Utilisateur:Roland45/Brouillon

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39,9 °C


La température maximale relevée sur cette station est de 39,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 1]

https://www.pappers.fr/entreprise/estp-grande-ecole-dingenieurs-de-la-construction-325002111#_

[1].

Ain Albarine Allondon Ange Annaz Ardière Arène Arvière Azergues Bief Bourbon Bief d'Avignon Bief de Enfer Bief de Malivert Bief de Menthon Bief de Pommier Bief de Rollin Bief des Guillets Bienne Bourbonne Bourbre Brive Buizin Câline Callonne Canal de Savières Chalaronne Cotey Cozance Dérivation de Belley Durlande Flon Formans Furans Gland Grand Grande Loëze Huert Irance Jugnon Longevent Longviry Mandorne Mâtre Menthon Merdanson Moignans Morbier Morgon Oignin Oiselon Oudar Petite Grosne Renon Reyssouze Reyssouzet Rhône Riez Rivière Grand Journans Ruisseau Besançon Ruisseau de Leschère Ruisseau de Manziat Ruisseau des Echets Salençon Sane Sane-Morte Saône Seille Semine Séran Sereine Sevron Seymard Solnan Suran Toison Valouse Valserine Versoix Veyle Vieux Jonc Voye


du au

La température maximale relevée sur cette station est de 39,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de -17,8 °C, atteinte le [Note 2].

P4179 (« tableau de population »)

Tableau[modifier | modifier le code]

Bocognano Bonifacio Calvi Conca Corbara Corte Evisa Figari Bastia Marignana Oletta Pila-canale Porto-Vecchio Quenza Renno Rusio Sampolo Sartene Sisco Sari-Solenzara




Zonage climatique de Joly et al. (2010).
  • Climat océanique
  • Climat océanique altéré
Zonage climatique de Joly et al. (2010).
  • Côtes de la Manche orientale
  • Nord-est du bassin Parisien
  • Sud-ouest du bassin Parisien

Désolé, mais l'application de la règle définie ci-dessus n'est pas exactement celle-ci. Pour Jugon-les-Lacs, si on regarde les anciennes communes au 1er janvier 2024, on a :

  • Lescouët-Jugon = cas 2a (ancienne commune de 1793 à 1973, de durée de vie supérieure à 6 ans), donc admissible. Il faudrait donc en réalité créer Lescouët-Jugon (ancienne commune
  • Saint-Igneuc = cas 2a (ancienne commune de 1793 à 1973, de durée de vie supérieure à 6 ans), donc admissible. Il faudrait donc en réalité créer Saint-Igneuc (ancienne commune
  • Dolo = cas 2a (ancienne commune de 1793 à 1973, de durée de vie supérieure à 6 ans), donc admissible. Il faudrait donc en réalité créer Dol (ancienne commune
  • Jugon-les-lacs = cas 2b (ancienne commune de 1973 à 1973 homonyme), donc non admissible ;
  • Jugon-les-Lacs - Commune nouvelle = cas 2a (ancienne commune de durée de vie supérieure à 6 ans), donc admissible. Il faudrait donc en réalité créer Jugon-les-Lacs - Commune nouvelle (ancienne commune).

C'est là qu'on voit qu'il y a un problème dans la règle qui aboutit à avoir dans le même nom commune nouvelle et ancienne commune, mais surtout un article où il n'y a rien dedans. C'est pourquoi, je pense qu'il faut simplement remplacer dans le cas 2a « de durée de vie supérieure à 6 ans » par « créées antérieurement à 2016 »

Population Toutes communes Communes avec station Articles correspondants
> 2000 5 422 556 5 422
> 5000 2 195 293 2 751
> 10000 1 013 172 1 862
> 20000 478 101 1 499
Total 34 938 1426
Articles admissibles  :

1. les communes du COG ;
2. les anciennes communes :

  • 2a. créées antérieurement à 2016 ;
  • 2b. dont le nom n’est pas homonyme de la commune du COG dans le territoire de laquelle elle est incluse.

Le cas de Jugon-les-Lacs est réglé dès lors comme suit :

Pour Castelnau-Monratier, c'est pareil.

Suite[modifier | modifier le code]

Carte
Carte des principaux lieux et monuments d'Orelle
  • Architecture religieuse
    • 1Église Saint-Mesmin
    • 2Grotte du dragon de Béraire
    • 3Croix Noble
    • 4Chapelle Saint-Jacques d'Orelle
  • Architecture civile
    • 1Ancien petit séminaire
    • 2Petit château
    • 3Château de la Source du Rollin
    • 4Château de l'Ardoise
    • 5Château des Hauts
    • 6Château des Tourelles

Risques[modifier | modifier le code]

[2]. [3]. [4] [5]

  • Mairie d'Orelle, Plan local d'urbanisme de la commune d'Orelle, , 227 p. (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Le territoire de la commune d'Orelle est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à divers risques technologiques (rupture de barrage, risque minier et de transport de matières dangereuses), ainsi qu'à deux risques particuliers (radon et engins de guerre)[6],[7].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

La commune peut être affectée par un débordement de l’Arc qui a connu des crues importantes en , en , en , en et en [G 1]. L'aléa est toutefois globalement faible : les zones d’aléa fort et moyen sont limitées au lit actif de l'Arc et à ses berges. Aucune habitation n‘est soumise à un risque de débordement en cas de crue centennale : seuls des débordements ponctuels sur la RD1006 pourraient se produire, notamment dans le secteur de Prémont et au droit du hameau du Poucet[PLU112 1].

Les torrents du Poucet et, dans une moindre mesure, du Bonrieu, sont sujets à des crues torrentielles fréquentes, souvent de nature laves torrentielles lorsqu'elles charrient des matériaux. Déjà au XIXe siècle, des mesures de replantation forestière avaient été prises pour tenter de ralentir l’érosion et les crues torrentielles sur le bassin du Pousset[PLU112 2].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des glissements de terrains soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles qui représentent toutefois un risque faible (46 % du territoire communal sont exposés à un aléa faible)[G 2]. Le glacier du Bouchet est situé sur la partie nord de la commune d'Orelle et pourrait endommager des installations de remontées mécaniques dans le domaine skiable d'Orelle[G 3].

L'incendie le plus marquant dans le département est celui d' qui a détruit 126 ha à Orelle[G 4]. L'incendie de la forêt des Essarts à proximité du pont des Chèvres a lieu les 26, 27 et , où de nombreux ouvriers et habitants se mobilisent pour combattre le feu. Les habitations orellinches ne sont pas ménagées. La disposition des maisons, granges et remises, où hommes et bêtes cohabitent incite à la prudence car elles sont très serrées[D 1].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune d’Orelle est située à l’aval des barrages de Bissorte, un barrage de 65 mètres de hauteur construit entre 1931 et 1935, et du Pont des Chèvres. La rupture d'un de ces ouvrages est le principal risque technologique pour la commune. L’onde de submersion s’étendrait d'Orelle à Grenoble, en suivant le tracé de l'Arc et de l’Isère. Orelle est concernée par la zone de proximité immédiate. L’onde de submersion toucherait Francoz en 3 minutes et atteindrait le Poucet en 5 minutes. Le plan particulier d'intervention du barrage de Bissorte a été approuvé par arrêté préfectoral du [PLU148 1],[G 5],[I 1].

Le risque minier, du fait de la présence sur la commune d'ancienne carrières[G 6] et de transport de matières dangereuses, du fait de la traversée e la commune par l'autoroute A43 [G 7] sont également à prendre en compte.

Risques particuliers[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune d'Orelle est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[8].

Le champ de tir temporaire des Rochilles Mont-Thabor se trouve sur la commune Orelle et constitue un risque d'engins résiduels de guerre si certaines pièces ne sont pas retrouvées lors des entraînements de l'armée[G 8].

WD[modifier | modifier le code]

Brantôme La Coquille Coulounieix Domme Les Eyzies-de-Tayac Lamothe-Montravel Monpazier Montignac Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt Prats-de-Carlux Saint Aulaye-Puymangou Saint-Laurent-des-Vignes Saint-Martial-Viveyrol Saint-Martin-de-Fressengeas Saint-Martin-de-Ribérac Salignac-Eyvigues Sarlat-la-Canéda Terrasson-Lavilledieu Thenon

Tablo2[modifier | modifier le code]

section de niveau 1 section de niveau 2
1. Géographie Description des éléments naturels caractérisant le territoire Localisation - Géologie et relief - Hydrographie - Climat - Paysages /- Milieux naturels et biodiversité
2. Urbanisme Descriptif de l'action de l'homme sur le territoire Typologie - Occupation des sols - Morphologie urbaine - Lieux-dits, hameaux et écarts - Logement - Planification de l'aménagement - Projets d'aménagement - Voies de communication et transports - Énergie - Risques naturels et technologiques - Qualité de l'environnement
3. Toponymie Descriptif des origines du nom de la commune, voire des différents toponymes
4. Histoire Mise en perspective des événements qui ont marqué la commune Préhistoire - Antiquité - Moyen Âge - Temps modernes - Révolution française et Empire - Époque contemporaine
5. Politique et administration Description des institutions et des élus gérant ou ayant géré le territoire Élections municipales et communautaires - Autres élections - Instances de démocratie participative - Finances communales - Jumelages
6. Équipements et services publics Descriptif de l'action publique et des services offerts aux habitants Eau et déchets - Espaces publics - Enseignement - Culture - Santé - Postes et télécommunications - Justice, sécurité, secours et défense
7. Population et société Descriptif de la population et des actions menées à son initiative Démographie - Manifestations culturelles et festivités - Sports et loisirs - Vie associative - Cultes - Médias
8. Économie Indicateurs et descriptif des acteurs économiques locaux Revenus de la population et fiscalité - Emploi - Entreprises et commerces
9. Culture locale et patrimoine Sites, monuments, culture, traditions Lieux et monuments - Patrimoine culturel - Personnalités liées à la commune - Héraldique, logotype et devise
10. Voir aussi Bibliographie - Articles connexes - Liens externes
11. Notes et références Notes - Références

Abjat-sur-Bandiat (24)

Viviane Le Guen CARTE - Décarbonation : découvrez où sont les sites industriels les plus polluants de France https://www.francebleu.fr/infos/environnement/decarbonation-emmanuel-macron-reunit-les-industriels-les-plus-polluants-1667907454 8 novembre 2022

Stéphanie Denevault et Océane Zitouni https://www.francebleu.fr/infos/environnement/dfsd-1668053467 10 novembre 2022

Majuscule
  • si le point cardinal nomme un point géographique ;
  • si, employé substantivement, il désigne une partie du monde ou d’un pays ;
  • s’il a fonction de nom propre ou fait partie intégrante du spécifique d’un toponyme.
Minuscule
  • s’il est employé adjectivement ,
  • si, employé substantivement, il désigne une direction, une exposition, une orientation ou une situation relative.
Auvergne-Rhône-Alpes Ardèche Lafarge Ciments - Site du Teil
Isère Vicat - site de Montalieu
Rhône Lafarge Ciments - site de Val d'Azergues
Savoie Trimet - site de Saint-Jean-de-Maurienne
Bourgogne-Franche-Comté Jura EQIOM - site de Rochefort-sur-Nenon, Solvay - site de Tavaux
Centre-Val de Loire Cher Ciments Calcia - site de Beffes
Indre-et-Loire Ciments Calcia - site de Villiers-au-Bouin
Grand Est Haut-Rhin Borealis - site d'Ottmarsheim, Alsachimie - site de Chalampé, HOLCIM - site d'Altkirch, Butachimie - site de Chalampé
Marne Ciments Calcia - site de Couvrot, Cristal Union - site de Bazancourt
Meurthe-et-Moselle Solvay - site de Dombasle-sur-Meurthe, Novacarb - site de Laneuveville-devant-Nancy, Saint-Gobain PAM - site de Pont-à-Mousson, Vicat - site de Xeuilley
Meuse Société des fours à chaux de Sorcy - site de Sorcy
Moselle EQIOM - site d'Héming, ArcelorMittal - site de Florange
Hauts-de-France Aisne Tereos - site d'Origny
Nord ArcelorMittal - site de Dunkerque, Versalis France - site de Mardyck, Aluminium Dunkerque - site de Dunkerque
Pas-de-Calais Chaux et dolomies du boulonnais - site de Réty, EQIOM - site de Lumbres, Roquette Frères SA - site de Lestrem, Verrerie d'Arques - site d'Arques, Tereos - site de Lillers
Île-de-France Seine-Saint-Denis Carrières et fours à chaux de Dugny - site de Dugny
Normandie Calvados Ciments Calcia - site de Ranville
Manche TotalEnergies - site de Gonfreville
Seine-Maritime ExxonMobil Chemical France - site de Notre-Dame-de-Gravenchon, Yara France - site du Havre]], Borealis - site de Grand-Quevilly
Seine-Maritime Borealis - site de Grandpuits
Nouvelle-Aquitaine Charente-Maritime Ciments Calcia - site de Bussac-Forêt
Deux-Sèvres Ciments Calcia - site d'Airvault
Occitanie Aude Lafarge Ciments - site de Port-la-Nouvelle
Gard Ciments Calcia - site de Beaucaire
Haute-Garonne Lafarge Ciments - site de Martres Tolosane
Pays de la Loire Mayenne Lafarge Ciments - site de Saint-Pierre-la-Cour, Lhoist France Ouest- site de Neau
PACA[9] Alpes-Maritimes Vicat - site de Peille
Bouches-du-Rhône Air Liquide Hydrogène - site de Lavéra, ArcelorMittal - site de Fos-sur-Mer, Naphtachimie - site de Lavéra, LyondellBasell - site de Berre (Usine chimique de l'Aubette), Lafarge Ciments - site de La Malle[10] (Bouc-Bel-Air)
1 2026-2030 4 à 8,5 MTCO2/an Grands ports industriels : Dunkerque, Le Havre et Fos-sur-Mer L'idée est de pouvoir mutualiser l'investissement dans les grandes zones industrielles et de favoriser, dans un premier temps, les sites qui peuvent évacuer le CO2 par voie maritime vers des lieux de stockage à l'étranger (en mer du Nord - Norvège, Pays-Bas - ou en Méditerranée - Italie), en attendant de développer des sites nationaux de stockage.
2 2028-2033 8 à 12 MTCO2/an Piémont pyrénéen (Lacq - Sud-Ouest) et l'estuaire de la Loire (projet Pycasso) des projets de transport (projet GoCO2) sont envisagés. Le potentiel des bassins aquitain et parisien sera également examiné.
3 à partir de 2033 12 à 15 MTCO2/an Grand Est « via le développement éventuel de stockage à terre, en mobilisant éventuellement des capacités nationales, ou un raccordement à un réseau de transport de CO2 prolongeant l'axe Rhône à une échelle européenne ».
Horizon 2050 15 à 30 MTCO2/an
Émissions de gaz à effet de serre (en en MtCO2e)
Secteur 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021 2022
Agriculture 83,1 81,7 81,3 80,4 78,6 78,2 76,5 76,5
transport 137,9 138,1 138,3 135,3 134,4 113,5 127,6 130,5
Bâtiments 84,8 84,8 84,1 79 76 71,3 75,1 64
Energie 50 53,5 57,3 48 46,2 41,3 42,5 44,6
Industrie 83,7 83,2 82,9 82,8 79,8 72 78 73
Déchets 15 15 15,1 14,8 16 15,9 15,2 15,2
Total 454,5 456,4 458,9 440,4 431,1 392,3 414,8 403,8
En 2010, le climat de la commune est qualifié de climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. La température annuelle moyenne est de 11,9 °C et le nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C est de 3 et avec une température supérieure à 30 °C est de 5,9. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 122 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 7,6 j en juillet[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine qui comprend cinq grands types et 29 régions climatiques. Dans ce nouveau cadre, la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré. Elle est en outre dans la région climatique « Aquitaine, Gascogne »[12].

Avec le changement climatique, les valeurs des variables climatiques évoluent. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Coquille », sur la commune de La Coquille, mise en service en 1982 et fermée en 2021[15] et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[16],[Note 3], permet de connaître les paramètres pour la période 1981-2010 où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 199 mm[17]. Pour observer les changements sur trois normales climatiques successives, il faut se reporter à la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 48 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[19], à 11,4 °C pour 1981-2010[20], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[21].

Agudelle (17) :

  • Observations sur article existant. Le tableau intitulé « données climatiques » correspond à la ville de La Rochelle et non Agudelle et les données sont relatives à la période 1961-1990 - Le tableau suivant n'est pas sourcé ni référencé temporellement et les données de Paris, Nice ou Strasbourg sont hors sujet.

’Aquitaine, Gascogne’’

Abzac (16) Littoral charentais et aquitain

Tablo3[modifier | modifier le code]

Climat com[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[22]. En 2010, le climat de la commune est qualifié de climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000 et comportant 8 zones climatiques. La température annuelle moyenne est de 12,9 °C et le nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C est de 1.8 et avec une température supérieure à 30 °C est de 5.9. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 893 mm, avec 12.2 jours de précipitations en janvier et 6.5 j en juillet[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine qui comprend cinq grands types et 29 régions climatiques. Dans ce nouveau cadre, la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques Poitou-Charentes et Aquitaine, Gascogne[23].

Les différents paramètres climatologiques sont modifiés par le réchauffement climatique tant au niveau national[24] qu'au niveau régional ou local[25],[26]. La station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cognac », sur la commune de Châteaubernard et mise en service en 1945[27] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[28],[Note 4], permet d'observer les changements sur trois normales climatiques consécutives. La température moyenne annuelle y évolue de 12,9 °C pour la période 1971-2000[29], à 13,3 °C pour 1981-2010[30], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[31]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune attendus pour 2050 selon différents scénarios sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[32].

Avec le changement climatique, les valeurs des variables climatiques évoluent. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[33] complétée par des études régionales[34] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1991 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records CRESSENSAC (46) - alt : 294m, lat : 45°01'06"N, lon : 01°31'12"E
Statistiques établies sur la période 1991-2010 - Records établis sur la période du 01-01-1991 au 31-12-2010
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,8 1,5 3,8 5,9 9,8 12,5 14,6 14,5 10,8 8,7 4,3 2,1 7,6
Température moyenne (°C) 5,5 6,2 9,3 11,5 15,7 18,8 21 21,1 16,9 13,5 8,3 5,7 12,8
Température maximale moyenne (°C) 9,1 10,9 14,8 17,1 21,5 25,1 27,4 27,8 23 18,4 12,3 9,4 18,1
Record de froid (°C)
date du record
−10
31.01.10
−12
15.02.10
−8
06.03.10
−4
07.04.08
−1,5
05.05.1991
1
29.06.1991
7,5
11.07.09
5,5
31.08.10
0
27.09.10
−6
26.10.03
−9
18.11.07
−12
19.12.09
−12
2010
Record de chaleur (°C)
date du record
19
02.01.03
22,5
15.02.1998
26
20.03.05
31
30.04.05
33
28.05.01
39,5
22.06.03
39,5
13.07.03
41,5
12.08.03
35
03.09.05
30,5
06.10.09
23
03.11.05
18,5
08.12.10
41,5
2003
Précipitations (mm) 78,8 68,2 67,8 101,9 97,9 87,7 79,3 71,6 86,7 91,5 101,6 88,9 1 021,9
Source : « Fiche 46083001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/06/2022 dans l'état de la base


Climat com[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est qualifié de climat méditerranéen altéré, selon une étude s'appuyant sue une série de données couvrant la période 1971-2000. La température annuelle moyenne est de 12 °C et le nombre de jours avec une température inférieurenormale climatique| à −5 °C est 4,2 et une température supérieure à 30 °C est 7. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 055 mm[11].

En 2020, Météo-France publie une nouvelle typologie des climats de la France métropolitaine qui comprend désormais cinq grands types et 29 régions climatiques. Dans ce nouveau cadre, la commune est dans une zone de type climat de montagne. Elle est en outre dans la région climatique « Pyrénées centrales »[35].

Les différents paramètres climatologiques sont modifiés par le réchauffement climatique tant au niveau national[36] qu'au niveau régional ou local[37],[38]. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pamiers Lycagri », sur la commune de Pamiers, mise en service en 1985 et fermée en 2008[39] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[40],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 785,8 mm pour la période 1981-2010[41]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949 et à 44 km[42], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[43], à 12,3 °C pour 1981-2010[44], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[45].

Tablo2[modifier | modifier le code]

Orelle (station de ski)

Orelle
Vue aérienne de la station.
Centre de la station de ski d'Orelle (Plan-Bouchet) avec les gares de quelques remontées mécaniques.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Localité Orelle
Géographie
Massif Vanoise
Altitude 890 m
Altitude maximum 3 230 m
Altitude minimum 2 350 m
Ski alpin
Lié à Val Thorens (par la cime Caron, la brèche de Rosaël, le col de Thorens et le col du Bouchet)
Domaine skiable Les Trois Vallées
Remontées
Nombre de remontées 5
Télécabines 2
Télésièges 3
Fils neige 1
Pistes
Nombre de pistes 10
Noires 1
Rouges 3
Bleues 5
Vertes 1
Installations
Nouvelles glisses
1

Orelle est une station de sports d'hiver de la vallée intra-alpine de la Maurienne située dans la commune d'Orelle, dans le département de la Savoie en région Auvergne-Rhône-Alpes. Dotée d'une télécabine en 1996, elle fait partie du domaine skiable des Trois Vallées.

Histoire[modifier | modifier le code]

Création de la station de ski d'Orelle[modifier | modifier le code]

L'activité économique d'Orelle s'oriente vers le tourisme, en lien avec le développement des sports d'hiver dans la vallée voisine des Belleville. La commune entre au capital de la Société de développement touristique de la vallée des Belleville en 1965, puis dans celui de la SETAM (Société d'exploitation des téléphériques de Tarentaise Maurienne), en 1972[46],[47].

Contrôle routier sur le parking de la Télécabine d'Orelle.
Contrôle routier sur le parking de la télécabine d'Orelle.

En 1989, le ski est possible sur le versant d’Orelle, mais accessible seulement depuis le domaine de Val Thorens, avec la création du télésiège de Rosaël[48].

La Société des téléphériques d'Orelle, communément appelée la STOR, voit le jour le et elle gère depuis cette date l'ensemble des installations, systèmes, véhicules et remontées mécaniques de la station skiable d'Orelle[49].

Première télécabine (1996)[modifier | modifier le code]

À partir de , l'accès peut se faire depuis le hameau de Francoz par la télécabine 3 Vallées Express, en 15 minutes. L'ouvrage présente une longueur de cinq kilomètre, sur 1 470 mètres de dénivelé. L'accès peut se faire depuis l'un des quatre parkings prévus sous la gare de départ de la télécabine[50],[51],[52],[53].

Le domaine skiable s'étend en 2001 : ledit télésiège de Rosaël est complété par les télésièges du Peyron et du Bouchet. Ce dernier permet aux skieurs d'atteindre le col du Bouchet, point le plus haut des Trois Vallées avec la pointe du Bouchet qui culmine à 3 420 mètres d'altitude[48],[54],[55],[56].

Un chalet-restaurant s'implante sur le domaine et des cours de ski de l'École du ski français (ESF) deviennent fréquents[57].

Des villages d'Orelle qui se métamorphosent pour intégrer une dynamique touristique[modifier | modifier le code]

Une résidence 3 étoiles, dans le Hameau des Eaux d’Orelle, qui compte actuellement plus de 1000 lits, est construite. Elle se nomme la Résidence des Eaux d'Orelle et ouvre l’opportunité aux clients de séjourner sur la commune, alors qu'il fallait venir à la journée auparavant[58].

La même année, de nombreuses rénovations d’appartements de particuliers dans les villages sont réalisées, offrant d’une part la possibilité aux vacanciers de loger dans ces hameaux, avec des résidences locatives, mais aussi à la commune de voir ses bâtiments restaurés[59].

L'office de tourisme et la centrale de réservations d'Orelle voient le jour en 2008 avec l’objectif de faire connaître la station mauriennaise et d'offrir des services. Dès lors, l'attractivité d'Orelle augmente. L'office a été déplacé dans une nouvelle construction moderne début 2022[60],[61].

En 2011, « Le Mazot des Croés » ouvre ses portes : il s'agit d'une halte-garderie-crèche municipale située dans la rue Saint-Jacques à Francoz.

Tyrolienne d'Orelle[modifier | modifier le code]

En 2014, la « Tyrolienne d'Orelle » est créée. C'est une première mondiale car jamais une tyrolienne aussi haute en altitude et aussi longue n’avait jamais été réalisée[62],[63].

La base de départ se situe au col du Bouchet, sur Orelle, tandis que la base d'arrivée se situe sur le col de Thorens, entre les communes d'Orelle et des Belleville ; son titre de plus haute en altitude d'Europe lui a permis de remporter, la même année, l’Award de la meilleure « innovation transport » dans la catégorie sports d’hiver[64].

La télécabine d'Orelle[modifier | modifier le code]

Plan Bouchet, le centre de la station de ski d'Orelle : (sens horlogique) gare d'arrivée de la Télécabine d'Orelle, gare de départ de la Télécabine Orelle-Caron, gare de départ du télésiège de Rosaël, gare de départ du télésiège du Peyron.
Plan Bouchet, le centre de la station de ski d'Orelle : (sens indirect) gare d'arrivée de la Télécabine d'Orelle, gare de départ de la Télécabine Orelle-Caron, gare de départ du télésiège de Rosaël, gare de départ du télésiège du Peyron.

Une liaison trans-valléenne entre Orelle et Val-Thorens voit le jour en décembre 2021. La télécabine 3 Vallées Express doit être remplacée pour offrir un débit plus important, une meilleure sécurité et plus de confort[65],[66].

La nouvelle télécabine d'Orelle aura ainsi un débit deux fois supérieur (2 000 visiteurs par heure) avec une vitesse de 7 mètres par seconde[67].

La télécabine d'Orelle et la télécabine Orelle-Caron sont équipées d'un système permettant de ranger toutes les cabines dans la gare de départ respective la nuit[68].

Télécabine Orelle-Caron[modifier | modifier le code]

Une seconde télécabine sera créée entre Plan Bouchet, centre de la station skiable d'Orelle, et la Cime Carron. En plus du télésiège de Rosaël, de la piste de ski « Lory » et de la Tyrolienne d'Orelle, elle est ainsi un nouveau point de liaison entre Orelle et Val Thorens[69],[70].

Les 2 appareils seront les plus rapides de France avec 7 mètres par seconde de vitesse, moins de 20 minutes de télécabine du village à la cime Caron. Ces aménagement contribuent à une augmentation du prix des forfaits de ski ainsi que des achats ou locations de résidences orellinches[71],[72].



La commune d'Orelle s'est dotée depuis 1996 d'une télécabine permettant, au départ du hameau de Francoz, d'accéder au domaine skiable des Trois Vallées en vingt minutes. Avec une longueur de cinq kilomètres en un seul tronçon, il s'agit de la plus longue ligne de télécabine au monde. Pour la saison hivernale 2021-2022, la télécabine est remplacée par une nouvelle infrastructure en lieu et place de la précédente, vieillissante et sous-dimensionnée au vu de la fréquentation, et complétée par une seconde télécabine permettant de gagner la cime Caron[T 1],[T 2],[OT 1].

Domaine skiable et gestion[modifier | modifier le code]

Orelle fait partie du domaine des Trois Vallées (avec Courchevel, Méribel, Val Thorens, Les Menuires et La Tania), considéré comme un des plus grands domaines skiables du monde avec ses 2100 hectares[73] et ses 493 km de pistes[Note 6] entièrement reliées par des remontées mécaniques[75]. Le domaine de Courchevel correspond à environ 25 % du grand domaine[C 1]. Le domaine des Trois Vallées comprend également 128 km de pistes de ski de fond dont 67 km à Courchevel[73].

Le domaine skiable desservi est ouvert de fin novembre à début mai. Il comprend 600 km de pistes des 3 Vallées, ou 150 km de pistes sur la seule zone Orelle-Val Thorens. Les pistes de la station de ski d'Orelle sont : « Plan-Bouchet » (verte), « le Peyron », « Croix d'Antide », « les Gentianes », « BD Rosaël », « Lory » (bleues), « la Mauriennaise », « Coraïa », « Bouchet » (rouges), « Combe de Rosaël » (noire)[AO 1].

Les skieurs des stations de Maurienne, comme ceux de Valfréjus, Aussois, La Norma, Valloire, Valmeinier, Les Karellis, Val Cenis ou encore Les Sybelles, peuvent, en cas de faible enneigement ou en fin de saison, profiter de l'altitude élevée d'Orelle et de Val Thorens, laquelle est la plus haute station de ski d'Europe.

La Société des téléphériques d’Orelle (STOR) est depuis le certifiée ISO 14001 (management de l’environnement)[OT 2]. Catégorie:Station de sports d'hiver en Savoie

Tableau1[modifier | modifier le code]

Données climatiques de quelques villes de France
Période Temp. moy.
janvier
Temp. moy.
juillet
Record
bas
Record
haut
Précip.,
(mm/an)
Précip.

(j/an)

Saison
+ arrosée
Saison
- arrosée
Soleil
(h/an)
Ajaccio 1981-2010 8,9 22,8 -8,1 40,3 616 68 Automne Eté 2 756
1991-2020 9,4 23,2 -8,1 40,3 635 68 Automne Eté 2 802
Sections absentes ou insuffisamment développées

Histoire du climat – réchauffement climatique – politique climatique – justice climatique - climatoscepticisme en France.

En 2010, le climat de la commune est qualifié de « climat océanique altéré »», selon une typologie qui compte alors huit grands types de climats en France métropolitaine, définis à partir d’un jeu de 14 variables couvrant la période 1971-2000[11]. Les deux variables les plus significatives la concernant sont la température annuelle moyenne (12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitation (893 mm)[11],[Note 7].

En 2020, Météo-France publie une nouvelle typologie des climats de la France métropolitaine qui comprend désormais cinq grands types et 29 régions climatiques. Dans ce nouveau cadre, la commune ressort du « climat océanique altéré ». Ce climat est une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs. Elle est en outre dans la région climatique «  Nord-est du Massif Central ».

Suite[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Guerre de Cent ans[modifier | modifier le code]

Scénario[76] actuel
(2020-2040)
Milieu de siècle
(2041-2060)
Fin de siècle
(2081- 2100)
SSP 1-2.6 1,5°C 1,7°C 1,8°C
SSP 2-4.5 1,5°C 2°C 2,7°C
SSP 5-8.5 1,6°C 2,4 °C 4 ,4°C

La guerre de Cent Ans fait entrer Jargeau dans la Grand histoire, notamment avec la bataille de Jargeau. Plusieurs personnalités sont liées à cette bataille  : Jeanne d'Arc (1412-1431), délivre la ville des Anglais en 1429 et est secondée par ses compagnons : Jean V de Bueil (1406-1477) ; André de Lohéac (1408-1486) ; Guy XIV de Laval (1406-1486) ; Gilles de Rais (1404-1440) surnommé Barbe-Bleue ; Louis Ier de Bourbon-Vendôme (1376-1446) ; Ambroise de Loré (1395-1446). D'autre part, le mercenaire Étienne de Vignolles (1390-1443) dit "La Hire", et Jean Poton de Xaintrailles (vers 1390-1461) participent également à la bataille. Jean de Dunois (1402-1468) joint la troupe dont il est capitaine à celles de Jean II d'Alençon et commande la bataille de Jargeau. Le capitaine William de la Pole, duc de Suffolk (1396-1450), dirige les troupes anglaises qui occupaient Jargeau et est capturé par Guillaume Renault, un gentilhomme que le comte adouba chevalier[77] afin de ne pas subir la honte d'avoir été pris par un simple écuyer. Cet adoubement lors de la bataille de Jargeau est même repris par l'écrivain Alexandre Dumas, dans son œuvre Jehanne la Pucelle.

Des rois à Jargeau[modifier | modifier le code]

Charles VII vient à Jargeau en 1430 où il conclut le mariage de sa fille avec le duc d'Autriche en 1430.

Le roi Louis XI (1423-1483), fils de Charles VII, signe lui aussi à Jargeau le contrat de mariage de sa fille ainée Anne (1461-1522) et de Pierre de Beaujeu (1438-1503) en 1473[78].

Personnes politiques[modifier | modifier le code]

Albert Viger (1843-1926), personnalité politique française, né à Jargeau. Ancien député et sénateur du Loiret. Ancien ministre de l'Agriculture sous la Troisième République pendant trois périodes : du au , du au et du au [79], commandeur de la Légion d'honneur[80].

Personnes ayant contribué à la renommée de Jargeau[modifier | modifier le code]

Oscar Roty (1846-1911), dessinateur français de monnaies et de timbres, graveur de médailles, membre de l'Académie des beaux-arts en 1888, grand prix de l'Exposition universelle de Paris de 1889, commandeur de la Légion d'honneur[81]. Auteur de la Semeuse ornant les pièces de monnaie et les timbres français. Le musée et la fondation Oscar-Roty sont implantés à Jargeau.

Personnes nées ou décédées à Jargeau[modifier | modifier le code]

Consommation ou pas d'eau Usages Influence sur les cours d'eau ou milieux aquatiques
Ne consomment pas d’eau. Usages de loisirs (attrait paysager, baignade, loisirs nautiques, pêche, mares de chasse) - pisciculture Les apports en eau sont restitués tout au long de l'année.
Ne consomment pas d'eau à l’échelle annuelle mais influence les débits. Hydroélectricité Le régime des débits des cours d'eau peut significativement être influencé par le stockage et le déstockage des flux entrants.
Consomment effectivement de l'eau. Eau potable, irrigation, réalimentation / restitution, abreuvement du bétail, neige de culture. L'eau n'est pas restituée directement au cours d'eau.




Carte
Map of selected volcanic features of the Auckland volcanic field allowing wider context. Clicking on the map enlarges it, and enables panning and mouseover of volcano name/wikilink and ages before present (ka). The type of volcanic eruption (some are composite) is indicated by scoria cone (red), or phreatomagmatic eruptions tuff ring (red-brown), maar (purple) and basaltic volcano activity (black). Basaltic lava and other deposits are shown in dark brown.[85][86] The key to the other volcanics that are shown with panning is basalt – brown, monogenetic basalts – dark brown, undifferentiated basalts of the Tangihua Complex in Northland Allochthon – light brown, arc basalts – deep orange brown, arc ring basalts -orange brown, dacite – purple, andesite – red, basaltic andesite`- light red, rhyolite – violet, ignimbrite (lighter shades of violet), and plutonic – gray.

Un champ volcanique monogénétique est un type de champ volcanique constitué d'un groupe de petits volcans monogénétiques, chacun d'entre eux n'entrant en éruption qu'une seule fois, par opposition au volcanisme polygénétique, qui entre en éruption de manière répétée sur une période donnée. Les petits volcans monogénétiques de ces champs constituent le relief volcanique subaérien le plus commun[87].

De nombreux volcans monogénétiques sont des cônes de scories, souvent accompagnés de coulées de lave, comme le Parícutin dans le champ volcanique du Michoacán-Guanajuato, qui est entré en éruption de 1943 à 1952. Certains volcans monogénétiques sont de petits boucliers de lave, comme l'île Rangitoto dans le champ volcanique d'Auckland. D'autres volcans monogénétiques sont des anneaux de tuf ou des maars. Un champ monogénétique contient généralement entre dix et cent volcans. Le champ Michoacán-Guanajuato au Mexique contient plus de mille volcans et est exceptionnellement grand.[88]

Les champs monogénétiques ne se produisent que lorsque le magma du volcan est faible ou lorsque les évents ne sont pas assez proches ou assez grands pour développer des systèmes de plomberie permettant une alimentation continue en magma. Les champs volcaniques monogénétiques peuvent fournir des instantanés de la région sous-jacente sous la surface, et peuvent être utiles pour étudier la génération de magma et la composition du manteau puisque l'éruption unique produite correspondrait à celle de la chambre d'où elle est sortie. [89] On pense que le magma qui alimente ces champs est monté rapidement depuis sa région source, avec seulement de courtes périodes (des décennies ou moins) dans des chambres magmatiques peu profondes[87].

Exemples[modifier | modifier le code]

Conus archiepiscopus Conus arenatus Conus aulicus Conus aureus Conus betulinus Conus blatteus Conus bullatus Conus caillaudii Conus catus Conus chaldaeus Conus coccineus Conus corbieri Conus cymbioides Conus delanoyae Conus ebraeus Conus eburneus Conus excelsus Conus exiguus Conus ferrugineus Conus figulinus Conus floccatus Conus fumigatus Conus fuscatus Conus galeyi Conus generalis Conus geographus Conus glans Conus glaucus Conus gloriamaris Conus granulatus Conus guinaicus Conus hirasei Conus imperialis Conus judaeus Conus kahiko Conus leopardus Conus lienardi Conus litteratus Conus magnificus Conus magus Conus marchionatus Conus marimaris Conus marmoreus Conus mascarenensis Conus mercator Conus miles Conus mustelinus Conus nussatella Conus pertusus Conus praelatus Conus princeps Conus proximus Conus pseudocedonulli Conus pulcher Conus pulicarius Conus purpurascens Conus reticulatus Conus saucatsensis Conus scabriusculus Conus spectrum Conus spurius Conus striatus Conus sugillatus Conus taeniatus Conus taitensis Conus tessulatus Conus textile Conus theodorei Conus trigonus Conus trochulus Conus tulipa Conus variegatus Conus ventricosus Conus vezoi Conus vicweei Conus virgo

L'espèce Conus advertex a été décrite pour la première fois en 1992 par le malacologiste américain Edward James Petuch[90] dans la publication intitulée « La Conchiglia »[91],[92].




<- Il ne s'agit pas d'une liste exhaustive. N'incluez que les exemples qui illustrent la variété ou la distribution mondiale des champs volcaniques monogénétiques, ou qui ont été exceptionnellement bien étudiés.-->.

Motukorea
Motukorea ('Māori') (mul)
Vue de Bucklands Beach, Motukorea (au centre) et de l'île Rangitoto en arrière-plan.
Vue de Bucklands Beach, Motukorea (au centre) et de l'île Rangitoto en arrière-plan.
Géographie
Pays Drapeau de la Nouvelle-Zélande Nouvelle-Zélande
Localisation Golfe de Hauraki
Coordonnées 36° 49′ 50″ S, 174° 53′ 41″ E
Point culminant 68 m
Administration
Région Auckland (Conseil d'Auckland)
Conseil local (LBA) Aotea / Great Barrier
Autres informations
Géolocalisation sur la carte : Auckland
(Voir situation sur carte : Auckland)
Motukorea
Motukorea
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Zélande
(Voir situation sur carte : Nouvelle-Zélande)
Motukorea
Motukorea


# Au 1er janvier 2023, il y avait 189 communes dans l'arrondissement de Périgueux
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Malacologistes[modifier | modifier le code]

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MillePages[modifier | modifier le code]

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Genre Conus[modifier | modifier le code]

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Famille Conidae[modifier | modifier le code]

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  OPTIONAL {?item wdt:P570 ?datedeces .} # P570 : Date de décès
  
}

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  OPTIONAL {?item wdt:P569 ?datenaissance .} # P569 : Date de naissance
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}

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  OPTIONAL { ?item wdt:P5055 ?IRMNG . } # Register of Marine and Nonmarine Genera
 
  OPTIONAL { ?item wdt:P3186 ?INPN . } 
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  OPTIONAL { ?item wdt:P627 ?UICN . }
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    ?P850node ps:P850 ?Worms . # valeur du WoRMS
    
    
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en:Amy Freeze - Bernice Ackerman - en:Carmen Nicole Moelders - en:Cindy Preszler - en:Dylan Dreyer - en:Erica Grow - Florence van Straten - Ginger Zee - en:Janice Huff - Joanne Simpson - Judith Curry - June Bacon-Bercey - en:Katharine Kanak - en:Kristine Hanson - en:Megan Glaros - en:Pauline Morrow Austin - en:Sharon Nicholson - en:Stephanie Abrams - en:Verneda Rodriguez

Prof[modifier | modifier le code]

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    wd:Q520549                                # géologue
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  FILTER NOT EXISTS {                              # pas dans fr.wikipedia
    ?wfr schema:about ?item .
    ?wfr schema:isPartOf <https://fr.wikipedia.org/> .
  }
                                                   # dans en.wikipedia
  ?wen schema:about ?item ;
       schema:isPartOf <https://en.wikipedia.org/> ;
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  OPTIONAL{?item wdt:P570 ?deathdate .} # P570 : Date de décès
   OPTIONAL{?item wdt:P27 ?nationnalite .} #P27 : Nationalité
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Suite[modifier | modifier le code]

conus
Une seule forme Deux formes
Boucher
Présentation
Métiers voisins
Fonction
Contraintes
Charge de travail
Emploi physique
Boucher,
Bouchère
Présentation
Métiers voisins
Fonction
Contraintes
Charge de travail
Emploi physique
Développeurs et analystes de logiciels et d'applications Analystes de systèmes
Développeurs de logiciels
Développeurs Web et multimédia
Programmeurs d'applications
Développeurs et analystes de logiciels et d'applications non classés ailleurs
Professionnels des bases de données et des réseaux Concepteurs et administrateurs de bases de données
Administrateurs de systèmes
Professionnels des réseaux informatiques
Professionnels des bases de données et des réseaux non classés ailleurs
Femmes arachnologues américaines
Hors projet Mille Pages en:Cheryl Hayashi - en:Elizabeth Peckham - en:Greta Binford
Dans projet Mille Pages Harriet Idola Exline Frizzell - Jocelyn Crane - Marjorie Hoy -
Femmes géographes américaines
Hors projet Mille Pages en:Ann Hull - en:Anne Kelly Knowles - en:Carolyn Gallaher - en:Elizabeth Cullen Dunn - - en:Emily Talen - en:Janel Curry - en:Jennifer Wolch - en:Julie Michelle Klinger - en:Kären Wigen - en:Katharyne Mitchell - en:Marie Price - en:Marilyn A. Brown - en:Mary Ellen Mazey - en:Pauline Menes - en:Sallie A. Marston - en:Sally P. Horn - en:Sandra Arlinghaus - en:Susanna Hecht - en:Thelma Glass
Dans projet Mille Pages Projet:Les_Mille_Pages/Ellen Mosley-Thompson - Projet:Les_Mille_Pages/Karen Seto

Tableau[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Records établis sur la période du au .
  3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  6. Le site officiel du domaine des Trois Vallées revendique, en 2013, 600 km de pistes de ski alpin, comme sur le programme officiel des JO de 1992 (p.115). Cependant, une étude menée par le consultant allemand Christoph Schrahe indique, d'après une analyse des pistes via le logiciel Google Earth, une distance de 493 km[74].
  7. Parmi les 14 variables ayant permis de caractériser le climat de la commune, peuvent également être cités le nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C (1,8 j) ou supérieure à 30 °C (5,9 j) ou le nombre de jours de précipitation en janvier (12,2 j) ou en juillet (6,5 j)

Références[modifier | modifier le code]

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  2. « ppointe du Bouchet » sur Géoportail (consulté le 27 juin 2020)..
  3. « La Denise » sur Géoportail (consulté le 8 décembre 2023)..
  4. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance par la route entre Orléans et Paris », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  5. Plan local d'urbanisme, 2018, p. 378.
  6. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de la Savoie » [PDF], sur www.savoie.gouv.fr, (consulté le ), chapitre Liste des risques par commune.
  7. « Les risques près de chez moi - commune d'Orelle », sur Géorisques (consulté le ).
  8. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
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  10. « L’usine Lafarge La Malle passe à la biomasse pour réduire la consommation d’énergies fossiles dans la fabrication de ses ciments. », sur www.lafarge.fr, (consulté le )
  11. a b c d et e Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ) Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « Joly » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.
  12. « Pluies extrêmes en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
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  16. « Orthodromie entre Abjat-sur-Bandiat et La Coquille », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  22. Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll. « L'histoire par les documents », , 429 p. (ISBN 2-903504-21-0, BNF 34901024, présentation en ligne), p. 10
  23. « Pluies extrêmes en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  24. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  25. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
  26. [PDF]« Le changement climatique dans les Pyrénées : impacts, vulnérabilités et adaptation. », sur opcc-ctp.org (consulté le ).
  27. « Station Météo-France Cognac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  28. « Orthodromie entre Salles-d'Angles et Châteaubernard », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  31. « Station météorologique de Cognac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  32. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  33. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  34. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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  36. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  37. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
  38. [PDF]« Le changement climatique dans les Pyrénées : impacts, vulnérabilités et adaptation. », sur opcc-ctp.org (consulté le ).
  39. « Station Météo-France Pamiers Lycagri - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  40. « Orthodromie entre Verniolle et Pamiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  53. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées ces
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  59. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées deh
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  62. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées :0
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  64. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées :1
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  69. Arnaud P, « Télécabine Orelle-Caron : du nouveau entre Orelle et Val Thorens cet hiver ! », sur Altitude News, (consulté le )
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  73. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées ProgJO
  74. Jean-Bernard Litzler, « Quelles sont réellement les plus grosses stations de ski au monde? », Le Figaro,‎ (lire en ligne).
  75. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Tixier 2010
  76. Inspection générale de l'environnement et du développeemnt durable, Mission de parangonnage sur les politiques d’adaptation au changement climatique., , 106 p. (lire en ligne), p. 79
  77. Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe, Champion, (lire en ligne).
  78. Bibliothèque nationale, Fr.3882, folio 153
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  84. « Cote 19800035/1441/66829 », base Léonore, ministère français de la Culture.
  85. Bruce Hayward, « Small satellite explosion craters in the Auckland Volcanic Field », Geocene, vol. 13,‎ , p. 5–12 (lire en ligne)
  86. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Nemeth2012
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