Liste d'épées légendaires

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La liste des épées légendaires recense les épées qui ont été assez fameuses pour qu’on leur ait attribué des noms propres que les légendes, mythologies ou textes religieux ont conservés.

Pour les épées dans la fiction récente (cinéma, séries, romans, jeux vidéo, etc.), voir :

Pour les autres objets légendaires, voir :

Épées de la Matière de France[modifier | modifier le code]

Épées du Cycle de la croisade[modifier | modifier le code]

Autres épées de France[modifier | modifier le code]

Épées d'Espagne[modifier | modifier le code]

Épées de la légende arthurienne[modifier | modifier le code]

Arthur extrait l'épée de la pierre, dans le poème Merlin de Robert de Boron (XIIIe siècle). Par Howard Pyle (1903).

Épées de la mythologie celtique[modifier | modifier le code]

  • Answerer « celle qui répond », autre nom de Fragarach.
  • Beagalltach (la « petite furie ») est une épée donnée au Fianna Diarmuid Ua Duibhne par son père adoptif le dieu solaire Oengus (en même temps que Moralltach). Diarmuid la brise en morceaux en combattant le sanglier géant qui lui sera fatal[29].
  • Caladbolg (« dur tranchant ») est l’épée magique de Fergus Mac Roeg dans la mythologie celtique irlandaise, ou du moins connu Fergus mac Léti (en) (sous le nom de Calacholg, « dure lame »). À partir du Xe siècle le nom prend (au pluriel et par antonomase) le sens commun d’« épées glorieuses ». C'était une épée à deux mains, dont la pointe traçait des arcs-en-ciel quand on la maniait, et qui avait le pouvoir de massacrer une armée entière. Empêché de tuer Conchobar Mac Nessa, Fergus Mac Roeg dévie son coup et arase trois collines[30]. Elle est assimilée à l’Excalibur de la légende arthurienne.
  • Ceard-nan Gallan (« forgeron des branches »), l’épée du héros irlandais Oisín[31].
  • Claíomh Solais (« épée de lumière » ou « brillante épée » en irlandais) apparaît à plusieurs reprises dans le folklore gaélique d’Irlande et d’Écosse[32]. Elle a parfois été assimilée à Excalibur[33] ou plus récemment à l'épée de Nuada[34].
Timbre irlandais à l’effigie de l’épée de lumière, 1922-1923.
La mort de Cuchulainn, Stephen Reid, 1904.
  • Dyrnwyn (en) (« poignée blanche ») est l'épée du roi écossais Rhydderch Hael et l'un des treize trésors de l'île de Bretagne (en) dans la mythologie celtique. Sa lame s’enflammait quand elle était maniée par un homme de valeur.
  • Fragarach (en) est l’épée que porte Lug dans la mythologie irlandaise. Elle avait été forgée par les dieux et lui fut donnée selon les versions soit par son prédécesseur Nuada qui combattait avec lorsqu’il perdit son bras dans un combat, soit[37] par Manannan Mac Lir, le dieu marin gardien de l'île de Man dans la mythologie celtique irlandaise. Seul était digne de la porter celui qui, la plaçant sur la pierre du destin, l’entendait murmurer en réponse au rugissement du roc, d’où ses surnoms de Whisperer et Answerer. Nul ne pouvait proférer un mensonge avec sa lame posée sur sa gorge. On disait que qui la portait commandait aux vents, qu’aucune armure, qu’aucun mur ne lui résistait et que personne ne se relevait des blessures qu’elle infligeait.[réf. souhaitée]
Manannán mac Lir, d’après John Sutton.
Fionn mac Cumhaill, illustration de Stephen Reid

Autres épées des îles Britanniques[modifier | modifier le code]

  • Adolake, Adylok ou Hatheloke (orthographe non fixée dans le texte) l’épée forgée par Wayland de sir Torrent of Portyngale, dans Le Roman de Torrent de Portyngale (en), composé en Angleterre vers 1400[41].
  • Bitterfer « reine des épées », forgée par Völund[42] et remise au jeune roi de Suddene (île imaginaire de Grande-Bretagne) Horn par la fille du roi des Sarrasins Rimnild dans le roman anglais du XIVe siècle Horn Childe and Maiden Rimnild[1],[43].
  • Brainbiter, l'épée de Hereward le Proscrit, résistant anglais à la conquête normande des îles Britanniques[44].
  • Chrysaor, l’épée dorée de Sir Artegal dans le poème épique du XVIe siècle La Reine des fées[45].
  • Crocea Mors (« mort jaune » en latin) est — selon une légende rapportée par Geoffrey de Monmouth — une épée de Jules César. Lors d’un combat singulier, celui-ci la planta dans le bouclier du prince britannique Nennius de Bretagne (en), qui la récupéra et poursuivit la bataille avec, tuant tout ennemi qu’il frappait. Nennius mourut cependant quelques jours après l’affrontement, des suites d’une blessure que César lui avait infligée à la tête. Il fut enterré avec Crocea Mors[46].
  • Curtana ou épée de la Miséricorde (cf. Courtain dans la partie "Épées de la Matière de France" et Courtain dans "Épées de la légende arthurienne") est une épée utilisée lors des couronnements des rois d’Angleterre. Sa pointe est tronquée, symbolisant la pitié. Elle fait partie des joyaux de la couronne. Qu'elle ait appartenu à Édouard le Confesseur est une légende sans grand fondement ; on lui prête un lien avec l'épée Courtain, que ceignent Tristan puis Ogier.
Curtana (1919).
  • Egeking est l’épée aux pouvoirs surnaturels qui arme sir Graham (ou Syr Gryme) dans le poème médiéval écossais Greysteil (en). Forgée au-delà de la Méditerranée pour le prix d’un joyau, elle lui est offerte par la tante de son ami Eger[47].
  • Hrunting, l'une des deux épées magiques de Beowulf. Bien que dotée de grands pouvoirs, elle se révèle inefficace dans le combat du héros contre la mère de Grendel[48].
  • Morgelai est l’épée avec laquelle le roi « Hermine d’Arménie » arme chevalier Beuve de Hanstone et qu’il lui offre[49] dans le poème Beves of Hamtoun (en)
  • Næglind ou Nægling, (du vieux norrois nagli « clou »), est l'une des deux épées magiques de Beowulf. Connue à l'origine sous le nom de Naglhring et maniée par Grim de Thiðrek dans la saga de Thiðrek, elle est retrouvée par Beowulf dans le trésor de la mère de Grendel et lui permet de vaincre le monstre.
Beowulf armé de Næġling combat le dragon.

Épées de la mythologie nordique[modifier | modifier le code]

  • Adder : cf. Nadur.
  • Ættartangi, l’épée offerte à Grettir le Fort par sa mère Asdis. Elle est déjà connue dans la saga de Vatnsdœla sous le nom de Jokulsnautr, le « cadeau de Jokul ». Grettir s’empara aussi d'une épée courte, trouvée dans un tertre funéraire en Norvège après y avoir vaincu Kar le Vieux, le mort qui y était inhumé[51].
Grettir armé d’une de ses épées (manuscrit islandais du XVIIe siècle.
  • Angrvaðall, l'épée magique de Frithjof (en) dans la mythologie nordique. Son nom signifie « le ruisseau de l'angoisse ». Elle porte des runes sur sa lame qui flambent en temps de guerre mais qui rougeoient faiblement en temps de paix[52]. L’épée, forgée en Orient et trempée dans le feu des Dvergues, a appartenu tout d’abord à Björn à la dent bleue, qui l’a perdue avec sa vie dans un combat contre Vifell ; elle s’est alors transmise de père en fils : Viking, Thorstein (Þorsteins saga Víkingssonar (en)) puis enfin Frithjof[53].
Frithjof (Max Unger, 1913
Scène du poème Virginal : Þiðrek et Hildebrand combattent les dragons. UBH Cod.Pal.germ. 324 fol. 43r
Portrait d'Egill Skallagrímsson dans un manuscrit de lEgill saga du XVIIe siècle
Hrólf Kraki brandissant (possiblement) Skofnung. Frolich, 1850.

Épées dans la mythologie germanique[modifier | modifier le code]

Épées d’Europe de l’Est[modifier | modifier le code]

Attila armé, vers 1360.
  • Grus, l’épée historique de Boleslas III Bouche-Torse, prince de Pologne au début du XIIe siècle[réf. souhaitée].
  • Mech-kladenets est dans les contes russes une épée magique, souvent cachée dans un mur, sous un rocher ou un arbre, où elle attend le chevalier errant légendaire (bogatyr) qui seul pourra la brandir[73],[74].
    Épée Kladenets dans le parc de Kozelsk.
  • Mech-samosek (en), l’ « épée qui chante seule » est une arme récurrente du folklore russe. Les commentateurs ne s’accordent pas pour la distinguer ou non de mech-kladenets. L’une d’entre elles, « Asp-le-serpent » (Аспид-змей), a été cachée dans un mur sur l’ordre de son propriétaire, Nabuchodonosor II[75].
  • Szczerbiec, l'épée de Boleslas Ier de Pologne. Son nom signifie « l'épée aux entailles » ou « l'ébréchée » car selon la légende Boleslas l'aurait utilisée pour frapper les barres de la grande porte dorée de Kiev, ce qui aurait entaillé l'épée. Une épée de ce nom, dont l'entaille est destinée à porter des reliques, a été utilisée pour le couronnement des rois de Pologne.
    Croquis de Sczerbiec (vers 1764).

Épées gréco-romaines[modifier | modifier le code]

Épée de Damoclès, par Richard Westall (1812).

Autres épées d'Europe[modifier | modifier le code]

  • Lucebel (« la bien luisante »), épée de Vivian dans le Malagys ou Madoc flamand[Quoi ?][7].
  • Rosebrant, épée de Seghelyn de Jérusalem[1] dans le roman flamand du début du XVIe siècle Historie van Seghelyn van Iherusalem[76].
  • Sentient, sabre du héros serbe Marko Mrnjavčević, que lui seul pouvait tirer du fourreau. Sur le point de mourir, le roi Marko brise son sabre en quatre morceaux « pour qu’aucun Turc ne puisse le prendre »[70].

Épées du Moyen-Orient[modifier | modifier le code]

Goliath et son épée « A-Battar ».
Épée « de saint Pierre » conservée au Musée archidiocésain de Poznań.

Épées de la mythologie chinoise[modifier | modifier le code]

Épées de la mythologie japonaise[modifier | modifier le code]

  • Mech-samosek (en) (天羽々斬?, lit. « coupe divine de la plume »), autre nom de Ame-no-ohabari.
  • Ame-no-Ohabari (天の尾羽張?, lit. « plume de la queue divine ») est l’épée utilisée par Izanagi pour décapiter son fils Kagutsuchi, le dieu du feu[81].
  • Futsu-no-Mitama, une épée de Takemikazuchi, le dieu du tonnerre, qu’on conserverait dans un temple de Nara[réf. souhaitée].
  • Honjo Masamune (l'un des katana personnels des shogun Tokugawa, dont on a perdu la trace à la fin de la Seconde Guerre mondiale), Musashi Masamune (qui aurait été porté par Miyamoto Musashi), Fudō Masamune (un tantō avec un horimono représentant la divinité bouddhiste Fudō Myō'ō), Kyōgoku Masamune, Hōchō Masamune, Kote-giri Masamune ou encore Daikoku Masamune sont au nombre des katanas historiques forgés par Masamune au XIVe siècle.
Le katana Kanze Masamune au Musée national de Tokyo.
  • Inoshishi-giri (猪切?, « tueuse de sanglier ») forgée par Fujiwara Masazane (un disciple de Muramasa), avec laquelle Sakai Tadatsugu aurait tué un sanglier sauvage au cours d’une chasse avec Tokugawa Ieyasu[82].
  • Juuchi-yosamu (十千夜寒?, « 10 000 nuits froides ») est une épée forgée par Muramasa Sengo. Placée dans le lit d’un ruisseau, sa lame coupait en deux tout ce que le courant lui présentait : poisson, feuille morte, etc. (voir Yawarakai-te). D’autres sabres de Muramasa sont restés dans la légende, comme Myōhō Muramasa ou Kabutowari Izumi-no-kami Kanesada un wakizashi porté par le héros Saigo Takamori.
Myōhō Muramasa, dessin de 1933.
  • Kogarasu-maru (« petit corbeau ») est une épée tachi attribuée au forgeron légendaire Amakuni (VIIIe siècle). Elle fait aujourd’hui partie de la collection impériale du Japon.
Kogarasu-maru.
  • Kogitsune-maru (le « petit renard »), épée que la divinité-renard Inari aurait aidé le forgeron Munechika à fabriquer à la fin du Xe siècle.
Inari et l’esprit du Renard aident Munechika à forger la lame de kogitsune-maru, estampe d’Ogata Gekkō.
Représentations imaginaires du trésor impérial du Japon : l'épée Kusanagi, avec le miroir sacré et le pendentif magatama.
Susanoo, armé de Totsuka-no-Tsurugi, attaque le dragon, estampe de Toyohara Chikanobu.
  • Yawarakai-te (柔らかい手?, « tendres mains »), l’épée légendaire du forgeron Masamune. Lors d’un concours avec son rival Muramasa, les poissons et feuilles mortes charriés par un ruisseau dans le lit duquel sa lame était plongée la contournaient (alors que Juuchi-yosamu, le sabre forgé par Muramasa, les tranchait), provoquant tout d’abord les moqueries du public, puis le respect quand on comprit que Yawarakai-te ne blessait pas pour de vaines raisons.

Épées des mythologies bouddhiste et hindoue[modifier | modifier le code]

  • Asi (en), la première épée à avoir été forgée selon le Mahabharata[83].
  • Chandrahas (en) est dans la mythologie hindoue l’épée indestructible que Shiva donne à Ravana, en l’avertissant que s’il s’en sert pour des causes injustes des jours seraient comptés et l’arme reviendrait à Shiva[84].
    Bhâvanî donnant Chandrahas à Shivaji, Tuljapur.
  • Chandrahrasa est l’épée légendaire de Manjusri. Selon le Swayambhu Purana elle servit à fonder la vallée de Katmandou. Elle est représentée sur le drapeau de la ville.
Chandrahrasa orne le drapeau de Katmandou.
Acala brandissant Houken.
Vishnu armé d’une épée.

Autres épées d'Extrême-Orient[modifier | modifier le code]

Sur cette photographie de 1907 des restes du trésor royal Perak :
-L’épée Cura Si Manjakini est la deuxième à partir de la droite.
-Le kriss Taming Sari est le troisième à partir de la gauche.
  • Kriss Mpu Gandring (en) est un kriss légendaire de l'île de Java, dont l'histoire est racontée dans le Pararaton (Livre des rois). Vers la chute du royaume de Kediri au XIIIe siècle, Ken Arok commande une dague au forgeron Empu Gandring, puis en poignarde l'artisan quand il découvre que la pièce n'est pas terminée. Mourant, celui-ci prohétise que l'arme tuera sept hommes, dont Ken Arok lui-même, avant de disparaitre[87],[88].
  • Kriss Setan Kober (en) (« démon de la tombe ») est un kriss du XVIe siècle qui tue son propriétaire, le puissant vice-roi du sultanat de Demak Arya Penangsang (en). Il a été forgé par Empu Bayu Aji du royaume de Pajajaran selon un motif à 13 ondulations (luk). Mais les hurlements d'un démon sorti de la tombe ont dérangé le forgeron alors qu'il lui conférait son pouvoir spirituel : le kriss en a gardé une nature diabolique, qui exarcerbe l'ambition et l'impatience de son porteur[89].
  • Phra Saeng Khan Chaiyasi (en) (thaï : พระแสงขรรค์ชัยศรี, « sagesse du roi » ou « épée de la victoire ») est l’épée du trésor de la couronne de Thaïlande. Offerte en 1784 à Chao Phraya Apai Pubet du Cambodge par un pêcheur qui l’aurait prise dans ses filets, elle échut à son suzerain le roi de Thaïlande Rama Ier. Selon la légende, sept éclairs frappèrent simultanément Bangkok quand l’épée y fit son entrée[réf. souhaitée].
Phra Saeng Khan Chaiyasi représentée dans une avenue de Bangkok pour le soixantième anniversaire de l’accession au trône de Bhumibol Adulyadej en 2006.

* Thuận Thiên (en) est l'épée légendaire du roi vietnamien Lê Lợi, qui a libéré le Vietnam de l’occupation Ming après dix ans de combat de 1418 à 1428.

Lê Lợi, le poing sur son épée (statue à Thanh Hóa, Vietnam).


Épées d'Afrique[modifier | modifier le code]

  • Mmaagha Kamalu, dans la mythologie des Igbos, est une épée du dieu de la guerre Kamalu. Elle rougeoie à proximité d’ennemis[réf. souhaitée].

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Baron de Reiffenberg, Revue de Bruxelles : Des armes et destriers merveilleux dans les poëmes des trouvères, Bruxelles, Société nationale pour la propagation des bons livres, (lire en ligne), pages 44-53. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Baron de Reiffenberg, Bulletins de l'Académie Royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique : Des armes et destriers merveilleux dans les poëmes des trouvères, Bruxelles, Hayez, (lire en ligne), pages 165-17253. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • (en) Glenn Searfoss, Cycles of Norse Mythology : Tales of the Aesir Gods, Andrews UK Limited, , 836 p. (ISBN 978-1-78982-070-6, lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Martin Aurell, Excalibur, Durendal, Joyeuse. La force de l'épée, PUF, 2021, 317 p.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g et h Selon un texte des frères Grimm, trois frères forgèrent chacun trois épées : Véland ou Galan (Flanberge, Hauteclere, Joyeuse), Munificans (Durandal, Sauvaigine et Cortan) et Ansias (Baptisma, Plorence et Grabans, qui appartenaient à Fierabras).
  2. L'auteur reproduit l'erreur commise par Achille Jubinal dans sa traduction en prose du Girart de Vienne attribuée à Bertrand de Bar-sur-Aube. Thomov 1978, p.  472.

Références[modifier | modifier le code]

Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « Liste d’objets légendaires et sacrés » (voir la liste des auteurs). *
  1. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae af ag ah ai et aj Reiffenberg 1837.
  2. L'Arioste, Orlando Furioso : Roland Furieux : Version bilingue, française, puis italienne, Culture commune, (ISBN 978-2-36307-759-2, lire en ligne)
  3. « Définition de Balisarde », sur www.cnrtl.fr (consulté le )
  4. a b c et d Jehan Bagnyon et Hans-Erich Keller, L'Histoire de Charlemagne : parfois dite Roman de Fierabras, Librairie Droz, , 325 p. (ISBN 978-2-600-02678-9, lire en ligne), p. 45
  5. (en) George Ellis, Saxon romances : Guy of Warwick. Sir Bevis of Hamptoun. Anglo-Norman romance : Richard Cœur de Lion. Romances relating to Charlemagne : Roland and Ferragus. Sir Otuel. Sir Ferumbras, Longman, Hurst, Rees, and Orme, (lire en ligne), pp 315-355
  6. a et b L'histoire d'Ogier le Dannoys, duc de Dannemarche, qui fut l'un des douze pers de France. Lequel avec l'ayde du roy Charlemagne chassa les payens hors de Rome, et remist le pape en son siege. Puis conquist trois terribles geans sarrazins en champ de bataille, c'est assavoir Brunamont roy d'Egypte devant Rome, Bruhier soudan de Babylone devant Laon, et Justamont son frere devant Acre. Et aprés fut couronné roy d'Angleterre et roy d'Acre, aussi conquist la cité de Jerusalem et Babylonne, et plusieurs autres vaillances fist ledict Ogier. Qui en fin fut long temps en Faerie, comme vous pourrez lire cy aprés., Lyon : Jean Huguetan, (lire en ligne)
  7. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t et u Reiffenberg 1845.
  8. Histoire de la fleur des batailles Doolin de Mayence, contenant les merveilleuses prouesses faictes sur le roy Dannemont, et sur le roy de Saxonne, pour lors infidelles et Turcs, par Charlemaigne, Doolin, et Guerin de Montglaive, 1572-1618 (lire en ligne)
  9. Ganelon

    « Ceint Murglies, s’espee, a sun costed ; En Tachebrun, sun destrer, est munted. »

    (La Chanson de Roland, Joseph Bédier)

  10. « Épée dite "de Godefroy de Bouillon" », Maison des Templiers,‎ (lire en ligne)
  11. Georg Bernhard Depping et Francisque Michel, Veland Le Forgeron. Dissertation Sur Une Tradition Du Moyen Age, Avec Les Textes Islandais, Anglo-Saxons, Anglais, Allemands Et Francais-Romans Qui La Concernent, Firmin Didot Freres, (lire en ligne), p. 42
  12. (en) William Copeland Borlase, (The) Descent, Name and Arms of Borlase of Borlase in the County of Cornwall, G. Bell & Sons, , 205 p. (lire en ligne), p. 9
  13. a et b Antoine Da Sylva, Le Comté d'Angoulême, Angoulême, Lulu.com, , 122 p. (ISBN 979-10-90226-21-0, lire en ligne), p. 41
  14. Georges Duby, Histoire de la France : Naissance d'une nation, des origines à 1348, Larousse, (lire en ligne), p. 267
  15. « https://www.lanouvellerepublique.fr/indre-et-loire/une-epee-de-legende-a-sainte-catherine-de-fierbois », sur lanouvellerepublique.fr (consulté le )
  16. « Les secrets de Jeanne - De Chinon à Rouen ; L'Epée de Fierbois », jeannedomremy.fr (consulté le 2 juin 2018).
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  18. (en) George Ellis, Specimens of Early English Metrical Romances, Chiefly Written During the Early Part of the Fourteenth Century;, (lire en ligne), p. 171
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  22. Curtis, Renée L. (trans.), ed. (1994), The Romance of Tristan, Oxford, p.xvi (ISBN 0-19-282792-8).
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  33. thenne he drewe his swerd Excalibur, but it was so breyght in his enemyes eyen that it gaf light lyke thirty torchys. Livre I, 19 de The Works of Sir Thomas Malory, ed. Vinaver, Eugène, 3rd ed. Field, Rev. P. J. C. (1990). 3 vol. Oxford: Oxford University Press. (ISBN 0-19-812344-2), (ISBN 0-19-812345-0), (ISBN 0-19-812346-9).
  34. Nobuaki Takerube et Kaiheitai, Koku no kamigami, vol. 6, Shin kigensha, coll. « Truth In Fantasy », (ISBN 4-915146-24-3) (japonais : 健部伸明と怪兵隊『虚空の神々』新紀元社).
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  38. (en) Archaeologia Cambrensis, W. Pickering, (lire en ligne)
  39. The Second Battle of Mag Tuired p. 25 Traduction de Gray); The Four Treasures of the Tuatha Dé Danann
  40. David W. McCullough, Wars of the Irish Kings : A Thousand Years of Struggle, from the Age of Myth Through the Reign of Queen Elizabeth, Random House Digital, Inc, , 348 p. (ISBN 978-0-609-80907-5, lire en ligne), p. 18

    « Now in that battle, Ogma the champion found Orna, the sword of Tethra, king of the Fomoire. Ogma unsheathed the sword and cleaned it. Then the sword told what had been done by it, because it was the habit of swords at the time to recount the deeds that had been done by them whenever they were unsheathed. »

  41. « Torrent of Portyngale », sur www.classicistranieri.com (consulté le )
  42. Joseph Ritson, Ancient Engleish metrical romanceës, London : Printed by W. Bulmer and Company, for G. and W. Nicol, (lire en ligne)
  43. (en) Maldwyn Mills (éd.), Horn Childe and Maiden Rimnild : ed. from the Auchinleck MS, National library of Scotland, Advocates'MS 19.2.1, Heidelberg, Carl Winter Universitätsverlag, , 144 p. (ISBN 3-533-04042-9)
  44. (en) Charles Kingsley, Hereward the Wake, "Last of the English"., Macmillan and Company, (lire en ligne), chapitre XXXVII
  45. The Complete Works in Verse and Prose of Edmund Spenser, Risa S. Bear, 1993-96, HTML etext version éd. (1re éd. 1882) (lire en ligne)
  46. *Geoffrey of Monmouth, Historia Regum Britanniae 4.3-4
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Articles connexes[modifier | modifier le code]