Aller au contenu

L'Aiguillon-sur-Mer

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

L'Aiguillon-sur-Mer
L'Aiguillon-sur-Mer
Le port de L'Aiguillon-sur-Mer.
Blason de L'Aiguillon-sur-Mer
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement Les Sables-d’Olonne
Intercommunalité Sud-Vendée-Littoral
Statut Commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Jean-Michel Piedallu
Depuis 2022
Code postal 85460
Code commune 85001
Démographie
Gentilé Aiguillonnais
Population 2 062 hab. (2018 en évolution de −6,87 % par rapport à 2012)
Densité 203 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 20′ 03″ nord, 1° 18′ 10″ ouest
Altitude m
Min. 0 m
Max. 8 m
Superficie 10,17 km2
Élections
Départementales Canton de Mareuil-sur-Lay-Dissais
Législatives Cinquième circonscription
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration L'Aiguillon-la-Presqu'île
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
L'Aiguillon-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
L'Aiguillon-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : Vendée
Voir sur la carte topographique de la Vendée
L'Aiguillon-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Voir sur la carte administrative des Pays de la Loire
L'Aiguillon-sur-Mer

L'Aiguillon-sur-Mer est une ancienne commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Vendée en région Pays de la Loire. C'est la dernière commune au sud du littoral vendéen, près de la limite administrative avec la Charente-Maritime. La commune est réputée pour son activité conchylicole.

Commune de la région naturelle du Marais poitevin, elle est incluse dans le parc naturel régional du Marais poitevin.

Ses habitants sont les Aiguillonnais[1].

Depuis le , elle est une commune déléguée de la commune nouvelle de L'Aiguillon-la-Presqu'île[2].

Géographie

[modifier | modifier le code]

Commune située sur l’embouchure envasée du Lay en bordure des marais asséchés de Saint-Michel-en-l'Herm et séparée du littoral (pour sa partie urbanisée) par le large cordon dunaire sur lequel est située la commune de La Faute-sur-Mer. Resserrée entre le Lay et l'un des anciens bras de ce fleuve (Chenal de la Raque), la commune de L'Aiguillon s'étire sur 12 km avec une largeur moyenne de 700 mètres et une superficie de seulement 1 017 hectares[3].

Centre-ville.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée » et « Littoral charentais et aquitain »[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 766 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune d'Angles à 11 km à vol d'oiseau[6], est de 13,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 869,3 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

L'Aiguillon-sur-Mer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de L'Aiguillon-sur-Mer, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[13] et 2 741 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[14],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].

La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[18]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[19],[20].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (57,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41 %), zones urbanisées (22,5 %), zones agricoles hétérogènes (14,7 %), zones humides côtières (9,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,8 %), eaux continentales[Note 2] (2,2 %), eaux maritimes (1,5 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

En poitevin, la commune s’appelle L’Aguellun[22].

Entre le Ve et le XIIe siècle, s'est établi le massif dunaire de L'Aiguillon, formant à l'origine une île bordée à l'est par la « Grande Rade », au sud par la mer, à l'ouest par le Grand Lay, au nord par le chenal de la Raque. La partie nord-ouest de ce chenal ayant été rapidement comblée par les sables et par les vases marines, cette île se retrouva réunie par la suite au continent.

Au XVIIIe, les sables ont submergé une grande partie de la commune depuis la pointe de l'Aiguillon. Le vieux bourg étant menacé, les habitants cherchèrent refuge en amont et s'établirent à l'emplacement du bourg actuel.

Les terrains au sud de la commune sont protégés par une digue longue de plus de 5 km construite sous le Second Empire.

Le , une marée de coefficient 88 provoqua la submersion de très nombreuses digues du front de mer et l'inondation des terres dans les communes de Saint-Michel-en-l’Herm, La Tranche-sur-Mer, L'Aiguillon-sur-Mer et La Faute-sur-Mer, Champagné-les-Marais et Triaize[23].

L'Aiguillon-sur-Mer a été une des communes les plus touchées par la tempête Xynthia, dans la nuit du 27 au , qui, couplée à une surcote et à un fort coefficient de marée, a provoqué une forte montée des eaux dans l'estuaire du Lay, inondant ses berges, et la rupture de la digue du Génie en certains endroits[24],[25]. À la suite de ce drame, le préfet de la Vendée a rendu publiques trois « zones noires » dans lesquelles 241 maisons (dont 25 résidences principales) du secteur de la Pointe de l'Aiguillon doivent être détruites, leurs propriétaires devant être indemnisés par les assurances et les pouvoirs publics.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
? 1931[réf. nécessaire]
(décès)
M. Giraudet   Médecin
Les données manquantes sont à compléter.
Clément Loubé   Agriculteur
Conseiller général de Luçon (1937 → 1940)
Victor Levieux    
1954
(démission)
Paul Bouhier    
Émile Casseron   Agriculteur

(décès)
Jacques Maury   Pharmacien
Pierre Roy   Ostréiculteur, adjoint au maire (1959 → 1974)
Président du SIVOM de L'Aiguillon-sur-Mer
Maurice Milcent DVD[26] Artisan menuisier
Vice-président de la CC du Pays Né de la Mer
[27] Jean-Michel Piedallu SE Sapeur-pompier professionnel retraité

Liste des maires délégués

[modifier | modifier le code]
Liste des maires délégués successifs
Période Identité Étiquette Qualité
[28] En cours Jean-Michel Piedallu   Sapeur-pompier professionnel retraité

Burnham-on-Crouch, commune sur le littoral de la Manche, de 7600 habitants du comté de l'Essex en Angleterre[29].

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

En 2018, la commune comptait 2 062 habitants[Note 3], en évolution de −6,87 % par rapport à 2012 (Vendée : +4,91 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3343243415778481 0251 1261 2801 370
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5711 6761 7651 7411 7981 7221 8111 8021 822
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9212 0082 0151 6901 6721 6161 5631 5201 485
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 7631 9512 1172 1522 1752 2062 2832 3032 166
2018 - - - - - - - -
2 062--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 14,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 61,0 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 921 hommes pour 1 141 femmes, soit un taux de 55,33 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,16 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,4 
90 ou +
5,6 
22,1 
75-89 ans
24,2 
35,1 
60-74 ans
33,1 
19,0 
45-59 ans
17,2 
7,1 
30-44 ans
6,7 
8,0 
15-29 ans
6,4 
7,3 
0-14 ans
6,8 
Pyramide des âges du département de la Vendée en 2021 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,2 
8,7 
75-89 ans
11,1 
20,3 
60-74 ans
21,3 
20 
45-59 ans
19,4 
17,5 
30-44 ans
16,8 
15 
15-29 ans
13,2 
17,7 
0-14 ans
16,1 

Manifestations et événements

[modifier | modifier le code]
  • Triathlon Sud Vendée : www.triathlon-sudvendee.fr
  • Le Port en Fête : (le ) feu d'artifice, bal populaire et autres animations en hommages aux pêcheurs aiguillonais.
  • Vide-greniers en juillet et août
  • Journées du Patrimoine (3e weekend de septembre)

Sports et loisirs

[modifier | modifier le code]
  • Téléski nautique
  • École de natation
  • Pétanque
  • Tennis
  • Triathlon, Espace Triathlon (espace d'entraînement sécurisé aux trois épreuves enchaînées)
  • Skatepark
  • City-stade
  • Football
  • Modélisme (bateaux)
  • Plaisance
  • Pêche en eau douce et en mer
  • Randonnées vélo (avec les sentiers cyclables du département) et pédestres
  • Baignade (plan d'eau, et plages de la Pointe).

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • Pointe et Baie de l'Aiguillon : polders, digues, plages, lieux de migrations pour oiseaux et de pêche aux coquillages,
  • Port maritime typique et pittoresque,
  • Bouchots sur les plages de la Pointe de l'Aiguillon,
  • Moulin (rue de la Moulinette), vestige d'un des nombreux moulins que la commune a compté au cours de son histoire,
  • Ancienne gare (rue de l'Ancienne-Gare),

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason Blasonnement :
D'azur au lion couronné d'or.

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Louis Chevalier, Les Relais de mer. Un village de la côte vendéenne de la veille de la guerre de 14 aux lendemains de la Deuxième Guerre mondiale, Fayard, 1983, (ISBN 2-213-01283-0)
  • Pierre Roy, Si l'Aiguillon m'était conté, Imprimerie L.I.O. Luçon, 1992

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Dictionnaire des communes de Vendée, Ouest-France, Rennes, 1991 (ouvrage rédigé par les correspondants d'Ouest-France en Vendée).
  2. Préfecture de la Vendée, « ARRÊTÉ no 21 - DRCTAJ/2 - 669 portant création de la commune nouvelle « L'Aiguillon-la-Presqu'île » » [PDF], (consulté le ), p. 66-69.
  3. « Commune 34563 », Géofla, version 2.2, base de données de l’Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre L'Aiguillon-la-Presqu'île et Angles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Angles », sur la commune d'Angles - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Angles », sur la commune d'Angles - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de L'Aiguillon-sur-Mer », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  19. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  22. Jean-Loïc Le Quellec, Dictionnaire des noms de lieux de la Vendée, La Crèche, Geste Éditions, coll. « Geste Poche » (no 14), , 3e éd. (1re éd. 1995), 443 p. (ISBN 2-84561-263-X), p. 13.
  23. Préfecture de la Vendée. Notice de présentation du projet de Plan de prévention du risque d'inondation, 2011.
  24. « Fernand Verger, « À propos des inondations récentes de la région de l’Aiguillon-sur-Mer, en Vendée », EchoGéo, Sur le vif 2010, mis en ligne le 07 mai 2010. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  25. Etienne CHAUVEAU, Céline CHADENAS et al., « Xynthia : leçons d’une catastrophe », Cybergeo : European Journal of Geography, Environnement, Nature, Paysage, article 538
  26. [1]
  27. « L’Aiguillon-sur-Mer : Jean-Michel Piedallu est le nouveau maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  28. David Dupré, « Vendée : Laurent Huger élu maire de la commune nouvelle L’Aiguillon-la-Presqu’île », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  29. (en) « British Towns Twinned with French Towns », Complete France (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de l'Aiguillon-sur-Mer (85001) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).