Irouléguy
Pour les articles homonymes, voir Irouléguy (AOC) et Irulegi.
Irouléguy | |||||
![]() Panorama d'Irouléguy. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Bayonne | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays Basque | ||||
Maire Mandat |
Joseph Mocho 2020-2026 |
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Code postal | 64220 | ||||
Code commune | 64274 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Irulegitar | ||||
Population municipale |
367 hab. (2020 ![]() |
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Densité | 39 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 10′ 43″ nord, 1° 17′ 57″ ouest | ||||
Altitude | Min. 166 m Max. 810 m |
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Superficie | 9,38 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Saint-Jean-Pied-de-Port (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Montagne Basque | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Irouléguy (en basque : Irulegi) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
La commune d'Irouléguy se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].
Elle se situe à 123 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 51 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 47 km de Mauléon-Licharre[5], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Jean-Pied-de-Port[2].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Anhaux (1,2 km), Saint-Étienne-de-Baïgorry (3,8 km), Ascarat (3,8 km), Lasse (4,0 km), Uhart-Cize (4,8 km), Saint-Jean-Pied-de-Port (5,4 km), Ispoure (5,4 km), Saint-Martin-d'Arrossa (6,8 km).
Sur le plan historique et culturel, Irouléguy fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9],[10]. La commune est dans le pays de Baïgorry-Ossès (Baigorri-Ortzaize), au sud-ouest de ce territoire.
Hydrographie[modifier | modifier le code]
La commune est drainée par des petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 11 km de longueur totale[12],[Carte 1].
Climat[modifier | modifier le code]
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[13]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[14].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[15]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[16] complétée par des études régionales[17] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1963 à 2017 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[18]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 3 | 3,2 | 5 | 6,4 | 9,7 | 12,7 | 14,7 | 14,8 | 12,3 | 10,1 | 6 | 4 | 8,5 |
Température moyenne (°C) | 7,5 | 8 | 10,3 | 11,7 | 15,2 | 18,2 | 20,3 | 20,5 | 18,3 | 15,3 | 10,6 | 8,3 | 13,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 11,9 | 12,9 | 15,6 | 17,1 | 20,8 | 23,7 | 25,9 | 26,2 | 24,4 | 20,5 | 15,2 | 12,5 | 18,9 |
Record de froid (°C) date du record |
−15,4 09.01.1985 |
−10,5 08.02.12 |
−9,5 01.03.05 |
−3,2 05.04.1975 |
−0,2 14.05.1995 |
2,8 09.06.1985 |
5,8 08.07.1978 |
4 30.08.1986 |
2 21.09.1977 |
−2,5 16.10.09 |
−8,5 23.11.1988 |
−9,8 25.12.01 |
−15,4 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
24,8 28.01.1966 |
27 26.02.1994 |
30 21.03.1990 |
32,6 30.04.05 |
35 17.05.1964 |
40 26.06.11 |
41 19.07.16 |
42 04.08.03 |
39,2 08.09.1966 |
34 04.10.04 |
27 07.11.15 |
26 03.12.1985 |
42 2003 |
Précipitations (mm) | 146 | 129,8 | 124,7 | 139,3 | 106,9 | 77 | 65,6 | 76,1 | 92,5 | 122,1 | 164,8 | 153,4 | 1 398,2 |
Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]
Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Nive »[20], d'une superficie de 9 473 ha, un des rares bassins versants à accueillir l'ensemble des espèces de poissons migrateurs du territoire français, excepté l'Esturgeon européen[21],[Carte 2].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 6] est recensée sur la commune[22],[Carte 3] : les « landes de Larla-Jarra et d'Orzaize-Izpura » (4 429,5 ha), couvrant 10 communes du département[23].
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Irouléguy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[24],[25],[26].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Jean-Pied-de-Port, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[27],[28].
Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (48,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (32,4 %), zones agricoles hétérogènes (29,8 %), prairies (20,4 %), forêts (17 %), zones urbanisées (0,3 %)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].
Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]
- Bursoritz (Moussouritz) ;
- Hiriburu ;
- Mendixko ;
- Sorhouette, Sorhoeta ou Soroheta ;
- Subitarte.
Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]
Irouléguy est desservie par les routes départementales D 15 et D 615.
Risques majeurs[modifier | modifier le code]
Le territoire de la commune d'Irouléguy est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne)[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009, 2011 et 2014[32],[30].
Irouléguy est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[33]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[34],[35].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[36]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[37].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[38]. 59,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 9],[39].
Toponymie[modifier | modifier le code]
Étymologie[modifier | modifier le code]
Mikel Belasko et Jean-Baptiste Orpustan notent que le toponyme basque Irulegi est formé par les mots hiru ("trois") et hegi ("bord, crête"), et signifie les "trois crêtes"[40]. Une allusion hypothétique aux trois sommets qui dominent cette partie du pays de Baïgorry, Jara (812 mètres) au nord, Munhoa (1023 mètres) au sud et Oilarandoy (933 mètres) au sud-ouest.
Attestations anciennes[modifier | modifier le code]
Le toponyme Irouléguy apparaît[41] sous les formes Yrurleguy[42] (1264), Yrulegui[42] (1413), Irulegui (1513, titres de Pampelune[43]), Yrulegui (1621, Martin Biscay[44]) et Sanctus Vincentius de Iruleguy (1764, collations du diocèse de Bayonne[45]).
Autres toponymes[modifier | modifier le code]
Etcheverry est un ancien fief, relevant du royaume de Navarre, cité dans le dictionnaire de 1863[41].
Le toponyme Sorhouette apparaît[41] sous les formes Soroete (XIIIe siècle, cartulaire de Bayonne[46]), Sorhete (1397, notaires de Navarrenx[47]), Soroheta (1513, titres de Pampelune[43]) et Sorueta (1621, Martin Biscay[44]).
Graphie basque[modifier | modifier le code]
Son nom basque actuel est Irulegi[1].
Histoire[modifier | modifier le code]
La paroisse d'Irouléguy est mentionnée[42] en 1354.
Héraldique[modifier | modifier le code]
![]() |
Blason | De gueules à six billettes d'argent rangées en fasce, 3 et 3. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Intercommunalité[modifier | modifier le code]
La commune d'Irouléguy participe à sept structures intercommunales[48] :
- la communauté de communes de Garazi-Baigorri ;
- le SIVU Hiruen Artean ;
- le syndicat AEP d'Irouleguy-Anhaux ;
- le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal pour l'aménagement et la gestion de l'abattoir de Saint-Jean-Pied-de-Port ;
- le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque ;
- le syndicat mixte du bassin versant de la Nive.
Irouléguy accueille le siège du SIVU Hiruen Artean.
Démographie[modifier | modifier le code]
L'enquête de 1786[49] recense à Irouléguy 41 maisons et 293 personnes[50].
La même enquête relève à Sorhouette 28 maisons et 156 personnes[51].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[53].
En 2020, la commune comptait 367 habitants[Note 10], en diminution de 1,87 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie[modifier | modifier le code]
L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Le vignoble d’Irouleguy est situé autour de Saint-Étienne-de-Baïgorry et Saint-Jean-Pied-de-Port. Il s'agit de l'un des plus petits vignobles de France, le seul du Pays basque nord. Il est classé AOC depuis 1970.
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Le fronton.
Ferme de Basse-Navarre.
Patrimoine civil[modifier | modifier le code]
- Les dolmens d'Arrondo et d'Artxuita, édifiés à environ 600 m l'un de l'autre sur l'escarpement est de la montagne de Jarra, sont tous les deux datés du Néolithique et classés au titre des monuments historiques[56],[57] ;
- Un gaztelu zahar se dresse au lieu-dit Mendixko ;
- La ferme Etxeberria[58] date de la fin du XVIIe siècle et du XVIIIe siècle ;
- Un lavoir, alimenté par un cours d'eau.
Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]
- La chapelle Saint-André[59] d'origine médiévale (XIIe siècle) fut rebâtie au XVIIe siècle ;
- L'actuelle église Saint-Vincent[60], à campenard, date de la fin du XIXe siècle ou du début du XXe siècle. L'ancienne église, connue aujourd'hui sous le nom de chapelle Saint-Vincent[61], remonte au milieu du Moyen Âge ;
- Le cimetière recèle des dalles funéraires[62], des croix[63], une plaque commémorative[64] et des stèles discoïdales[65] inventoriées par le ministère de la Culture.
Équipements[modifier | modifier le code]
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes et cartes[modifier | modifier le code]
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Carte hydrographique d'Irouléguy » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Irouléguy », sur www.geoportail.gouv.fr.
- « ZNIEFF de type II sur la commune d'Irouléguy », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références[modifier | modifier le code]
- - Académie de la langue basque
- « Métadonnées de la commune d'Irouléguy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Irouléguy et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Irouléguy et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Irouléguy et Mauléon-Licharre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Irouléguy », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
- « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
- (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
- Carte IGN sous Géoportail
- « Fiche communale d'Irouléguy », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Fiche du Poste 64274001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Irouléguy », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7200786 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
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- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux (monographie), Pessac, Presses universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », [éd. revue et corrigée] (1re éd. ), 244 p., 21 cm (ISBN 2867813964 et 9782867813962, OCLC 72757865, BNF 40190262, présentation en ligne), p. 90
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice de présentation d'Irouléguy
- Titres publiés par don José Yanguas y Miranda
- Derecho de naturaleza que la merindad de San-Juan-del-pie-del-puerto, una de las seys de Navarra, tiene en Castilla - 1622 petit in-4°
- Manuscrits du XVIIe et du XVIIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Cartulaire de Bayonne ou Livre d'Or - Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- Archives nationales K 1235, n° 21, citées par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 77.
- avec un cheptel composé de 23 chevaux, mulets ou juments, 1802 brebis, 157 vaches et 320 cochons
- avec un cheptel composé de 10 chevaux, mulets ou juments, 1166 brebis, 77 vaches et 225 cochons
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le dolmen d'Arrondo
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le dolmen d'Artxuita
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la ferme Etxeberria
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la chapelle Saint-André
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Vincent
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la chapelle Saint-Vincent
- [1][2], [3][4], Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les dalles funéraires
- [5][6][7][8][9][10][11][12], Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les croix du cimetière
- Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur la plaque commémorative du cimetière
- [13][14][15][16][17][18][19][20][21] [22][23][24][25][26][27][28][29], Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les stèles discoïdales
Pour approfondir[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
- Liste des communes des Pyrénées-Atlantiques
- Liste d'églises françaises à clocher-mur
- Main d'Irulegi, amulette découverte en 2021
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Communauté de communes Garazi Baigorri