Laurent Baffie

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Laurent Baffie
Laurent Baffie au Festival de Cannes 1998.
Biographie
Naissance
Surnom
Baffie
Nationalité
Activités
Enfant
Benjamin Baffie (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour

France 2 RTL Europe 2 Rire et Chansons Europe 1

Fun Radio

Laurent Baffie, né le à Montreuil, est un humoriste, animateur de radio et de télévision, auteur et metteur en scène de théâtre et écrivain français.

Baffie (souvent désigné uniquement par son patronyme) est réputé pour ses caméras cachées, son sens de la répartie et son humour grinçant (ce qui lui a donné comme surnom « le sniper »)[1].

Biographie[modifier | modifier le code]

Enfance, formation et débuts[modifier | modifier le code]

Fils d'une femme battue[2], coiffeuse, Laurent Baffie grandit dans le 20e arrondissement de Paris[3]. Il abandonne l'école en classe de quatrième pour commencer une formation de comptable[4] avant de s'orienter vers le théâtre. Il gagne ses premiers cachets comme figurant dans les émissions de variétés de Maritie et Gilbert Carpentier[5].

Carrière d'auteur[modifier | modifier le code]

Sketches[modifier | modifier le code]

Dès 1985, Baffie écrit des sketches, notamment pour Jean-Marie Bigard qui officie dans l'émission La Classe sur FR3. Depuis, il a toujours participé à l'écriture des spectacles de son ami qu'il considère comme son « frère »[5],[6].

Pièces de théâtre[modifier | modifier le code]

Laurent Baffie en 2001.

En 2001, il monte la pièce Sexe, Magouilles et Culture générale, avec sur scène Daniel Russo, Pascal Sellem, Mado Maurin, Karine Lyachenko et lui-même.

En 2005, il écrit et met en scène Toc toc[7] avec sur scène Daniel Russo, Marilou Berry (ou Zoé Nonn), Bernard Dheran, Sophie Mounicot et Yvon Martin. Contrairement à la pièce précédente, il n'est pas sur scène, à l'exception d'une brève apparition, en arrière-plan, à chaque fin de représentation. Cette pièce, pour laquelle Marilou Berry obtient le Molière de la révélation théâtrale, connaît elle aussi un très gros succès. Cette pièce est reprise en 2010 et adaptée pour le Québec par Jean-Philippe Pearson, avec Edgar Fruitier, Marcel Lebœuf, Pascale Montpetit, Élizabeth Chouvalidzé et Émilie Bibeau. Toujours en 2010, cette pièce est reprise et adaptée en Espagne par Julián Quintanilla. En , après une rencontre avec l'auteur, Richard Aerden reprend le texte original pour la première reprise du vaudeville en Belgique. Quatre représentations seront données par la compagnie namuroise Kaméléon. En , le texte original est repris une seconde fois à Bruxelles dans une mise en scène de Daniel Hanssens, avec Pascal Racan, Anna Cervinka et Daniel Hanssens. Entre mars et , cette pièce est jouée par dix troupes théâtrales différentes à Bruxelles et en Wallonie (Liège, Charleroi, Genval — Théâtre du Flétry, mise en scène par Philippe Derlet —, Herstal, Ganshoren, Rochefort, Ciney...).

En 2008, il met en scène une nouvelle pièce, Un point c'est tout !, au Théâtre du Palais-Royal, avec sur scène Patrick Préjean, Nicole Calfan, Alain Bouzigues, Mado Maurin, Mehdi El Glaoui et François Deblock. Le succès est cependant plus mitigé que celui des précédentes pièces.

En 2011, il monte sur la scène du Théâtre du Palais-Royal à Paris, à partir du pour sa quatrième pièce, Les Bonobos, avec Marc Fayet, Jean-Noël Brouté, Alain Bouzigues, Caroline Anglade, Camille Chamoux et Karine Dubernet.

En 2014, il remonte sur la scène du Théâtre Fontaine à Paris pour sa pièce Sans filtre.

Sa pièce de 2015, Jacques Daniel, se joue au théâtre de la Madeleine, avec Claude Brasseur, Daniel Russo et Nicole Calfan.

One-man-show[modifier | modifier le code]

En 2010, il monte un one-man-show : Laurent Baffie est un sale gosse, joué au Théâtre du Palais-Royal du au , après une longue tournée en France. La dernière de la pièce a lieu le , sur la scène de l'Olympia.

Activité à la radio[modifier | modifier le code]

En 1990, Baffie crée et anime l'émission Vas-y, fais-nous rire sur Fun Radio. Il est également sociétaire de l'émission Les Grosses Têtes de Philippe Bouvard sur RTL. En 1993, il anime l'émission Ze Baffie Show sur Skyrock, avec l'aide d'un de ses jeunes complices de l'époque, Jarlot[8]. En 1999, il lance C'est quoi ce bordel ? sur Europe 2.

Du au , il endosse à nouveau son rôle d'animateur radio, cette fois à l'antenne d'Europe 1. L'émission, diffusée tous les dimanches de 11 h à midi, reprend certains des concepts de C'est quoi ce bordel ?. Son titre aura la particularité de changer chaque semaine lors des premières années (Coloscopie, Demain, c'est mardi, C'était mieux dimanche dernier, Papy fait de la résistance, Vous êtes bien sur RTL, Julie, droguée, prostituée et fière de l'être, Baffie est un sale con, Taisez-vous Elkabbach, Ma vieille chatte perd ses poils, etc.) avant de s'intituler définitivement C'est quoi ce bordel. Il est toujours accompagné de Julie d'Europe 1. Dans son émission dominicale, il exploite les techniques des samples, où sont mémorisées des phrases décalées de Julie, la phrase d'Édouard Balladur « je vous demande de vous arrêter », des samples de jingles d'Europe 1 et d'autres radios, ou encore publicitaires, qu'il utilise pour ses canulars téléphoniques. En , il annonce son licenciement, la station invoquant « des raisons économiques »[9].

Il revient le sur Rire et Chansons, où il reprend son émission C'est quoi ce bordel ?. Le , il annonce son licenciement de Rire et Chansons[10]. En 2013, il retrouve l'équipe de Philippe Bouvard au sein de l'émission des Grosses Têtes, et reste dans l'émission quand Laurent Ruquier arrive pour l'animer à partir de 2014.

Activité à la télévision[modifier | modifier le code]

Logo de l’émission Baffie vérifie la pub.
Logo du Baffie Chaud dans Nulle part ailleurs.

Baffie apparaît pour la première fois à la télévision le à l'âge de 17 ans dans l'émission Un sur cinq sur Antenne 2, consacrée au médium Yvon Yva, où il se fait hypnotiser.

En 1989, il fait ses débuts à la télévision française en enregistrant plusieurs caméras cachées dans la rue pour l'émission Tout le monde il est gentil sur La Cinq. Il démarche les chaînes de télévision avec ce concept, puis continuera ce type d'improvisation dans la rue pendant sa collaboration avec Thierry Ardisson, quand il fait sa connaissance en 1991 après l'avoir invité dans son émission radiophonique Vas-y, fais-nous rire sur Fun Radio. Séduit par son humour, Ardisson l'engage d'abord pour écrire des sketches, puis pour faire de l'improvisation en tant que faux cadreur dans son émission de télévision Double Jeu sur France 2[11]. Baffie sera ensuite de toutes les émissions d'Ardisson sur cette chaîne.

En 1993, il arrive sur Canal+ et présente pendant une saison l'émission hebdomadaire B.V.P., pour Baffie vérifie la pub, une émission humoristique où il décide de vérifier la véracité de ce qui est montré dans les pubs de l'époque, ce qui n'est qu'un prétexte pour une suite de sketches à l'humour transgressif. De 1996 à 1997, toujours sur Canal+, il coanime avec Philippe Gildas l'émission Nulle part ailleurs. Placé sur le plateau à côté de Gildas, Baffie est censé intervenir ponctuellement toujours dans le rôle de sniper mais, mal à l'aise, il se montre peu inspiré. Il devient dès lors l'une des principales cibles des auteurs des Guignols[12],[13], qui tournent notamment en dérision l'aspect répétitif de ses remarques (la marionnette représentant Baffie ne sait que répéter, en guise de boutade : « Je peux pas, demain j'ai piscine »)[14]. Il estime l'acharnement des Guignols à son encontre injuste et quitte Canal+ en de mauvais termes en disant y avoir passé « une année dégueulasse »[15]

En 1997-1998, il présente Farce Attaque sur France 2 où il reprend ses improvisations avec des inconnus dans la rue comme pendant ses caméras cachées. De 2001 à 2002, il participe régulièrement à l'émission Burger Quiz sur Canal+, présenté par Alain Chabat.

De 2000 à 2006, il est aux côtés de Thierry Ardisson dans Tout le monde en parle (émission débutée en ). Coprésentateur avec Ardisson, il devient, grâce à ses remarques acides et décalées (envers les invités mais aussi Ardisson), le « sniper » de l'émission, montrant par ailleurs qu'il possède de bonnes connaissances en culture musicale (notamment lors du blind test qui conclut chaque émission, où il faut deviner des interprètes de chansons)[16] et animalières[16],[17],[18]. L'émission est arrêtée en 2006 à la suite de négociations tumultueuses entre Ardisson et la direction de France 2.

En 2006, il présente Ding Dong sur Paris Première. Il s'invite chez monsieur tout le monde en compagnie d'un invité célèbre, et organise un talk show impromptu. En 2009, il présente Baffie ! sur Virgin 17, puis sur MCM, la rediffusion filmée du « talk-show participatif » avec des invités d'actualité qu'il anime sur Europe 1. Il est d'ailleurs accompagné de Julie d'Europe 1.

En 2012, il présente sur Paris Première 17e sans ascenseur[19], une émission où il reçoit des célébrités à dîner dans le décor d'un ancien bains-douches situé au 5 Avenue de Saint-Ouen dans le 17e arrondissement de Paris. En 2014, il présente sur L'Énôrme TV[a] l'émission Open Bar[b] où il reçoit ses amis et des artistes pour parler de leur actualité[20].

En , dix ans après l'arrêt de Tout le monde en parle en , Laurent Baffie retrouve Thierry Ardisson en tant qu'humoriste plateau à Salut les Terriens ![21]. La même année, il remet le prix du Groupe Francophone de l'Année aux NRJ Music Awards en compagnie d'Élie Semoun.

Le , veille de second tour de l'élection présidentielle 2017, est diffusée en prime-time sur C8 l'émission Baffie Président[22]. Elle rassemble 881 000 téléspectateurs, soit une part d'audience de 3,7 %[23].

Au cinéma[modifier | modifier le code]

En 1997, Baffie apparaît dans le film La Cible de Pierre Courrège, où il joue le rôle d'un reporter.

En 1999, il mêle sa passion des animaux avec celle du cinéma : il écrit et réalise Hot Dog, un court métrage humoristique dans lequel il fait preuve d'une créativité différente de celle dont il use dans son rôle habituel de flingueur d'invités (les deux acteurs du film sont des chiens). Le court-métrage est récompensé au festival international du film fantastique de Bruxelles.

En 2000, il écrit le scénario du film La Taule, réalisé par Alain Robak.

En 2003, il réalise son premier long métrage, Les Clefs de bagnole, dans lequel il partage la vedette avec Daniel Russo. Le slogan publicitaire du film, fidèle à l'esprit d’auto-dérision de son auteur, est : « N'y allez pas, c'est une merde ! » Ironiquement, le film ne rencontre pas le succès escompté (environ 200 000 entrées sur la France) et place Laurent Baffie, également producteur, dans une situation financière critique[24]. Il finira de rembourser ses dettes en 2010[5],[25].

Engagements[modifier | modifier le code]

En 1995, Baffie intègre la troupe des Enfoirés[26].

Le , dans l'émission La Bande originale sur France Inter, présentée par Nagui, il annonce qu'il a réuni les 500 signatures nécessaires pour se présenter à l'élection présidentielle française de 2017. Il dit y aller pour « jouer les trublions », et annonce plusieurs slogans. Nagui, incrédule, lui demande confirmation. Baffie assure qu'il sera présent en 2017[27].

Le est diffusée son émission Baffie Président, fruit d'un travail d'un an où il a écumé les rues de France pour annoncer sa candidature à l'élection présidentielle, le tout avec le second degré qui est sa marque de fabrique.[réf. souhaitée]

En 2019, il annonce se présenter aux élections européennes sur la liste du Parti animaliste : « Je n'ai pas le sentiment de soutenir un parti politique mais un parti humaniste [...] Si comme moi vous n'aimez pas la politique, allez voter pour les animaux »[28]. Finalement, il ne figurera pas sur cette liste, se limitant à un rôle de soutien, notamment pour des raisons de temps de parole[29].

En septembre 2019, il apporte son soutien à l'association L214 dont il considère le travail de sensibilisation à la cause animale, et tout particulièrement à la maltraitance animale, comme « formidable ».

Laurent Baffie est engagé aux côtés de l'association Handi'chiens et est le parrain de l'association J'accède[30]. Dans une interview pour Le Parisien, en date du 15 septembre 2011, il explique notamment que son engagement en faveur des enjeux liés au handicap remonte à son enfance, après avoir été sensibilisé au sujet par un ami atteint de poliomyélite[30].

Il est candidat aux élections législatives de 2022 dans la troisième circonscription de Paris pour le Parti animaliste.

Vie privée[modifier | modifier le code]

Marié avec Sandrine, Laurent Baffie a quatre enfants : Jérémy (né en 1986), Mélody (née en 1988), Benjamin (né en 1995) et Bastien (né en 2004)[31].

Résumé de carrière[modifier | modifier le code]

Publications[modifier | modifier le code]

Théâtre[modifier | modifier le code]

Laurent Baffie est le metteur en scène de toutes ses pièces.

Filmographie[modifier | modifier le code]

Scénariste[modifier | modifier le code]

Acteur[modifier | modifier le code]

Réalisateur[modifier | modifier le code]

Producteur[modifier | modifier le code]

Participations[modifier | modifier le code]

  • 2014 : Cancer, business mortel ?, réalisé par Jean-Yves Bilien, documentaire

Parcours en radio[modifier | modifier le code]

Émissions de télévision[modifier | modifier le code]

Polémique[modifier | modifier le code]

Fin , le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) reçoit une dizaine de signalements après la diffusion le samedi d'une séquence de l'émission Salut les Terriens ! où Baffie se permet un geste déplacé envers la chanteuse Nolwenn Leroy[32] : il remonte sa jupe jusqu'au niveau du genou sans son consentement en déclarant sur le ton de la blague qu'il faut pour les audiences « du cul, du cul, du cul », ce qui suscite une vive polémique[33],[34]. Prenant la défense de son ami[35], Thierry Ardisson évoque, au sujet du signalement au CSA, « une époque de merde, préfasciste » et ajoute : « [...] il y a toujours un connard chômeur à Strasbourg qui n’a rien à foutre l’après-midi qui va balancer un tweet au CSA »[36]. De son côté, Nolwenn Leroy minimise l'incident et indique que si elle s'était « sentie agressée, [elle se] serai[t] défendue et [lui] aurai[t] donné un coup de coude dans la figure, [...] Laurent est effectivement un ami, on se connaît depuis quinze ans »[37]. La semaine suivante, Baffie présente dans l'émission des excuses à la chanteuse[38],[39].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Une chaîne gratuite privée diffusée sur les boxes internet des opérateurs français Orange, Free et SFR.
  2. Émission enregistrée à l'Aperock (7 rue Bayen, Paris 7e).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Karine Le Marchand et Laurent Baffie, nouveau duo pour RTL », Paris Match (consulté le ).
  2. « Laurent Baffie, sa mère était une femme battue, « J’ai bien connu le monstre » », Julien Massillon, Voici.fr, 14 novembre 2011.
  3. Prisma Média, « Laurent Baffie - La biographie de Laurent Baffie avec Gala.fr », sur Gala.fr (consulté le )
  4. « Laurent Baffie : humoriste, cinéaste, comédien à mourir de rire… », sur le site sur Aquadesign.be- 29 novembre 2006.
  5. a b et c Interview de Laurent Baffie dans l'émission « Il n'y a pas qu'une vie dans la vie » d'Isabelle Morizet sur Europe 1, 10 février 2013.
  6. « Laurent Baffie apporte son soutien à Jean-Marie Bigard contre Muriel Robin », Paris Match (consulté le ).
  7. « «Toc toc», l'irrésistible pièce de Laurent Baffie au Colombier », ladepeche.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  8. « Laurent Baffie », Cosmopolitan.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  9. Julien Mielcarek, « Laurent Baffie : "J'ai été viré d'Europe 1" », Ozap, .
  10. Benoît Daragon, « Laurent Baffie viré de Rire & Chansons », sur PureMédias, 14 janvier 2013.
  11. Thierry Ardisson, Cyril Drouhet, Joseph Vebret, Dictionnaire des provocateurs, Plon, (lire en ligne).
  12. « Le Syndrome anti-Baffie », Technikart, 1er juillet 1997.
  13. Billet d'humeur de Jean-Pierre Dufreigne sur le site de L'Express.fr - 22 mai 1997.
  14. Prisma Média, « Laurent Baffie raconte son calvaire quotidien à Nulle part ailleurs - Voici », sur Voici.fr, (consulté le )
  15. « Bruno Gaccio, Canal+, les Guignols… Laurent Baffie flingue à tout va (VIDEO) », sur Télé 2 semaines, (consulté le )
  16. a et b Chaine YouTube de l'INA, « Séquence Tout le monde écoute / Blind test - Archive INA » [vidéo], sur YouTube.com, (consulté le )
  17. « Laurent Baffie : "Je suis un crapauduc à moi tout seul" », Audrey Chauvet, 20 minutes.fr, 13 mars 2012.
  18. « Laurent Baffie en vient aux insultes pour défendre la cause animale », Lili Gondawa, Vegactu.com, 23 janvier 2013.
  19. 17e sans ascenseur, sur le site www.paris-premiere.fr.
  20. « Open Bar, le nouveau talk déjanté de Laurent Baffie » Télé-Loisirs.fr - 18 octobre 2014
  21. « Salut les terriens : Michel Cymès, Gilles Lartigot, David Ginola, Bruno Salomne et le retour définitif de Laurent Baffie », sur toutelatele.com,
  22. Baffie président (C8) - Le programme politique délirant de Laurent Baffie, sur le site de Télé 7 jours, 6 mai 2017.
  23. Joshua Daguenet, « Audiences TV du samedi 6 mai 2017 : The Voice de nouveau en baisse, un hommage réussi pour Victor Lanoux sur France 3, Baffie Président fédérateur », sur toutelatele.com, 7 mai 2017.
  24. « 5 choses à savoir sur Laurent Baffie, à l'honneur dans Vivement Dimanche », Staragora.com, 26 octobre 2014 (consulté le 10 mai 2016).
  25. Philippe Guedj, « Laurent Baffie : "J'ai mis sept ans à rembourser mes dettes" », sur Le Point, (consulté le )
  26. « Laurent Baffie | Les Enfoirés », sur www.enfoires.fr, (consulté le )
  27. Laurent Baffie et Daniel Russo invités de l'émission la Bande originale, France Inter.
  28. « Laurent Baffie candidat aux élections européennes : "Allez voter pour les animaux" », L'Obs, .
  29. Cf. Liste officielle du parti animiste aux élections européennes 2019 : [1].
  30. a et b Par Le 15 septembre 2011 à 07h00, « Avec Baffie, les handicapés décapent! », sur leparisien.fr, (consulté le )
  31. Biographie de Laurent Baffie, sur le site www.elleraconte.com.
  32. « "Salut les Terriens" : Le CSA ouvre une instruction après le geste de Baffie sur Nolwenn Leroy », 20 minutes.fr, 25 septembre 2017.
  33. « Baffie et l’affaire de la jupe : Rokhaya Diallo, Isabelle Mergault, Maurane s’insurgent », Emilie Geffray, Le Figaro.fr, 26 septembre 2017.
  34. « Ardisson, Baffie, "TPMP"… On n’en peut plus de la berlusconisation de la télé française », Nadia Daam, Slate.fr, 26 septembre 2017.
  35. « "Salut les Terriens" : Baffie et Ardisson réagissent à la polémique (et ne s'excusent pas) », 20 minutes.fr, 26 septembre 2017.
  36. « "Salut les Terriens" : Thierry Ardisson parle du "connard chômeur qui va balancer un tweet au CSA" », 20 minutes.fr, 29 septembre 2017.
  37. « La robe remontée de Nolwenn Leroy chez Ardisson et ses conséquences en cinq actes », France TV Info.fr, 29 septembre 2017.
  38. « "Salut les Terriens !" : Laurent Baffie a fini par s'excuser (ou presque) pour son geste envers Nolwenn Leroy », 20 minutes.fr, 29 septembre 2017.
  39. « Affaire de la jupe : Baffie s'excuse, Ardisson charge les journalistes », Ozap.com, 30 septembre 2017.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Bases de données[modifier | modifier le code]