Gruson

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Gruson
Gruson
L'église de Gruson.
Blason de Gruson
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Lille
Intercommunalité Métropole européenne de Lille
Maire
Mandat
Olivier Turpin
2020-2026
Code postal 59152
Code commune 59275
Démographie
Gentilé Grusonnois
Population
municipale
1 246 hab. (2020 en augmentation de 8,92 % par rapport à 2014)
Densité 398 hab./km2
Population
agglomération
1 053 636 hab. (2020)
Géographie
Coordonnées 50° 35′ 43″ nord, 3° 12′ 25″ est
Altitude Min. 24 m
Max. 53 m
Superficie 3,13 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Lille (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Templeuve-en-Pévèle
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.mairie-gruson.fr

Gruson est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France. Elle fait partie de la Métropole européenne de Lille.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

  • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,5 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,3 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 702 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,2 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944[7] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[9] à 10,8 °C pour 1981-2010[10], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Gruson est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lille (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 60 communes[15] et 1 053 636 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lille (partie française) est la quatrième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon et Marseille-Aix-en-Provence[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,9 %), zones urbanisées (26,1 %), forêts (4,1 %), prairies (2 %)[20].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

Histoire[modifier | modifier le code]

Dans le cartulaire « de Villis » de Charlemagne daté de 812, Gruson dépend, comme Ascq et Flers, du fisc d'Annappes[22].

Dénommée Graeeina en 867 dans le testament d'Évrard de Frioul, fondateur de l'abbaye de Cysoing. En 1180, l'église et la dîme furent attribuées à l'abbaye de Cysoing. La bataille de Bouvines (1214) eut lieu en partie sur le territoire de cette commune.

En 1576, le curé Jean Renard fut massacré par les Gueux.

En août 1693, sont érigées en marquisat (titre de marquis), les terres d'Anstaing et de Gruson, situées dans la châtellenie de Lille, sous la dénomination de marquisat de Fiennes, par lettres données à Versailles et enregistrées le 31 octobre 1699[23].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Gruson (59) Nord-France.svg

Les armes de Gruson[Note 7] se blasonnent ainsi : De sinople à la fasce d'hermine.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1801 Noël-Joseph Barbieux
Adjoint : Joseph Serrurier
   
1801 30 décembre 1829 Louis-Joseph Libert    
1830 1867 Jean-Baptiste Libert fils du précédent  
1867 6 mars 1889 Alfred Libert
Adjoint : Henri Dutilleul
fils du précédent  
1889 1896 Henri Dutilleul
Adjoint : François Decalonne
   
1896 1908 Clovis Dutilleul
Adjoint : François Decalonne
   
1908 1919 Jean-Baptiste Desruelle-Libert
Adjoint : François Decalonne
   
1919 1924 Adolphe Wartel    
1924 1935 Lucien Dutilleul fils de Henri Dutilleul  
1935   Louis Sauvaige-Mulliez
Adjoint : Raymond Thieffry
   
1954 mars 1983 Gérard Delerue    
2020 Aimé Duquenne
Adjoint : Frédéric Crépin
DVD Agriculteur retraité[24]
2020 en cours Olivier Turpin [25]
Adjoint : Mélanie Dazin-Deslandes
  Gestionnaire financier et administratif
Les données manquantes sont à compléter.

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal d'instance de Lille, du tribunal de grande instance de Lille, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Lille, du tribunal de commerce de Tourcoing, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

En 2020, la commune comptait 1 246 habitants[Note 8], en augmentation de 8,92 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
310311352347393398397400397
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
387394400400396382385394392
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
409396426396423436442458455
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
4755716437679321 1941 1341 1311 145
2015 2020 - - - - - - -
1 1431 246-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,3 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 611 hommes pour 677 femmes, soit un taux de 52,56 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
0,3 
6,9 
75-89 ans
7,6 
23,0 
60-74 ans
22,3 
22,3 
45-59 ans
22,9 
14,9 
30-44 ans
13,6 
15,9 
15-29 ans
16,5 
16,4 
0-14 ans
16,8 
Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,1 
75-89 ans
8,1 
14,3 
60-74 ans
15,6 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,6 
30-44 ans
18,7 
20,7 
15-29 ans
19,1 
20,7 
0-14 ans
18,5 

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Les pavés du Nord[modifier | modifier le code]

Carrefour de l'Arbre, secteur 4 du Paris-Roubaix

La commune est également connue pour le célèbre Carrefour de l'Arbre où la course cycliste le secteur 4 du Paris-Roubaix y passe tous les ans.

Les Monuments religieux[modifier | modifier le code]

La Croix et Christ (datés 1356) sont sculptés dans un seul bloc de pierre
  • L’église Notre-Dame de la Visitation (XIXe siècle), où l'on vénère Saint Gangon ou (Gengoult) pour la guérison des maux de jambes ou le rétablissement de la paix dans les ménages. L'orgue de tribune, qui n'est plus actuellement utilisé, est d'une importance inhabituelle, eu égard à la taille de l'édifice.
  • Le calvaire appelé « Le Bon Dieu de pierre » (XIVe siècle), à l’angle de la rue du Château et de la rue Neuve, provient de l'abbaye de Cysoing

Les Édifices publics[modifier | modifier le code]

Gruson.-  Panneau d'entrée de la commune

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Pierre Serrurier (1625-1712), bailli de Gruson, censier du Coulombier et propriétaire de la taverne de L'Aigle noir.
  • Nicolas Serrurier (1650-1708), fils du précédent, lieutenant de Gruson.
  • Jean Serrurier (1690-1737), fils du précédent, bailli de Gruson et d'Anstaing.
  • Vers 1694, était décédé un François de Gruson. Il était conseiller à la gouvernance de Béthune, non noble et mort le 15 août 1694. À cette date, son épouse, Florence Galbart, qui elle relevait d'une « noble et ancienne famille », a reçu des lettres de réhabilitation (lettres de justice; ici lettres confirmant son état de noblesse) venant de Versailles, donc du roi. L'épouse a demandé une telle mesure car elle craignait que les habitants de la paroisse où elle résidait ne veuillent la faire inscrire au rôle des tailles du fait de la condition sociale de son mari, autrement dit lui faire payer des impôts, auxquels sa reconnaissance de noblesse lui permet d'échapper[32].
  • Maximilien de Fiennes, chevalier, comte de Lumbres, maréchal des camps et armées du roi, par lettres données à Versailles en août 1693 et enregistrées le 31 octobre 1699, bénéfice du titre de marquis de Fiennes du fait de l'érection en marquisat des terres d'Anstaing et de Gruson. il reçoit ce titre en récompense des services rendus comme maréchal des camps, brigadier et maître de camp d'un régiment de cavalerie. Dans les divers commandements exercés, il a fait preuve de valeur et courage. Il le doit également à sa famille qui est une des plus illustres des Pays-bas. Elle a possédé des charges considérables et a donné un connétable à la France sous le règne des rois Jean (Jean le Bon) et Charles V. Elle est alliée aux maisons les plus qualifiées dudit pays, et dont le fils, le comte de Fiennes rend journellement de grands services au roi en qualité de mestre de camp d'un régiment de cavalerie. En cas de non succession mâle ou femelle, le marquisat sera éteint. Maximilien de Fiennes négligea de faire enregistrer ces lettres, et obtient des lettres de surannation datées de Versailles le 26 septembre 1698[23].
  • Adélaïde Félicité de Fiennes, fille de Maximilien a épousé Marie Joseph de Matharel, marquis de Matharel, chevalier de l'ordre de Saint-Louis, gouverneur des ville et château de Honfleur. En juillet 1776, sont données à Versailles des lettres autorisant leur fils Auguste Joseph Félicité de Matharel et sa postérité à ajouter à son nom et à ses armes, celui et celles de Fiennes du Bois[33].
  • Joseph Serrurier (1765-1824), adjoint au maire de Gruson.
  • Louis Baunard (1828-1919), éminent prélat, recteur de l'université catholique de Lille, écrivain, habitant de Gruson pendant les 17 dernières années de sa vie

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Les armes sont identiques à celles de Wicres et de Estrées.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
  7. « Station météofrance Lille-Lesquin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre Gruson et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  10. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  11. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Lille (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  16. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  22. « Ascq sous Charlemagne en l'an 800 », Part. 1, Chap. 2, pages 13 à 16, Essai de l'histoire d'Ascq et de ses environs, P. Delebart, Imprimerie R. Boulonnais, Ascq, 1952.
  23. a et b Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 352, lire en ligne.
  24. « Résultats municipales 2020 à Gruson », sur lemonde.fr (consulté le ).
  25. « - Olivier Turpin élu maire de Gruson, sans l’écharpe mais avec le masque », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Gruson (59275) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  32. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 59, lire en ligne.
  33. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 112, lire en ligne