La Rouvière

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La Rouvière
La Rouvière
Blason de La Rouvière
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Nîmes
Intercommunalité Communauté d'agglomération Nîmes Métropole
Maire
Mandat
Patrick de Gonzaga
2020-2026
Code postal 30190
Code commune 30224
Démographie
Population
municipale
635 hab. (2021 en augmentation de 6,9 % par rapport à 2015)
Densité 80 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 55′ 56″ nord, 4° 14′ 10″ est
Altitude Min. 69 m
Max. 155 m
Superficie 7,9 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Nîmes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Calvisson
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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La Rouvière
Liens
Site web www.mairielarouviere.fr

La Rouvière, Ecclesia Sancti-Martini de la Roveria (cartulaire de Notre-Dame de Nîmes, chapitre 176) en 1108, est une commune française située dans le département du Gard, en région Occitanie.

Ses habitants s'appellent les Roviérois et Roviéroises.

Géographie

La Rouvière est l'une des 79 communes membres du schéma de cohérence territoriale (SCOT) du Sud du Gard (voir lien) et fait également partie des 41 communes du Pays Garrigues Costières.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : 14 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 17,7 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 17 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 823 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,5 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1986 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[6]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records LA ROUVIERE (30) - alt : 79 m 43° 55′ 54″ N, 4° 14′ 24″ E
Statistiques établies sur la période 1986-2010 - Records établis sur la période du 01-01-1986 au 04-01-2022
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,8 1,2 3,7 6,5 10,3 13,5 16,1 15,9 12,4 9,8 4,7 1,8 8,1
Température moyenne (°C) 5,8 6,9 10,1 12,6 16,8 20,6 23,6 23,4 19,1 15,1 9,6 6,5 14,2
Température maximale moyenne (°C) 10,8 12,6 16,4 18,7 23,3 27,7 31 30,9 25,8 20,3 14,5 11,1 20,3
Record de froid (°C)
date du record
−11
16.01.1987
−9,2
24.02.05
−11,4
02.03.05
−3,9
08.04.21
0,2
05.05.1991
4
09.06.06
8,2
17.07.00
6
30.08.1986
3
29.09.1993
−3,5
31.10.1997
−8
24.11.1998
−10,6
14.12.1991
−11,4
2005
Record de chaleur (°C)
date du record
22,3
30.01.13
25,7
28.02.19
27,9
31.03.12
31,2
29.04.05
35,8
28.05.01
43,9
28.06.19
39
24.07.06
43
12.08.03
36,6
04.09.16
31,5
01.10.1997
24,7
15.11.15
21
30.12.21
43,9
2019
Précipitations (mm) 80 55,2 40,8 84,7 63,1 47,5 26,7 46,3 148,2 143,9 104 78,4 918,8
Source : « Fiche 30224001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[7],[8].

La commune fait partie de la zone de transition des gorges du Gardon, un territoire d'une superficie de 23 800 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 2015 pour l'importante biodiversité qui la caractérise, mariant garrigues, plaines agricoles et yeuseraies[9],[10].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 3] est recensée sur la commune[11] : le « plateau Saint-Nicolas » (15 838 ha), couvrant 16 communes du département[12].

Urbanisme

Typologie

La Rouvière est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[13],[I 1],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 2],[I 3].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (77,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (37,8 %), prairies (34,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,6 %), zones agricoles hétérogènes (7,2 %), forêts (5,5 %), zones urbanisées (3,6 %)[15].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie

Étymologie

De l'occitan rovièra (rouvraie, bois plantés de chênes), dérivé du latin robur (chêne) avec le suffixe -ariam. Ce toponyme a donné aussi sur le Gard le nom d'un ruisseau et également un nom de famille très fréquent, y compris sur la commune.

Histoire

La Rouvière était autrefois l'un des nombreux fiefs de la famille de La Farelle, famille qui émigra ensuite vers la Petite Camargue et Aimargues.

Héraldique

Blason de Rouvière (La) Blason
D'hermine à la fasce losangée d'or et de sable.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 2008 Jacques Bruguière DVD  
mars 2008 En cours Nicole Perrau SE Professeure
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[17].

En 2021, la commune comptait 635 habitants[Note 6], en augmentation de 6,9 % par rapport à 2015 (Gard : +2,49 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
304309336395399339387416417
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
447410383340298256313264256
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
277275250275231236228212221
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
213205201268353495558567578
2017 2021 - - - - - - -
598635-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Revenus

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 253 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 600 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 550 [I 4] (20 020  dans le département[I 5]).

Emploi

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 7,7 % 8,6 % 10 %
Département[I 7] 10,6 % 12 % 12 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 390 personnes, parmi lesquelles on compte 76,3 % d'actifs (66,3 % ayant un emploi et 10 % de chômeurs) et 23,7 % d'inactifs[Note 8],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 92 emplois en 2018, contre 84 en 2013 et 97 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 261, soit un indicateur de concentration d'emploi de 35,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 61,1 %[I 10].

Sur ces 261 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 43 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 96,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,2 % les transports en commun, 0,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 1,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture

47 établissements[Note 9] sont implantés à la Rouvière au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10],[I 13].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 47
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
6 12,8 % (7,9 %)
Construction 8 17 % (15,5 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
15 31,9 % (30 %)
Activités financières et d'assurance 2 4,3 % (3 %)
Activités immobilières 1 2,1 % (4,1 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
7 14,9 % (14,9 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
3 6,4 % (13,5 %)
Autres activités de services 5 10,6 % (8,8 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 31,9 % du nombre total d'établissements de la commune (15 sur les 47 entreprises implantées à la La Rouvière), contre 30 % au niveau départemental[I 14].

Agriculture

1988 2000 2010 2020
Exploitations 26 16 8 7
SAU[Note 11] (ha) 252 215 116 351

La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[20]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la viticulture[Carte 3]. Sept exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (26 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 351 ha[22],[Carte 4],[Carte 5].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

  • Jean-Joseph Triaire (1764-1850), général des armées de l'Empire y est né.
  • Les deux frères Allignol : nés à La Rouvière, ils devinrent tous deux curés. Ils publièrent en 1839 un ouvrage qui fit grand bruit en France, et provoqua d'importants remous dans la hiérarchie catholique. L'abbé Vital Augustin, le cadet fut reçu au Vatican en 1840. Dans cet ouvrage, ils s'élevaient contre la toute-puissance des évêques et autres princes de l'Église. Soutenus par Jean-Louis-Auguste Clavel dans sa revue « Le Bien social », il se soumirent en à l'autorité ecclésiastique.

Voir aussi

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  9. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  10. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[21].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

  1. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à la Rouvière » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à la Rouvière » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à la Rouvière » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à la Rouvière » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

Autres sources

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
  6. « Fiche du Poste 30224001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
  8. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
  9. « Réserve de biosphère des gorges du Gardon », sur mab-france.org (consulté le )
  10. « Gorges du Gardon - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « Liste des ZNIEFF de la commune de Rouvière », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « ZNIEFF le « plateau Saint-Nicolas » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  20. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  21. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  22. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de La Rouvière - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Liens externes

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