement est de 1 719 heures[3].
Mois | Janv | Fév | Mars | Avr | Mai | Juin | Juil | Août | Sept | Oct | Nov | Déc | Année |
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Températures maximales moyennes (°C). Tg | 6 | 7 | 11 | 14 | 18 | 21 | 24 | 24 | 21 | 15 | 9 | 7 | 14,8 |
Températures minimales moyennes (°C) | 1 | 1 | 3 | 6 | 9 | 12 | 14 | 14 | 11 | 8 | 4 | 2 | 7,1 |
Températures moyennes (°C) | 4 | 4 | 7 | 10 | 14 | 17 | 19 | 19 | 16 | 12 | 7 | 5 | 11,2 |
Source : Climatologie mensuelle - Aéroport de Roissy, France[4] |
Toponymie[modifier | modifier le code]
Le nom de la localité est attesté sous la forme Montigneium juxta villam de Cormellis en 1200[5], Montiliacus[5], Montiniacus[5], Montignacum en 1207[5] au XIIIe siècle[6].
Albert Dauzat[7] et à sa suite Ernest Nègre assignent une même origine à tous les Montigny, qui viendraient d'une même forme *Montaniacum : le nom de personne roman *Montanius auquel on a adjoint le suffixe d'origine gaulois -acum. Il s'agirait donc du nom d'un domaine rural de l'ancienne Gaule[8], et la première attestation de Montigny-lès-Cormeilles remonterait à l'an 862 sous la forme Montiniacus. Même opinion chez Marie-Thérèse Morlet qui cite nommément Montigny-les-Cormeilles[9]. Le fait de savoir si tel ou tel *Montaniacum est formé sur un anthroponyme (« domaine de Montanius ») ou sur un nom commun (« domaine montagneux »), l'un et l'autre dérivé de mons peut néanmoins être source de discussion. Le fait que le vieux village soit situé sur la butte de Cormeilles (parfois appelée La Montagne), est un élément à prendre en compte et Michel Roblin y voit un dérivé du bas latin montanea « montagne » suivi du suffixe -acum au sens locatif qu'il possède à l'origine[10].
La liaison lès signifie « près de » et se rapporte à Cormeilles-en-Parisis qui est le chef-lieu de canton de Montigny-lès-Cormeilles. L'élément Cormeilles quant à lui est dérivé du nom du cormier, un arbre très commun sur la butte très justement appelée « Butte de Cormeilles ».
Histoire[modifier | modifier le code]
Charlemagne a cédé Montigny à l'abbaye de Saint-Denis qui en a conservé la propriété jusqu'à la Révolution.
Montigny a été source d'inspiration pour certains peintres, par exemple Jean-Baptiste Camille Corot, qui a peint l'auberge Corot (aujourd'hui un espace destiné à accueillir des expositions) située sur la place de l'église, ou encore Maurice Utrillo.
Politique et administration[modifier | modifier le code]
En 1922, la commune de Beauchamp est créée par détachement de parties des territoires de celles de Pierrelaye, Taverny et de Montigny-lès-Cormeilles[11].
Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]
Antérieurement à la loi du [12], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise après un transfert administratif effectif au .
Initialement rattachée à l'arrondissement de Pontoise du Val-d'Oise, Montigny-lès-Cormeilles fait partie de l'arrondissement d'Argenteuil en 1976.
Pour l'élection des députés, la commune est intégrée depuis 1988 à la troisième circonscription du Val-d'Oise.
Elle faisait partie de 1793 à 1964 du canton d'Argenteuil, année où elle intègre le canton de Cormeilles-en-Parisis de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, elle est rattachée en 1967 au nouveau canton d'Argenteuil puis, en 1976, au canton de Cormeilles-en-Parisis[11]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France,la ville est désormais intégrée au canton d'Herblay.
La commune fait partie de la juridiction d’instance de Sannois, et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[réf. nécessaire].
Intercommunalité[modifier | modifier le code]
Montigny-lès-Cormeilles était membre fondateur de la communauté de communes du Parisis, créée fin 2005 et transformée fin 2010 en communauté d'agglomération sous le nom de communauté d'agglomération du Parisis.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du , qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, le préfet de la région d'Île-de-France approuve le un schéma régional de coopération intercommunale qui prévoit notamment « l'extension du périmètre de la communauté d'agglomération Le Parisis aux communes de Frépillon, Saint-Leu-la-Forêt, Le Plessis-Bouchard, Ermont et Eaubonne[13] ».
En conséquence est créée le la communauté d'agglomération Val Parisis dont est désormais membre la commune.
Tendances politiques[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[20],[Note 1]
En 2018, la commune comptait 21 638 habitants[Note 2], en augmentation de 6,55 % par rapport à 2013 (Val-d'Oise : +3,67 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Économie[modifier | modifier le code]
Une source fut exploitée en affermage jusque dans les années 1980 dans le village même, avec embouteillage et commercialisation du produit. Elle a été fermée à cause d'un manque de mise aux normes et de la vétusté des installations et du bâtiment qui a été démoli. Les travaux ont coûté ~2 millions €.
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
Aucun monument historique classé ou inscrit n'est présent sur le territoire communal.
On peut néanmoins signaler !
- Manoir Plisson, rue Fortué-Charlot : cette villa de la fin du XIXe siècle abrite la mairie depuis 1939[22].
- Église Saint-Martin : L'église primitive de Montigny n'a été construite qu'en 1710 sur le même emplacement, mais elle menace déjà ruine vers le milieu du XIXe siècle.
- Une nouvelle église est construite et terminée en 1898, selon les plans dessinés par Marcel Lambert, architecte en chef du domaine de Versailles et des Trianons. Seul le clocher du XVIIIe siècle est conservé, qui a la particularité d'être octogonal[22]. L'église contient un riche mobilier dont douze éléments sont classés au titre du mobilier[23].
- Église Saint-Joseph, 53, rue de la République, consacrée en 2019, et conçue par le cabinet d’architectes Enia en remplacement d'une chapelle construite en 1979 et devenue vétuste et trop petite. Le nouveau lieu de culte, financé par la communauté catholique, est dotée d’une architecture moderne où le bois est très présent et peut accueillir 300 fidèles[24],[25].
- Maison du Coq Hardi, située près du quartier de la Croix Blanche, et qui présente sous le toit la peinture d'un coq écrasant un serpent[22].
- Belles villas de l'architecte Henri Lecoeur (1867-1951) construites vers 1920 au no 2 rue de la Halte et la Belle-Isloise au no 7 rue du Panorama[22].
- De nombreuses propriétés privées ou lotissement privé ou copropriété sont implantés à Montigny : Le Hameau du Parisis (situé à la hauteur de la rue E.-Degas), les Arcades (situé derrière l'école Van Gogh, derrière la rue colette), Diderot-Marmontel (au niveau de la rue Daguerre), Les Hauts de Bruyères (situés avenue Aristide Maillol), Les Sources (situées avenue Aristide Maillol et rue du Plessis Bouchard).
Montigny-lès-Cormeilles dans les arts[modifier | modifier le code]
Films tournés à Montigny-lès-Cormeille :
Culture[modifier | modifier le code]
Le « Salon du polar » est organisé sur la commune au début du mois de décembre de chaque année depuis 1997.
Héraldique[modifier | modifier le code]
Les armes de Montigny-lès-Cormeilles se blasonnent ainsi[26] : Symbolique : évocation de la colline où étaient les carrières à plâtre exploitées par l'abbaye de Saint-Denis ; la fasce ondée rappelle la source de Montigny.
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Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références[modifier | modifier le code]
- http://www.capeutservir.com/postaux/
- « Communes limitrophes de Montigny-lès-Cormeilles » sur Géoportail.
- Météo France - Climatologie
- L'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle distant de 25 kilomètres au sud-est en plaine constitue la station de référence pour le département du Val-d'Oise.
- Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 978-2-85023-076-9), p. 477b
- ibidem
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, où Montigny-lès-Cormeilles est nommément cité au § 9328.
- Noms de personne sur le territoire de l'ancienne Gaule du VIe au XIIe siècle, tome III, 1985.
- Michel Roblin, Le Terroir de Paris aux époques gallo-romaine et franque : peuplement et défrichement dans la Civitas des Parisii (Seine, Seine-et-Oise), préface de M. Albert Grenier, membre de l’Institut, éd. A. et J. Picard, Paris, 1951, 381 p.; rééd. A. et J. Picard, Paris, 1971, XIV-491 p. — Thèse soutenue à l’Université de Paris. — Compte-rendu d'Albert Dauzat in Revue Internationale d'Onomastique III, 1951, p. 231-236
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
- « Arrêté du Préfet de la région Île-de-France du 4 mars 2015 portant adoption du schéma régional de coopération intercommunale » [PDF], sur http://www.marneetgondoire.fr (consulté le 14 janvier 2016).
- Il est à noter que Fortuné Charlot, qui a habité au 219 boulevard de Pontoise, n'a jamais été maire. Il est devenu 2e adjoint de Victor Bordier lors du renouvellement du 17 mai 1929
- « Robert Hue démissionne de son mandat de maire de Montigny-lès-Cormeilles », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le 8 mai 2019) « M. Hue qui a toujours été élu au premier tour depuis 1977, a décidé de passer la main à son premier adjoint, Jean-Noël Carpentier ».
- Laure Equy, « Hue quitte Montigny et se raccroche à son NEP : PCF : L’ex-leader du parti passe le relais à la mairie. », Libération `, (lire en ligne, consulté le 8 mai 2019).
- Alexandre Boucher, « Montigny-lès-Cormeilles se donne le temps de réfléchir à son futur centre-ville », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le 8 mai 2019) « Les habitants peuvent désormais découvrir ce projet d’ampleur, qui passe par la transformation de la D14, à l’Atelier. Le maire (MDP) Jean-Noël Carpentier l’assure : ce centre-ville « ne pourra pas se faire si la population n’en veut pas ».
- Angélique Boilet, « Législatives : Jean-Noël Carpentier préfère son siège de maire : Dans le cadre de la loi sur le non-cumul des mandats, le député-sortant Mdp de la 3e circonscription, Jean-Noël Carpentier, choisi de ne pas briguer de second mandat car il a « décidé de rester maire de Montigny », VO news 95, (lire en ligne, consulté le 8 mai 2019) « En 2012, Jean-Noël Carpentier avait remporté les élections, sous l’étiquette du Mouvement unitaire progressiste, avec le soutien du Parti Socialiste. Le mouvement politique créé par Robert Hue et devenu par la suite MDP, avait passé un accord national avec le PS ».
- Daniel Chollet, « J.-Noël Carpentier réélu maire, mais un recours de M. Marques : Vainqueur de 12 voix, le maire, Jean-Noël Carpentier (Mup), a retrouvé vendredi son fauteuil le 4 avril. Mais Modeste Marques (Ump) a déposé un recours au tribunal administratif. », La gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- M. Farion, Daniel Renard, M. Rigault, Bernard Chahmirian, Carel de Gaube et Stéphane Gasser, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Montigny-lès-Cormeilles », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. I, , p. 170-175 (ISBN 2-84234-056-6).
- « Liste des objets classés de Montigny-lès-Cormeilles », sur Base Palissy (consulté le 17 novembre 2012).
- Alexandre Boucher, « Montigny-lès-Cormeilles : l’ancienne chapelle cède sa place à une église : En 2018, l’église permettra d’accueillir 300 fidèles. Une partie du chantier sera financée par la vente de biens immobiliers », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le 7 mai 2019).
- Alexandre Boucher, « Une nouvelle église pour les fidèles de Montigny-lès-Cormeilles : Après deux ans de travaux, le diocèse de Pontoise consacrera la nouvelle église Saint-Joseph ce dimanche matin. Une première depuis quinze ans », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le 7 mai 2019) « La construction du nouveau lieu de culte, dont le coût est estimé à plus de 3 M€, a été financée à 70 % par le diocèse de Pontoise, à 10 % par les Chantiers du Cardinal et à 15 %, dont 10 % de produits de vente de biens immobiliers, par la paroisse de Montigny. Une souscription est d’ailleurs toujours ouverte pour combler les 5 % restants, soit 150 000 € ».
- Jean-Paul de Gassowski, L'Armorial des communes du Val-d'Oise, édition Gaso, 1996, s.p.
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Jean-Pierre Denis, « Henri Lecœur, l'architecte du Parisis des années 1900 », Vivre en Val-d'Oise, no 118, , p. 28-33 (ISSN 1146-2191)