Lambruisse

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Lambruisse
Lambruisse
Le village
Blason de Lambruisse
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Castellane
Intercommunalité Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière
Maire
Mandat
Robert Martorano
2020-2026
Code postal 04170
Code commune 04099
Démographie
Population
municipale
83 hab. (2021 en diminution de 15,31 % par rapport à 2015)
Densité 3,8 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 02′ 57″ nord, 6° 26′ 34″ est
Altitude Min. 993 m
Max. 2 000 m
Superficie 21,78 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Castellane
Législatives Première circonscription
Localisation
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Lambruisse
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Lambruisse
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Lambruisse
Liens
Site web http://lambruisse.fr

Lambruisse est une commune française située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Le nom de ses habitants est Lambruissiens[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Carte élémentaire montrant les limites de la commune, les communes voisines, les zones de végétation et les routes
Lambruisse et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

Les communes limitrophes sont Thorame-Basse, Saint-André-les-Alpes, Moriez, Clumanc, Tartonne.

Le village est situé à 1100 m d’altitude[2].

Relief[modifier | modifier le code]

Montagne de Charvet, allongée, et sommet de Meunier qui se détache peu, à 1742 m d’altitude. Au-dessus de 1500 m d’altitude, le versant, exposé à l’ouest, est encore enneigé au début du mois d’avril
Montagne de Charvet et sommet de Meunier (1742 m)

Le col du Défens, à 1267 m, donne accès à Tartonne et la vallée de l’Asse de Clumanc.

Sommets :

  • Grande Séoune, à 1694 m ;
  • Sommet de la Sapée, à 1702 m ;
  • Le Cugulet, 1410 m.

Géologie[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le périmètre de protection de la Réserve naturelle géologique de Haute-Provence.

Environnement[modifier | modifier le code]

La commune compte 767 ha de bois et forêts[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par l’Encure, qui se jette dans l’Issole.

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[3] :

  • torrents l'issole, l'encure, de chauchaous,
  • ravin de fouranne.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Saint-André-les-Alpes auquel appartient Lambruisse est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[4], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[5]. La commune de Lambruisse est également exposée à trois autres risques naturels[5] :

  • feu de forêt,
  • inondation,
  • mouvement de terrain : quelques rares versants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort[6].

La commune de Lambruisse n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[7]. Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[7] mais le Dicrim existe depuis 2011[8].

La commune n’a été l’objet d’aucun arrêté de catastrophe naturelle[5]. Le seul tremblement de terre ressenti de manière sensible à Lambruisse est celui de Chasteuil, le 30 novembre 1951, avec une intensité macro-sismique ressentie de IV sur l’échelle MSK (l’intensité était plus forte à l’épicentre)[9],[10].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La forme ancienne du nom du village est Lambrusca vers 1200 d'après l'occitan Lambruisso, désignant la variante alpine de la « vigne sauvage »[11],[12] . Il s'agit de cette vigne sauvage méditerranéenne appelée lambrusque ou lambruche[13].

Le nom du sommet du Cugulet, 1410 m, vient de *Kug-, oronyme (mot servant à nommer une montagne) préceltique, qui a peut-être évolué par rapprochement et métonymie avec cucullus, capuchon en latin[14].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[15]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[16].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 964 mm, avec 6,9 jours de précipitations en janvier et 5,4 jours en juillet[15]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Mure-Argens », sur la commune de La Mure-Argens à 10 km à vol d'oiseau[17], est de 9,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 891,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 37,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21,9 °C, atteinte le [Note 1],[18],[19].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[20]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[21].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lambruisse est une commune rurale[Note 2],[22]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[23],[24]. La commune est en outre hors attraction des villes[25],[26].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (85,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (83,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (26,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (20,3 %), zones agricoles hétérogènes (14,5 %)[27].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

Auguste fait la conquête de la vallée des Asses en même temps que celle des Alpes, qu’il achève en 14 av. J.-C.. Il est difficile de connaître le nom du peuple gaulois qui peuplait la vallée, et le nom de la civitas dont Lambruisse dépendait au Haut-Empire : Eturamina (Thorame) ou Sanitensium (Senez). À la fin de l’Empire romain, le rattachement à celle de Sanitensium, et à son diocèse, sont avérés avec la disparition de l’évêché d’Eturamina[28].

La localité apparaît pour la première fois dans les chartes vers 1239[29]. La communauté faisait partie de la viguerie du Val-de-Barrême[29]. L’église dépendait au Moyen Âge de la paroisse du Castellet des Robines, communauté qui disparaît avec la Grande Peste et qui est rattachée à Moriez[30].

Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[31].

La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du 15 septembre 1807 précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1837 que le cadastre dit napoléonien de Lambruisse est achevé[32].

Comme de nombreuses communes du département, Lambruisse se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle possède déjà une école qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu[33]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[34], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Lambruisse[35] ; ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de Lambruisse sont régulièrement scolarisées.

Dans le deuxième tiers du XXe siècle, on a compté jusqu’à cinq distilleries de lavande à Lambruisse[36].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Lambruisse Blason
D'or à un cep de vigne arraché de sinople, fruité de sable, accolé à un arbre sec, arraché aussi de sable[37],[38].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Mairie de Lambruisse, sur un terrain en pente. Le monument aux morts est construit sur une terrasse qui rattrappe le dénivelé devant le bâtiment
Mairie de Lambruisse, monument aux morts et clocher de l’église
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1945   Alphonse Groulet[39]    
         
avant 2005 mars 2008 Francis Raybaud    
mars 2008 2014 Claudette Campioni[40]    
avril 2014 En cours
(au 21 octobre 2014)
Robert Martorano[41]   Retraité de l'enseignement
Les données manquantes sont à compléter.

Budget et fiscalité 2016[modifier | modifier le code]

En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[42] :

  • total des produits de fonctionnement : 107 000 , soit 1 071  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 102 000 , soit 1 020  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 22 000 , soit 222  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 18 000 , soit 177  par habitant.
  • endettement : 62 000 , soit 618  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 14,60 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 9,78 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 11,20 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,73 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 28,23 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014 : Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation : 16 068 [43].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

La Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet Établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi)[44].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Lambruisse fait partie:

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

En 2021, Lambruisse comptait 83 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2004, 2009, 2014, etc. pour Lambruisse). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.

Évolution démographique
1315 1471 1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841
58 feux18 feux241264273282214306320255
1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
266263261265263243227221209189
1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
19017615116412011710711097103
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2021 -
867973495570719083-
Population sans doubles comptes de 1962 à 1999 ; population municipale depuis 2004
(Sources : Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[45], EHESS[46], Insee à partir de 1968[47],[48],[49],[50])

L’histoire démographique de Lambruisse est marquée par la crise des XIVe et XVe siècles, qui cause la perte des deux tiers au moins de la population. Elle est suivie d'un long mouvement de croissance jusqu’au milieu du XIXe siècle. La période d’« étale », constatée dans la plupart des communes du département, où la population reste relativement stable à un niveau élevé, est très courte à Lambruisse : elle ne dure que de 1831 à 1836. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul de longue durée. Dès 1906, la commune enregistre la perte de la moitié de ses effectifs du maximum historique de 1836[51]. Le mouvement de recul se prolonge ensuite jusqu'aux années 1980 ; depuis, la population a presque doublé.

Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Aperçu général[modifier | modifier le code]

En 2009, la population active s’élevait à 26 personnes, dont deux chômeurs[52] (huit fin 2011[53]). Ces travailleurs sont partagés de manière égale entre salariés et indépendant[54] ; la moitié d’entre travaillent dans la commune[54] et majoritairement dans le secteur primaire.

Agriculture[modifier | modifier le code]

Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait 12 établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non-professionnels inclus) et un emploi salarié[55].

Le nombre d’exploitations professionnelles, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est de sept en 2010. Il était de huit en 2000[56], de neuf en 1988[57]. Actuellement[Quand ?], ces exploitants pratiquent l’élevage ovin et la polyculture[56]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) avait augmenté, de 1 447 ha à 1 926 ha[57]. La SAU a très fortement diminué lors de la dernière décennie, perte liée à la fermeture d’élevages ovins et donc à la non-prise en compte de vastes surfaces d’alpages, à 247 ha[56].

Industrie[modifier | modifier le code]

Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait trois établissements, n’employant aucun salarié[55].

Activités de service[modifier | modifier le code]

Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait trois établissements (avec un seul emploi salarié), auxquels s’ajoutent les deux établissements du secteur administratif (regroupé avec le secteur sanitaire et social et l’enseignement), salariant deux personnes[55].

D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est très importante pour la commune, avec plus de cinq touristes accueillis par habitant[58]. Les seules capacités d’hébergement de la commune sont les résidences secondaires[59] : au nombre de 91, elles représentent trois logements sur cinq. Parmi les résidences secondaires, 11 possèdent plus d’un logement[60],[61].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Au-dessus du village, et à proximité de la chapelle Notre-Dame, l’ancienne tour de protection est réduite à sa base[62].

Un cadran solaire date de 1809 : il est très abîmé[63].

Croix de mission en fer forgé. On aperçoit un cadran solaire sur la façade de l’église Notre-Dame-de-l’Assomption

L’église Notre-Dame-de-l’Assomption (ancienne église Notre-Dame-de-Consolation[29]) date du XVIe siècle. En mauvais état, elle est fermée depuis 2012. Elle abrite plusieurs objets classés ou inscrits monument historique au titre objet :

Deux chapelles se trouvent dans la commune[29] :

  • la chapelle Notre-Dame-de-Consolation, à l’ouest du village,
  • et la chapelle Saint-Damase.

Monuments commémoratifs[66],[67]:

  • Monument aux morts,
  • Stèle commémorative Ferme de Laval,
  • Stèle commémorative à l'entrée du village.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Roger Brunet, « Canton de Saint-André-les-Alpes », Le Trésor des régions, consultée le 8 juin 2013
  2. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
  3. L'eau dans la commune
  4. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
  5. a b et c Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 27 juillet 2012
  6. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
  7. a et b Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 96
  8. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 27 juillet 2011
  9. BRGM, « Épicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis à Lambruisse », Sisfrance, mis à jour le 1er janvier 2010, consulté le 27 juillet 2012
  10. BRGM, « fiche 40099 », Sisfrance, consulté le 27 juillet 2012
  11. Ernest Nègre, Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 194), , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne).. Notice 23303, p 1250
  12. Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 101.
  13. « lambrusque ou lambruche », CNRTL (consulté le )
  14. Fénié & Fénié, op. cit., p. 22
  15. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  16. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  17. « Orthodromie entre Lambruisse et La Mure-Argens », sur fr.distance.to (consulté le ).
  18. « Station Météo-France « La Mure-Argens », sur la commune de La Mure-Argens - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  19. « Station Météo-France « La Mure-Argens », sur la commune de La Mure-Argens - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  20. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  21. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  22. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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  28. Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22-23
  29. a b c et d Daniel Thiery, « Lambruisse », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2010, mis à jour le 4 décembre 2011, consulté le 27 juillet 2012
  30. Daniel Thiery, « Moriez », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2010, mis à jour le 11 décembre 2011, consulté le 5 août 2012
  31. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-298
  32. Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du XIXe siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe – XXIe siècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains : Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN 978-2-86004-016-7), p. 10.
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  35. Labadie, op. cit., p. 18.
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  38. Dominique Cureau, « Moyen Verdon. 2 : Lambruisse », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).
  39. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
  40. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Jausiers à Montfort (liste 4), consulté le 8 mars 2013
  41. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
  42. Les comptes de la commune
  43. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  44. Communauté de Communes Alpes Provence Verdon « Sources de Lumière » : Lancement du PLUi du Moyen Verdon
  45. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 179
  46. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : mbruisse », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  47. « Résultats du recensement de la population - Lambruisse », sur le site de l'Insee (consulté le )
  48. « Recensement de la population au 1er janvier 2004 », sur Archives Wikiwix du site de l'Insee (consulté le )
  49. « Recensement de la population au 1er janvier 2009 », sur le site de l'Insee (consulté le )
  50. « Populations légales 2011 en vigueur le 1er janvier 2014 », sur le site de l'Insee (consulté le )
  51. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 287.
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  53. Insee, Dossier local, p. 8
  54. a et b Insee, Dossier local, p. 7
  55. a b et c Insee, Dossier local, p. 15
  56. a b et c Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio)
  57. a et b Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio)
  58. Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, décembre 2008, p. 6
  59. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 44
  60. Insee, Dossier local, op. cit., p. 16
  61. Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio)
  62. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 310
  63. Jean-Marie Homet et Franck Rozet, Cadrans solaires des Alpes-de-Haute-Provence, Aix-en-Provence, Édisud, (ISBN 2-7449-0309-4), p 99
  64. Arrêté du 28 novembre 1991, Notice no IM04001262, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 11 novembre 2008
  65. Arrêté du 28 novembre 1991, Notice no IM04001261, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 11 novembre 2008
  66. Monuments commémoratifs
  67. Plaque commémorative Louis Missud à Villefranche-sur-Mer