Trois-Villes

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Trois-Villes
Trois-Villes
La mairie de Trois-Villes. Le nom en basque Herriko etxea (« mairie ») figure sur la façade.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Jean Etchemendy
2020-2026
Code postal 64470
Code commune 64537
Démographie
Gentilé Iruritar
Population
municipale
134 hab. (2021 en diminution de 3,6 % par rapport à 2015)
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 08′ 03″ nord, 0° 52′ 32″ ouest
Altitude Min. 195 m
Max. 793 m
Superficie 6,39 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Oloron-Sainte-Marie
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montagne Basque
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Trois-Villes
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Trois-Villes
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Trois-Villes

Trois-Villes (Iruri en basque), est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Iruritar[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Trois-Villes se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 63 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 30 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture, et à 12 km de Mauléon-Licharre[5], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mauléon-Licharre[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Ossas-Suhare (1,4 km), Alos-Sibas-Abense (1,6 km), Tardets-Sorholus (2,2 km), Sauguis-Saint-Étienne (2,3 km), Camou-Cihigue (3,1 km), Menditte (3,8 km), Lichans-Sunhar (4,5 km), Laguinge-Restoue (4,5 km).

Sur le plan historique et culturel, Trois-Villes fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[9],[10]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[11]. Elle se divise en Arbaille, Basse-Soule et Haute-Soule, dont fait partie la commune.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Trois-Villes.

La commune est drainée par le Saison, Ibarra erreka, Charoko erreka, Ihixart erreka, Okhinabarre erreka, le ruisseau de Laritolle, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 15 km de longueur totale[13],[Carte 1].

Le Saison, d'une longueur totale de 72,2 km, prend sa source dans la commune de Larrau et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Autevielle-Saint-Martin-Bideren, après avoir traversé 31 communes[14].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre les climats océaniques aquitain et basque[15]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[16].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 407 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[17]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Licq-Athérey à 7 km à vol d'oiseau[18], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 528,1 mm[19],[20]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[21].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le Saison (cours d'eau) »[23], d'une superficie de 2 200 ha, un cours d'eau de très bonne qualité à salmonidés[24],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Deux ZNIEFF de type 2[Note 5] sont recensées sur la commune[25],[Carte 3] :

  • le « bassin versant du Lausset et du Joos : bois, landes et zones tourbeuses » (19 519,13 ha), couvrant 23 communes du département[26] ;
  • le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[27].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Trois-Villes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[28],[29],[30].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[31],[32].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (62,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (62,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,3 %), zones agricoles hétérogènes (17,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (12,3 %), prairies (9,7 %), terres arables (6,2 %), zones urbanisées (3,9 %)[33]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

Sept quartiers composent la commune de Trois-Villes[34] :

  • Eiheraltea ;
  • Gañeko hiria ;
  • Gatieta ;
  • Intxauspealtea (ou Peko elgea, Intxauspea sur les cartes IGN) ;
  • Inchauspe sur les cartes IGN) ;
  • Paxerregia (Paxeragia sur les cartes IGN) ;
  • Peko hiria ;
  • Okhinabarre.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Trois-Villes est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[35]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[36].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Saison. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 2009, 2018 et 2021[37],[35].

Trois-Villes est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[38]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[39],[40].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Trois-Villes.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[41]. 83,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[42].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval de barrages de classe A[Note 9]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[44].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations anciennes[modifier | modifier le code]

Le toponyme Trois-Villes apparaît[45] sous les formes Tres-Bielles (1475, contrats d'Ohix[46]) et Troisvilles (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[45].

Graphie basque[modifier | modifier le code]

Son nom basque actuel est Iruri[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Paul Raymond[45] note que la commune était un ancien comté.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2003 Jean Uthurry    
2003 2014 Jean-Pierre Charo    
2014 En cours Jean Etchemendy    

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de huit structures intercommunales[47] :

  • la communauté de communes de Soule-Xiberoa ;
  • le SIGOM ;
  • le SIVOM du canton de Tardets ;
  • le SIVU chargé du tourisme en Haute-Soule et Barétous ;
  • le syndicat AEP du pays de Soule ;
  • le syndicat d'assainissement du pays de Soule ;
  • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[49].

En 2021, la commune comptait 134 habitants[Note 10], en diminution de 3,6 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
286290331331336364383382351
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
327336305389274291284282284
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
295267250215220226216207184
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
167160167145151148134132141
2017 2021 - - - - - - -
131134-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Le château de Trois-Villes, connu sous le nom de château d'Eliçabéa, résidence de la famille d'Andurain[52] datant du XVIIe siècle, est classé aux monuments historiques depuis 1986.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L’église Saint-Jean-Baptiste, construite entre 1664 et 1670, fut consacrée par l’abbé Garycoche, curé de Trois-Villes, au nom de l’évêque d’Oloron le à l’occasion des obsèques de Jean-Armand du Peyrer, comte de Tréville.

Événements sportifs[modifier | modifier le code]

La commune se situe sur le trajet de la 16e étape du Tour de France 2007 qui y est passé le . Le parcours de 218 kilomètres reliait Orthez à Gourette - Col d'Aubisque.

Équipements[modifier | modifier le code]

Galerie[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Portrait du comte de Tréville par Le Nain. Le comte de Tréville fit construire le château de Trois-Villes appartenant aujourd'hui à Madame d'Andurain. La trace du tableau de Le Nain, vendu dans les années 50, s'est perdue.

Jean-Armand du Peyrer, comte de Tréville (ou de Trois-Villes), connu sous le nom de M. de Tréville, lieutenant-capitaine de la compagnie des mousquetaires sous Louis XIII et personnage d'Alexandre Dumas, dans Les Trois Mousquetaires. Il fit construire le château d'Eliçabéa, situé sur la commune, entre 1660 et 1663[53].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  9. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[43].
  10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Trois-Villes » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Trois-Villes », sur www.geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Trois-Villes », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références[modifier | modifier le code]

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  2. a b et c « Métadonnées de la commune de Trois-Villes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Trois-Villes et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Trois-Villes et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  5. Stephan Georg, « Distance entre Trois-Villes et Mauléon-Licharre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Communes les plus proches de Trois-Villes », sur www.villorama.com (consulté le ).
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 23.
  8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
  9. « Toponymes », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
  10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
  11. Frédéric Zégierman 1999, p. 23.
  12. Carte IGN sous Géoportail
  13. « Fiche communale de Trois-Villes », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  14. Sandre, « le Saison ».
  15. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  16. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
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  21. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
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  23. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Trois-Villes », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  35. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Trois-Villes », sur Géorisques (consulté le )
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  51. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  52. Ministère de la culture, base Mérimée - Fiche sur le château d'Eliçabea
  53. « Notice du château d'Eliçabéa », notice no PA00084535, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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