Marquillies

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Marquillies
Marquillies
Blason de Marquillies
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Lille
Intercommunalité Métropole européenne de Lille
Maire
Mandat
Dominique Dhennin
2020-2026
Code postal 59274
Code commune 59388
Démographie
Gentilé Marquillois, Marquilloises
Population
municipale
1 987 hab. (2020 en augmentation de 0,4 % par rapport à 2014)
Densité 288 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 33′ 24″ nord, 2° 52′ 17″ est
Altitude Min. 17 m
Max. 33 m
Superficie 6,91 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Marquillies
(ville-centre)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Annœullin
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Marquillies
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Marquillies
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Marquillies
Liens
Site web marquillies.fr

Marquillies [maʁkiji] est une commune française relevant du département du Nord et de la région Hauts-de-France. Elle fait partie de la Métropole européenne de Lille. Culturellement, le village est situé en Flandre romane dans le pays des Weppes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Marquillies dans son canton et son arrondissement

Situation[modifier | modifier le code]

Située au centre du triangle Lille-Béthune-Lens.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Marquillies
Wicres
Illies Marquillies Sainghin-en-Weppes
Salomé Hantay Billy-Berclau
La Libaude

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Dans le seul département du Nord, la Libaude traverse les six communes[1]. suivantes, de l'amont vers l'aval, de Fournes-en-Weppes (source), Sainghin-en-Weppes, Wicres, Illies, Hantay, et Marquillies (confluence).

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,8 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,1 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 707 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,2 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Richebourg », sur la commune de Richebourg, mise en service en 1990[8] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 762,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 17 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,8 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[14].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Marquillies est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Marquillies, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[18] et 3 799 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[19],[20].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[21],[22].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80 %), zones urbanisées (11 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,7 %), forêts (0,9 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1635, Jacques Anselme Adournes ou Adornes, seigneur de Marquillies, fils de Georges Lambert Adornes et de Jehanne de Hennin, possède un fief dit Peenhof à Craywick, dans la châtellenie de Bourbourg. Lui succède dans ce fief en 1662, Geneviève Adournes, dame de Marquillies (les hommes sont seigneurs de, les femmes dame de), Marcq, Nieuwliet, Nieuwenhove. Elle épouse Michel François de Wignacourt, comte de Flêtre. Le fief se transmet ensuite aux descendants des Wignacourt, comtes de Flêtre[24].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de Marquillies se blasonnent ainsi : "D'argent à la fasce d'azur."

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Maire en 1802-1803 : Aug. Jos. Buisine[25].

Maire en 1807 : Chombart[26].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1908 Alexandre Coget   Fabricant de sucre
Conseiller général
1920 Gustave Barrois    
1929 Henri Delemer    
1947 Max Barrois    
1953 Léon Dhennin    
1959 Albert Wexsteen    
1965 Prosper Leprovost    
1977 François Flouquet    
1995 Rémi Fénart    
Éric Bocquet PCF Sénateur du Nord depuis 2011
en cours Dominique Dhennin[27] SE  
Les données manquantes sont à compléter.

Tendances[modifier | modifier le code]

À l’élection présidentielle française de 2012, le premier tour a vu arriver en tête Nicolas Sarkozy avec 28 % (soit 355 voix), suivi de Marine Le Pen avec 22,32 % (soit 283 voix), suivie de François Hollande avec 20,82 % (soit 264 voix), puis de Jean-Luc Mélenchon avec 14,75 % (soit 187 voix) et enfin de François Bayrou avec 7,81 % (soit 99 voix), aucun autre candidat ne dépasse le seuil des 5 %.

Au second tour, les électeurs ont voté à 53,37 %, soit 626 voix, pour Nicolas Sarkozy contre 46,63 %, soit 547 voix, pour François Hollande, résultat relativement proche de l'inverse de celui de la moyenne nationale qui fut, au second tour, de 51,67 % pour François Hollande et 48,33 % pour Nicolas Sarkozy. Pour cette élection présidentielle, le taux de participation a été très élevé. Le nombre d'inscrits sur les listes électorales marquilloises étaient alors de 1 521. 83,04 %, soit 1 263 électeurs, ont participé aux votes, le taux d’abstention fut de 16,96 %, soit 258 électeurs. 5,92 %, soit 90 électeurs, ont effectué un vote blanc ou nul et enfin 1 173 suffrages, soit 77,12 %, ont été exprimés.

Les élections municipales de Marquillies 2014 marquent une nouvelle période politique pour le village. Après 19 ans sans opposition pour la liste PCF unique majoritaire conduite par Eric Bocquet, deux autres listes se déclarent : la première liste, Vivons notre Village, sans étiquette (DVG), conduite par François Hallaf; la dernière liste, Marquillies Autrement, conduite par Didier Damide (DVD).

Aux élections européennes du 28 mai 2019 sont arrivés en tête :

Aucune autre liste n'a dépassé les 5%.

Les élections municipales de Marquillies 2020 confirment la présence d'une opposition dans le village avec 2 listes présentées : Marquillies Autrement 2020, conduite par Didier Damide, et Agir Ensemble pour Marquillies, conduite par Dominique Dhennin.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Au terme des élections du , les résultats sont :

  • Vivons notre Village : 253 voix / 22.96 % (2 conseillers)
  • Agir Ensemble: 619 voix / 56.16 % (15 conseillers)
  • Marquillies Autrement: 230 voix / 20.87 % (2 conseillers)

Eric Bocquet est réélu maire pour la quatrième fois Maire de Marquillies. Il occupe en parallèle la fonction de conseiller communautaire à Lille Métropole, et sénateur du Nord depuis 2011.

Compte tenu de son poste de sénateur et dans le cadre de la loi de non cumul des mandats, Éric Bocquet renonce en 2017 à son poste de maire au profit de Dominique Dhennin (élu par 13 voix sur 19).

Le , deux listes se sont présentées et les résultats sont :

  • Agir Ensemble pour Marquillies : 465 voix / 59.76% (15 conseillers + un conseiller communautaire)
  • Marquillies Autrement 2020 : 313 voix / 40.23% (4 conseillers)

Dominique Dhennin conserve son poste de maire et Éric Bocquet est reconduit dans sa fonction de délégué communautaire au sein de la MEL.

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal d'instance de Lille, du tribunal de grande instance de Lille, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Lille, du tribunal de commerce de Tourcoing, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.

Population et vie sociale[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

En 2020, la commune comptait 1 987 habitants[Note 8], en augmentation de 0,4 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0229981 0451 0571 0511 1351 1491 0971 127
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0991 1291 1431 1851 1931 2271 1741 1881 209
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2371 2601 2961 3111 2161 1921 2161 2281 250
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 2491 3021 2971 3921 4451 6021 7521 7961 989
2018 2020 - - - - - - -
2 0081 987-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,1 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 972 hommes pour 1 036 femmes, soit un taux de 51,59 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
2,5 
2,7 
75-89 ans
7,5 
14,7 
60-74 ans
14,0 
22,2 
45-59 ans
20,5 
22,3 
30-44 ans
21,7 
15,6 
15-29 ans
14,3 
21,8 
0-14 ans
19,5 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Tissu associatif[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • La Bergerie, en laquelle existe un musée de l'attelage.
  • Le Bien Aller: Domaine de chasse privé de 500 hectares au relief varié (étangs, coteaux, buttes) et aux faune (canards, faisans, lapins) et flore abondantes. Le paysage, déjà naturellement bien doté, fut aussi façonné, sur plusieurs décennies, par les rejets de l'ancienne usine sucrière Béghin-Say qui exploitait des betteraves et ayant fermé en 1985. Il jouit d'une bonne notoriété dans le milieu de la chasse régionale[34].
  • Le château Coget.
  • La cloche patriotique.
  • L'école maternelle et primaire Jacques Prévert.
  • La ferme-modèle Barrois-Brame.
  • Le "foyer de vie" des Papillons Blancs où peuvent loger une cinquantaine de personnes, actif depuis le .
  • La maison de retraite Sainte-Geneviève. Jusque dans le milieu des années 1980, l'hospice était tenu par les sœurs de la congrégation des Filles de l'Enfant-Jésus. La maison de retraite actuelle est installée en cet ancien hospice mais aussi dans les nombreuses extensions construites depuis lors.
  • Les salles municipales Castel et Mandela.

Cultes[modifier | modifier le code]

Nef de l'église Sainte-Geneviève.
L'église Sainte-Geneviève.
  • L'église Sainte-Geneviève. Une chapelle Saint-Nicolas existait déjà vers 1650 et elle disposait d'une chapelle secondaire dédiée à sainte Geneviève. Il faudra attendre l'année 1700 pour voir s'ériger une église au vocable éponyme. Détruite pendant la première guerre mondiale, elle sera reconstruite après 1918.
  • La commune de Marquillies est intégrée à la paroisse catholique Saint-Paul en Weppes[35] dont font également partie Aubers, Herlies (lieu du presbytère), Illies et Wicres. L'abbé Frédéric Lefèvre en est son curé. La paroisse se trouve sur le doyenné Haubourdin-Weppes, qui fait lui-même partie du Diocèse de Lille.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Alain Bocquet (1946-), un homme politique français, député de 1978 à 2017, né à Marquillies.
  • Louis Bennett Jr. (1894-1918), pilote et as de l'aviation pendant la Première Guerre mondiale, abattu près de Marquillies.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Libaude (E3110640) » (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
  8. « Station Météo-France Richebourg - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Marquillies et Richebourg », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France Richebourg - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Marquillies et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Unité urbaine 2020 de Marquillies », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  24. Georges Dupas, Seigneuries et seigneurs de la châtellenie de Bourbourg, Coudekerque-Branche, Galaad Graal, , p. 102.
  25. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 274, lire en ligne.
  26. « Annuaire statistique du département du Nord Année 1807 », p. 140-141 (images 170-171).
  27. Raphaëlle Remande, « Dominique Dhennin remplace l’emblématique Éric Bocquet au poste de maire, « on continue le travail ! » : Dominique Dhennin, très connu à Marquillies pour ses engagements associatifs et ancien deuxième adjoint, a été élu maire par 13 voix sur 19, ce lundi soir. C’est lui qui va avoir la lourde tâche de remplacer Éric Bocquet, élu sénateur. On vous raconte la soirée en moments forts. », La Voix du Nord,‎ 121/11/2017 (lire en ligne, consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Marquillies (59388) », (consulté le ).
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  34. Le Point, no 2048 (édition régionale "spécial Lille", article Partie de chasse à Marquillies), du jeudi 15 décembre 2011, page VI du cahier spécial.
  35. Page internet de la paroisse Saint-Paul en Weppes