Tourmignies

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Tourmignies
Tourmignies
L’église Saint-Pierre de Tourmignies à l’entrée du village en venant de la petite route d’Attiches.
Blason de Tourmignies
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Lille
Intercommunalité Communauté de communes Pévèle-Carembault
Maire
Mandat
Alain Duchesne
2020-2026
Code postal 59551
Code commune 59600
Démographie
Population
municipale
947 hab. (2021 en augmentation de 9,23 % par rapport à 2015)
Densité 467 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 30′ 27″ nord, 3° 05′ 06″ est
Altitude Min. 37 m
Max. 49 m
Superficie 2,03 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Templeuve-en-Pévèle
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Tourmignies
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Tourmignies
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Tourmignies
Liens
Site web [www.tourmgnies.fr]

Tourmignies est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.

Le nom jeté des habitants de Tourmignies est les berlafards[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Tourmignies dans son canton et son arrondissement.

Situation[modifier | modifier le code]

Tourmignies est située à l'est de la forêt domaniale de Phalempin et à 2,4 km de Mérignies, 2,7 km d'Attiches, 3,7 km d'Avelin, 5,1 km de Thumeries et 4,6 km de Mons-en-Pévèle.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Tourmignies
Avelin
Attiches Tourmignies Mérignies
Mons-en-Pévèle

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 677 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cappelle-en-Pévèle à 6 km à vol d'oiseau[4], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 736,6 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Tourmignies est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,6 %), zones urbanisées (25,3 %), forêts (12,2 %), zones agricoles hétérogènes (8,9 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponyme[modifier | modifier le code]

Noms anciens : Tourmegnies, en 1187, par titre de Saint-Piat, à Seclin (Mirœus). Thormengnies, 1222, cart. de l'abbaye de Vicognc. Tourmingnies, 1387, cart. de Loos. Tormengny.Tormengy.

Le nom viendrait d'un anthroponyme germanique, Thuramǣr : Thuramǣriacas, « appartenant à Thuramǣr » (nom formé de þuran, oser et de mǣri-, renommé)[14].

Histoire[modifier | modifier le code]

L'autel de Tourmignies, un terrage et d'autres revenus appartenaient au chapitre de Seclin, qui fut confirmé dans cette possession par une bulle du pape Clément III, .

La famille d'Assignies marque l'histoire de la commune, où elle possède des biens dont le domaine d'Assignies, sur lequel se trouve le vestige du château d'Assignies.

En 1478, Luc de Cuinghien, écuyer, époux de Jeanne du Bosquiel, est seigneur de Tourmignies[15].

La paroisse est le siège d'une seigneurie détenue aux XVIIe et XVIIIe siècles par la famille Scherer devenue ensuite Scherer de Scherbourg.

Diethelm Scherer, natif et originaire de Saint-Galle en Suisse, principauté de l'Empire (Saint-Empire romain germanique), établi à Lille en 1626, reçoit le , des lettres données à Linz par l'empereur Ferdinand III, le faisant noble et l'autorisant lui et ses descendants à prendre la qualité de chevalier banneret et de porter le nom de Scherer de Scherbourg[16].

Guillaume-Eubert Scherer (1643-1720), chevalier, seigneur de Scherbourg, Le Prée et de Tourmignies, acquise en 1694, est le fils de Diethelm et de Catherine Le Chire. Il est baptisé à Lille le , est d'abord négociant à Lille, devient bourgeois de Lille le , est confirmé dans sa noblesse et dans sa chevalerie par les États généraux des Provinces Unies le à qui il avait adressé une demande en ce sens. Il meurt le , à 77 ans, est inhumé dans l'église de Tourmignies. Il épouse à Lille le Marie-Catherine Ricourt (1653-1699), fille de Jean, marchand teinturier, bourgeois de Lille, et de Marie Briez. Elle nait à Lille en octobre 1653 (baptisée le ) et meurt le [16],[17].

Gabriel-Eubert-Joseph Scherer de Scherbourg (1710-1787), chevalier, est seigneur de Tourmignies, La Prée. Fils de Gabriel-Eubert, chevalier, et d'Isabelle-Catherine Carpentier, il est baptisé à Lille le , devient bourgeois de Lille le et meurt à Lille le , à 77 ans. Il épouse à Lille le Marie-Alexandrine Hespel (1715-1781), dame de Vendeville (les hommes sont seigneur de, les femmes sont dame de), Beaumanoir. Fille de Jean-Baptiste, écuyer, seigneur de Vendeville, bourgeois de Lille, receveur des Bonnes filles (hôpital pour orphelines)[18], elle est baptisée à Lille le et meurt à Lille le à 66 ans[19]

Leur fils, Alexandre-Joseph (1747-1790), chevalier, est seigneur de Tourmignies, Ricarmez, Vendeville. Il est baptisé à Tourmignies le , devient bourgeois de Lille le . Il meurt à Douai le de la chute d'une planche tombée du beffroi, est inhumé à Seclin. Il épouse à Lille le Élisabeth-Françoise-Pélagie Percourt (1750-1827), dame de Le Becq, fille de Gilbert-François-Joseph, écuyer, seigneur de le Becq, bourgeois de Lille, et d'Élisabeth-Thérèse Lefebvre, dame de Schoonvelde, d'Egouthières. L'épouse est baptisée à Lille le et meurt le , à 77 ans[20].

Au moment de la Révolution française, la seigneurie est détenue par Louis-Alexandre-Joseph Scherer de Scherbourg (1771-1847), écuyer, fils d'Alexandre-Joseph. Il est baptisé à Lille le et meurt le , à l'âge de 76 ans. Il épouse Marie-Rosalie-Sophie-Joseph de Surmont, fille de Philippe-Jacques-Joseph, seigneur de Bersée, bourgeois de Lille, conseiller secrétaire du roi, et de Marie-Sabine-Joseph de Madre. Elle est baptisée à Lille le et meurt à Lille le à 76 ans[21].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Tourmignies

Les armes de la commune de Tourmignies se blasonnent ainsi :
De gueules à la fasce d'hermine. [22]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Maire en 1802-1803 :J. J. Cauvez[23].

Maire en 1807 : Bottel[24].


Maire en 1881 : Cambier[25].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2005 Jean-Louis Wambre    
2005 En cours Alain Duchesne
Réélu pour le mandat 2020-2026 [26]
MoDem  
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

En 2021, la commune comptait 947 habitants[Note 3], en augmentation de 9,23 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
363363378407503502499495501
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
520550543577554540536565520
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
538564572553540523503505509
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
534505576596615756707694686
2014 2019 2021 - - - - - -
837903947------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,7 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 448 hommes pour 448 femmes, soit un taux de 50 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,9 
2,3 
75-89 ans
3,8 
13,5 
60-74 ans
14,9 
22,7 
45-59 ans
19,4 
22,5 
30-44 ans
27,0 
16,0 
15-29 ans
11,3 
23,0 
0-14 ans
22,7 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Pierre

L'église Saint-Pierre-à-Antioche est classée Monument historique. Le patronyme est Chaire de Saint-Pierre à Antioche. Cette fête célèbre le pouvoir spirituel de Pierre, tant en orient (Antioche) qu'en occident (Rome). L'église est citée pour la première fois dans les textes en 1188. Elle dépendait de Seclin qui nommait le curé. Dans l'église, on y voit des fonts baptismaux en pierre de Tournai, qui portent une inscription. Il y existe une pierre tumulaire à la mémoire de M. Scherer de Vendeville, écuyer, officier des gardes wallonnes.

Château d'Assignies

Le château d'Assignies, (Famille d'Assignies) construit entre 1870 et 1876 d'après les plans de Léon Ohnet et Henri Meurillon, appartenait à la famille industrielle lilloise des Boutry-Van Isselstein. Il a été détruit lors de la Première Guerre mondiale, en 1917.

Salle Robert Bonte

Présentation de la salle des fêtes "Robert Bonte" située en face de la mairie de Tourmignies. Cette salle a été construite dans les années 1970, sous le mandat de Robert Bonte. Déconstruction en 2012, elle a été reconstruite en 2013 par l'architecte Boualem Chelouti.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Tourmignies Au fil du temps »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Tourmignies et Cappelle-en-Pévèle », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Cappelle-en-Pev » (commune de Cappelle-en-Pévèle) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Cappelle-en-Pev » (commune de Cappelle-en-Pévèle) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Maurits Gysseling: Toponymisch Woordenboek (1960) p. 973 », sur bouwstoffen.kantl.be (consulté le )
  15. Amédée le Boucq de Ternas, Henri Fremaux, Histoire généalogique de la famille de Tenrémonde, originaire de la Flandre-Wallonne, 1268 à 1864, Douai, 1870, p. 72, lire en ligne.
  16. a et b Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 272-273, lire en ligne.
  17. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.396 (lire en ligne).
  18. Association du Musée Hospitalier Régional de Lille, « Lille - Maison des orphelines de la Conception de la Vierge, dit les Bonnes Filles », sur patrimoinehospitalierdunord.fr (consulté le ).
  19. Paul-Denis du Péage, Recueil de généalogies lilloises, tome II, Lille, 1907, p. 728-729, lire en ligne.
  20. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.382 (lire en ligne).
  21. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.170-171 (lire en ligne).
  22. « labanquedublason2.com/lecture_… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  23. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 274, lire en ligne.
  24. « Annuaire statistique du département du Nord. Année 1807 », sur lillonum.univ-lille.fr, p. 152-153. Images 182-183.
  25. « Le Petit Nord : journal politique quotidien ["puis" journal républicain quotidien du matin "puis" journal républicain absolument indépendant] », sur Gallica, (consulté le ), p. 2-3..
  26. « Welcome to nginx! », sur cafeyn.co (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Tourmignies (59600) », (consulté le ).
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  33. Louis Baunard, Oraison funèbre de Mgr Dennel, 1891