TF1

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TF1
Caractéristiques
Création
Propriétaire
Slogan
« Les Français, ensemble »
Format d'image
16/9, SD, Full HD, UHD (évènementiel)
Langue
Pays
Statut
Généraliste nationale privée
(depuis le 16 avril 1987)
Généraliste nationale publique
(6 janvier 1975 - 16 avril 1987)
Siège social
Ancien nom
Chaîne sœur
Site web
Diffusion
Aire
Diffusion
Chronologie

Télévision française 1, plus connue sous son sigle TF1 Écouter et couramment appelée La Une, est la première et plus ancienne chaîne de télévision généraliste nationale française. Elle a été créée le pour succéder à la première chaîne de l'ORTF tout juste dissoute. D'abord chaîne du service public, elle est privatisée le et fait désormais partie du groupe TF1, principalement détenu par le groupe industriel Bouygues et dont le président est Rodolphe Belmer depuis le .

TF1 est la première chaîne de France et même d'Europe en termes d'audience. Elle a cependant vu sa part d'audience divisée par plus de deux en quarante ans notamment à cause de la multiplication des chaînes concurrentes. Depuis sa privatisation, la chaîne est la cible de nombreuses critiques, tant sur le contenu de ses programmes que sur son traitement de l'actualité ou son orientation politique à droite.

À son lancement en 1975, « la Une » exploite toujours principalement le réseau de télédiffusion noir et blanc haute définition 819 lignes de la première chaîne historique, lequel reste en service jusqu'en juillet 1983. Parallèlement, l'utilisation des émetteurs de France Régions 3 lorsque cette chaîne ne diffuse pas d'émission puis la constitution de son propre réseau d'émetteurs complémentaires 625 lignes permet d'étendre progressivement sa diffusion en couleurs au standard SÉCAM, à partir de 1976, région par région.

La chaîne est diffusée sur la TNT (sauf en France d’outre-mer), le satellite, le câble, la télévision IP et le Web. Elle est également disponible dans certains pays limitrophes.

La chaîne a été membre de l'Union européenne de radio-télévision depuis sa création, jusqu'en 2022.

Historique de la chaîne[modifier | modifier le code]

Première chaîne publique (1935-1987)[modifier | modifier le code]

De Radio-PTT Vision à la fin de l'ORTF (1935-1974)[modifier | modifier le code]

Après quatre ans d'expérimentations, la première émission télévisée publique française est diffusée le sur la toute nouvelle chaîne Radio-PTT Vision[1],[2],[3]. Unique chaîne de télévision en France pendant 28 ans, la première chaîne a souvent changé de nom : elle devient Radiodiffusion nationale Télévision en 1937, Fernsehsender Paris (Paris-Télévision) sous l'Occupation en 1943, RDF Télévision française à la Libération de Paris en 1944 et RTF Télévision en 1949. Après la création d'une seconde chaîne de télévision en 1964, elle est renommée première chaîne de la RTF avant de devenir la première chaîne de l'ORTF quelques mois plus tard.

Élu en , le président de la République française Valéry Giscard d'Estaing considère l'Office de radiodiffusion-télévision française comme une organisation tentaculaire et ingouvernable. Ainsi, le , l'ORTF est démantelé en sept sociétés par la loi no 74-696 du  : une société nationale de programmes de radio — Radio France —, trois sociétés nationales de programmes de télévision — Télévision française 1 (TF1), Antenne 2 (A2) et France Régions 3 (FR3) — et trois établissements publics — Télédiffusion de France (TDF), Société française de production (SFP) et Institut national de l'audiovisuel (INA) — voient le jour[3],[4],[5].

Télévision française 1 (1975-1986)[modifier | modifier le code]

La société nationale de programmes Télévision française 1 (TF1) est créée le [6]. Le sociologue Jean Cazeneuve, ancien président du comité des programmes de l'ORTF, est nommé président de la nouvelle première chaîne[7]. Il prend le journaliste Claude Villedieu comme directeur de cabinet et fait appel à l'ancien directeur général de la troisième chaîne couleur de l'ORTF, Jean-Louis Guillaud, pour occuper les mêmes fonctions et construire la grille des programmes. Ce dernier amène avec lui l'essentiel de son ancienne équipe, dont Éliane Victor, Christian Bernadac qui a créé la nouvelle rédaction de la première chaîne, et Christophe Izard qui prend la direction de l'unité jeunesse[réf. nécessaire]. C'est Jean-Louis Guillaud qui donne son nom à la chaîne[8] en se rappelant de la dénomination utilisée par l'Union européenne de radio-télévision (UER)[réf. nécessaire].

TF1 commence sa diffusion le [6] à 10 h 30. La speakerine Denise Fabre annonce la naissance de la chaîne à 12 h 30 et Danièle Gilbert présente la nouvelle émission de la mi-journée intitulée Midi Première[9]. Le soir-même dans son émission Première, Georges de Caunes présente aux téléspectateurs la nouvelle grille des programmes et les visages de la chaîne qui se veut populaire et familiale[10],[11],[12]. La chaîne ne diffuse alors que 60 heures de programmes par semaine[13]. TF1 se lance dans une course à l'audience avec ses deux concurrentes, car ses revenus dépendent de la publicité et de la redevance audiovisuelle, toutes deux en partie liées à ses résultats[3].

Diffusion simultanée en noir et blanc et en couleur[modifier | modifier le code]

Exploitant le réseau d'émetteur de la première chaîne historique française, TF1 est confrontée à une problématique technique majeure. En 1975, bien que certains Français disposent de 2,6 millions de téléviseurs couleur, l'écrasante majorité ne possède qu'un récepteur noir et blanc, soit plus de 12 millions d'appareils[a]. TF1 exploite les émetteurs en haute définition noir et blanc à 819 lignes, principalement dans la bande VHF alors que ses concurrentes nationales Antenne 2 et FR3 utilisent des émetteurs en bande UHF au standard couleur SECAM.

Depuis 1956, l'ingénieur français Henri de France a développé et perfectionné le standard SECAM[b]. Il a tenté de l'associer à la norme haute définition noir et blanc française en 819 lignes. Mais au cours de l'année 1960, Henri de France abandonne ses développements pour adapter son système SECAM à la haute définition 819 lignes, alors que la deuxième chaîne nationale française adopte officiellement la norme européenne à 625 lignes[c]. Pour des motifs de coûts industriels et de complexité technique, l'abandon du format noir et blanc s'impose. Toutefois, du fait que le parc de téléviseur couleur reste très minoritaire, TF1 choisit une formule de diffusion simultanée qui va se dérouler durant près d'une décennie, de 1975 à 1984.

À partir du , TF1 utilise le réseau de diffusion SECAM de France Régions 3 (FR3) pour diffuser ses émissions de l'après-midi en couleur sur tout le territoire métropolitain. En contrepartie , l'accord entre les deux sociétés de télévision nationales, prévoit que la première chaîne fasse travailler les centres régionaux de production de FR3.

Pour s'adapter au nouveau système de production vidéo, TF1 élimine progressivement ses caméras, régies et dispositifs de traitement en noir et blanc 819 lignes pour les remplacer par des équipements en 625 lignes et en couleur. Pour continuer à desservir les téléspectateurs équipés uniquement en noir et blanc, une régie parallèle et distincte exploite les signaux de quelques émissions encore produites en noir et blanc 819 lignes mais se contente le plus souvent, d'utiliser une conversion optique au médiocre rendement : une caméra fixe à 819 lignes filme un écran moniteur professionnel 625 lignes synchronisé. Cette formule de duplication simultanée des émissions noir et blanc en 819 lignes et 625 lignes en couleur de TF1 se poursuit jusqu'en 1983; l'opération de transition vers le tout 625 lignes représente une forte somme pour l'époque, soit 800 millions de francs[14].

Il faut attendre le , pour que TF1 exploite son tout premier émetteur couleur, sur la région parisienne. À 20h, Jean-Claude Bourret annonce en ouverture du journal télévisé TF1 Actualités le passage de la chaîne à la couleur en Ile-de-France, grâce à une retransmission complémentaire sur un nouveau quatrième réseau UHF à 625 lignes.

Huit ans après la deuxième chaîne de l'ORTF (devenue Antenne 2), TF1 passe enfin à la couleur et fête l'événement en tirant un feu d'artifice à 20 h du sommet de la tour Eiffel. Le choix technique de la duplication a été jugé bien moins coûteux que la conversion par un conseil interministériel et permet de maintenir un signal en noir et blanc à 819 lignes jusqu'à la disparition des récepteurs les plus anciens fixée à 1983[15],[16].

Chaque région métropolitaine passe successivement à la couleur, jusqu'à l'extinction du dernier émetteur en noir et blanc à 819 lignes installé au sommet de la Tour Eiffel le [3],[17],[18].

En 1985, soit dix années après les premières émissions de TF1 en 625 lignes SECAM, les Français possèdent très majoritairement désormais des écrans couleur, soit plus de 13 millions, contre seulement environ 5,5 millions de récepteurs noir et blanc jusqu'en 1993[d].

Changements de direction[modifier | modifier le code]

En 1978, Jean-Louis Guillaud succède à Jean Cazeneuve au poste de PDG de TF1[19].

Avec l'arrivée au pouvoir de François Mitterrand en , le gouvernement de gauche décide de nommer de nouveaux présidents à la tête des sociétés nationales de programmes de télévision. Jacques Boutet devient le nouveau PDG de TF1 le [20]. La programmation prend alors un tournant plus culturel de nouvelles têtes proches de la gauche apparaissent à l'écran comme Christine Ockrent, Michel Polac et Frédéric Mitterrand, tandis que d'autres jugées proches de la droite sont écartées comme Danièle Gilbert et Jean-Pierre Elkabbach[21]. Mais ce changement d'orientation est boudé par le public populaire et familial de la chaîne, ce qui entraîne dès la saison 1982-1983, une brusque chute de l'audience et sa rétrogradation à la seconde place, derrière Antenne 2[22].

La loi no 82-652 du abolit le monopole d'État de la programmation — la communication audiovisuelle est désormais considérée comme libre — et crée la Haute Autorité de la communication audiovisuelle (HACA) qui est chargée de réguler le secteur de l'audiovisuel[23],[24]. En , Jacques Boutet est remplacé par Michel May à la présidence de TF1[25] qui est alors dans un mauvais état financier. Mais ce dernier ne parvient pas à redresser les comptes et finit par démissionner en . Le , Hervé Bourges est nommé PDG de TF1[26] avec l'intention d'en refaire « une grande chaîne populaire ». Il met à l'antenne des présentateurs vedettes tels que Patrick Sabatier, Patrick Sébastien, Stéphane Collaro et même Bernard Tapie pour le divertissement, et Claude Sérillon, Bruno Masure et Yves Mourousi pour l'information. Les choix et la méthode d'Hervé Bourges ne font pas l'unanimité — la culture a laissé la place à des programmes jugés plus racoleurs —, mais l'audience de TF1 se redresse, gagnant 4 millions de téléspectateurs en un an[27],[28].

Depuis plusieurs années TF1 voit son déficit s'accroître: 10 millions de francs en 1983, 18 millions de francs en 1984 et 103,7 millions de francs en 1985. Depuis 1985, et sur recommandation de la Haute Autorité, la chaîne est autorisée à faire appel au parrainage et à la coproduction. Ainsi Tournez manège et Cocoricocoboy seront respectivement sponsorisés par Télé Poche et Orangina[29]. Cependant, les contraintes imposées par la Haute Autorité pour limiter toutes dérives, amèneront Orangina à mettre vite fin à sa collaboration avec Collaro[30]. C'est dans ce contexte que La Roue de la fortune voit le jour le à 18h45 sur la première chaine sous l'impulsion de la directrice des programmes de l'époque, Marie-France Brière. Le lessivier Unilever a cédé les droits à TF1[31], en échange d'espaces publicitaires d'une valeur de 90 000 francs par jour[32],[33]. La production du jeu ne coûte à la chaîne que 100 000 francs la demi-heure, contre 1 million de francs pour 1 heure de Cocoricocoboy la saison précédente. Peu après sa mise à l'antenne, le jeu oscille entre 26 et 30 points d'audience[34].

Première chaîne privatisée (depuis 1987)[modifier | modifier le code]

Privatisation (1986-1987)[modifier | modifier le code]

De 1984 à 1986, le paysage audiovisuel français évolue fortement avec le lancement de trois nouvelles chaînes de télévision privées : Canal+ (Havas), La Cinq (Fininvest) et TV6 (Publicis/Gaumont/NRJ). En , le tout nouveau gouvernement Jacques Chirac décide de privatiser l'une des trois chaînes publiques. Le , le ministre de la Communication, François Léotard, annonce à l'Assemblée nationale que le choix s'est posé sur la chaîne TF1 alors qu'au départ, il était plutôt question d'Antenne 2. La première chaîne apparaît plus apte à faire face à la concurrence, mais est aussi considérée comme plus à gauche par la majorité de droite[35],[36]. Le lendemain, le Premier ministre Jacques Chirac justifie son choix devant l'Assemblée nationale[37]. Le prix est fixé à 4,5 milliards de francs, dont 3 milliards à la charge de l'actionnaire principal[38]. Une loi est votée le , pour permettre de vendre 50 % du capital de la chaîne à un groupe privé tandis que les 50 % restant seront proposés aux salariés et au public[39].

Plusieurs entreprises se montrent intéressées par TF1 : le groupe italien Fininvest de Silvio Berlusconi, le groupe de BTP Bouygues de Francis Bouygues, le groupe de presse Hachette de Jean-Luc Lagardère, les groupes de presse respectifs de Robert Hersant, Daniel Filipacchi et Robert Maxwell, ainsi que l'homme d'affaires Bernard Tapie[39]. Robert Hersant et Silvio Berlusconi s'étant vus attribuer La Cinq, Filipacchi ayant abandonné, il ne reste plus en que deux candidats à la reprise : d'un côté, un consortium mené par le groupe Bouygues rejoint notamment par Robert Maxwell et Bernard Tapie, de l'autre le groupe Hachette qui se retrouve seul depuis le départ de son partenaire Havas mais reste le favori du gouvernement. Hachette tente de s'associer avec la BNP mais Bouygues dénonce un conflit d'intérêts car c'est cette banque qui lui a fait l'audit de TF1 pour lui donner un prix d'achat. La BNP doit se retirer pour ne pas risquer l'annulation de toute la procédure de privatisation. Les auditions des deux groupes repreneurs par la CNCL sont diffusées en direct sur TF1 et chacun d'eux expose aux membres de la commission son projet où il est beaucoup question du « mieux-disant culturel » prôné par le ministre de la Communication François Léotard[39],[40],[41],[42],[43].

Le , la Commission nationale de la communication et des libertés (CNCL) choisit à la surprise générale le consortium mené par le groupe Bouygues — composé des groupes de Robert Maxwell et de Bernard Tapie, des Éditions mondiales, du magazine Le Point, de la GMF et de plusieurs banques. Le [44] est diffusée Y'en a qu'une c'est la Une, une émission spéciale faisant la transition entre Hervé Bourges et Francis Bouygues, le nouveau patron de la une. Le , Francis Bouygues remet un chèque de 3 milliards de francs au ministre des finances Édouard Balladur[23],[39],[45],[46],[47]. Le nouveau groupe TF1 obtient une concession de dix ans pour la diffusion de sa chaîne sur le premier réseau national hertzien[45],[48] et se dote d'une régie publicitaire intitulée TF1 Publicité. Il entre en bourse le au cours de 165 francs l'action[49]. La chaîne TF1 n'est alors financée plus que par la publicité télévisée[45].

Le président Mitterrand émet le souhait de renationaliser TF1 après sa victoire en mai 1988. Cependant, il abandonne rapidement l'idée, car il sait que son nouveau Premier ministre Michel Rocard refuserait[50].

L'ère Patrick Le Lay / Étienne Mougeotte (1987-2007)[modifier | modifier le code]

À la suite du rachat de la chaîne, Francis Bouygues en devient le président-directeur général et Patrick Le Lay le vice-président. Mais les salariés de la chaîne subissent ce changement de statut de leur employeur avec suspicion : nombre de journalistes usent de leur clause de conscience pour la quitter, et la plupart des animateurs-vedettes de TF1 tels que Patrick Sabatier, Patrick Sébastien, Stéphane Collaro et Philippe Bouvard partent sur La Cinq à la rentrée 1987. En 1988, Francis Bouygues confie la présidence du groupe à Patrick Le Lay tandis que la direction des programmes est confiée au vice-président Étienne Mougeotte, qui avait pourtant travaillé sur le rachat de TF1 pour le concurrent Hachette[42]. Le , TF1 dévoile son nouveau logo bleu-blanc-rouge, encore utilisé aujourd'hui[51]. Bien décidé à rentabiliser son investissement, Bouygues charge ses équipes de réorganiser la chaîne, jusque là très cloisonnée, pour qu'elle rapporte. Grâce à des augmentations, les syndicats suivent. Commencent les « années dorées », symbolisées dès 1992 par la construction de la tour TF1[52].

Au cours des années 1980 et 1990, de nouveaux programmes de divertissement sont mis à l'antenne tels que le Club Dorothée de Dorothée, Sacrée Soirée de Jean-Pierre Foucault et Ciel, mon mardi ! de Christophe Dechavanne, tous devenus « culte ». La chaîne lance également Ushuaïa, une émission sur les sports extrêmes que son animateur, Nicolas Hulot, fait progressivement évoluer vers un magazine consacré à la découverte des paysages naturels autour du monde. Outre les jeux télévisés comme Le Juste Prix, La Roue de la fortune et Une famille en or, la chaîne fait la part belle aux reality show (télévérité) comme Perdu de vue et Témoin numéro 1, animés par Jacques Pradel et Sans aucun doute de Julien Courbet. Enfin, elle lance de nombreux programmes de fiction : Navarro, Julie Lescaut, Les Cordier, juge et flic, Une famille formidable et les séries d'AB Productions accompagneront les téléspectateurs pendant des années. L'information est quant à elle incarnée par de nouveaux visages : Patrick Poivre d'Arvor, Jean-Pierre Pernaut et Claire Chazal[27],[53]. Le premier réunit en moyenne 10 millions de téléspectateurs chaque soir, dominant largement les chaînes concurrentes[52]. TF1 redevient la première chaîne de France en termes d'audience avec plus de 40 % de part de marché[réf. nécessaire].

Dans les années 1990, les femmes sont nombreuses aux postes de direction de la chaîne : Claude Cohen dirige la publicité, Corinne Bouygues s'occupe des annonceurs, Michèle Cotta gère l'information, Dominique Cantien les programmes, Pascale Breugnot les divertissements et Catherine Grandcoing le marketing et la prospective. À l'écran, outre Claire Chazal et Anne Sinclair, des femmes reporters sont starisées, comme Catherine Jentile, Marine Jacquemin et Valérie Nataf[52].

En , le CSA renouvelle la concession de diffusion TF1 pour une durée de cinq ans[54]. Toutefois, les programmes de la chaîne ne respectant pas vraiment l'esprit du « mieux disant culturel » annoncé lors de la privatisation, l'association « Changez la Une » et le syndicat national des journalistes (SNJ) déposent en vain un recours devant le Conseil d'État contre l'absence d'appel à candidatures lors du renouvellement de la concession[55]. Par la suite, la concession est renouvelée à chaque fois automatiquement sans provoquer de remous[56].

De la fin des années 1990 au début des années 2000, TF1 lance de nouveaux jeux télévisés (Le Bigdil, Qui veut gagner des millions ?, Attention à la marche !, À prendre ou à laisser) et des programmes d'information (Sept à huit). La chaîne se met également à la téléréalité avec Star Academy et Koh-Lanta. Elle continue aussi à diffuser des fictions comme la mini-série Le Comte de Monte-Cristo réalisée par Josée Dayan[57]. Cependant, les audiences de la première chaîne baissent année après année[58].

Le , la Télévision numérique terrestre (TNT) est lancée en France. Les Français reçoivent désormais 14 chaînes, au lieu de sept précédemment[59]. Comme les autres chaînes historiques, TF1 subit de plein fouet l'éparpillement des téléspectateurs et voit son audience chuter de plus de 7 points en seulement 5 ans. En 2008, elle passe sous la barre des 30 % de part de marché pour la première fois de son histoire. Ce repli a évidemment des répercussions sur le chiffre d'affaires qui plonge et la chaîne se voit obligée de lancer son premier avertissement sur ses résultats en 2009[58],[60].

L'ère Nonce Paolini (2007-2016)[modifier | modifier le code]

Le , Nonce Paolini succède à Patrick Le Lay au poste de président directeur général du groupe TF1[61]. Il remet en cause toute la philosophie d'entreprise en mettant fin à la politique de surenchère de la chaîne. Il déleste les effectifs de tous les gros salaires en coulisses tels que Takis Candilis, Charles Villeneuve, Robert Namias ou Jean-Claude Dassier et se sépare des animateurs vedettes à l'antenne. Le départ le plus emblématique est celui de Patrick Poivre d'Arvor, brutalement débarqué de la présentation du journal de 20 heures après 21 ans de service[62],[63].

Nonce Paolini réduit également les investissements dans les programmes, cherchant plutôt à privilégier la rentabilité. Cela se traduit par une suppression de multiples programmes de divertissement, d'information ou de jeux, lancés sous l'ère Patrick Le Lay à l'aube des années 2000 : ainsi la populaire Star Academy est arrêtée après avoir terminé sa huitième saison sur la chaine, Le Droit de savoir est supprimée mi-2008, l'émission étant jugée par Nonce Paolini comme "ne correspondant pas à ma philosophie des programmes"[64]. La Méthode Cauet, décrite comme "usée" par Laurent Storch, le nouveau directeur des programmes de la chaine[65], passe à la trappe en fin d'année 2008. L'Île de la tentation voit sa dernière saison s'achever à l'été 2008, dépeinte par le patron de la chaine comme étant "une vaine transgression"[66]. Souffrant de la popularité croissante d'internet, Vidéo Gag disparaît en juin 2008, et le Maillon faible à l'été 2007. Ainsi le coût de grille est passé de 1 milliard d’euros pour TF1 seule en 2007 à 956 millions pour les quatre chaînes gratuites du groupe en 2015[67].

TF1 renouvelle, quand même, une bonne partie de sa grille avec le lancement de nouvelles émissions dans la téléréalité (Secret Story), les concours (The Voice : La Plus Belle Voix, Danse avec les stars, MasterChef), les jeux télévisés (Les Douze Coups de midi, Money Drop) et la fiction (Profilage, Falco). Mais la chaîne se repose surtout sur les séries américaines, moins chères que des productions originales. TF1 perd la culture de l'événement et se différencie de moins en moins de ses concurrentes de la TNT. Ainsi son audience continue de baisser et passe pour la première fois sous la barre des 25 % en 2010[62],[63],[68].

Si TF1 a perdu de sa superbe sous la direction de Nonce Paolini, elle reste la première chaîne européenne et se trouve désormais au centre d'un groupe puissant, qui rassemble plusieurs chaînes et a su mettre en place une stratégie de diversification[69].

L'ère Paolini reste marquée par une réduction des effectifs (dont de nombreux présentateurs vedette) et des dépenses, mettant fin à ce qui a été considéré comme l'âge d'or des années 1990-2000[70].

L'ère Gilles Pélisson (2016-2022)[modifier | modifier le code]

Le , Gilles Pélisson devient le nouveau président directeur général du groupe TF1[71].

Le , TF1 commence la commercialisation spécifique de ses espaces publicitaires en Belgique via la régie publicitaire Transfer. C'est le second décrochage publicitaire de la chaîne, après celui existant en Suisse depuis plusieurs années. Les deux grands groupes de télévision belges francophones RTL Group et RTBF craignent de voir leur chiffre d'affaires baisser de façon significative[72],[73].

TF1 renouvelle quand même une bonne partie de sa grille avec le lancement de nouvelles émissions comme Mask Singer, District Z, Famille nombreuse la vie en XXL, The Wall, Ninja Warrior ou encore La Chanson secrète. TF1 renouvelle aussi ses animateurs en accueillant Camille Combal, Grégoire Margotton, Anaïs Grangerac, Tatiana Silva et Marie-Sophie Lacarrau. TF1 relance également des émissions comme Qui veut gagner des millions ?, Star Academy et Une famille en or. Côté fiction, TF1 lance plusieurs mini-séries (Les Bracelets Rouges, Le Bazar de la Charité, HPI, Les Combattantes, , etc.) mais aussi des unitaires (Jacqueline sauvage, Le Premier Oubliéetc.). À noter également que la série française Balthazar avec Tomer Sisley a été la plus suivie en 2018, 2020 et 2021, 2022 (hors HPI) (format 2 × 52 ') et des nouvelles séries américaines (Good Doctor, S.W.A.T., Manifest et The Resident) font tout de même un beau petit succès. Gros changements aussi à 19 h car TF1 a décidé d'enlever les jeux quotidiens pour mettre en place le feuilleton Demain nous appartient. À la suite du succès du premier feuilleton, TF1 commande un deuxième feuilleton nommé Ici tout commence dans la case stratégique de 18 h 30. TF1 propose donc une heure de fiction française tous les jours.

Malgré tous les efforts de la part de TF1, les audiences chutent et en 2019, la chaîne passe sous les 20 % de part d'audience pour la première fois de son histoire.

Les résultats financiers sont annoncés fin 2019 et dévoilent des signes d'encouragement : le taux de marge opérationnelle passe à deux chiffres (10,8 % contre 8,7 % l'année précédente) pour la première fois depuis 2011[74]. Sur l'année 2019, TF1 annonce un chiffre d'affaires consolidé de 2,337 milliards d'euros et maintient une bonne dynamique malgré des recettes publicitaires en baisse, 2018 ayant été plus élevé grâce, particulièrement, à la Coupe du monde de football diffusée sur l'antenne de TF1[75],[76].

Fin , TF1 est condamné par le conseil des Prud'hommes à verser 700 000 euros à Bruce Frankel, un de ses anciens collaborateurs pendant 37 ans (1981-2017)[77]. TF1, qui a fait appel de la décision, a été reconnu coupable de « licenciement sans cause réelle et sérieuse, travail dissimulé et discrimination »[78].

En pleine crise sanitaire liée au Covid-19, TF1 déplore une baisse de 64,2 % de son bénéfice net à 38,4 millions d'euros au cours de son premier semestre 2020, soit une baisse par trois en comparaison avec 2019[79],[80]. Par ailleurs, le chiffre d'affaires est en recul de 22,9 % à 883,5 millions d'euros[81].

Le , les groupes TF1 et M6 se déclarent en négociation exclusive en vue d'une fusion, projet soutenu par Bouygues et RTL Group qui détiendront respectivement 30% et 16% du nouvel ensemble[82],[83]. Quelques semaines après l'annonce de la fusion, TF1 publie des chiffres très favorables, portés par le rebond de la publicité qui augmente de 31 % par rapport à 2020. Le chiffre d'affaires du premier semestre 2021 augmente de 28 % à 1,13 milliard d'euros[84]. Néanmoins, en septembre 2022, les groupes TF1 et M6 annoncent l'abandon de leur projet de fusion, en raison d'importantes concessions qui leur avaient été demandées par l'Autorité de la concurrence (chaque groupe aurait dû se séparer d'une de ses chaînes gratuites pour que la fusion fût autorisée)[85].

En , TF1 annonce avoir obtenu les droits de diffusion de la coupe du Monde de rugby à XV 2023 qui sera organisée en France[86].

En juin 2022, TF1 annonce la cession de sa filiale Gamned!, spécialiste de la vente automatisée d'espaces publicitaires numériques, au fonds d'investissement HLD[87].

L'ère Rodolphe Belmer (depuis 2023)[modifier | modifier le code]

Le 13 février 2023, Rodolphe Belmer, ancien de Canal +, prend la suite de Gilles Pélisson à la tête de TF1. De tout nouveaux visages font leurs apparitions à l'antenne, avec l'arrivée de Isabelle Ithurburu et de Bruce Toussaint. De nouvelles séries à succès sont diffusée à l'image de Master Crimes ou encore Panda. Côté divertissement, le succès du retour de la Star Academy permet à TF1 d'envisager une nouvelle saison de Secret Story en 2024.

Fin 2023, la chaîne annonce coup sur coup le lancement d'une matinale présentée par Bruce Toussaint à partir de janvier 2024, le retour du feuilleton Plus belle la vie sur son antenne après 18 années de diffusion sur France 3 et la création d'un service de streaming intitulé TF1+[88].

En 2023, soulagé par l'arrêt de la plateforme Salto, TF1 enregistre un bénéfice net à 191,3 millions d'euros, en hausse de 9 % par rapport à 2022 (- 21,8 %, à 176 millions d'euros)[89].

Identité visuelle[modifier | modifier le code]

Habillage d'antenne[modifier | modifier le code]

Le premier logo de TF1 de 1975 à 1984, l'habillage d'antenne ainsi que les génériques d'émissions sont l'œuvre de Catherine Chaillet qui avait auparavant habillé la troisième chaîne de l'ORTF dont l'indicatif d'ouverture d'antenne rappelle fortement celui de TF1 de 1975[90]. En 1976, TF1 se dote de nouveaux indicatifs d'ouverture et de fermeture plus colorés créés par l'agence californienne Robert Abel and Associates (en) et dont la musique très rythmée est composée par Vladimir Cosma. Les Tifins, petits animaux créés par Catherine Chaillet et qui avaient la forme des trois lettres du logo TF1, font leur apparition en comme interlude diffusé avant le journal télévisé TF1 Actualités ou les émissions jeunesse jusqu'en [91],[92].

En 1982, un nouveau jingle pub de TF1 remplace l'ancien resté inchangé depuis 1975.

L'identité visuelle de TF1 est modifiée le [93] afin de moderniser l'image de la chaîne qui s'essouffle face à la concurrence. Il s'agit de montrer le nouveau visage de la Une. Tout en gardant la typographie créée par Catherine Chaillet, le nouveau logo perd ses couleurs au profit de lamelles bleues en 3D destinées à lui donner de la profondeur. L'idée est que TF1 prenne appui sur ses fondations établies en 1975 tout en s'inscrivant dans son époque avec une touche de modernité. L'ouverture d'antenne de la chaîne change également le . Réalisée par David Niles, elle est composée d'animations faisant la part belle à des figures géométriques en 3D mettant en avant ce que propose la chaîne : du cinéma, du divertissement, du sport, de l'information et de la culture, le tout sur une musique synthétique accompagnant cette idée d'un TF1 souhaitant reprendre son statut de numéro 1[94]. C'est Bruno Masure qui présente en exclusivité ce nouveau générique à la fin du journal de 20h du [95]. Le , une dernière modification est apportée au logo historique de TF1 en plaçant celui-ci devant un triangle jaune[96] afin de dynamiser encore l'antenne et valoriser ainsi la chaîne avant sa privatisation.

Le , à la suite de la privatisation, l'habillage d'antenne est pris en charge par TF1 Publicité Production. Le , la chaîne adopte un nouvel habillage d'antenne de transition plus sobre dans lequel son logo historique cède la place à une simple mention de TF1 en police Futura Light. En Septembre de la même année, la chaîne change à nouveau son jingle pub avec la mention TF1 en police Gill Sans Ultra Bold, celle qui sera utilisée dans le nouveau logo tricolore alors en préparation[97]. Le générique du journal est également réorchestré et le décor du plateau fut modifié pour faire apparaître la régie derrière le présentateur[98]. Le , TF1 dévoile son nouveau logo bleu-blanc-rouge, encore utilisé aujourd'hui[51] et créé par l'agence britannique Lambie-Nairn (en).

Le , la chaîne modifie son habillage d'antenne et ses jingles pub aux tons majoritairement bleus et rouges, traduisant visuellement le nouveau logo bleu et rouge crée un an plus tôt, mais aussi son orientation divertissement haut de gamme. En , la chaîne modifie une nouvelle fois son habillage d'antenne et ses jingles pub.

Le , la chaîne change d'habillage, le nouveau étant conçu par l’agence Gédéon.

Le , TF1 met à l'antenne un nouvel habillage confié à l'agence View[99]. Il s'agit d'un habillage à onglet dans lequel le logo apparaît. Les jingles pubs mettent en scène les trois lettres P.U.B en police Eurostile avec en bruitage des voix féminines et Noël 2003 et 2004 avec en bruitage des voix enfants. Les jingles de transition mettent en scène des flèches. Au départ, ces jingles avaient un fond noir. Durant les étés 2000, 2001 et 2002, ces derniers sont dotés d'un fond de couleur variable (bleu, orange, rose…). De mi-2003 au , ils passent à un fond blanc.

Le , TF1 dévoile un nouvel habillage réalisé par l'agence américaine Aerodrome Pictures (en) et adapté par l'agence française Naked, le logo conserve son design à l'identique mais ses couleurs bleus et rouges deviennent très foncées. Les bandes annonces sont basées sur un mur de projecteurs, des jeux de lumières et des mouvements de caméra. Les jingles pub conservent le même concept que précédemment avec des saynètes axées autour des 3 lettres P.U.B.[100] La police d'écriture utilisée sera Helvetica Inserat. À partir du , la chaîne incruste son logo en blanc transparent sur tous ses programmes pour lutter contre le piratage[101]. Le , la chaîne fait évoluer en douceur son habillage, notamment sur la profondeur de champ, pour pouvoir le conserver quelques années supplémentaires[102].

Le , la chaîne met à l'antenne un nouvel habillage réalisé par l'agence Naked. Les bandes-annonces fonctionnent sur un système d'animation de lamelles avec une nouvelle typographie (Avant Garde) utilisée en plusieurs graisses. De nouveaux jingles pub ont été développés dans la même ligne que les précédents. Le logo de la chaîne est également modifié avec l'ajout d'un fondu entre le bleu et le rouge[103],[104].

Cet habillage reste en place pendant 7 ans, avant un changement en profondeur le , à l'occasion des 46 ans de la chaîne. Ainsi, l'habillage visuel, toujours réalisé par l'agence Naked, devient simplifié et est épuré de son système de lamelles, et les jingles pub ainsi que l'habillage des bandes annonces évoluent. L'habillage sonore de la chaîne évolue également, réalisé par l'agence Start Rec et tournant autour de quatre notes rappelant l'identité sonore précédente. Cependant, malgré ces modifications, le logo demeure le même[105],[106].

Logos[modifier | modifier le code]

Slogans[modifier | modifier le code]

  • 1981 : « TF1, la puissance de l'information, les moyens de la réflexion »
  • 1984 : « TF1, pour être à la Une »[113]
  • 1985 : « Bleu émotion, rouge passion, la Une a des couleurs »
  • 1986 : « Vous aimez la Une, la Une vous aime ! »[114]
  • 1986 : « Prenez des couleurs sur la Une ! »
  • 1987 : « Y'en a qu'une ! C'est la Une »[115],[116]
  • 1989 : « La rentrée sur TF1 c'est tout un programme »
  • 1989-1990 : « TF1, c'est tout un programme »[117]
  • 1990 : « TF1 et mon cœur fait boum ! »[115],[118]
  • 1992 : « La vie bat son plein sur TF1 »[119]
  • 1997 : « Ça va mieux, vous êtes sur TF1 »[115]
  • 2006 : « On a tous TF1 en commun »[120]
  • 2009 : « On se retrouve sur TF1 »[121]
  • 2011 : « On se retrouve tous sur TF1 »[122]
  • 2014 : « TF1, partageons des ondes positives »[123]
  • Depuis 2023 : « Les Français, ensemble »

Organisation[modifier | modifier le code]

Direction[modifier | modifier le code]

De sa création le à sa privatisation le , TF1 est dirigée par un président-directeur général (PDG). Depuis que la chaîne est privée, elle est dirigée par le PDG du groupe TF1, parfois assisté d'un vice-président ou d'un directeur général. Jusqu'aux années 2010, les différentes directions (programmes, information, sports...) concernaient seulement la chaîne TF1, mais à la suite de l'extension du groupe TF1, leur périmètre a été étendu à toutes les chaînes du groupe (TF1, TMC, TFX, TF1 Séries Films et LCI).

Présidents-directeurs généraux

Capital[modifier | modifier le code]

De sa création le à sa privatisation le , la société nationale de programme Télévision française 1 (TF1) était une société nationale publique d'État détenue à 100 % par l'État français.

Depuis sa privatisation le , la société Télévision française 1 (TF1) est une société anonyme détenue à 100 % par le groupe TF1. Ce dernier, côté à la bourse Euronext Paris, est une filiale du groupe industriel français Bouygues.

Au , le capital est ainsi réparti[142] :

Nom %
Bouygues 43,6 %
TF1 (plan épargne salariés) 7,18 %
Harris Associates 6,21 %
CDC Entreprises 2,00 %
CNP Assurance 0,97 %
Lombardia Capital Partners 0,32 %
Allianz Global Investors 0,17 %
BNP Paribas Asset Management. 0,056 %
Voya Investments 0,049 %
Pilgrim Advisors 0,049 %

Données financières[modifier | modifier le code]

Le budget de la société nationale de programme TF1 était de 1,18 milliard de francs en 1979 et de 2,5 milliards de franc en 1986 avec un résultat déficitaire de 85 millions cette même année[143]. Son financement était assuré pour 40 % par une part de la redevance audiovisuelle et pour 60 % par les revenus de la publicité de marque diffusée sur son antenne par la Régie française de publicité.

Depuis sa privatisation le , TF1 ne perçoit plus la redevance et n'est plus financée que par la publicité commercialisée par sa régie TF1 Publicité. Le coût du spot publicitaire de trente secondes sur TF1 varie selon l'audience, c'est-à-dire selon les horaires et les programmes. En 2014, il est d'environ 40 000  pour un programme d'avant-soirée, et entre 100 000 et 150 000  pour une série télévisée ou un film à succès en première partie de soirée[144]. Lors des évènements très suivis comme les compétitions sportives, le prix peut s'envoler : par exemple, le spot lors de la demi-finale des Bleus de l'Euro 2016 coûtait 225 000 [145].

Sièges[modifier | modifier le code]

Le premier siège de Télévision Française 1 (TF1), ainsi qu'une partie de ses studios, étaient situés au 13-15 rue Cognacq-Jay dans le 7e arrondissement de Paris, siège historique de la télévision française depuis les années 1940[146],[147],[148]. Toutefois, pour mieux assurer l'indépendance des établissements et des sociétés créés par la loi du , le gouvernement avait insisté pour que les sièges sociaux des sociétés soient nettement individualisés. C'est ainsi que TF1 avait abandonné une partie de ses activités à la Maison de la Radio pour installer son siège administratif dans des locaux plus modernes et spacieux au pied de la Tour Montparnasse au 17 rue de l'Arrivée dans le 15e arrondissement de Paris, les studios de télévision demeurant rue Cognacq-Jay[réf. nécessaire].

Le siège actuel de TF1 est situé depuis le dans la Tour TF1 au 1 quai du Point du Jour à Boulogne-Billancourt, au sud-ouest de Paris mais rue Cognacq-Jay à Paris va rester la régie de diffusion jusqu'au 5 septembre 1993, le long de la Seine. Construite par le groupe Bouygues, propriétaire de TF1, la tour compte 14 étages[149].

Programmes[modifier | modifier le code]

Chaque jour, TF1 diffuse deux sessions d'information : le Journal de 13 heures et le Journal de 20 heures. L'information est également présente à travers plusieurs magazines tels que 7 sur 7 (1981-1997), Reportages (depuis 1987), Le Droit de savoir (1990-2008), Combien ça coûte ? (1991-2010) et Sept à huit (depuis 2000). Certains magazines sont spécialisés dans le sport, comme Téléfoot (depuis 1977) et Automoto (depuis 1975), ou la littérature, comme Vol de nuit (1999-2008). La chaîne diffuse également des magazines de service, de société ou de découverte tels que 30 millions d'amis (1976-2003), Téléshopping (depuis 1987), Sans aucun doute (1994-2009), Ushuaïa Nature (1998-2014) et 50 minutes inside (depuis 2006).

Une bonne partie de la programmation de la chaîne est consacrée aux divertissements tels que les émissions Sacrée Soirée (1987-1994), Ciel, mon mardi ! (1988-2001), Vidéo Gag (1990-2008), Les Enfants de la télé (1996-2016), La Méthode Cauet (2003-2008), Les 100 plus grands... (2003-2012/2020), C'est Canteloup (depuis 2011), Vendredi tout est permis (depuis 2011) et Camille & Images (depuis 2021). De nombreux jeux télévisés sont diffusés que ce soit le temps de midi comme Le Juste Prix (1987-2001 puis 2009-2015), Attention à la marche ! (2001-2010) et Les Douze Coups de midi (depuis 2010), en avant-soirée comme La Roue de la fortune (1987-1997 puis 2006-2012), Une famille en or (1990-1999 puis 2007-2014 puis depuis 2021), Le Bigdil (1998-2004), Le Maillon faible (2001-2007) et Money Drop (2011-2017), ou en première partie de soirée comme Qui veut gagner des millions ? (2000-2016 puis 2019-2020) et Le Grand Concours des animateurs (depuis 2003), The Wall (2017-2018).

La chaîne diffuse des programmes jugés polémiques par de nombreux Français. Dans les années 1990, la télévérité est incarnée par des émissions telles que Perdu de vue (1990-1997) et Témoin numéro 1 (1993-1996). Depuis les années 2000, la téléréalité a pris sa place avec des émissions de vie en communauté comme Koh-Lanta (depuis 2001) et Secret Story (2007-2017 puis depuis 2024) ou de séduction comme L'Île de la tentation (2002-2008), des télé-crochets comme Star Academy (2001-2008 puis depuis 2022) et The Voice : La Plus Belle Voix (depuis 2012), et des compétitions telles que MasterChef (2010-2015), Danse avec les stars (depuis 2011) et Mask Singer (depuis 2019).

TF1 est également très présente dans la fiction avec la diffusion de films (Ciné Dimanche), de téléfilms, de séries et de feuilletons télévisées français ou étrangers. Elle produit des séries et des feuilletons français comme Navarro (1989-2007), Une famille formidable (1992-2018), Les Cordier, juge et flic (1992-2005), Julie Lescaut (1992-2014), Une femme d'honneur (1996-2008), Joséphine, ange gardien (depuis 1997), Section de recherches (depuis 2006), Camping Paradis (depuis 2006), RIS police scientifique (2006-2014), Profilage (2009-2020), Clem (depuis 2010), Demain nous appartient (depuis 2017) ou Ici tout commence (depuis 2020).

En parallèle, de plus en plus de mini-séries françaises sont mises à l'antenne. TF1 diffuse également des séries et feuilletons étrangers comme Les Feux de l'amour (depuis 1989), Amour, Gloire et Beauté (depuis le 2 janvier 2023), Alerte à Malibu (1991-2005), Walker, Texas Ranger (1995-2001), Alerte Cobra (1997-2006), Sept à la maison (1999-2008), New York, unité spéciale (depuis 2000), Les Experts (2001-2016), Monk (2003-2010), Las Vegas (2005-2010), Esprits criminels (2006-2021), Grey's Anatomy (depuis 2006), Dr House (2007-2013), Mentalist (2010-2015), Person of Interest (2013-2016), Blacklist (depuis 2014), Good Doctor (depuis 2018) et Manifest (depuis 2019). De nombreuses séries d'animation à destination des jeunes sont diffusées dans les créneaux spécifiques et Tfou (depuis 2007).

TF1 retransmet de nombreux événements en direct ou en différé comme le spectacle des Enfoirés, la cérémonie des NRJ Music Awards ou l'élection de Miss France, mais aussi des compétitions sportives, dans leur intégralité ou en association avec d'autres chaînes. Elle diffuse surtout des grands événements sportifs internationaux de football comme la Coupe du monde et le Championnat d'Europe et les matchs de l'Équipe de France. Elle propose parfois du rugby à XV et de la Formule 1.

Les retransmissions sportives de football ou rugby ont été, dans le passé, le théâtre de guerre pour obtenir les droits de diffusions exclusifs, souvent avec le concurrent M6. Avec l'arrivée de la TNT et des chaînes obtenues par les serveurs Internet, ce sont actuellement des réseaux de chaînes de télévision qui s'affrontent[150].

Présentateurs et animateurs[modifier | modifier le code]

Animateurs actuels[modifier | modifier le code]

Journalistes[modifier | modifier le code]

Audiences[modifier | modifier le code]

France[modifier | modifier le code]

Les troisième et quatrième années de son existence, en 1977 et 1978, TF1, alors chaîne publique, réalise son plus haut historique avec une part d'audience moyenne annuelle de 50,4 %. Elle baisse ensuite année après année, perdant plus de douze points en seulement cinq ans, et atteint 37,9 % en 1983. Elle rétrograde alors à la seconde place des chaînes les plus regardées de France, s'étant fait doubler par Antenne 2. Si l'audience repart à la hausse, il faut attendre 1987, année de sa privatisation, pour qu'elle retrouve la première place.

Depuis sa privatisation en 1987, TF1 est restée la chaîne de télévision la plus regardée en France, se plaçant chaque année sans exception devant les chaînes publiques France 2 et France 3 et l'autre grande chaîne privée M6. Malgré une perte de près de vingt-cinq points en une trentaine d'années et un écart de plus en plus réduit avec ses concurrentes « historiques », la chaîne est parvenue à conserver sa première place.

En 1988, TF1 réalise son plus haut historique en tant que chaîne privée avec une part d'audience moyenne annuelle de 44,8 %. Ensuite, souffrant de la concurrence du satellite puis de la TNT, elle ne cesse de baisser année après année, perdant plus de douze points en dix-sept ans pour atteindre 32,3 % en 2005. Par la suite, la baisse s'accélère avec la concurrence des nouvelles chaînes de la TNT : la chaîne perd de nouveau douze points en seulement onze ans et atteint un plus bas historique, 20,4 % en 2016. En trente ans, elle a ainsi plus que divisé par deux sa part d'audience, passant sous la barre des 40 % en 1994 et des 30 % en 2008.

En , TF1 atteint un autre niveau d'audience historiquement bas avec une part d'audience moyenne de 18,8 %[151],[152].

Audiences générales[modifier | modifier le code]

Audiences annuelles en part de marché de 1975 à 1985[153]
1975 1976 1977 1978 1979 1980 1981 1982 1983 1984 1985
45,4 % 50,4 %* 50,4 %* 46,8 % 47,3 % 46,3 % 42,3 % 37,9 % 39,1 % 38,6 %
Audiences mensuelles et annuelles en part de marché depuis 1986[153]
Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre Moyenne annuelle
1986 38,4 %[154] 38,2 %
1987 42,5 %[154] 44,0 %[154] 42,1 %
1988 44,8 %
1989 41,0 %
1990 41,9 %
1991 43,0 %[155] 42,1 %
1992 41,0 %
1993 41,0 %
1994 39,5 %
1995 37,3 %
1996 36,3 % 35,6 % 33,1 % 35,6 % 35,0 % 35,1 % 33,7 % 34,0 % 35,4 %
1997 34,6 % 35,6 % 34,5 % 34,9 % 35,3 % 35,7 % 32,8 % 35,8 % 34,8 % 34,9 % 34,2 % 37,0 % 35,0 %
1998 34,1 % 34,0 % 35,2 % 35,6 % 35,2 % 34,8 % 34,7 % 36,4 % 37,2 % 36,1 % 35,2 % 35,3 % 35,3 %
1999 34,9 % 36,5 % 35,6 % 35,9 % 34,2 % 35,1 % 33,0 % 34,7 % 34,7 % 35,2 % 35,1 %
2000 33,9 % 32,6 % 33,4 % 34,4 % 34,1 % 33,2 % 33,5 % 31,8 % 33,8 % 33,2 % 33,0 % 33,4 %
2001 33,8 % 33,3 % 33,6 % 32,5 % 31,8 % 31,3 % 33,7 % 33,6 % 32,0 % 32,0 % 32,8 % 32,7 %
2002 33,5 % 31,9 % 31,9 % 31,1 % 31,9 % 34,5 % 31,2 % 34,2 % 32,4 % 33,2 % 33,2 % 32,9 %
2003 31,9 % 31,3 % 31,8 % 30,5 % 31,1 % 31,6 % 31,1 % 31,3 % 31,4 % 32,4 % 30,8 % 32,2 % 31,5 %
2004 32,7 % 31,8 % 32,5 % 33,0 % 32,2 % 30,1 % 32,0 % 32,0 % 31,1 % 31,4 % 31,8 %
2005 32,2 % 32,1 % 32,7 % 31,4 % 31,7 % 31,2 % 32,6 % 34,5 % 33,4 % 33,4 % 31,5 % 31,9 % 32,3 %
2006 32,0 % 30,2 % 31,5 % 31,9 % 31,2 % 32,8 % 33,8 % 32,8 % 31,3 % 31,7 % 30,2 % 30,7 % 31,6 %
2007 30,7 % 31,0 % 31,0 % 30,3 % 31,4 % 30,5 % 30,2 % 31,6 % 31,8 % 31,8 % 29,3 % 28,9 % 30,7 %
2008 28,0 % 27,5 % 28,0 % 27,2 % 27,5 % 27,1 % 27,7 % 28,0 % 26,2 % 26,1 % 26,2 % 27,2 %
2009 26,7 % 26,2 % 26,7 % 26,3 % 25,5 % 25,9 % 25,7 % 26,7 % 26,6 % 26,2 % 25,8 % 24,8 % 26,1 %
2010 25,1 % 25,1 % 25,1 % 24,3 % 24,0 % 25,1 % 23,9 % 24,0 % 24,1 % 24,7 % 24,3 % 24,6 % 24,5 %
2011 24,1 % 23,9 % 24,5 % 23,2 % 23,6 % 23,3 % 22,8 % 23,4 % 24,5 % 23,0 % 23,3 % 23,7 %
2012 22,3 % 22,6 % 23,6 % 22,6 % 22,9 % 22,2 % 21,8 % 21,3 % 23,0 % 23,4 % 23,3 % 23,1 % 22,7 %
2013 23,3 % 23,2 % 23,9 % 22,2 % 21,9 % 21,4 % 22,2 % 23,4 % 23,6 % 22,6 % 22,8 %
2014 22,6 % 22,5 % 23,3 % 22,8 % 22,1 % 24,6 % 23,7 % 22,5 % 22,7 % 23,0 % 22,5 % 23,0 % 22,9 %
2015 21,8 % 21,8 % 21,9 % 21,3 % 21,0 % 21,4 % 20,4 % 20,0 % 21,3 % 22,4 % 21,7 % 21,0 % 21,4 %
2016 20,6 % 21,4 % 21,7 % 20,2 % 20,3 % 20,4 % 18,9 % 18,6 % 20,4 % 20,3 % 20,4 % 20,7 % 20,4 %
2017 19,7 % 19,3 % 21,0 % 19,4 % 20,2 % 19,7 % 18,8 % 19,7 % 20,3 % 20,8 % 20,0 %
2018 19,8 %[156] 19,3 %[157] 20,3 %[158] 20,0 %[159] 19,6 %[160] 21,6 %[161] 22,4 %[162] 19,3 %[163] 20,4 %[164] 20,9 %[165] 20,0 % 19,8 %[166] 20,2 %
2019 19,2 %[167] 20,0 % 19,2 % 19,1 % 20,2 % 18,4 % 19,0 % 19,8 % 20,1 % 19,9 % 19,5 %
2020 18,8 %[168] 19,1 %[169] 18,9 %[170],[171] 19,5 %[172] 19,3 %[173] 18,7 %[174] 19,4 %[175] 18,8 %[176] 19,3 %[177] 20,1 %[178],[179] 19,2 %[180]
2021 19,9 %[181] 19,6 %[182] 20,5 %[183] 20,0 %[184] 19,9 %[185] 19,3 %[186] 19,8 %[187] 18,9 %[188] 20,0 %[189],[190] 19,4 %[191] 18,6 %[192] 19,7 %[193]
2022 18,5 %[194] 18,4 %[195] 18,6 %[196],[197] 18,8 %[198],[199] 18,2 %[200] 18,7 %[201] 17,7 %**[202],[203] 18,9 %[204] 21,1 %[205] 18,7 %[206]
2023 17,9 %[207],[208] 18,4 %[209] 18,0 %[210] 18,7 %[211] 18,3 %[212] 19,0 %[213] 19,1 %[214] 19,4 %[215] 19,9 %[216] 18,3 %[217] 18,5 % 18,6 %**[218]
2024 18,6 %[219] 18,5 %[220]

Légende :

  • * : maximum historique.
  • ** : minimum historique.
  • Meilleur score mensuel de l'année.
  • Moins bon score mensuel de l'année.
  • Records d'audiences[modifier | modifier le code]

    Le , TF1 réalise un record d'audience historique en diffusant la finale de la Coupe du monde de football de 1998 opposant la France au Brésil, suivie par 20,6 millions de téléspectateurs soit 75,6 % de part d'audience. Ce record est battu deux ans plus tard, le , avec la finale France-Italie du Championnat d'Europe de football 2000 qui attire 21,4 millions de téléspectateurs soit 77,5 % de part de marché. Il est de nouveau battu six ans plus tard, le , avec la diffusion de la demi-finale France-Portugal de la Coupe du monde de football de 2006 qui est suivie par 22,2 millions de téléspectateurs soit 76,7 % de part d'audience[221],[222]. Il s'agit également de la meilleure audience d'un programme télévisé en France, toutes chaînes confondues[223]. Mais des experts estiment que la demi-finale de la Coupe du monde de football de 1982 entre la France et l'Allemagne est l'événement le plus vu de l'histoire de la télévision française, notamment la séance de tirs au but perdue par les joueurs français qui aurait été vue par 32,1 millions de leurs compatriotes[224].

    Le 18 décembre 2022, TF1 réalise la meilleure audience de l'histoire de la télévision française en diffusant la finale de la Coupe du monde 2022 entre l'Argentine et la France. Ce match historique fut suivi en moyenne par 24,08 millions de téléspectateurs et 81 % de part de marché avec un pic d'audience à 29,4 millions de téléspectateurs. La séance de tirs au but fut regardée par 29,09 millions de téléspectateurs et constitue une part de marché de 85,5% de PDA[225].

    TF1 occupe la plupart des places du Top 100 établi par Médiamétrie chaque année. Depuis de nombreuses années, elle réalise souvent plus de 90 des 100 meilleures audiences de l'année dont la meilleure audience, se plaçant largement devant ses concurrentes[226],[227],[228],[229]. La chaîne parvient même à faire les 100 meilleures audiences de l'année 2007[230].

    Les 6 meilleures audiences de la chaîne
    Date Programme Genre Téléspectateurs Part de marché
    Coupe du monde de football de 2022 (Finale : Argentine - France) Sport 24 080 000 81 %[221],[222]
    Coupe du monde de football de 2006 (Demi-finale : Portugal - France) Sport 22 220 000 76,7 %[221],[222]
    Coupe du monde de football de 2006 (Finale : France - Italie) Sport 22 143 700 80,3 %[221],[222]
    Championnat d'Europe de football 2000 (Finale : France - Italie) Sport 21 441 000 77,5 %[221],[222]
    Coupe du monde de football de 2022 (Demi-finale : France - Maroc) Sport 20 694 000 66,4 %[221],[222]
    Coupe du monde de football de 1998 (Finale : France - Brésil) Sport 20 577 000 75,6 %[221],[222]

    Belgique francophone[modifier | modifier le code]

    Le CIM (Centre d'Information sur les Médias) mesure les audiences en Belgique depuis [259]. Le CIM réalise ses études en distinguant deux marchés : le marché belge francophone et le marché flamand.

    L'audience annuelle globale de TF1 est mesurée par le CIM depuis 1997. Les audiences des meilleurs programmes ne sont toutefois comptabilisés que depuis le lancement de TF1 Belgique, le , date à laquelle la chaîne a démarré ses fenêtres publicitaires destinées au marché belge francophone.

    Audience globale[modifier | modifier le code]

    Année Parts de marché
    1990
    1991
    1992
    1993
    1994
    1995
    1996
    1997 16,5 %
    1998 en augmentation 17,4 %
    1999 en diminution 16,7 %
    Année Parts de marché
    2000 en augmentation 16,9 %
    2001 en diminution 16,6 %
    2002 en stagnation 16,6 %
    2003 en diminution 16,3 %
    2004 en diminution 15,7 %
    2005 en augmentation 16,4 %
    2006 en augmentation 17,5 %
    2007 en diminution 17,1 %
    2008 en stagnation 17,1 %
    2009 en diminution 16,5 %
    Année Parts de marché
    2010 en augmentation 16,6 %
    2011 en augmentation 17,0 %
    2012 en stagnation 17,0 %
    2013 en diminution 16,1 %
    2014 en diminution 15,15 %
    2015 en augmentation 15,5 %
    2016 en diminution 15,4 %
    2017 en diminution 14,8 %
    2018 en diminution 13,35 %
    2019 en diminution 13,0 %
    Année Parts de marché
    2020 en diminution 12,38 %
    2021 en diminution 11,7 %
    2022 en stagnation 11,7 %
    2023
    2024
    2025
    2026
    2027
    2028
    2029

    Source[260],[259] :

    Avec une part d'audience moyenne annuelle de 12,38 % en 2020, TF1 est la troisième chaîne belge francophone la plus regardée, derrière La Une (20,13 %) et RTL TVI (19,63 %). Sa moyenne d'audience tend à diminuer depuis 2016.

    Sur la cible commerciale (Principal Responsable des Achats 18-54 ans), la chaîne a une part d'audience plus élevée (15,46 %), et se classe deuxième derrière RTL TVI (24,93 %) et devant La Une (14,75 %). Soit une légère remontée, après une période de baisse sur cette cible (17,26 en 2017, 15,59 % en 2018, 14,62 % en 2019)[261].

    Top 10 des programmes les plus regardés par an[modifier | modifier le code]

    2021
    Programme Date Nombre de téléspectateurs Part de marché
    1 HPI 11/05/2021 605 143 38,2 %
    2 Les Enfoirés à côté de vous 05/03/2021 564 800 38,5 %
    3 Koh-Lanta : Les Armes secrètes 12/03/2021 560 200 35,4 %
    4 Koh-Lanta : La Légende 09/11/2021 457 200 32,5 %
    5 Star Academy : on s'était dis rendez-vous dans 20 ans 30/10/2021 453 700 33,3 %
    6 The Voice : La Plus Belle Voix 28/11/2020 434 600 29,1 %
    7 20 ans de Star Ac, le doc évènement 22/05/2021 412 000 24,5 %
    8 La chanson secrète 15/01/2021 334 800 25 %
    9 Danse avec les stars - Demi-finale 19/11/2021 325 100 24,1 %
    10 The Voice, All Stars 11/09/2021 322 100 28,8 %
    2020
    Programme Date Nombre de téléspectateurs Part de marché
    1 Le Pari(s) des Enfoirés 06/03/2020 682 100 44,9 %
    2 Koh-Lanta : L'Île des héros 10/04/2020 558 200 29,9 %
    3 Koh-Lanta : Les 4 Terres 13/11/2020 547 300 31,5 %
    4 The Voice : La Plus Belle Voix 25/01/2020 473 300 36,0 %
    5 Mask Singer - La finale 28/11/2020 406 700 28,5 %
    6 Le grand bêtisier du 31 31/12/2020 393 000 25,5 %
    7 La chanson secrète 12/12/2020 372 800 25,9 %
    8 Le Dîner de cons 14/05/2020 354 800 22,0 %
    9 The Voice Kids - La finale 10/10/2020 354 400 26,6 %
    10 Le 20 heures - Édition spéciale 13/04/2020 344 000 17,0 %
    2019
    Programme Date Nombre de téléspectateurs Part de marché
    1 Le Monde des Enfoirés 08/03/2019 639 500 41,4 %
    2 Koh-Lanta : La Guerre des chefs 15/03/2019 498 200 33,1 %
    3 The Voice : La Plus Belle Voix 09/03/2019 482 700 30,7 %
    4 Le grand bêtisier du 31 31/12/2019 397 700 29,8 %
    5 Mask Singer - La finale 13/12/2019 396 500 26,3 %
    6 Les Douze Coups de Noël 21/12/2019 338 800 26,7 %
    7 Qui veut gagner des millions ? 19/01/2019 330 100 26,6 %
    8 The Voice Kids - La finale 25/10/2019 325 600 24,3 %
    9 Big Bounce - La course de trampoline 11/01/2019 322 500 22,6 %
    10 Les Douze Coups de midi - Le match de l'été 31/08/2019 318 100 28,3 %
    2018
    Programme Date Nombre de téléspectateurs Part de marché
    1 Les Enfoirés 2018 : Musique ! 09/03/2018 688 800 37,9 %
    2 The Voice : La Plus Belle Voix 10/02/2018 533 600 32,1 %
    3 Koh-Lanta : Le Combat des héros 16/03/2018 489 100 30,9 %
    4 Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu ? 09/12/2018 432 700 24,8 %
    5 Danse avec les stars - La finale 01/12/2018 408 500 24,8 %
    6 Le grand bêtisier du 31 31/12/2018 398 000 27,4 %
    7 Rien à déclarer 11/03/2018 371 500 22,7 %
    8 Le Jour où j'ai brûlé mon cœur 05/11/2018 365 400 27,8 %
    9 The Voice Kids 09/11/2018 364 200 26,2 %
    10 La Vérité sur l'affaire Harry Quebert 21/11/2018 360 900 21,0 %
    2017
    Programme Date Nombre de téléspectateurs Part de marché
    1 Koh-Lanta : Fidji 01/09/2017 545 200 37,7 %
    2 Le grand bêtisier du 31 31/12/2017 483 000 33,0 %
    3 Danse avec les stars - Demi-finale 09/12/2017 434 200 27,2 %
    4 Ninja Warrior : Le Parcours des héros - La finale 21/07/2017 406 000 32,7 %
    5 Les Douze Coups de Noël 23/12/2017 374 400 22,9 %
    6 Johnny Hallyday - L'hommage 09/12/2017 333 400 33,8 %
    7 NRJ Music Awards 04/11/2017 320 700 24,6 %
    8 The Voice Kids - La finale 30/09/2017 320 600 21,2 %
    9 Enfoirés Kids 01/12/2017 307 100 23,2 %
    10 Joséphine, ange gardien 11/08/2017 290 200 21,3 %

    Tous les téléspectateurs de 4 ans et plus, plus d'éventuels invités. Durée des programmes supérieure à 15 minutes.

    Suisse romande[modifier | modifier le code]

    Avec une part d'audience moyenne de 12 % de part de marché en 2016, TF1 est la deuxième chaîne suisse francophone la plus regardée, derrière RTS Un (19 %).

    Audiences annuelles en part de marché en Suisse[262]
    1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016
    15 % 15 % 15 % 16 % 16 % 17 % 17 % 17 % 17 % 17 % 15 % 14 % 13 % 13 % 13 % 13 % 12 % 12 % 12 % 12 %

    Controverses[modifier | modifier le code]

    Contre la coupure publicitaire[modifier | modifier le code]

    En 1986, Bertrand Tavernier prend la tête d'un mouvement de contestation des réalisateurs[263]. Afin de protester contre le "saucissonnage des films" par la publicité sur La Cinq, il renvoie sa médaille de chevalier des Arts et Lettres[264]

    À la suite des élections législatives de mars 1986, la droite revient au pouvoir. La Cinq est autorisée à continuer à émettre mais doit immédiatement cesser de diffuser des films de cinéma[265]. Dès le dimanche , un téléfilm remplace le film prévu et les films programmés ultérieurement voient leur case réattribuée à des séries ou téléfilms. En décembre de la même année, La Cinq est autorisée, de nouveau, à diffuser des films de cinéma.

    En 1992, Tavernier dit avoir été blacklisté par La Cinq et TF1 :

    « J'ai été interdit sur La Cinq. J'ai eu aucun de mes films produits, parce que je m'étais battu contre les coupes publicitaires (…) Donc je m'en fous de la chaîne. Puisque les gens m'ont carrément dit, comme sur la Une et sur La Cinq, étant donné que vous vous êtes battus contre la coupure publicitaire (…) Y'a même pas à envoyer les scénarios. »

    — Bertrand Tavernier dans Les coulisses de La Cinq le [266],[267]

    Contenu des émissions[modifier | modifier le code]

    Depuis sa privatisation en 1987, la nature des programmes de TF1 suscite de nombreuses réactions de désapprobation. Les jeux, la téléréalité et les nombreuses séries, le plus souvent d'origine américaine, sont souvent en ligne de mire dans ces critiques, la chaîne privée faisant le choix de délaisser les émissions à caractère culturel qui font statistiquement moins d'audience.

    Émissions pour la jeunesse[modifier | modifier le code]

    L’animatrice Dorothée a été décriée pour le caractère « bêtifiant » de certaines de ses émissions. Ainsi, dès 1987, les programmes pour la jeunesse du Club Dorothée sont montrés du doigt pour la part trop faible faite à la dimension éducative au profit de dessins animés souvent considérés comme violents, voire ambigus, en particulier de nombreux dessins animés japonais qualifiés de « japoniaiseries », jugés dangereux pour l'évolution mentale des enfants[268],[269].

    De la télévérité à la téléréalité[modifier | modifier le code]

    Dans les années 1990, l'arrivée des reality shows (télévérité) comme Perdu de vue, Témoin numéro 1, et Tout est possible continue de donner une mauvaise image de la chaîne en dépit de fortes audiences[270],[271],[272]. Le , le journaliste de Libération Pierre Marcelle qualifie Jacques Pradel d'« affectueux parasite », au « ton doucereux de cocker charognard ». Considérant que l'émission Perdu de vue est une « exploitation mercantile de l’intime », une « émission d'inspiration policière et attentatoire » à la liberté individuelle, et que l'animateur « exploite son filon avec une perverse efficacité »[273]. À la rentrée 1996, Étienne Mougeotte, alors vice-président de la chaîne, invente le concept de « Quête de sens »[274],[275] qui mène à un grand nettoyage l'année suivante. Tous les programmes polémiques disparaissent : Club Dorothée[276], Perdu de vue[277], Témoin numéro 1[278] et Tout est possible[279]. De nouvelles émissions symbolisant la « nouvelle Une » apparaissent : TF! Jeunesse, Public présenté par Michel Field[280] et Le Monde de Léa par Paul Amar[281]. Mais en 2001, à la suite du succès de Loft story sur M6, TF1 signe un accord d'exclusivité avec Endemol pour avoir l'exclusivité de leurs émissions de télé-réalité[282] comme Star Academy, Fear Factor ou L'Île de la tentation[283].

    Affaire Roswell[modifier | modifier le code]

    Traitement de l’actualité[modifier | modifier le code]

    La rédaction de TF1 cherche à couvrir tous les domaines de l'actualité, y compris en reprenant des aspects locaux qui sortent de l'évènementiel. Depuis sa privatisation, il a fréquemment été reproché à la chaîne un traitement superficiel de l'information, qui privilégierait l'actualité de proximité et le sensationnalisme à l'ouverture internationale et au traitement de fond[284]. Le Journal de 13 heures présenté par Jean-Pierre Pernaut est l'emblème de toutes ces critiques, accusé de verser dans le populisme, la démagogie, le conservatisme voire le poujadisme en préférant parler des « petits artisans » que de l'actualité internationale[285],[286]. Ainsi les bureaux des correspondants à l'étranger ont été fermés les uns derrière les autres : Moscou en 2010, Rome en 2012 et Londres en 2016[287]. À l'inverse, la chaîne est plus rarement accusée de parisianisme que ses consœurs, une situation qui reste l'une des tendances lourdes de l’audiovisuel français.

    Sur un aspect déontologique, la chaîne fait montre d'une politique éditoriale visant à faire du journal télévisé un vecteur d’autopromotion de programmes dont elle a l’exclusivité (football ou téléréalité) afin d’en garantir l’audience, par exemple, les veilles et lendemains de finales de Star Academy ou de Miss France, quand l'animateur Jean-Pierre Pernaut n'hésite pas à ouvrir son journal avec ces « informations ».

    Toutefois, le , le Journal de 20 heures présenté par Laurence Ferrari remporte le 1er prix des Media Tenor TV Global Awards récompensant « l'importance accordée à l'économie, à l'environnement, et à la place des femmes dans le traitement de l'information ». Le journal reçoit également le 2e prix des Global Media Peace Awards pour sa couverture à l'international[288].

    Les journaux de TF1 ont été accusés à plusieurs reprises de diffuser de fausses informations, soit par simple erreur, soit par manque de transparence, soit avec une volonté de truquer un reportage :

    • Le , le journal de 20 h montre Patrick Poivre d'Arvor et Régis Faucon interroger en tête-à-tête le dirigeant cubain Fidel Castro. Le mois suivant, Télérama révèle que les images de Fidel Castro sont en fait issues d'une conférence de presse donnée par ce dernier, parmi lesquelles ont été intercalées des images de PPDA posant des questions en fonction des réponses afin de donner l'illusion d'un entretien personnalisé[289].
    • Le , dans un reportage sur la chute des prix des maisons et des appartements à Rennes, le client visitant un bien qui est interviewé s'avère être un agent immobilier[290].
    • Le , en pleine course au sensationnel, la journaliste Florence Schaal s'empresse d'annoncer abruptement en direct lors du Journal de 20 heures et sans vérification préalable le décès d'un enfant de deux ans et demi, qui venait en réalité d'être retrouvé sain et sauf. Mise à pied par la chaîne, elle fut licenciée pour faute grave le mois suivant[291].
    • Le , les journaux de 20 h de TF1 et France 2 diffusent un reportage montrant les techniques d'investigation des experts scientifiques de la gendarmerie sur les incendies criminels en Corse. Mais les journalistes ne précisent pas que les scènes sont en réalité des reconstitutions répétées plusieurs fois[292].
    • Le , un sujet sur le contrat de responsabilité parentale (CRP), dispositif mis en place de la loi contre l'absentéisme scolaire, contient un faux témoignage : une attachée de presse du président du conseil général des Alpes-Maritimes Éric Ciotti — porteur de la loi — se fait passer pour une mère de famille à l'initiative de la journaliste du reportage réalisé par un sous-traitant[293]. Lors de la présentation d'excuses, le présentateur Jean-Pierre Pernaut indique que « c’est la première fois dans l’histoire de nos journaux » alors qu'il y a eu des précédents[294].
    • En 2014, Mediapart révèle que la mairie de Cannet dirigée par Michèle Tabarot truquait des reportages de TF1 avec l'aide de la police municipale[295].
    • En 2020, après le déconfinement pour la Pandémie de Covid-19, plusieurs médias notamment les JT de TF1 se sont mis à modifier des informations. Par exemple, pendant plusieurs mois, le département de la Mayenne a été attaqué comme étant le département ayant le plus de malades du Covid-19 et ne prêtant pas attention aux consignes de sécurité. Finalement, il se trouvait que ce département faisait partie de ceux faisant le plus attention, en faisant un très grand nombre de test par jour. Les chiffres étaient ré-utilisés par la chaîne, mais le mot test était changé par malades. Les attaques ont légèrement descendu à la suite de l'intervention en direct pendant le 13 heures, de Olivier Richefou (président du conseil départemental de la Mayenne), qui a rétabli la vérité. En revanche, la chaîne s'est caché de ses attaques, au point de demander à Olivier Richefou durant le direct, l'endroit d'où venaient les attaques médiatiques[296].
    • Le , le journal de 20 heures présente un extrait, au sujet d'un robot qui tirerait à l'arme à feu, de vidéo truquée en ne le précisant qu'après un certain nombre de secondes.

    Orientation de droite[modifier | modifier le code]

    TF1 est souvent accusée d'être une chaîne plutôt orientée politiquement à droite. Les observateurs dénoncent aussi bien le choix de ses programmes — séries télévisées accusées de véhiculer une idéologie réactionnaire[297], omniprésence de la police dans les séries ou les émissions de reportages —, les informations qu'elle traite dans ses journaux — beaucoup de sujets populistes sur l'insécurité ou l'immigration — et les liens de connivence entre les dirigeants/propriétaires de la chaîne et certains hommes politiques de droite — amitié de Martin Bouygues et Nicolas Sarkozy. Mais le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) n'a jamais rien trouvé à redire sur une prétendue position partisane de la chaîne et ses liens avec le pouvoir n'auraient jamais été réellement récompensés[298]. Toutefois, en , la chaîne a été rappelée à l'ordre par le CSA pour des propos tenus par Jean-Pierre Pernaut dans son journal de 13 heures au sujet des centres pour migrants, propos jugés susceptibles d'« encourager un comportement discriminatoire »[299].

    De plus, la chaîne est souvent accusée d'être de parti pris pour la droite lors des élections présidentielles :

    En 2006, un sondage TNS-Sofres indique que 37 % des personnes interrogées considèrent TF1 comme une chaîne orientée à droite. Mais ce même sondage montre également que la chaîne est celle qui répond le mieux aux besoins des téléspectateurs et qui incarne le mieux le service public, alors qu'il s'agit pourtant d'une chaîne privée[306]. D'ailleurs, un sondage de montrera que 32 % des Français pensent que TF1 est une chaîne publique[307]. En 2012, un sondage de l'Ifop montre que les téléspectateurs de TF1 sont à 67 % de droite[308].

    En , TF1 licencie Jérôme Bourreau-Guggenheim, responsable de son pôle innovation Web, en raison des critiques que ce dernier avait émises contre le projet de loi HADOPI dans un courriel privé adressé à sa députée Françoise de Panafieu (UMP) et portées à la connaissance de TF1 par le gouvernement de droite en place[309],[310]. Le cas fait un certain bruit[311], notamment sur le web[312]. En , le conseil de prud'hommes condamne TF1 à verser 27 000  d'indemnités à Jérôme Bourreau-Guggenheim pour — licenciement sans cause réelle et sérieuse —[313].

    Philosophie d'entreprise[modifier | modifier le code]

    En 2004, dans le livre Les dirigeants face au changement, Patrick Le Lay, alors président-directeur général du groupe TF1, explique le métier de la chaîne TF1 par la formule « Ce que nous vendons à Coca-Cola, c'est du temps de cerveau humain disponible ». Cette phrase, qui s'avère être un raccourci d'un propos plus développé, provoque de vives critiques que ce soit chez les politiques de gauche, les associations de téléspectateurs, les journalistes et éditorialistes. Quelques jours plus tard, Patrick Le Lay exprime son regret d'avoir utilisé cette expression trop « caricaturale et étroite » lors d'une conversation téléphonique privée. Mais cette formule va devenir un symbole pour tous les opposants à la chaîne privée, même des années après le départ de Patrick Le Lay de la direction[314],[315],[316].

    Contentieux judiciaires et monétisation de la chaîne gratuite[modifier | modifier le code]

    Le , un porte-parole de Canal+ confirme que Canal+ a porté plainte contre TF1 pour un différend concernant le renouvellement de son contrat de diffusion des chaînes gratuites de TF1. En effet, d'après BFM Business « TF1 réclame à Canal une vingtaine de millions d'euros par an, soit quasiment dix fois plus que jusqu'à présent ». L'affaire a été portée devant le tribunal de commerce de Paris[317].

    À la suite de cette plainte, le groupe Canal décide de suspendre les chaines du groupe TF1 (TF1, TMC, TFX, TF1 Séries Films, LCI) le à 23 h 10, rendant ainsi impossible l'accès à ces chaines depuis leur décodeur. Mais la chaîne fait son retour sur Canal+ le à 23 h pour les abonnés satellite, ainsi que sur TNT Sat.

    D'autres sociétés comme Orange et Free sont dans la même difficulté :

    • Pour Stéphane Richard d'Orange, « Nous ne voulons pas priver nos clients de TF1 » mais « Orange est opposé au principe d’une rémunération pour distribuer des contenus gratuits »[318]. Toutefois, les deux sociétés cherchent à trouver un accord juste et équitable[319].
    • Free veut suivre la même offre que Canal+[320]. Toutefois, le contrat avec Free court jusqu'au [321].

    Cette situation est délicate pour TF1, car 55 % des foyers reçoivent la télévision par autre chose que la TNT[320].

    D'autres sociétés se sont accordées plus rapidement : Bouygues Telecom et TF1 en partageant le même actionnaire. L'entente entre SFR et TF1 tient à la rémunération des chaines dites « gratuites » et des contenus « à valeur ajoutée » (Replay) de TF1 par SFR, en échange de la contrepartie entre Bouygues Telecom et le groupe Altice, qui gère les chaînes BFM TV et RMC Découverte[322].

    Diffusion[modifier | modifier le code]

    TF1 est diffusée en France sur la télévision numérique terrestre, le câble, le satellite, la télévision IP et en streaming. La chaîne peut également être reçue dans certains pays limitrophes : l'Andorre, le Luxembourg, Monaco, la Belgique et la Suisse. Ces deux derniers pays possèdent leurs propres fenêtres publicitaires. La chaîne utilise le canal 1 en France.

    La chaîne émet en français depuis le d'abord en noir et blanc puis progressivement en couleur à partir du . Elle diffuse ses premiers programmes en 16/9 en 2006[323] avant de généraliser ce format à toute l'antenne le [324], date à laquelle la chaîne devient disponible en haute définition (MPEG-4) sur de nombreux supports[325]. À l'occasion de la Coupe du monde de football 2010, TF1 a diffusé cinq matchs en 3D au format stéréoscopique chez certains opérateurs[326]. Depuis le 23 août 2020, la chaîne TF1 4K est disponible au sein des offres Orange (canal 996), Bouygues Telecom (canal 37), Free (canal 101) et SFR (canal 77)[327].

    Hertzien[modifier | modifier le code]

    TF1 était diffusée en noir et blanc sur le premier réseau analogique terrestre de TéléDiffusion de France (TDF) en 819 lignes norme E sur la bande III VHF depuis son lancement le jusqu'au qui marque l'arrêt du dernier émetteur exploitant cette norme à Paris sur la tour Eiffel. Le marque le début de la télédiffusion en couleur de TF1 qui voit son signal dupliqué sur un nouveau quatrième réseau analogique[N 3] UHF SÉCAM IIIB norme L en 625 lignes couleur, composé de 112 émetteurs et 3 161 réémetteurs en France métropolitaine[15],[16],[3],[17],[328]. La diffusion analogique de la chaîne se termine le , date de l'arrêt de la télévision analogique en France.

    TF1 est diffusée en clair sur le multiplex R6 de la télévision numérique terrestre (TNT) au standard MPEG-2 (SDTV) du au [329] et au standard MPEG-4 (HDTV) depuis le [330].

    La chaîne n'est pas diffusée sur la TNT outre-mer à cause de coûts de diffusion qui seraient trop importants par rapport au marché publicitaire local. Certains programmes sont cependant repris par des chaînes privées locales[331].

    Dans la principauté d'Andorre, TF1 est diffusée sur la télévision numérique terrestre par Andorra Telecom depuis le .

    Câble[modifier | modifier le code]

    TF1 est diffusée sur le réseau câblé de SFR. En France d'outre-mer, la chaîne est disponible sur les réseaux de SFR Caraïbe et Zeop.

    Dans les autres pays francophones, elle est diffusée sur les réseaux câblés belges (Telenet Group, Voo et Orange Belgique), luxembourgeois (Telenet Group), monégasque (MC Cable) et suisse (Naxoo, UPC Suisse).

    TF1 fut diffusée sur les deux premiers réseaux câblés expérimentaux de Metz et Bitche dès 1979, puis sur les petites régies de télédistribution de villes à population non négligeable. En tant que chaîne publique, les réseaux câblés français France Telecom Câble, Lyonnaise Câble et CGV avaient l'obligation de diffuser TF1 sur leurs réseaux dès la mise en œuvre du plan câble à la fin de 1985[réf. nécessaire].

    Satellite[modifier | modifier le code]

    TF1 est diffusée en clair (free to air) sur le satellite Eutelsat 5 West A et en contrôle d'accès sur les satellites Astra 1 et Hot Bird 13[332]. La chaîne est disponible dans les bouquets Canal+, Fransat, TNT Sat et Bis Télévisions. En France d'outre-mer, elle est présente dans les offres de Canalsat Caraïbes, Canalsat Calédonie, Canalsat Réunion, Parabole Réunion et Tahiti Nui Satellite.

    Dans les autres pays francophones, elle est diffusée par les opérateurs belge et luxembourgeois (Télésat), Suisse (Canalsat Suisse), et mauricien (Parabole Maurice).

    À partir d', la chaîne est diffusée sur les satellites Télécom 1B, puis Télécom 1C et enfin Télécom 2B. À partir de , elle est disponible dans le tout nouveau bouquet satellite TPS dont elle était coactionnaire. À la suite de la fusion de TPS avec son concurrent début 2007, la chaîne apparaît dans le bouquet Canalsat.

    La diffusion analogique de TF1 sur le satellite Atlantic Bird 3 (devenu Eutelsat 5 West A) s'est arrêtée le 13 décembre 2011.

    En , TF1, ainsi que les chaines gratuites de la TNT du groupe TF1 sont accessibles gratuitement en free to air, via le satellite Astra 1L. Cette diffusion fait suite à une interruption momentanée de la diffusion en cryptée auprès des abonnés Canal+ et TNTSAT, à la suite d'un différend commercial[333].

    Conséquence de l'accord passé entre Canal+ et le groupe TF1, les chaînes TF1, TMC, TFX, TF1 Séries Films et LCI ont cessé leur diffusion en clair et en HD par satellite sur ASTRA. La diffusion en mode libre d'accès des chaînes HD de TF1 a eu lieu à la position 19,2°E pendant exactement trois mois, depuis le 17 octobre 2022 à la suite du conflit qui opposait les deux groupes en question.

    TF1 est diffusé par satellite en Afrique, via SES 4 et les bouquets Canal+ Afrique et sur Eutelsat 36°Est via l'opérateur DSTV.

    Internet[modifier | modifier le code]

    TF1 est diffusée en streaming sur TF1+, le portail web du groupe[334]. Elle est également disponible via la télévision IP depuis le [335] sur la Freebox TV, La TV d'Orange, le Bouquet TV de SFR, la Bbox et la Wibox. En France d'outre-mer, la chaîne est accessible dans les offres de Mediaserv, SFR Caraïbe et Zeop.

    Dans les autres pays francophones, elle est diffusée par les opérateurs belges (Proximus Pickx, Orange Belgique), luxembourgeois (POST Luxembourg, Orange Belgique) et suisse (Swisscom TV).

    Le , un groupe de pirates informatiques se faisant appeler Linker Squad a revendiqué le vol des données de 1,9 million de comptes d'internautes, utilisateurs du service Viapresse. Ce kiosque en ligne partenaire de TF1.fr permet de s'abonner à des magazines papier. La faille de sécurité a été corrigée dans l'heure, mais le mal était fait : les données avaient déjà été volées[336].

    Fenêtres publicitaires belge et suisse[modifier | modifier le code]

    Une version spécifique de la chaîne est diffusée respectivement en Belgique[337] et Suisse. Si les programmes sont les mêmes que la version française, les spots publicitaires sont exclusifs au marché de la Suisse romande[338], (dès 2011[339],[340]) et de la communauté française de Belgique[72],[73] (dès 2017[341]).

    Incidents[modifier | modifier le code]

    Le , une panne de réseau inédite chez TF1[342] empêche la diffusion du journal télévisé de 13 heures présenté par Marie-Sophie Lacarrau. Celle-ci a pu reprendre l'antenne à 13 h 37[343] en s'excusant : « Croyez-le bien, nous en sommes évidemment désolés, nous vous prions de nous en excuser, nous allons devoir en rester là, je le redis, c'est absolument inédit, par correction, je tenais à prendre l'antenne pour vous dire cela »[344]. Ce journal reporté était donc raccourci et a duré seulement 17 minutes au lieu d'environ 45 minutes.

    Notes et références[modifier | modifier le code]

    Notes[modifier | modifier le code]

    1. Ce logo est exceptionnellement réutilisé le 2 juin 2018 le temps d'une soirée à l'occasion de l'émission 3615 code Arthur et Jarry et le 18 mars 2022 le temps d'une soirée à l'occasion de l'émission Welcome Back sur l’année 1993.
    2. TF1 HD ne dispose de son logo HD que depuis le 30 octobre 2008 bien que la version HD ait été lancée en mars 2006 sur TPS puis sur Canalsat en janvier 2007
    3. Le quatrième réseau analogique hertzien de TéléDiffusion de France devient le premier réseau à l'extinction du réseau 819 lignes en 1983. En 1986, TF1 payait 500 millions de francs par an à TDF pour sa diffusion sur ce réseau.

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    30. « Sénat - première session ordinaire de 1986-1987 », sur senat.fr, 2.2.2. Le développement de la « parapublicité » - page 142. A la suite de l'étude réalisée en février 1985, l'essor des coproductions fut rapide, essentiellement sur TF 1 et FR 3 régions. Elles associaient des partenaires extérieurs dans des programmes de divertissements (jeux - variétés) et dans des magazines. L'examen des conventions permit à la Haute Autorité de constater que l'évolution qui se dessinait pouvait inspirer de sérieuses inquiétudes quant au respect des principes énoncés dans les documents de février et mai 1985 et, à terme, pour l'indépendance des sociétés de programme. Compte tenu de l'importance des sommes engagées par les entreprises dans ces productions, ces dernières posaient des conditions de citation allant bien au-delà de la simple mention au générique, leur intervention se rapprochant davantage d'une stratégie publicitaire que d'une démarche de notoriété. Tel était bien le cas de la coproduction Orangina-Cocoricocoboy. puisque le coproducteur mit très vite fin à sa participation, compte tenu du cadre rigide fixé par la Haute Autorité.
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      « DEPUIS que les cinéastes ont obtenu gain de cause, elle ne diffuse plus de films. Chefs-d'œuvre et nanars ne risquent plus d'être dénaturés par un saucissonnage publicitaire qui ne gêne pas les feuilletons, puisqu'ils sont conçus pour. Plus rien d'ailleurs ne gêne les feuilletons dans les programmes d'été dont les jeux ont disparu »

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    Références bibliographiques[modifier | modifier le code]

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    2. Chronique 1998, p. 402.
    3. Chronique 1998, p. 88.
    4. Chronique 1998, p. 222.
    • Raymond Marcillac, Chronique de la télévision, Paris, Editions Chronique, (ISBN 978-2905969767).

    Voir aussi[modifier | modifier le code]

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    Bibliographie[modifier | modifier le code]

    Archivage et accès aux sources[modifier | modifier le code]

    • Les programmes diffusés par la chaîne de télévision TF1 sont conservés à l'Institut national de l'audiovisuel (INA) et sont consultables dans les centres de l'Inathèque :
      • Du au , ces programmes font l'objet d'un archivage partiel : seules les émissions produites ou coproduites par TF1 sont conservées par l'INA pour répondre aux besoins des professionnels de l'audiovisuel en matière d'archives.
      • À partir du , l'intégralité des programmes diffusés par TF1 sont collectés par l'INA au titre du dépôt légal et mis à disposition à des fins de recherche.
    • Des documents écrits en lien avec les programmes de la chaîne TF1 sont conservés par l'INA : monographies éditées, collections de périodiques spécialisés, fonds d'archives écrites versés par des professionnels de l'audiovisuel ou des institutions, documents diffuseurs et de programmation (bulletin de presse, avant programme, programme définitif, rapport de chef de chaîne).
    • Les contenus publiés en ligne (pages Web, vidéos, tweets…) par la chaîne de télévision TF1 sont archivés par l'INA depuis le et consultables dans les centres de l'Inathèque.

    Articles connexes[modifier | modifier le code]

    Liens externes[modifier | modifier le code]