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?[modifier | modifier le code]

Le , une émeute porte Casaulx à l'Hôtel de ville de Marseille. Avocat et assesseur, Nicolas de Bausset se fixe pour but de remettre Marseille à Henri IV. Nicolas rend la ville au roi qui, pour le récompenser, lui confier la charge d'assesseur avant de le placer à la tête de la municipalité[1].


Faits divers[modifier | modifier le code]

Le , Olga, alors âgée de 46 ans, est accusée d'avoir voler à l'étalage pour 19,35 dollars de figues, d'assaisonnement, de thé, de fromage et de sirop dans un supermarché de Norcross, en Georgie.

Décret Crémieux[modifier | modifier le code]

Les décrets Crémieux sont sept[2] décrets pris à Tours, le 24 octobre 1870 :

  • le décret relatif à l'organisation politique de l'Algérie[3] ;
  • le décret qui nomme le gouverneur général civil, le chef d'état-major général, le secrétaire général du gouvernement en Algérie, et qui fixe le traitement des principales autorités[4] ;
  • le décret qui déclare citoyens français les israélites indigènes de l'Algérie[5] ;
  • le décret sur la naturalisation des indigènes musulmans et des étrangers résidant en Algérie[6] ;
  • le décret organisant le jury et les cours d'assises de l'Algérie[7] ;
  • le décret sur la profession d'avocat en Algérie[8] ;
  • le décret relatif aux divisions et subdivisions militaires de l'Algérie[9].

Âge de l'Univers[modifier | modifier le code]

La meilleur estimation (2013) de l'âge de l'Univers est 13,798 ± 0,037 milliards d'années [10].

Le diamètre de l'Univers observable est estimé à environ 28 milliards parsecs (93 milliards années-lumières).

Instantibus votis[modifier | modifier le code]

Les Instantibus votis sont les soixante-douze décrets de la Congrégation pour les évêques du .

Ils réorganisent les circonscriptions de l'Église catholique en Italie.

Pleine union :

  • Dioecesis Aeserniensis-Venafrensis
  • Dioecesis Algarensis-Bosanensis
  • Dioecesis Aliphana - Caiacensis
  • Archidioecesis Amalphitana-Cavensis
  • Dioecesis Templensis-Ampuriensis
  • Dioecesis Anagnina-Alatrina
  • Archidioecesis Anconitana-Auximana
  • Dioecesis Aprutina-Hatriensis
  • Dioecesis Sorana-Aquinatensis-Pontiscurvi
  • Dioecesis Arianensis Hirpina-Laquedoniensis
  • Dioecesis Arretina-Cortonensis-Biturgensis
  • Dioecesis Ceriniolensis-Asculana Apuliae
  • Dioecesis Assisiensis-Nucerina-Tadinensis

[14]

  • I : Aeserniensis et Venafrensis, De plena dioecesium unione, pp.625-628
  • II : Algarensis et Bosanensis, pp. 628-631
  • III : Aliphana et Caiacensis, pp. 631-633
  • IV : Amalphitana et Cavensis, pp. 633-636
  • V : Templensis et Ampuriensis, pp. 636-639
  • VI : Anagnina et Alatrina, pp. 639-642
  • VII : Anconitana et Auximana, pp. 642-645
  • VIII : Aprutina et Hatriensis, pp. 645-647
  • IX : Aquinatensis, Soranae et Pontiscurvi, pp. 648-650
  • X : Arianensis et Laquedoniensis, pp. 651-653
  • XI : Arretina-Cortonensis-Biturgensis, pp. 654-656
  • XII : Asculana Apuliae et Ceriniolensis, pp. 657-659
  • XIII : Assisiensis et Nucerina-Tadinensis, pp. 629-662

Liste des églises particulières en France[modifier | modifier le code]

L'article recense les église particulières de l'Église catholique ayant leur siège en France ou couvrant une partie du territoire français.

Le diocèse d'Annecy couvre une commune du canton suisse du Haut-Valais : la partie valaisanne de Saint-Gingolph (Valais).

Mayotte relève du vicariat apostolique de l'archipel des Comores dont le siège est à Moroni, la capitale de l'Union des Comores.

Texte de l’en-tête I II III Province ecclésiastique Conférence épiscopale
Besançon T A M Besançon France
Bordeaux (-Bazas) T A M Bordeaux France
Clermont T A M Clermont France
Dijon T A M Dijon France
Lille T A M Lille France
Lyon T A M Lyon France
Marseille T A M Marseille France
Montpellier (-Agde-Béziers-Lodève-Saint-Pons-de-Thomières) T A M Montpellier France
Paris T A M Paris France
Poitiers T A M Poitiers France
Reims T A M Reims France
Rennes (-Dol-Saint-Malo) T A M Rennes France
Rouen T A M Rouen France
Toulouse (-Rieux-Saint-Bertrand-de-Comminges) T A M Toulouse France
Tours T A M Tours France
Aix-en-Provence (-Arles) T A S Marseille France
Albi (-Castres-Lavaur) T A S Toulouse France
Auch (-Condom-Lectoure-Lombez) T A S Toulouse France
Avignon T A S Marseille France
Bourges T A S Tours France
Cambrai T A S Lille France
Chambéry T A S Lyon France
Maurienne / Saint-Jean-de-Maurienne T D U Lyon France
Tarentaise / Moûtiers T D U Lyon France
Sens (-Auxerre) T A S Dijon France
Strasbourg T A E
Agen T D S Bordeaux France
Aire et Dax T D S Bordeaux France
Ajaccio T D S Marseille France
Amiens T D S Reims France
Angers T D S Rennes France
Angoulême T D S Poitiers France
Annecy T D S Lyon France
Arras (-Boulogne-Saint-Omer) T D S Lille France
Autun (-Chalon-Cluny-Mâcon) T D S Dijon France
Bayeux (-Lisieux) T D S Rouen France
Bayonne (-Lescar-Oloron) T D S Bordeaux France
Beauvais (-Noyon-Senlis) T D S Reims France
Belfort-Montbéliard T D S Besançon France
Belley-Ars T D S Lyon France
Blois T D S Tours France
Cahors T D S Toulouse France
Carcassonne et Nabonne T D S Montpellier France
Châlons T D S Reims France
Chartres T D S Tours France
Coutances (-Avranches) T D S Rouen France
Créteil T D S Paris France
Digne (-Riez-Sisteron) D S Marseille France
Évreux T D S Rouen France
Évry-Corbeil-Essonnes T D S Paris France
Fréjus-Toulon T D S Marseille France
Gap (-Embrun) T D S Marseille France
Grenoble-Vienne T D S Lyon France
La Rochelle (-Saintes) T D S Poitiers France
Langres T D S Reims France
Laval T D S Rennes France
Le Havre T D S Rouen France
Le Mans T D S Rennes France
Le Puy-en-Velay T D S Clermont France
Limoges T D S Poitiers France
Luçon T D S Rennes France
Meaux T D S Paris France
Mende T D S Montpellier France
Metz T D E
Montauban T D S Toulouse France
Moulins T D S Clermont France
Nancy (-Toul) T D S Besançon France
Nanterre T D S Paris France
Nantes T D S Rennes France
Nevers T D S Dijon France
Nice T D S Marseille France
Nîmes (-Uzès) T D S Montpellier France
Notre-Dame du Liban de Paris
Orléans T D S Tours France
Pamiers (-Couserans-Mirepoix) D S Toulouse France
Périgueux (-Sarlat) T D S Bordeaux France
Perpignan-Elne T D S Montpellier France
Pontoise T D S Paris France
Quimper / Cornouailles (-Léon) T D S Rennes France
Rodez (-Vabres) T D S Toulouse France
Saint-Brieuc (-Tréguier) T D S Rennes France
Saint-Claude T D S Besançon France
Saint-Denis T D S Paris France
Saint-Dié T D S Besançon France
Saint-Étienne T D S Lyon France
Saint-Flour T D S Clermont France
Saint-Vladimir-le-Grand de Paris
Sainte-Croix-de-Paris
Séez / Sées T D S Rouen France
Soissons (-Laon-Saint-Quentin) T D S Reims France
Tarbes et Lourdes T D S Toulouse France
Troyes T D S Reims France
Tulle T D S Poitiers France
Valence (-Die-Saint-Paul-Trois-Châteaux) T D S Lyon France
Vannes T D S Rennes France
Verdun T D S Besançon France
Versailles T D S Paris France
Viviers T D S Lyon France
Mission de France / Pontigny P S Dijon France
Ordinaire des catholiques de rite oriental résidant en France D S
Armées françaises
Cayenne T D S Saint-Pierre et Fort-de-France Antilles
Papeete T A M Papeete Pacifique
Taiohae T D S Papeete Pacifique
Basse-Terre (-Pointe-à-Pitre) T D S Saint-Pierre et Fort-de-France Antilles
Saint-Pierre et Fort-de-France T A M Saint-Pierre et Fort-de-France Antilles
Comores T V
Nouméa T A M Nouméa Pacifique
Saint-Denis de La Réunion T D océan Indien
Saint-Pierre et Miquelon T V
Wallis et Futuna T D S Nouméa Pacifique

Liste des paroisses de l'ancien diocèse de Mâcon[modifier | modifier le code]

La Chapelle-du-Mont-de-France cure évêque de Mâcon Cluny Saône-et-Loire Autun
Buffières cure de Saint-Vincent Cluny Saône-et-Loire Autun
Curtil-sous-Buffières cure évêque de Mâcon Cluny Saône-et-Loire Autun
Saint-Vincent-des-Prés cure de Saint-Vincent Cluny Saône-et-Loire Autun
Ciergues cure prieur de Saint-André-le-Désert Cluny Saône-et-Loire Autun
Donzy-le-Royal cure prieur de Saint-André-le-Désert
abbé de Tournus
Cluny Saône-et-Loire Autun
La Vineuse cure de Saint-Vincent Cluny Saône-et-Loire Autun
Château cure de Saint-Vincent Cluny Saône-et-Loire Autun
Jalogny cure abbé de Cluny Cluny Saône-et-Loire Autun
Mazille cure abbé de Cluny Cluny Saône-et-Loire Autun
Vaux-sur-Mazille succursale abbé de Cluny Cluny
Bergesserin cure abbé de Cluny Cluny Saône-et-Loire Autun
Brandon cure de Saint-Vincent Cluny Saône-et-Loire Autun
Montagny cure commandeur de Mâcon Cluny
Trambly cure évêque de Mâcon Cluny Saône-et-Loire Autun
Saint-Pierre-le-Vieux cure abbé de Cluny Cluny Saône-et-Loire Autun
Tramayes cure évêque de Mâcon Cluny Saône-et-Loire Autun
Germolles cure évêque de Mâcon Cluny Saône-et-Loire Autun
Clermain cure abbé de Cluny Cluny Saône-et-Loire Autun
Verchizeuil annexe de Saint-Vincent Cluny Saône-et-Loire Autun
Bourgvilain cure de Saint-Vincent Cluny Saône-et-Loire Autun
Milly cure de Saint-Vincent Cluny Saône-et-Loire Autun
Sologny cure de Saint-Vincent Cluny Saône-et-Loire Autun
Pierreclos cure de Saint-Vincent Cluny Saône-et-Loire Autun
Bussières cure de Saint-Vincent Cluny Saône-et-Loire Autun
Berzé-la-Ville cure abbé de Cluny Cluny Saône-et-Loire Autun
Berzé-le-Châtel cure abbé de Cluny Cluny Saône-et-Loire Autun
Verzé cure de Saint-Vincent Cluny Saône-et-Loire Autun
Igé cure abbé de Cluny Cluny Saône-et-Loire Autun
Dommange cure abbé de Cluny Cluny
Sainte-Cécile cure de Saint-Vincent Cluny Saône-et-Loire Autun
Saint-Point cure évêque de Mâcon Cluny Saône-et-Loire Autun
Saint-Germain-de-Ruffy cure ? Cluny
Cluny, Notre-Dame cure abbé de Cluny Cluny Saône-et-Loire Autun
Cluny, Saint-Marcel cure abbé de Cluny Cluny Saône-et-Loire Autun
Cluny, Saint-Mayeul cure abbé de Cluny Cluny Saône-et-Loire Autun
Beaujeu, Notre-Dame collégiale Beaujeu Rhône Lyon
Beaujeu, Saint-Nicolas paroissiale Beaujeu Rhône Lyon
Beaujeu, Récollets Beaujeu Rhône Lyon
Les Étoux (Beaujeu) évêque Beaujeu Rhône Lyon
Saint-Didier chanoines de Beaujeu Beaujeu
Claveisolles prieur de Saint-Nizier-d'Azergues Beaujeu Rhône Lyon
Saint-Nizier-d'Azergues prieur de Saint-Nizier-d'Azergues Beaujeu Rhône Lyon
Grand-Ris chapitre de la voulte de Cluny Beaujeu
Cublize prieur de Charlieu Beaujeu Rhône Lyon
Saint-Jean-la-Bussière de Saint-Vincent Beaujeu Rhône Lyon
Saint-Victor sacristain de Cluny Beaujeu
Régny prieur de Régny Beaujeu Loire Lyon
Pradines évêque de Mâcon Beaujeu Loire Lyon
Notre-Dame-de-Boisset chambrier de Charlieu Beaujeu Loire Lyon
Perreux sacristain de Cluny Beaujeu Loire Lyon
Aiguilly (Vougy) évêque de Mâcon Beaujeu Loire Lyon
Contoure évêque de Mâcon Beaujeu
La Mure prieur de Charlieu Beaujeu
Cuinsieux évêque de Mâcon Beaujeu
Arcinges prieur de Charlieu Beaujeu Loire Lyon
Écoche évêque de Mâcon Beaujeu Loire Lyon
Belmont de Saint-Vincent Beaujeu Loire Lyon
Saint-Germain-la-Montagne prieur de Charlieu Beaujeu Loire Lyon
Les Ardillats évêque de Mâcon Beaujeu Rhône Lyon
Vernay prieur de Charlieu Beaujeu
Chénelette sacristain de Cluny
moines de Cluny
Beaujeu Rhône Lyon
Poules prieur de Charlieu Beaujeu
Rauchal prieur de Thisy Beaujeu
Saint-Bonnet-le-Troncy prévôt de Saint-Pierre Beaujeu Rhône Lyon
Azolette abbé de Saint-Rigaud Beaujeu Rhône Lyon
Belle-Roche prieur de Charlieu Beaujeu
Cours prieur de Charlieu Beaujeu
Saint-Georges-du-Château de Thizy annexe Beaujeu Rhône Lyon
Theil prieur de Charlieu Beaujeu
Saint-Vincent-de-Reins de Saint-Vincent Beaujeu Rhône Lyon
Mardore (Thizy-les-Bourgs) de Saint-Vincent Beaujeu Rhône Lyon
La Chapelle-de-Mardore (Thizy-les-Bourgs) annexe de Saint-Vincent Beaujeu Rhône Lyon
Montagny-lès-Thisy prieur de Charlieu Beaujeu
La Gresle de Saint-Vincent Beaujeu Loire Lyon
Sevelinges prieur de Charlieu Beaujeu Loire Lyon
Notre-Dame de Thisy-de-Marnant annexe Beaujeu
Marnand (Thizy-les-Bourgs) prieur de Thisy Beaujeu Rhône Lyon
Bourg-de-Thizy (Thizy-les-Bourgs) prieur de Thisy Beaujeu Rhône Lyon
Combre annexe de Saint-Victor sacristain de Cluny Beaujeu
Villeuneuve prieuré sacristain de Cluny Beaujeu
Naconne annexe prieur de Regny Beaujeu
Charlieu prieuré Charlieu Loire Lyon
Charlieu, Saint-Philibert prieur de Charlieu Charlieu Loire Lyon
Charlieu, Cordeliers Charlieu Loire Lyon
Charlieu, Capucins Charlieu Loire Lyon
Charlieu, Ursulines Charlieu Loire Lyon
Pouilly évêque de Mâcon Charlieu Loire Lyon
Saint-Hilaire prieur de Charlieu Charlieu Loire Lyon
Chandon évêque de Mâcon Charlieu Loire Lyon
Mars évêque de Mâcon Charlieu Loire Lyon
Villers prévôt de Saint-Pierre Charlieu Loire Lyon
Boyer évêque de Mâcon Charlieu Loire Lyon
Jarnosse prévôt de Saint-Pierre Charlieu Loire Lyon
Coublanc évêque de Mâcon Charlieu Saône-et-Loire Autun
Saint-Igny-de-Roche évêque de Mâcon Charlieu Saône-et-Loire Autun
Chauffailles abbé de Saint-Rigaud Charlieu Saône-et-Loire Autun
Mussy-sous-Dun de Saint-Vincent Charlieu Saône-et-Loire Autun
Nandax jésuites de Roanne Charlieu Loire Lyon
Chassigny-la-Garde évêque de Mâcon Charlieu
La Chapelle-sous-Dun prieur de Charlieu Charlieu Saône-et-Loire Autun
Varennes-sous-Dun évêque de Mâcon Charlieu Saône-et-Loire Autun
La Clayette évêque de Mâcon Charlieu Saône-et-Loire Autun
La Clayette, Minimes annexe de Varennes Charlieu Saône-et-Loire Autun
Baudemont ou Chassigny-en-Brionnais commadeur de Mâcon Charlieu Saône-et-Loire Autun
Saint-Laurent-en-Brionnais abbé de Cluny Charlieu Saône-et-Loire Autun
Vauban abbé de Saint-Rigaud Charlieu Saône-et-Loire Autun
Saint-Maurice-lès-Châteauneuf chanoines de Saint-Paul de Lyon Charlieu Saône-et-Loire Autun
Châteauneuf chanoines de Saint-Paul de Lyon Charlieu Saône-et-Loire Autun
Tancon chanoines de Saint-Paul de Lyon Charlieu Saône-et-Loire Autun
Ligny abbé de Saint-Rigaud Charlieu Saône-et-Loire Autun
Jonzy (Saint-Julien-de-Jonzy) évêque de Mâcon Charlieu Saône-et-Loire Autun
Saint-Julien-de-Cray (Saint-Julien-de-Jonzy) évêque de Mâcon Charlieu Saône-et-Loire Autun
Saint-Rigaud abbaye roi de France Charlieu Saône-et-Loire Autun
Saint-Martin-de-Lixy comte de Drée Charlieu Saône-et-Loire Autun
Saint-Bonnet-de-Cray prieur de Charlieu Charlieu Saône-et-Loire Autun
Mailly prieure de Marcigny Charlieu Saône-et-Loire Autun
Iguerande prieure de Marcigny Charlieu Saône-et-Loire Autun
Saint-Pierre-la-Noaille évêque de Mâcon Charlieu Loire Lyon
Saint-Nizier-sous-Charlieu évêque de Mâcon Charlieu Loire Lyon
Maizilly évêque de Mâcon Charlieu Loire Lyon
Saint-Denis-de-Cabanne prieur de Charlieu Charlieu Loire Lyon
Fleury-la-Montagne évêque de Mâcon Charlieu Saône-et-Loire Autun
Vougy prieur de Charlieu Charlieu Loire Lyon
Le Rousset évêque de Mâcon Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Noireux évêque de Mâcon Le Rousset
Chazelle abbé de Cluny Le Rousset
Collonges évêque de Mâcon Le Rousset
Genouilly évêque de Mâcon Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Vaux-en-Pré annexe de Genouilly évêque de Mâcon Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Toncy évêque de Mâcon Le Rousset
Saint-Clément-sur-Guye évêque de Mâcon Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Burzy évêque de Mâcon Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Saint-Paul-de-Cray (Saint-Marcelin-de-Cray) évêque de Mâcon Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Saint-Marcelin-de-Cray prieur de Perrecy Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Saint-Quentin-des-Hauts (Saint-Marcelin-de-Cray) annexe prieur de Perrecy Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Chevagny-sur-Guye évêque de Mâcon Le Rousset Saône-et-Loire Autun
L'Abergement évêque de Mâcon Le Rousset
Salencey évêque de Mâcon Le Rousset
Sainte-Colombe évêque de Mâcon Le Rousset
Pressy-sous-Dondin évêque de Mâcon Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Mary évêque de Mâcon Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Saint-André-le-Désert prieur de Saint-André Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Sailly évêque de Mâcon Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Passy annexe de Chevagny évêque de Mâcon Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Sigy-le-Châtel évêque de Mâcon Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Saint-Nicolas chapelle Le Rousset
Besanceuil (Bonnay) annexe de Saint-Ythaire Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Bonnay trésorier de Tournus Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Saint-Hippolyte évêque de Mâcon Le Rousset
Burnand évêque de Mâcon Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Saint-Martin-de-Croix (Burnand) annexe de Burnand Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Savigny évêque de Mâcon Le Rousset
Notre-Dame-de-Grâce, couvent des Cordeliers Le Rousset
Curtil-sous-Burnand évêque de Mâcon Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Saint-Ythaire évêque de Mâcon Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Chérizet annexe de Salornay Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Merzé (Cortambert) annexe de Lournand Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Saint-Huruge abbesse de Lauchaire Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Saint-Martin-sur-Guye annexe abbesse de Lauchaire Le Rousset
Ainard supprimée évêque de Mâcon Le Rousset
Confrançon évêque de Mâcon Le Rousset
Ameugny de Saint-Vincent Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Cortevaix annexe de Confrançon évêque de Mâcon Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Taizé abbé de Cluny Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Salornay-sur-Guye prieur de Perrecy Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Massilly évêque de Mâcon Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Flagy évêque de Mâcon Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Lournand évêque de Mâcon Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Massy abbaye de Cluny Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Vitry évêque de Mâcon Le Rousset
Chiddes annexe de Pressy-sous-Dondin évêque de Mâcon Le Rousset Saône-et-Loire Autun
Vérizet (Viré) Vérizet Saône-et-Loire Autun
Viré Vérizet Saône-et-Loire Autun
Saint-Albain Vérizet Saône-et-Loire Autun
La Salle Vérizet Saône-et-Loire Autun
Senozan Vérizet Saône-et-Loire Autun
Saint-Martin-de-Senozan (Saint-Martin-Belle-Roche) Vérizet Saône-et-Loire Autun
Saint-Jean-le-Priche (Mâcon) Vérizet Saône-et-Loire Autun
Clessé Vérizet Saône-et-Loire Autun
Charbonnières Vérizet Saône-et-Loire Autun
Sennecé (Mâcon) Vérizet Saône-et-Loire Autun
Sancé Vérizet Saône-et-Loire Autun
Hurigny Vérizet Saône-et-Loire Autun
Saint-Sorlin Vérizet
Nancelles (La Roche-Vineuse) Vérizet Saône-et-Loire Autun
Satonnay (Saint-Maurice-de-Satonnay) Vérizet Saône-et-Loire Autun
Laizé Vérizet Saône-et-Loire Autun
Saint-Maurice-des-Prés (Saint-Maurice-de-Satonnay) Vérizet Saône-et-Loire Autun
Azé Vérizet Saône-et-Loire Autun
Cotier Vérizet
Cortambert Vérizet Saône-et-Loire Autun
Onzy annexe de Malet Vérizet
Lix Vérizet
Saint-Quentin-de-Bray Vérizet
Chissey Vérizet
Prayre Vérizet
Malay Vérizet Saône-et-Loire Autun
Cormatin, hameau d'Amugny chapelle du château Vérizet Saône-et-Loire Autun
Blanot Vérizet Saône-et-Loire Autun
Donzy-le-Pertuis annexe de Blanot Vérizet Saône-et-Loire Autun
Saint-Gengoux-de-Scissé Vérizet Saône-et-Loire Autun
Lugny Vérizet Saône-et-Loire Autun
Bissy-la-Mâconnaise Vérizet Saône-et-Loire Autun
Burgy Vérizet Saône-et-Loire Autun
Saint-Pierre-de-Lanques (Péronne) annexe de Péronne Vérizet Saône-et-Loire Autun
Chapaize Vérizet Saône-et-Loire Autun
Bissy-sous-Uxelles Vérizet Saône-et-Loire Autun
Banzon annexe de Saint-Gengoux-de-Scissé Vérizet
Cruzille, anciennement Collonge-la-Mâconnaise Vérizet Saône-et-Loire Autun
Plottes Vérizet Saône-et-Loire Autun
Le Villars Vérizet Saône-et-Loire Autun
Farges Vérizet Saône-et-Loire Autun
Uchizy Vérizet Saône-et-Loire Autun
Chardonnay Vérizet Saône-et-Loire Autun
Montbellet Vérizet Saône-et-Loire Autun
Saint-Oyen (Montbellet) annexe de Montbellet Vérizet Saône-et-Loire Autun
Esnes ou Vésines annexe de Saint-Jean-le-Priche Vérizet Ain Belley-Ars
Asnières annexe de Saint-Martin-de-Senozan Vérizet Ain Belley-Ars
Vaurenard prévôt de Saint-Pierre
Avenas de Saint-Vincent
Fleurie de Saint-Vincent
Chiroubles prévôt de Saint-Pierre
Lantignié chapitre de Beaujeu
Durette sacristain de Cluny
Reignié évêque de Mâcon
Villié évêque de Mâcon
Lancié abbé de Tournus
Romanêche abbé de Tournus
Saint-Symphorien-d'Ancelles abbé de Tournus
La Chapelle-de-Guinchay abbé de Tournus
Emeringes abbé de Cluny
Chénas de Saint-Vincent
Julliénas de Saint-Vincent
Chevagny-les-Cjevrières évêque de Mâcon
Jullié abbé de Cluny
Ouroux prévôt de Saint-Pierre
Saint-Jacques-des-Arrêts prévôt de Saint-Pierre
Cenves de Saint-Vincent
Pruzilly évêque de Mâcon
Saint-Verand de Saint-Vincent
Saint-Amour doyen de Saint-Vincent
Chânes de Saint-Vincent
Crêches de Saint-Vincent
Arbigny chapelle des Confrères
Varennes de Saint-Paul de Lyon
Chaintré évêque de Mâcon
Vinzelles frères Daniel de Garnerans
Loché succursale de Vinzelles
Davayé abbé de Cluny
Leynes abbé de Tournus
Chasselas de Saint-Vincent
Solutré abbé de Cluny
La Grange-du-Bois prieuré dépendant de Solutré
Vergisson de Saint-Vincent
Prissé évêque de Mâcon
Serrières de Saint-Vincent
évêque de Mâcon
Saint-Léger prévôt de Saint-Pierre
Romanay

Jeu d'Adam[modifier | modifier le code]

Le Jeu d'Adam est le plus ancien drame composé en français qui nous a été conservé.

Il a été composé entre 1146 et 1174.

C'est une paralithurgie du temps de Noël, écrite à l'intention d'un public aristocratique. Il met en œuvre une dramaturgie très élaborée.

Sa structure est tripartite : Tentation et Châtiment d'Ève et d'Adam ; Meurtre d'Abel ; Prophètes annonciateurs du Christ.

Il est composé de 942 vers : des octosyllabes à rimes plates ou des décasyllabes constituant des quatrains monorimes.

Il comporte des textes liturgiques en latin chantés par un chœur ainsi que des indications en latin pour la mise en scène, notamment pour la diction, les gestes des acteurs, le décor et les costumes.

Il nous est connu par une copie du XIIIe siècle, manuscrit unique et incomplet conservé à la bibliothèque municipale de Tours (mss 927, f. 20-40).

Portail|Littérature

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en:Le Jeu d'Adam

et:Aadama mäng

gl:Le Jeu d'Adam

Suspensions de Louis XVI[modifier | modifier le code]

Sous la Révolution française, le roi Louis XVI fut suspendu à deux reprises :

  • la première, à la suite de la fuite à Varennes ;
  • la seconde, à la suite du 10 août 1792.

Noblesse immédiate de Basse-Alsace[modifier | modifier le code]

Le Directoire de la noblesse de Basse-Alsace était une juridiction.

De 1685 à 1789, il siégea à Strasbourg, dans l'Hôtel des Boecklin de Boecklinsau.

Familles[modifier | modifier le code]

Inscrites en 1651[modifier | modifier le code]

  • Andlau
  • Berckheim (de)
  • Bernhold
  • Bcrstett
  • Bock
  • Boecklin
  • Buch
  • Dettlingen
  • Eckbrecht de Durckheim
  • Flachstand
  • Gailing de Altheim
  • Haffner de Wasselnheim
  • Haindel
  • Húffel
  • Ichtersheim
  • Joham de Mundolsheim
  • Kageneck
  • Kirchheim
  • Landsperg
  • Mullcnheim
  • Neuenstein
  • Oberkirch
  • Ratsamhausen
  • Rcichii de Platz
  • Roeder de Dierspurg
  • Schoenau
  • Wangen
  • Weitersheim
  • Wetzel de Marïîlia
  • Wurmscr
  • Zorn
  • Zuchmantel

Inscrites ultérieurement[modifier | modifier le code]

  • Birckv/ald, en 1684
  • Callaghan, en 1757
  • Dietrich, en 1761
  • Falckenhayn, en 1711
  • Forstner, en 1736
  • Gail, en 1661
  • Gayot, en 1755
  • Glaubitz, en 1759
  • Guntzer, en 1756
  • Hatsel, en 1735
  • Klinglin , en 1701
  • Mackau, en 1703
  • Ocahan, en 1705
  • Sanderfleben, en 173
  • Schenck de Schmidburg, en 1677
  • Spon, en 1759
  • Streitt de Immendingen, en 1676
  • Weber, en 1747

Terres[modifier | modifier le code]

  1. Bischoffsheim, Mundolsheim, Vendenheim, Berstett, Olwisheim, Schirrhoffen.
  2. Oberhausbergen, Mittelhausbergen, Pfulgriesheim, Behlenheim, Wiwersheim, Schnersheim, Schaffhouse, Wilwisheim, Buswiller, Mulhausen.
  3. Stutzheim, Hurtigheim, Quatzenheim, Fessenheim, Wintzenheim, Landersheim, Furchhausen.
  4. Schaeffolsheim, Achenheim, Breuschwickersheim, Kolbsheim, Osthoffen, Scharrachbergheim, Irmstett, Odratzheim, Traenheim, Cosswiller, Rumolsweiler, Birkwald.
  5. Lingolsheim, Entzheim, Duppigheim, Duttlenheim, Ottrott-le-Bas.
  6. Blaesheim, Innenheim, Krautergersheim, Meistratzheim, Niedernai, Valff, Zellwiller, Stotzheim.
  7. Mittelbergheim, Andlau, Itterswiller, Nothalten, Zell et Blienschwiller en partie, Reichsfeld, Bernardvillé, Saint-Blaise et Blancherupt.
  8. Fegersheim et Ohnenheim, Ichtratzheim, Hipsheim, Osthouse, Bolsenheim, Uttenheim, Werd.
  9. Eschau et Wibolsheim, Plobsheim, Gerstheim, Obenheim, Boofzheim, Widernheim, Sundhouse et Muttersholtz, Ehenweyer et Rathsamhausen, Bœsenbiesen.
  10. Diebolsheim, Sassenheim, Schoenau, Bootzheim, Mackenheim, Jebsheim, Kunheim, Hartmannswiller et Rimbach-Zell. Ces quatre derniers villages font partie de la Haute-Alsace.

Haut-Mundat[modifier | modifier le code]

Le Haut-Mundat (en allemand : Obermundat) ou Mundat-Supérieur (en latin : emunitas superior) ou Mundat de Rouffach est un pays historique de Haute-Alsace.

Sigebert, le fils unique de Dabogert II, roi d'Austrasie, chassait dans la forêt d'Ebersheim. Monté sur un cheval fougueux, il poursuivait de toute son ardeur un sanglier d'une grosseur énorme, ...

Évêché de Metz[modifier | modifier le code]

L'Évêché de Metz (en allemand : Hochstift Metz) ou principauté-épiscopale de Metz (Fürstbistum Metz) était une principauté ecclésiastique. Sa capitale était Vic (aujourd'hui, Vic-sur-Seille)

Pays cédés[modifier | modifier le code]

Les Pays cédés (en néerlandais : Gecedeerde Landen) est le nom donné, de 1800 à 1805, aux territoires cédés par la France à la République batave.

Histoire[modifier | modifier le code]

Par le traité de la Haye du , conclu entre la France et la République Batave, a été déterminé que la partie du nord de Brabant (ancien generaliteitsland Staats-Brabant) serait une partie de la nouvelle République batave.

Ces territoires étaient :

  • la commanderie de Gemert (rijksheerlijkheid Gemert) ;
  • la ville et pays de Ravenstein (Stad en Land van Ravenstein) ;
  • la seigneurie de Boxmeer (heerlijkheid Boxmeer) ;
  • le comté de Megen (graafschap Megen) ;
  • Oeffelt (behorend tot het koninkrijk Pruisen) ;
  • le comté de Bokhoven (graafschap Bokhoven) (behorend tot het prinsbisdom Luik) ;
  • Luyksgestel (behorend tot het prinsbisdom Luik) ;
  • Huijbergen.

Commissaires[modifier | modifier le code]

Liste des commissaires pour les Pays cédés :

  • - 7 décembre 1800 : Gerardus Anthony Visscher ;
  • - 1er mars 1803 : Jacob van Haeften ;
  • -  : Gerard de Jongh.

Seigneurie de Kniphausen[modifier | modifier le code]

La seigneurie de Kniphausen (en allemand : Herrschaft Kniphausen) était un territoire du Saint-Empire romain germanique.

La seigneurie était enclavée dans la seigneurie de Jever.

Elle comprenait les paroisses de Fedderwarden, Sengwarden et Accum.

Antoine-Gonthier, sans héritier légitime, échoue à faire reconnaître son fils naturel, Antoine, comme successeur. Mais obtient de l'empereur un diplôme qui lui conférait la dignité de comte d'Empire avec la dénomination d'Aldenbourg.

À la mort d'Antoine-Gonthier d'Oldenbourg, en 1667, selon son testament de 1663, ses possessions sont partagées entre :

  • Odenbourg et Delmenhorst au roi de Danemarck et au duc de Holstein-Gottorp ;
  • les princes de Brunswick-Lunebourg : divers lots ? ;
  • Anahlt-Zerbst : seigneurie de Jever ;
  • Antoine d'Aldenbourg, Varel et Kniphausen.

En 1738, la maison d'Aldenbourg s'éteind dans les mâles. L'héritière épouse le comte de Bentinck, Guillaume.

Par l'article 5 du traité signé à Fontainebleau, le , le seigneurie est médiatisée et placée sous la souveraineté du royaume de Hollande[11]. Elle est réunie au royaume de Hollande par une loi du et, avec la seigneurie de Jever et la partie de la principauté de Frise-Orientale située à l'ouest de l'Ems, forme le département de Frise-Orientale.[12]. Le roi de Hollande en prend solennellement possession par la proclamation du [13].

Par le décret rendu à Rambouillet, le , publié à Amsterdam le 13 par une proclamation du 12, le royaume de Hollande est réuni à l'Empire français et placé, jusqu'au , sous l'administration provisoire de Charles-François Lebrun, duc de Plaisance, archichancelier de l'Empire, en qualité de lieutenant-général.

Décret impérial du 18 août 1810 ?

Sénatus-consulte du 10 décembre 1810 ?

En 1813, la seigneurie est occupée par l'armée russe qui en remet l'administration au duc d'Oldenbourg malgré les protestations du comte de Bentinck.

L'acte du congrès de Vienne ne fait pas mention de la seigneurie.

Traité signé à Berlin le 8 juin 1825 et ratifié à Wiesbaden le 20 juin 1825.

Protocole de la diète du 9 mars 1826

Le 9 mars 1826, la diète de la Confédération germanique le reconnaît comme seigneur indépendant et membre de la Confédération. Mais, bien qu'il jouisse de la seigneurie territoriale, de la puissance législative et de la juridiction, il n'a pas la souveraineté que possédaient, avant 1806, les électeurs, princes et autres états imériaux. Le grand-duc d'Oldenbourg exerce, à son égard, celle que l'Empereur exerçais jadis à l'égard des états impériaux. Le tribunal d'appel ducal remplace, pour Kniphausen les anciens tribunaux d'Empire.

Traité 1er août 1854

En 185?, la seigneurie est cédée au grand-duc d'Oldenbourg.

Seigneurs de Kniphausen[modifier | modifier le code]

Liste[modifier | modifier le code]

    • ? - 19 juin 1667 : Antoine-Gonthier (Anton Günther) d'Oldenbourg et Delmenhorst
  • Maison d'Aldenbourg
    • 19 juin 1667 - 1680 : Antoine d'Aldenbourg
    • 1680 - 1738 : Antoine II d'Aldenbourg
    • ? Charlotte Sophie
  • Maison d'Aldenbourg-Bentinck
    • 1738-1773 : Wilhelm Graf von Bentinck
    • 1773-1835 : Wilhelm von Aldenburg-Bentinck
    • 1835-1876 : Gustav Adolf von Aldenburg-Bentinck

Titulature[modifier | modifier le code]

Titre : N. Reichsgraf, Erb- und Landesherr zu Kniphausen, Edelherr (ou Edler herr) zu Varel, herr zu Doorwerth, Rhoon und Pendrecht, etc. = N., comte d'Empire, seigneur héréditaire et territorial de Khniphausen, noble seigneur de Varel, seigneur de Doorwerth, Rhoon et Pendrecht, etc.

Bundesreaktionsbeschluß[modifier | modifier le code]

La résolution fédérale du (en allemand : Bundesbeschluß bie zur Wahrung der öffentlichen Sicherheit und Ordnung im Deutschen Bund zu treffenden Maßregeln, vom 23. August 1851), dite de réaction (Bundesreaktionsbeschluß) est une résolution de la diète fédérale (Bundesversammlung).

En vertu de l'article 2 de l'acte fédéral et de l'article premier de l'acte final de Vienne, qui indiquent comme but de la confédération la sûreté intérieure et extérieure de celle-ci, et considérant que la sûreté de toute la confédération dépend nécessairement de l'ordre et de la tranquillité dans les États fédéraux particuliers, la diète germanique, se fondant sur les dispositions des lois fondamentales de la confédération, croit avoir le droit et être obligée de veiller à ce que dans aucun État il n'y ait des institutions et un ordre de choses qui pourraient en menacer la tranquillité intérieure, et par là la sûreté générale de la confédération. La diète germanique invite par conséquent les hauts gouvernements de la confédération à examiner soigneusement les institutions politiques introduites dans les États particuliers, notamment depuis 1848, ainsi que les lois qui y ont été rendues, et, si elles ne sont pas conformes aux lois fondamentales de la confédération, à faire en sorte que cette conformité, absolument nécessaire, soit rétablie sans délai.

Bien que la diète ait le ferme espoir que tous les hauts gouvernements de la confédération s'efforceront de rétablir par tous les moyens légaux cette conformité indispensable, et que, par leur manière de procéder dans des questions concernant l'ordre public, ils agiront complètement d'après les lois fondamentales de la confédération, cependant elle doit se réserver son action constitutionnelle pour les cas où les changemens rencontreraient des obstacles, et elle examinera quels sont les moyens auxquels elle devra recourir dans les limites de sa compétence, et en particulier si elle doit envoyer sur les lieux des commissaires munis d'instructions spéciales pour atteindre le but indiqué plus haut.

Elle décide qu'il sera nommé dans son sein une commission qui lui présentera sans tarder un rapport sur les cas où l'action de la diète devra avoir lieu, et qui donnera chaque fois un préavis sur la manière dont cette action devra s'exercer.

———

« Les prétendus droits fondamentaux du peuple allemand, promulgués à Francfort le 27 septembre 1848 et reproduits dans le projet d'une constitution de l'empire d'Allemagne du 28 mars 1849, ne peuvent être considérés comme valables, ni comme lois de l'empire, ni comme lois déclarées obligatoires dans les États particuliers, ainsi que la loi du 27 septembre l'avait établi ; en conséquence ils sont abrogés dans tous les États de la confédération. Les gouvernemens des États dans lesquels quelques unes des dispositions des droits fondamentaux ont été mises en vigueur par des lois particulières sont tenus de prendre immédiatement les mesures nécessaires pour abroger ces dispositions, en tant qu'elles ne s'accorderaient point avec les lois fédérales ou avec les buts fédéraux ».


Bad
Aut
Pru
Han
HeC
HeD
Nas
Wur
Sax
Bav

Modèle:Infobox Territorium im Heiligen Römischen Reich

Fiume[modifier | modifier le code]

separatum sacrae regni Hungariae Coronae adnexum corpus

Jusqu'en 1300, Fiume faisait partie du patriarcat d'Aquilée, date à laquelle elle passa entre les mains des seigneurs de Walsee, qui la conservèrent jusqu'en 1466, quand elle passa à la maison d'Autriche. En 1522, elle fut annexée au duché de Carniole. Avec une large autonomie, sous Ferdinand 1er en 1526, elle commença à codifier ses statuts que l'empereur sanctionna en 1530. Ces libertés ne firent que se développer à partir de la deuxième moitié du xvie siècle. Lorsque Ferdinand eut partagé ses Etats entre ses fils, Fiume entre avec la Slyrie, la Carinlhie, la Carniole, le comté de Gorizia, l'Istrie et Trieste, dans le lot de rarchiduc Charles. Mais, dans la principauté, dite de 1' « Autriche inférieure » Fiume et son territoire formèrent un « corps séparé ». Elle prêtait directement l'hommage au souverain et Charles VI qui l'invita, en tant que cité, à accepter la Pragmatique Sanction.

« Corps séparé », elle est demeurée même après qu'en 1752 elle fut attachée commercialement au gouvernement impérial de Trieste; en 1776, Marie-Thérèse l'en détacha et l'assigna à la couronne de Hongrie, toujours comme « corps séparé ». Cette situation de fait et de droit était reconnue en 1807 par la Diète hongroise qui emploie pour la qualifier l'expiression : Separatum sacrae regni Coronae adnexum corpus.

Par son décret du 9 août 1776, adressé au gouvernement croate, Marie-Thérèse édicté que « la ville de Riéka avec son port, de même que les possessions de Bakar (Buccari) qui se trouvent à droite dé la route « Carolina » partant dé Karlovac vers Riéka... seraient incorporés direclement à la Croatie". Ainsi, Riéka, incorporée à la Croatie, ne fait qu'indirectement partie de la couronne de Saint-Etienne. L'Assemblée nationale de la nouvelle joupanie, formée de Riéka et des territoires mentionnés dans le décret de 1776, manifesta sa joie d'être inoorporié à la Croatie (19 novembre 1777). — Bakar fut mis sur le même pied que Riéka par le décret du 13 mai 1778. En 1778, un membre du gouvernement croate et le gouverneur de Riéka proposèrent au gouvernement Croate, dont ils ressortiss aient « que la ville dé Fiume soit auissi considérée dans l'avenir comme un corps séparé (rattaché à la Sainte Couronne du Royaume de Hongrie let qu'en aucun cas elle en soit confondue avec rarrondissement de Bakar qui appartient depuis toujours au Royaume de Croatie ». Le gouvernement croate adhéra à ces propositions, que Marie-Thérèse confirma par son décret du 23 avril 1779. Dans le diplôme que Riéka acquit, il y a la phrase fameuse: tamquam separatum sacrae regni Hungariae adnexum corpus » que signifiait suivant l'interprétation des Magyars et certains Italiens, que Riéka a été directement incorporée à la couronne de Hongrie et non par l'intermédiaire de la Croatie. Par cette phrase, le gouvernement autrichien voulait simplement maintenir certains privilèges que la ville de Riéka possédait depuis longtemps, et qui lui donnaient une situation à part, tandis que la ville de Bakar n'en avait que très peu et ne idif ferait en rien diu reste du territoire croate. — Par le décret du 30 juillet 1779, Marie-Thérèsie abolit le gouverne- ment croate et soumit l'inspection suprême de l' administration die la Croatie au gouvernement magyar. Avec la Croatie, Riéka tomba aux mains du gouvernement magyar, mais elle ne rom- pit pas poiu' cela ses liens avec la Croatie. L'empereur Joseph II créa en 1787 un nouveau littoral, idit Littoral hongrois qui comprenait trois arrondissements: celui de Riéka, de Bakar et de Vinodol, malgré la plus vive protestation dé la Diète croate. Enfin, les CixDates let les Magyars réussirent à ce que la situation de Riéka et die Bakar isoit garantie par une loi (article 4 de la loi de 1807) ainsi qu'une représentation spé- ciale leur soit réservée dans le parlement commun. — Par la Jpaix (de Schônbrunn d!u 14 octobre 1809, Riéka tomba lau tl)Ouvotr des Français et fut incorporée avec tous ses privi- lèges aux Provinces illyriennes. Elle traversa alors une pé- riode de prospérité, qui ne dura malheureusement que peu de temps. Déjà en 1813, cette ville retourna à l'empereur autri- chien François. Une discussion qui s'en suivit à propos de la ^situation de Riéka entre les représentants dé cette ville et la Hongrie, se termina par un accord ( 1825) d'après lequel Riéka était considérée comme partie intégrante du royaume de Croatie ^t par celle-ci comme partie dés pays dé la Couronne de Saint-Etienne. En 1848, les Croates, victorieux et alliéo de l'Auti'iche, s'emparèrent par force de la ville dé Riéka, trop ouvertement inagyarophile pendant le conflit aus- tro-magyar. Mais le conflit fut rouvert en 1868, lorsque le parlement commun vota une loi du 28 septembre 1868, en jévitaut de se Iprononcier niettement sur le Isort de Fiume, lequel sort sera réglé ultérieurement, mais confirme l'état actuel, c'est-à-dire la possession de Riéka par les Croates. Afin kie déjouer le parlement, le Président du Conseil hongrois An- drassy proposa à François-Joseph, et celui-ci l'accepta, la fal- sification de la loi même die 1868, en colant sur l'article 66, relatif à la situation de Riéka, un autre texte qui disait « que Riéka n'appartenait pas au territoire croate, puisqu'elle cons- tituait un corps séparé de la Sainte-Couronne die Hongrie, rattachée à celle-ci... » falsification a été apportée par la délégation dli Royaume Ides Serbes^ Croates et Slovènes à la Conférence de la paix, et présentée aux membres dé cette Conférence, afin de prouver matériellement la façon dont Riéka fut détachée dé la Croatie) . C'est sur cet acte falsifié que toutes les prétentions d'autonomie ou d'indiépendance de Riéka furent fondées.

Le Corpus separatum de Fiume (formellement connu comme la Ville de Fiume et son quartier était le nom du statut légal et politique de la ville de Fiume (Rijeka moderne), institué par l'Impératrice Marie-Thérèse en 1776, déterminant le statut semi-autonome de Fiume dans l'Empire Habsburg jusqu'à la chute de l'Empire austro-hongrois en 1918.

Marie-Thérèse d'Autriche, par décision souveraine du 2 octobre 1776, cède la possession de Fiume, qui était un fief héréditaire des Habsbourg dans le Saint-Empire romain germanique, et l'a donné au Royaume de Hongrie, dont elle était aussi la Reine, en vue de favoriser le commerce.

Fiume et la Hongrie étant à environ 500 km de distance, la ville a été annexée à la Croatie, dont le territoire a commencé aux murailles.

La Croatie, comme un royaume, a été unie avec la Hongrie et avec cela a formé les Pays de la Sainte-Couronne de Saint-Étienne.

Deux ans et demi plus tard, Marie-Thérèse, en tant que Reine de Hongrie, par un rescrit royal du 23 avril 1779, annexe la ville de Fiume directement à la Hongrie comme un corpus separatum (c'est-à-dire pas comme une partie de la Croatie, qui était dans une union personnelle avec la Hongrie).

Depuis, Fiume a dû servir une fonction semblable pour la Hongrie comme Trieste a fait pour le Habsburg atterrit, les états(propriétés) hongrois (et probablement la Reine) a voulu accorder à la Ville un diplôme semblable d'autonomie institutionnelle à ce déjà joui Trieste.

Selon le rescrit de Maria Theresa de 1779, Fiume a été créé un corpus separatum - c'est-à-dire un corps(organisme) politique avec l'autonomie plus grande(super) qu'une ville impériale Libre(Gratuite) ou un comté hongrois et un territoire comparable avec les autres parties adnexae la constitution de la Couronne de st. Stephen. La position(le poste) de la ville était ainsi comparable avec ceux du regna : comme on a considéré Trieste d'être un terrain(une terre) de couronne des pays(terres) héréditaires impériaux (Erblande), donc Fiume a considéré pour d'être des appendices parte à la couronne.

Après le rescrit royal du 23 avril 1779, l'étape(la scène) a été mise pour toutes les confrontations politiques qui devaient arriver dans Fiume pendant plus d'un siècle et demi. Dans un sens, il peut être dit que toute l'histoire qui a suivi était une longue note de bas de page sur la façon d'interpréter les deux actes(lois) de 1776 et 1779. L'acte(la loi) a présenté un précédent pour la pratique constitutionnelle hongroise, puisque(depuis que) c'était la première fois que l'on a donné une partie de l'Empire romain chrétien (et un fief héréditaire du Habsburgs) au royaume hongrois-croate. Donc, puisque les Croates et les états(propriétés) hongrois avaient des intérêts largement divergeants en ce qui concerne Fiume, ils ont produit les interprétations très différentes du rescrit. Les Croates ont refusé d'accepter la lecture de hongrois du document - ils ont nié(refusé) que la Ville pourrait avoir été exclue du territoire environnant, qui a été déjà encadré dans un comitatus. Pendant les Guerres Napoléoniennes, la ville faisait brièvement partie des Provinces(Domaines) Illyrian, finissant son statut comme le corpus separatum. After 1848, the city was included in Croatia as a seat of a comitatus with no special autonomy.

En 1868, après le Compromis de 1867 qui a créé on a permis à l'Autriche-Hongrie, la Croatie de négocier son propre règlement(implantation) avec la Hongrie. Le Règlement(l'Implantation) croate-hongrois final a laissé(quitté) la possession de négociations futures instables(inhabitées), en suspens Fiume selon l'article 66, comme il a apparu dans la version croate, tandis que dans la version hongroise Fiume a déclaré un Corpus separatum directement connecté aux Pays(Terres) de la Couronne de Saint Stephen et ne tombant pas donc dans le domaine d'autonomie croate dans le royaume, mais dans le domaine du Parlement hongrois commun et du gouvernement. Tout naturellement, chaque Parlement a signé son traité respectif, mais quand les deux versions sont allées chez l'Empereur Franz Joseph pour la signature, un morceau de papier (le Kriptic) le contenant d'une traduction croate de la réclamation hongroise sur Fiume avait été collé sur la version croate. Le règlement(L'implantation) a été défini comme provisoire. Pour un règlement(une implantation) définitif, un accord de la Hongrie, la Croatie et Fiume étaient nécessaires et n'ont jamais été réalisés jusqu'à la dissolution de la Monarchie Double en octobre 1918.

L'administration du Corpus separatum a été installée(réglée) avec la Loi donnée le 17 avril 1872 par le Ministre de l'Intérieur hongrois. Au sommet de Fiume et son quartier (hongrois : Fiume város és kerülete) il y avait le Gouverneur nommé directement du Roi après une proposition du Premier ministre hongrois. Le Gouverneur de Fiume avait droit à l'adhésion dans la Maison de Magnats. L'autonomie municipale a été confiée à un Rappresentanza de 56 membres dont le mandat a duré 6 ans. Les citoyens avaient le droit d'élire leur représentant à la Chambre des représentants. De 1896 en avant le Gouvernement hongrois a réduit la portée(le périmètre) d'autonomie municipale qui a été pratiquement finie avant 1913. Fiume et le quartier administré comme un Corpus separatum avait une zone(un domaine) totale de 21 km ² et a compris la Ville et trois villages : Cosala (italien) ou Kozala (Croate) Drenova (italien et Croate) Plasse (italien) ou Plase (Croate)

Après 1918

Article principal : l'État libre(gratuit) Fiume

Le territoire de Fiume après la fin de la Première guerre mondiale a été impliqué dans une série d'événements que, après que des occupations militaires diverses (la durée la plus longue étaient celui mené par Gabriele d'Annunzio, aussi appelées la Régence italienne de Carnaro), a vu la création d'une entité de successeur éphémère en État Libre(Gratuit) Fiume. L'État Libre(Gratuit) a existé de facto seulement pendant quelques mois avant qu'il n'ait été militairement occupé et annexé finalement au Royaume de l'Italie comme la partie de la Province(du Domaine) de Carnaro en 1924, l'annexion qui a marqué la fin de l'autonomie Fiuman historique.

Vilayets de l'Empire ottoman[modifier | modifier le code]

Territoire de Monfalcone[modifier | modifier le code]

Le territoire de Monfalcone (en italien : Territorio di Monfalcone) est une région historique d'Italie située dans la province de Goriza.

Son chef-lieu était Monfalcone.

Il était délimité par l'Isonzo, dans son ancienne branche Isonzato, le Timavo, le Carso et la mer Adriatique.

Il comprenait, outre Monfalcone : Ronchi dei Legionari, San Canzian d'Isonzo, Staranzano, Fogliano-Redipuglia, Turriaco et San Pier d'Isonzo.

En 1420, la République de Venise envahit le patriarcat d'Apulée et met fin au pouvoir temporel du patriarche.

En 1514, le territoire est occupé par l'Autriche.

La diète de Worms (1521) l'attribue à Venise.

Sous la République de Venise, il relevait de la Patrie du Frioul (en italien : Patria el Friuli). Il était administré par un recteur (rector). Il était un quartier de la Contadinanza. Il était le siège d'un parlement.

En 1751, le patriarcat d'Apulée est supprimé et remplacé par deux archidiocèses : celui d'Udine et celui de Gorizia. Le territoire de Montfalcone et le reste de la partie vénitienne sont est incorporé à Udine, la partie autrichienne formant Gorizia.

À la paix de Presbourg (1805), le territoire est cédé à l'Autriche.

En 1807, le traité de Fontainebleau fixe sur l'Isonzo la frontière entre le royaume d'Italie et l'Empire d'Autriche. Le territoire devient autrichien.

À la suite du traité de Schönbrunn (1809), le territoire fut incorporé aux provinces illyriennes.

En 1813, l'Autriche reconquit les provinces illyriennes.

En 1815, le Congrès de Vienne attribue le territoire à l'Autriche.

En 1825, le district de Monfalcone, composé des mandements de Monastero, Monfalcone, Duino et Sesana est incorporé au comté princier de Gorizia et Gradisca.

En 1849, le comté princier est incorporé au Littoral autrichien.

À la suite du compromis autro-hongrois (1867), celui-ci est relève de l'Autriche proprement dite.

À la suite de la première guerre mondiale, il est cédé à l'Italie.

De 1923 à 1947, il relève de la province de Trieste.

À la suite du traité de Paris (1947), il est rattaché à la province de Gorizia.

Nébouzan[modifier | modifier le code]

Dénombrement des communautés qui composent le pays de Nébouzan.

Communauté d'habitants Châtellenie ou viguerie Département
Anizan ?
Ardiège Haute-Garonne
Artiguemy Viguerie de Mauvezin Hautes-Pyrénées - Canton de Bagnères puis de Bourg (1790), de Lannemezan depuis 1801
Asque Viguerie de Mauvezin - Baronnie d’Asque Hautes-Pyrénées - Canton de Lannemezan, puis de Bourg (1790), de La Barthe-de-Neste depuis 1801
Avezac (Avezac-Prat-Lahitte) Viguerie de Mauvezin Hautes-Pyrénées - Avezac et Prat sont à partir de 1790 du canton de La Barthe-de-Neste. Prat, citée comme commune dès 1790, paraît avoir été réunie à Avezac entre 1801 et 1806. Lahitte, canton de Lannemezan (1790), puis de La Barthe-de-Neste à partir de 1801, a été réunie à Avezac-Prat en 1972
Aulon Haute-Garonne
Bulan Viguerie de Mauvezin Hautes-Pyrénées - Canton de Lannemezan, puis de Bourg (1790), de La Barthe-de-Neste depuis 1801
Balesta Haute-Garonne
Barbazan Haute-Garonne
Labarthe (Labarthe-Rivière) Haute-Garonne
Batsère Viguerie de Mauvezin - Baronnie d’Espèche Hautes-Pyrénées - Canton de Lannemezan, puis de Bourg (1790), de La Barthe-de-Neste depuis 1801
Bégole Quarteron de Tarbes - Baronnie de Barbazan-Dessus Hautes-Pyrénées - Canton de Tarbes, puis de Bernac-Debat (1790), de Tournay depuis 1801
Benqué Viguerie de Mauvezin Hautes-Pyrénées - Canton de Lannemezan puis de Bourg (1790), de Lannemezan depuis 1801
Bettes Viguerie de Mauvezin - Baronnie de Bettes Hautes-Pyrénées - Canton de Bagnères, puis de Bourg (1790), de Lannemezan (1801), de Bagnères depuis 1934
Blaignac ?
Bordes-Vieilles (Laborde) Élection d’Astarac - Baronnie d’Esparros Hautes-Pyrénées - Canton de La Barthe-de-Neste depuis 1790 / Bordes Quarteron de Tarbes. Abbaye de L’Escaladieu. Canton de Tournay depuis 1790.
Bourg (Bourg-de-Bigorre) Hautes-Pyrénées
Labroquère Haute-Garonne
Capuce ?
Cassagnabère (Cassagnabère-Tournas) Texte de la cellule Haute-Garonne
Castillon Viguerie de Mauvezin Hautes-Pyrénées - Canton de Bagnères puis de Bourg (1790), canton de Lannemezan depuis 1801
Chelle Viguerie de Mauvezin Hautes-Pyrénées - Canton de Bagnères puis de Bourg (1790), de Lannemezan depuis 1801. Chelle-Spou est désignée sous les noms de Chelle-Dessus, puis de Chelle en 1790 et en 1801, de Chelle-Spou en 1806
Cieutat Viguerie de Mauvezin Hautes-Pyrénées - Canton de Bagnères, puis de Bourg (1790), de Bagnères depuis 1801
Le Cuing Texte de la cellule Haute-Garonne
Escala Châtellenie de Cassagnabère Hautes-Pyrénées - Canton de La Barthe-de-Neste depuis 1790
Espèche Viguerie de Mauvezin - Baronnie d’Espèche Hautes-Pyrénées - Canton de Lannemezan, puis de Bourg (1790), de La Barthe-de-Neste depuis 1801
Espiril Texte de la cellule ?
Franquevielle Texte de la cellule Haute-Garonne
Fréchendets Viguerie de Mauvezin Hautes-Pyrénées - Canton de Bagnères, puis de Bourg (1790), de Lannemezan depuis 1801
Gariscan (Latoue) Texte de la cellule Haute-Garonne
Gourdan (Gourdan-Polignan) Texte de la cellule Haute-Garonne
Gourgue Viguerie de Mauvezin Hautes-Pyrénées - Canton de Lannemezan depuis 1790
Lagrange Châtellenie de Cassagnabère Hautes-Pyrénées - Canton de Lannemezan depuis 1790
Lannemezan Châtellenie de Cassagnabère - Baronnie de Labarthe Hautes-Pyrénées - Chef-lieu du canton de Lannemezan depuis 1790
Lespugue Texte de la cellule Haute-Garonne
Lodes Texte de la cellule Haute-Garonne
Loudet Texte de la cellule Haute-Garonne
Lomné Viguerie de Mauvezin Hautes-Pyrénées - Canton de Lannemezan, puis de Bourg (1790), de La Barthe-de-Neste depuis 1801
Lutilhous Viguerie de Mauvezin Hautes-Pyrénées - Canton de Lannemezan depuis 1790
Marsas Viguerie de Mauvezin Hautes-Pyrénées - Canton de Bagnères depuis 1790
Mauvezin Viguerie de Mauvezin Hautes-Pyrénées - Canton de Lannemezan depuis 1790
Miramont (Miramont-de-Comminges) Texte de la cellule Haute-Garonne
Montmaurin Texte de la cellule Haute-Garonne
Neo Texte de la cellule ? / Peut-être Néouveille Pays des Quatre-Vallées. Vallée d’Aure. Canton d’Arreau, puis chef-lieu du canton de Vielle-Aure (1790). Agos, commune du canton d’Arreau, puis de Vielle-Aure (1790) est rattachée à Vielle entre 1791 et 1801.
Peyrouzet Texte de la cellule Haute-Garonne
Pinas Châtellenie de Cassagnabère Hautes-Pyrénées - Canton de La Barthe-de-Neste, puis de Nestier (1790), de Lannemezan depuis 1801
Poumarous Viguerie de Mauvezin Hautes-Pyrénées - Canton de Tournay depuis 1790
Roque (la) Texte de la cellule ?
Sarlabous Viguerie de Mauvezin Hautes-Pyrénées - Canton de Lannemezan, puis de Bourg (1790), de Lannemezan depuis 1801
Sarrecave Texte de la cellule Haute-Garonne
Sarremezan Texte de la cellule Haute-Garonne
Sauveterre (Sauveterre-de-Comminges) Texte de la cellule Haute-Garonne - À vérifier
Séglan (Saint-Élix-Séglan) Texte de la cellule Haute-Garonne
Saint-Blancard Texte de la cellule Gers
Saint-Élix (Saint-Élix-Séglan) Texte de la cellule Haute-Garonne
Saint-Gaudens Texte de la cellule Haute-Garonne
Tuzaguet Châtellenie de Cassagnabère - Baronnie de Labarthe Hautes-Pyrénées - Canton de Nestier (1790) dont le chef-lieu est transféré à Saint-Laurent en 1870. Cantaous, section de Tuzaguet, est érigée en commune en 1957
Tilhouse Viguerie de Mauvezin Hautes-Pyrénées - Canton de Lannemezan depuis 1790

58 communautés.

Ramefort Haute-Garonne

Nizan (aujourd'hui, Nizan-Gesse) Haute-Garonne

Blajan Haute-Garonne

Péré Viguerie de Mauvezin Hautes-Pyrénées - Canton de Lannemezan depuis 1790

Capvern Viguerie de Mauvezin - Baronnie de Labarthe Hautes-Pyrénées - Canton de Lannemezan depuis 1790

Chelle-Dessus et son annexe, Spou (Chelle-Spou) Viguerie de Mauvezin Hautes-Pyrénées - Canton de Bagnères puis de Bourg (1790), de Lannemezan depuis 1801. Chelle-Spou est désignée sous les noms de Chelle-Dessus, puis de Chelle en 1790 et en 1801, de Chelle-Spou en 1806

Espieilh Viguerie de Mauvezin Hautes-Pyrénées - Canton de Bagnères, puis de Bourg (1790), de Lannemezan depuis 1801

Uzer Viguerie de Mauvezin - Baronnie d’Uzer Hautes-Pyrénées - Canton de Bagnères depuis 1790

Saint-Plancard Haute-Garonne


Le quarteron de Lourdes était une subdivision du comté puis de la sénéchaussée de Bigorre.

Territoire[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Bellagamba 2001, p. 63, no 22.
  2. P. Weil, « Le statut des musulmans en Algérie coloniale : une nationalité française dénaturée », dans Association française de l'histoire de la Justice, La Justice en Algérie (1830-1962) : acte du colloque tenu les et à la Bibliothèque nationale de France, Paris, La Documentation française, coll. « Histoire de la Justice » (no 16), , 366 p., 24 cm (ISBN 2-11-005693-2, OCLC 58799857, BNF 39947270), p. 95-109 [lire en ligne (page consultée le 29 octobre 2015)]
  3. J.-B. Duvergier et J. Duvergier, Collection complète des lois, décrets, ordonnances, règlements, et avis du Conseil d'État, t. 70 : année 1870, Paris, , 561 p. (ISSN 1762-4096, BNF 37578059, lire en ligne), p. 419-421 [lire en ligne (page consultée le 29 octobre 2015)]
  4. J.-B. Duvergier et J. Duvergier, op. cit., p. 421 [lire en ligne (page consultée le 29 octobre 2015)]
  5. J.-B. Duvergier et J. Duvergier, op. cit., p. 421 [lire en ligne (page consultée le 29 octobre 2015)]
  6. J.-B. Duvergier et J. Duvergier, op. cit., p. 421-422 [lire en ligne (page consultée le 29 octobre 2015)]
  7. J.-B. Duvergier et J. Duvergier, op. cit., p. 422 [lire en ligne (page consultée le 29 octobre 2015)]
  8. J.-B. Duvergier et J. Duvergier, op. cit., p. 422-423 [lire en ligne (page consultée le 29 octobre 2015)]
  9. J.-B. Duvergier et J. Duvergier, op. cit., p. 423 [lire en ligne (page consultée le 29 octobre 2015)]
  10. (en) Collaboration Planck, « Planck 2013 results. XVI. Cosmological parameters », arXiv,‎ (Bibcode 2013arXiv1303.5076P, arXiv 1303.5076, lire en ligne), p. 5, table 5
  11. Traité de Fontainebleau du 11 novembre 1807, article 5 : « S. M. le roi de Hollande exercera sur les seigneuries de Kniphausen et de Varel, appartenant au comte de Bentinck, tous les droits de souveraineté, tels qu'ils sont définis par l'article 26 de l'acte du 12 juillet 1806, qui a formé la confédération du Rhin ».
  12. Maurin Théodore Corneille Florent Napoléon Comte Nahuys, Histoire numismatique du royaume de Hollande sous le règne de S. M. Louis-Napoléon, connétable de France, Amsterdam, Frederik Muller, 1858, p. 92-94 : loi en néerlandais et traduction en français.
  13. Maurin Théodore Corneille Florent Napoléon Comte Nahuys, op. cit., p. 94-98 : proclamation en néerlandais et traduction en français.
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