Lys-lez-Lannoy
Lys-lez-Lannoy | |||||
![]() La mairie. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Lille | ||||
Intercommunalité | Métropole européenne de Lille | ||||
Maire Mandat |
Charles-Alexandre PROKOPOWICZ 2020-2026 |
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Code postal | 59390 | ||||
Code commune | 59367 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lyssois | ||||
Population municipale |
13 797 hab. (2020 ![]() |
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Densité | 4 232 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
1 053 636 hab. (2020) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 40′ 20″ nord, 3° 12′ 55″ est | ||||
Altitude | Min. 20 m Max. 39 m |
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Superficie | 3,26 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Lille (partie française) (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Croix | ||||
Législatives | Septième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Métropole européenne de Lille
Géolocalisation sur la carte : Nord
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Liens | |||||
Site web | http://lyslezlannoy.fr/ | ||||
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Lys-lez-Lannoy [lis le lanwa] est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France. Elle fait partie de la Métropole européenne de Lille.
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
Lys-lez-Lannoy est attenante à la ville de Roubaix, à proximité de la Belgique. Cette ville est située dans le canton de Croix depuis 2015, avant cette date la ville était comprise dans le canton de Lannoy.
Elle fait partie de l'arrondissement de Lille, de la Métropole européenne de Lille et de la septième circonscription du Nord.
Quartiers[modifier | modifier le code]
- Bon Poste-Nouveau Monde
- Justice-Lavandière
- Cohem-Vert Pré
- Centre
- Fresnoy
- Saint-Luc
Climat[modifier | modifier le code]
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Roubaix », sur la commune de Roubaix, mise en service en 1965[7] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 833,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 12 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Lys-lez-Lannoy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lille (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 60 communes[17] et 1 053 636 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lille (partie française) est la quatrième de France en nombre d'habitants, derrière celles de Paris, Lyon et Marseille-Aix-en-Provence[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune du pôle principal[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[20],[21].
Occupation des sols[modifier | modifier le code]
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (99,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (91,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (70 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (29,8 %), terres arables (0,2 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]
Par le passé, jusque dans les années 1980, la ville possédait une gare commune avec la ville de Lannoy appelée Lannoy-Lys et une ligne de Mongy (Tramway) reliant la ville de Toufflers à Roubaix. La gare est édifiée en 1878 et détruite en 1983[23].
La commune est desservie, en 2023, par les Lianes 3 et 4, les lignes 33, 60E, 66, 78, 910, 945, 967, 968, CIT5 et par la ligne de transport à la demande 23R du réseau Ilévia[24].
Toponymie[modifier | modifier le code]
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Lannoy-du-Nord[25].
Ses habitants sont appelés les Lyssois[26].
Histoire[modifier | modifier le code]
Avant 1789[modifier | modifier le code]
Des fouilles archéologiques menées en 1984 ont permis de prouver que le territoire de Lys était occupé dès l'époque gallo-romaine. Le premier document certain attestant l'existence de Lys-lez-Lannoy (orthographié Lis) date de 1164. L'histoire de cette ville est indissociable de la ville de Lannoy. Plusieurs fois ces villes furent en conflit à propos d'une fusion.
Lys-les-Lannoy était avant la Révolution française, le siège de plusieurs fiefs donnant à leur possesseur le titre de seigneur.
Millécamps était un de ces fiefs. Peu avant 1789, il est détenu par un membre de la famille de Ghesquière, seigneurs de Nieppe et de Stradin (sur Houthem), etc. : Ignace François Ghesquière (1710-1772), écuyer, fils de Pierre Ghesquière II, est seigneur de Stradin après son père. Il nait à Lille en janvier 1710 (baptisé le ). Après sa réclamation du , il est convoqué aux assemblées des nobles de Flandre. Il est également seigneur de Millécamps, fief pour lequel il verse le relief (paye les taxes) le au prince de Rohan (sans doute Charles de Rohan-Soubise) du fait de son marquisat de Roubaix. Il est ministre général de la bourse des pauvres, receveur de la maison des Vieux Hommes à Lille de 1741 à 1762. Il devient seigneur de Nieppe après la mort de son neveu Louis Balthazar Joseph, et en verse le relief le . Il meurt célibataire le [27],[28].
En 1772, Jean Marie Joseph Ghesquière (1755-1791) hérite du fief de Millécamps et succède à son oncle Ignace François. Il est le dernier seigneur de Millécamps (la Révolution française, abolit les titres de noblesse, de seigneur etc.). Jean Marie Joseph Ghesquière est le fils de François Michel Ghesquière, écuyer, seigneur de Nieppe, de Stradin, de Warenghien (sur Avelin), échevin de Lille, trésorier héréditaire de la ville de Lille, administrateur de la charité générale, marguillier de la paroisse de La Madeleine à Lille, et de Marie Claire Chappuzeau de Beaugé. Il nait à Lille en septembre 1755 (baptisé le ), meurt sans alliance à Lille le , est inhumé dans l'église de Nieppe. Il a été officier au régiment provincial de Lille en 1774[29]. Il est le frère jumeau de Michel Antoine Joseph Ghesquière(1755-1788), seigneur de Warenghien[30].
Depuis 1789[modifier | modifier le code]
Au XIXe siècle, il y eut un mariage forcé des deux communes, proposé par le maire de Lannoy et autorisé par le préfet du Nord en . Le Conseil d'État, dans l'un de ses arrêts, a annulé cette union forcée le [23]. À la même époque, la ville se développe avec l'essor industriel. Elle accueille en particulier plusieurs filatures, laineries…
La commune, au cours des deux guerres mondiales, a été occupée par les Allemands. Pour la Seconde Guerre mondiale, elle a été libérée par les troupes anglaises et polonaises qui ont stationné dans les châteaux de la ville de Lannoy.
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Politique de développement durable[modifier | modifier le code]
La commune s’est engagée dans une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[31].
Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]
La commune relève du Tribunal judiciaire de Lille, de la Cour d'appel de Douai, du Tribunal pour enfants de Lille, du tribunal de commerce de Lille Métropole, du Tribunal administratif de Lille et de la Cour administrative d'appel de Douai.
Jumelages[modifier | modifier le code]
La ville de Lys-lez-Lannoy est jumelée depuis 1991 avec la ville de Lotte en Allemagne.
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
Évolution démographique[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[32],[Note 8].
En 2020, la commune comptait 13 797 habitants[Note 9], en augmentation de 2,75 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges[modifier | modifier le code]
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,1 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 6 504 hommes pour 6 967 femmes, soit un taux de 51,72 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement[modifier | modifier le code]
Écoles maternelles[modifier | modifier le code]
- Anatole-France
- Marie-Curie
- Paul-Bert
- Saint-Luc (privé)
- Petit-Prince
Écoles primaires[modifier | modifier le code]
- Petit-Prince
- Paul-Bert
- Saint-Luc (privé)
Enseignement secondaire[modifier | modifier le code]
- Collège Léon-Gambetta
- E.R.E.A. établissement régional d'enseignement adaptée
Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

La commune possède un géant (gayant) nommé Astruc mais celui-ci n'est pas l'original car il fut détruit dans un incendie au début du XXe siècle. Il fut reconstruit dans les années 1980 sous l'impulsion de l'adjoint à l'animation de cette époque, Daniel Chabasse, qui fut maire de la commune plus tard.
- Salon de la bande dessinée « Bulles en Nord »
- Festivités du Fresnoy (fin aout)
- Braderies annuelles des 1er et
Sports[modifier | modifier le code]
- Stade Jean-Cholle
- Complexe Léo-Lagrange
- Complexe Jules-Ferry
- Salle de Judo et boxe
- Piscine des trois villes partagée avec les villes de Hem et Roubaix
- Terrain multisports[36]
- Clubs sportifs
- CP Lys-lez-Lannoy Lille Métropole pour le tennis de table, championnes de France de Pro A en 2011, championnes d'Europe en 2016
- La Stella Lys pour le football
- Mouvement Volley-ball Lyssois pour le volley-ball
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- Église Saint-Luc de 1904
- Monument aux morts dans le cimetière
- Monument du souvenir (guerre mondiale) dans le quartier du Bon Poste
- Chapelle du Nouveau Monde
Équipements culturels[modifier | modifier le code]
- L'espace culturel Agora
- La Ferme du Gauquier
Salles des fêtes[modifier | modifier le code]
- Salle des fêtes André-Desmulliez
- Salle des fêtes Éden
Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]
- Parc Maréchal
- Parc urbain Éden
- Square du Général-de-Gaulle
- La trouée verte sur l'emplacement de l'ancienne voie ferrée
- Parc Jean-Ferrat (anciennement Parc aux Biches)
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Arnaud Tournant, champion du monde de cyclisme.
- Dinah Derycke, femme politique française, sénatrice du Nord, de 1997 à 2002.
- Pilamm (1929-2005), dessinateur de bandes dessinées.
Héraldique[modifier | modifier le code]
Les armes de Lys-lez-Lannoy se blasonnent ainsi : |
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Pour approfondir[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes[modifier | modifier le code]
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références[modifier | modifier le code]
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le ).
- « Station Météo-France Roubaix - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lys-lez-Lannoy et Roubaix », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Roubaix - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lys-lez-Lannoy et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Lille (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Bernard Moreau, « La gare de Lannoy », sur histoirederoubaix.com, Société d'émulation de Roubaix (consulté le ).
- « Plan du réseau Ilévia 2022-2023 » [PDF], sur ilevia.fr, (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.
- Amédée de (Chevalier) Auteur du texte Ternas, Notice généalogique sur la famille de Bouteville, d'après les manuscrits de M. le chevalier Amédée de Ternas,... publiée par sa famille, suivie des généalogies des Masse de Combles, Ghesquière de Stradin, Linart d'Aveluy, Vaillant de Bovent de Brusle, et de Pieffort, (lire en ligne), p. 103-108.
- Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12, 1906-1909, p.307 (lire en ligne).
- Amédée de Ternas, Notice généalogique sur la famille de Bouteville, déjà cité, p. 109-112.
- Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12, 1906-1909, p.309 (lire en ligne).
- FICHE | Agenda 21 de Territoires - Lys-lez-Lannoy, consultée le 7 novembre 2017
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lys-lez-Lannoy (59367) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- « références »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur terrains multisports 3R Playground, (consulté le ).