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Gamarthe

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Gamarthe
Gamarthe
Le village de Gamarthe.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Jean-Michel Bicain
2020-2026
Code postal 64220
Code commune 64229
Démographie
Gentilé Gamartear
Population
municipale
128 hab. (2021 en évolution de +8,47 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 12′ 08″ nord, 1° 08′ 32″ ouest
Altitude Min. 196 m
Max. 642 m
Superficie 9,91 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Montagne Basque
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Gamarthe
Géolocalisation sur la carte : France
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Gamarthe
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Gamarthe
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Gamarthe

Gamarthe est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Gamartear[1].

Géographie

Localisation

Carte

La commune de Gamarthe se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 107 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 55 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 31 km de Mauléon-Licharre[5], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Jean-Pied-de-Port[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Ainhice-Mongelos (1,1 km), Lacarre (2,1 km), Bustince-Iriberry (3,3 km), Ibarrolle (3,9 km), Jaxu (4,0 km), Bussunarits-Sarrasquette (4,8 km), Larceveau-Arros-Cibits (5,2 km), Lantabat (5,6 km).

Sur le plan historique et culturel, Gamarthe fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9],[10]. La commune est dans le Pays de Cize (Garazi), au sud-est de ce territoire.

Hydrographie

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Gamarthe.

La commune est drainée par l'Arzubiko erreka, le ruisseau de Laminosine, arangorriko erreka, erreka Handia, le ruisseau Tosca, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 7 km de longueur totale[12],[Carte 1].

L'Arzubiko erreka, d'une longueur totale de 13,2 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Laurhibar à Saint-Jean-Pied-de-Port, après avoir traversé 7 communes[13].

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[14]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[15].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[14]

  • Moyenne annuelle de température : 13,2 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,3 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 13,1 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 1 523 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,9 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[17] complétée par des études régionales[18] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Irouleguy », sur la commune d'Irouléguy, mise en service en 1963[19] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[20],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 398,2 mm pour la période 1981-2010[21]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et à 44 km[22], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[23], à 14,3 °C pour 1981-2010[24], puis à 14,6 °C pour 1991-2020[25].

Milieux naturels et biodiversité

Réseau Natura 2000

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 7]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[27],[Carte 2] :

  • « la Nive », d'une superficie de 9 473 ha, un des rares bassins versants à accueillir l'ensemble des espèces de poissons migrateurs du territoire français, excepté l'Esturgeon européen[28] ;
  • « la Bidouze (cours d'eau) », d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[29].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 8] est recensée sur la commune[30],[Carte 3] : les « landes, bois et prairies du bassin de la Bidouze » (11 263,46 ha), couvrant 25 communes du département[31].

Urbanisme

Typologie

Gamarthe est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9],[32],[33],[34]. La commune est en outre hors attraction des villes[35],[36].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (32 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (28,9 %), zones agricoles hétérogènes (20,3 %), prairies (18,8 %)[37].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Lieux-dits et hameaux

  • Borde
  • Bordaburua

Voies de communication et transports

Gamarthe est desservie par les routes départementales D933 (ancienne route nationale 133) et D120.

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Gamarthe est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne)[38]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[39].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment l'Hartzubiko erreka. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009 et 2014[40],[38].

Gamarthe est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[41]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[42],[43].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[44]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[45].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Gamarthe.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[46]. 93 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10],[47].

Toponymie

Attestations anciennes

Le toponyme Gamarthe apparaît[48] sous les formes Amoart (1292[49]), Gamoart (1304[49] et 1513, titres de Pampelune[50] pour cette dernière date) et Sanctus Laurentius de Gamarte (1767, collations du diocèse de Bayonne[51]). Gamo désignant une source de nature particulière. Des sources ferrugineuses sont connues dans la commune[52].

Graphie basque

Son nom basque actuel est Gamarte[1].

Histoire

À l'époque romaine Gamarthe est situé dans le pagus de Cize[53] et peuplé par les Tarbelles. Il se trouve sur la voie romaine Bordeaux-Astorga, décrite par l'itinéraire d'Antonin. On en trouve quelques traces qui permettent de la situer. Le tracé adopté était Lacarre - Gamarthe Errekartea - Gamarthe bourg - Gamarthe Galcetaburu - Utxiat[54].

À l'élection présidentielle de 2012, lors du premier tour, cette commune a réalisé le second score le plus élevé de France en faveur de Philippe Poutou avec 14,29 % des voix exprimées[55].

Politique et administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1876   Esponde[56]    
1882   Pierre Etchegoin[57]    
avant 1988 2001 Jean-Claude Luro    
2001 2014 Jean-Baptiste Loyatho REG  
2014 En cours Jean-Michel Bicain EHBAI[58]  
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

La commune appartient à six structures intercommunales :

  • la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat Gamarthe - Lacarre ;
  • le syndicat intercommunal pour l'aménagement et la gestion de l'abattoir de Saint-Jean-Pied-de-Port ;
  • le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque ;
  • le syndicat scolaire du RPI Ainhice - Gamarthe - Lacarre.

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[59]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[60].

En 2021, la commune comptait 128 habitants[Note 11], en évolution de +8,47 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
271180279304289323312260262
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
260258239232250245238217219
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
214189192185185174169161159
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
137132113113105105113114123
2017 2021 - - - - - - -
126128-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[61] puis Insee à partir de 2006[62].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

La commune accueille la SARL Ferme Elizaldia (préparation industrielle de produits à base de viande) qui fait partie des cinquante premières[63] entreprises agroalimentaires du département.

Culture locale et patrimoine

Langues

D'après la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Gamarthe est le bas-navarrais oriental.

Patrimoine civil

La croix de Galcetaburu
La croix de Galzetaburu (XVIIIe siècle).
  • Les fermes Bidegainea[64] et Bordaburua[65] datent du XVIIe siècle.

Patrimoine religieux

Équipements

Personnalités liées à la commune

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[16].
  5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[26].
  8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  10. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Gamarthe » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Gamarthe », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Gamarthe », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
  6. César-François Cassini de Thuryl, « Carte générale de la France no. 140, feuillet 105 ».

Références

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  2. a b et c « Métadonnées de la commune de Gamarthe », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Gamarthe et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Gamarthe et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  5. Stephan Georg, « Distance entre Gamarthe et Mauléon-Licharre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Communes les plus proches de Gamarthe », sur www.villorama.com (consulté le ).
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
  8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
  9. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
  10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
  11. Carte IGN sous Géoportail
  12. « Fiche communale de Gamarthe », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  13. Sandre, « l'Arzubiko erreka ».
  14. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  15. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
  16. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  17. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  18. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  19. « Station Météo-France Irouleguy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  20. « Orthodromie entre Gamarthe et Irouléguy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  21. « Station Météo-France Irouleguy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  22. « Orthodromie entre Gamarthe et Anglet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  23. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
  24. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
  25. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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  50. Titres publiés par don José Yanguas y Miranda
  51. Manuscrits du XVIIe et du XVIIIe siècles - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
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  53. Paul Raymond, « Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées », Imprimerie Impériale,‎ (lire en ligne)
  54. Louis de Buffières et Jean-Michel Desbordes, De la voie romaine au chemin de Saint-Jacques : le franchissement du port de Cize, Eusko Ikaskuntza/Société d'Études basques, (ISBN 2-910023-80-X)
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  60. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  61. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  62. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  63. Classement des 50 premières entreprises agro-alimentaires, paru dans le journal Sud-Ouest
  64. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la ferme Bidegainea
  65. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la ferme Bordaburua
  66. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Laurent
  67. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la croix de Galcetaburu
  68. René Cuzacq, Les croix de pierre sculptées du pays basque français,

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