François Flameng

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François Flameng
Portrait de Flameng publié dans les Figures contemporaines tirées de l’Album Mariani de Joseph Uzanne (1901).
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Nom de naissance
François Léopold FlamengVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
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Période d'activité
Père
Enfant
Parentèle
Max Decugis (gendre)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
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Genre artistique
Distinctions
Œuvres principales
Eylau (d), Madame Flameng (d), Portrait de Sem (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Carte postale de François Flameng, Saint Louis remet à Robert de Sorbon la charte de la fondation de la Sorbonne (Bibliothèque interuniversitaire de la Sorbonne, NuBIS).

François Léopold Flameng né le à Paris, où il est mort le , est un peintre, graveur et illustrateur français.

Biographie[modifier | modifier le code]

Portrait de la princesse Zénaïde Youssoupoff et ses deux fils à Arkhangelskoïe (1894), Saint-Pétersbourg, musée de l'Ermitage.

Fils du célèbre peintre et graveur Léopold Flameng, François Flameng fait sa scolarité secondaire au lycée Louis-le-Grand à Paris[1]. Apprenant la peinture auprès de son père, il entre à l'École des beaux-arts de Paris dans l'atelier d'Alexandre Cabanel, puis dans ceux de Pierre Edmond Alexandre Hédouin et de Jean-Paul Laurens.

Dès 1870, il réalise plusieurs planches de reproductions d’œuvres des peintres Alfred Sisley, Édouard Manet et Claude Monet pour le catalogue de la galerie Durand-Ruel[2]. En 1875, il débute au Salon des artistes français avec sa toile Le Lutrin. Il est attiré comme beaucoup d'autres peintres par le site pittoresque de Septeuil[3].

Il épouse, le , à Neuilly-sur-Seine, Henriette Turquet[4] dont les parents sont Edmond Turquet, sous-secrétaire d'État aux Beaux-Arts et Octavie de Montgomery (1834-1881)[5]. Leur union donnera naissance à deux enfants, Jean (1882-1915), mort durant la Première Guerre mondiale à Écoivres[6], et Marie (1884-1969)[7].

Il vécut plusieurs années au château de Courgent au lieu-dit La Tournelle[8] où il réalisa plusieurs peintures. Un courrier, daté du , adressé à Edmond Hédouin, indique : « Mon bien cher patron, je sais que vous êtes rentré à Paris. Je vais bientôt en faire autant mais avant de rentrer je voudrais bien que vous veniez voir mon tableau. Il va être bientôt terminé et je suis très désireux de savoir ce que vous en pensez […] Je suis allé ces jours-ci en Vendée »[9]. L’œuvre citée par l'artiste est Le Massacre de Machecoul qui illustre la guerre de Vendée (1793-1796) ; elle est exposée au Salon de 1884 et fait suite à une commande de scène historique de la part de l’État (acquise le )[10] pour décorer des bâtiments officiels[11].

Ami du peintre américain John Singer Sargent et de Paul Helleu, il établit son atelier et son domicile vers 1900 au 16, rue de la Glacière à Paris

En 1891, il conçoit des esquisses pour le premier billet de banque français en quadrichromie, d'une valeur faciale de 1 000 francs. Il est exécuté en 1897, mais ne sera pas émis. Le dessin servira dans des couleurs différentes à la réalisation du billet de 5 000 francs, dit le 5000 francs Flameng, qui est mis en circulation de 1938 à 1945[12].

Apprécié par le tsar Alexandre III, qui lui a acheté le tableau intitulé : Baignade des dames de la cour au XVIIIe siècle[13], il est invité durant l'année 1894 à Gatchina en Russie pour y exécuter une série de portraits de personnalités aristocratiques et de la cour impériale[14].

De 1895 à 1897, François Flameng participe à la décoration de la nouvelle salle Favart du théâtre national de l'Opéra-Comique à Paris, reconstruite après le deuxième incendie du , en collaboration de Benjamin Constant, Henri Gervex, Albert Maignan et Luc-Olivier Merson. La salle est inaugurée, le .

En 1900, il exécute le panneau décoratif Paris pour la grande salle du restaurant Le Train bleu de la gare de Lyon à Paris.

François Flameng est nommé professeur à l'École des beaux-arts de Paris en 1905 où il comptera de nombreux élèves. Il devient membre de l'Académie des beaux-arts cette même année, en remplacement de William Bouguereau[15]. Il est le président d'honneur de la Société des peintres militaires français.

En 1912, il est élu maire de la commune de Courgent, où son père fut d'abord inhumé en 1911. Son mandat s'achève en 1917.

Portrait de Santos-Dumont, 1914, MNAC[16].

En 1914, François Flameng est parmi les premiers peintres des armées à rejoindre les missions aux armées. Se trouvant directement au cœur des combats dans l'Aisne en octobre 1914, il écrit à sa fille du front, lui donnant des nouvelles de son frère qui est au 28e régiment d'infanterie, 6e compagnie, qu'il visitera en 1915[6]. Il fait ainsi le tour du front avec une voiture et son chauffeur, en étant sur tous les points sensibles, mais avec des séjours de courte durée. Il y saisit des croquis qu'il traduit ensuite sur toile à l'atelier. Il a une préférence pour les scènes historiques, mais peint avec autant d'aisance les scènes de genre et les portraits de personnalités de son époque, ce qui lui assure une renommée importante.

Retour d'un vol de nuit sur avions "Voisin" de bombardement, 1918, Huile sur toile, 54 x 81 cm, collection privée, Paris.

Le , son épouse habitant au château de Courgent vient à mourir des suites d'une maladie contractée à l'hôpital 19 de Mantes-la-Jolie (actuelle école Hélène-Boucher)[17] en tant qu'infirmière de la Croix-Rouge française durant la guerre[18]. Une année plus tard, son nom est gravé sur le monument aux morts de la Première Guerre mondiale qui est situé à proximité de l'église de Courgent[19].

Il vend l'ensemble de ses collections comprenant des Chardin, Van Dyck, La Tour, Rembrandtetc. Un catalogue est publié à cette occasion par la galerie Georges Petit.

François Flameng, atteint de diabète[1], meurt le à son domicile parisien au 61, rue Amelot, à la suite d'une amputation d'une jambe subie 48 heures auparavant[20]. Il est enterré, aux côtés de sa femme et de son père, au cimetière de Septeuil.

Sa fille Marie épouse le tennisman Max Decugis dont elle est parfois le partenaire de double mixte.

Œuvre[modifier | modifier le code]

Œuvres dans les collections publiques[modifier | modifier le code]

Canada
Espagne
États-Unis
France
Le Massacre de Machecoul (1884), musée d'Art et d'Histoire de Cholet.
Marie-Antoinette se rendant au supplice (1885), Vizille, musée de la Révolution française.
Royaume-Uni
Russie
Baignade des dames de la cour au XVIIIe siècle (1888), Saint-Pétersbourg, musée de l'Ermitage.
  • Moscou, musée des Beaux-Arts Pouchkine : Portrait de Vera Kharitonenko, 1893.
  • Saint-Pétersbourg, musée de l'Ermitage :
    • Portrait de la princesse Zénaïde Youssoupoff et ses deux fils à Arkhangelskoïe, 1894 ;
    • Portrait de la princesse Z.N. Youssoupoff, 1894 ;
    • Baignade des dames de la cour au XVIIIe siècle, 1888 ;
    • Réception à Malmaison en 1802, 1896 ;
    • Napoléon et le Roi de Rome à Saint-Cloud en 1811, 1896 ;
    • Portrait de Dora de Leuchtenberg, 1896 ;
    • Napoléon en forêt de Fontainebleau en 1807, 1905 ;
    • Réception à Compiègne en 1810, vers 1895 ;
    • Portrait d'une femme, 1890.

Estampes[modifier | modifier le code]

Affiches[modifier | modifier le code]

Affiche pour le Phono-Cinéma-Théâtre (1900).
  • 1900 :
    • Hachette et Cie aux 100 millions de visiteurs ;
    • Phono, cinéma, théâtre, Exposition universelle de 1900, Paris, Imprimerie Camis ;
    • Aux Merveilles de Paris et de l'Exposition, Imprimerie Vieillemard.
  • 1901 : Grisélidis.
  • Théâtre de l'Opéra Comique, Paris, Dourgerie et Cie.

Ouvrages illustrés[modifier | modifier le code]

Illustrations pour la revue L'Illustration[modifier | modifier le code]

  • 1913 : Aéroplane près au décollage, Paris, musée de l'Armée.
  • 1914 : Bataille de l'Yser, troupes franchissant la plaine inondée.
  • 1915 :
    • 1914-1915. Croquis de Guerre, aquarelles et sépias réalisées sur le front par François Flameng, 144 p.[21]
    • Les Batailles de l'Artois, La rentrée du ballon (Nord d'Arras), Poste de secours à Mont-Saint-Éloi, no 3786, .
    • Soissons, no 3791, , Le Pont sur l'Aisne, La Caserne de Soissons (ancienne Abbaye), Barricade dans la Distillerie de Vauxrot, Tranchée dans la distillerie de Vauxrot (près de Soissons).
    • Combat du en Champagne, Combat du à la Main de Massiges, no 3794, .
  • 1916 :
    • Hôpital de campagne.
    • Permanent de la garde près de Metzeral, .
    • Poste de secours à Ablain-Saint-Nazaire, no 3811, .
    • Sur la route de Souain à Sommepy-Tahure : une marmite, no 3817, .
    • Dampierre .
    • La Bataille de la Somme, Verdun, Verdun vue prise du fort de la Chaume, Bombardements de Verdun avec les obus incendiaires (nuit du 25 au , La Hauteur de Douaumont vue du fort de la Chaume, , no 3833.
    • Verdun, La Citadelle de Verdun, les fossés, , no 3838.
    • Artillerie sur rail, .
    • L'Hartmannswillerkopf, Vallée de Munster, Éclatement d'un obus près de l'église à Thann, Une fontaine à Thann, no 3850, « Spécial Noël », .
  • 1917 :
    • Verdun, no 3858, .
    • gravures en couleurs pleine page hors-texte de l'offensive britannique de la Somme, no 3860, .
    • Campement de troupe de l'Inde près de Fricourt, .
    • gravures en pleine page, hors-texte de la bataille de la Somme : Village de Dompierre, Ruines de l'église de Dompierre, La Vallée de la Somme près de Curlu, no 3863, .
    • Le Récit (Noyon mars 1917), no 3915, .
    • Batterie de 400, Cantonnement dans l'église d'Herleville, Bataille de la Somme, Poste de commandement au Sud de la Somme, Devant Saint-Quentin, no 3878, .
    • Le Champ de bataille dévasté du plateau de Californie à Craonne.
    • Casemates dans le talus du chemin de fer devant Saint-Léonard près de Reims, no 3880, .
    • Soldats écossais s'exerçant à l'escrime avec la baïonnette, Observatoire anglais dans un moulin, La Ville d'Arras, grande scène de combat sous les bombardements.
  • 1918 :
    • Spads devant les hangars d'une escadrille de chasse, Entraînement des As de l'Aviation au-dessus du terrain, Bombardements de nuit au-dessus de la Rhur, Bombardiers de retour d'un raid de nuit.
    • Dans les villes libérées, Soldats anglais dans les vieux remparts de Péronne, Biaches, Cathédrale de Péronne, no 3915, .
    • La Retraite allemande (), Coucy-le-Château après la destruction allemande., Les Entonnoirs de Ham, Les Pommiers coupés à Cuts (Oise), no 3905, .
    • L'Offensive française d'avril à mai 1917, planches composées de : Prise du plateau de Californie (), Attaque des positions allemandes au Nord de l'Aisne le à 6 heures du matin, Attaque du fort de Brimont le , no 3925, .
    • Dans la Somme en 1916, planches composées de : Chapelle de Tilloloy vue de l'intérieur du château, Ferme du château de Tilloloy, Les Trophées du 2e corps dans la cour du château de Marcelcave (route de Péronne à Amiens), Sur la route de Foucaucourt : casino des officiers allemands dans le bois du Satyre, Le Ravitaillement dans les tranchées près de Lihons, no 3928, .
    • Fontaine de Savigny en hiver, Porte du camp du 18e bataillon indigène à Le Breuil (Marne), no 3945, .
    • Le Village de Pinon (), no 3950, .
    • Dans le bois de Roucy (Aisne), la toilette des poilus la veille de la bataille (), Projections et fusées lumineuses près de Nieuport (1915), no 3956, .
    • Les Chars d'assaut, Tanks britanniques, Attaque britannique au cours de l'offensive finale, Camp d'une brigade de cavalerie canadienne et cavaliers britanniques sur une crête en France du Nord.
    • Rentrée d'un Spad qui a atterri loin des hangars à l'autre extrémité du terrain couvert de neige.
  • Convoi de mitrailleurs alpins dans les Vosges.
  • Attaque dans un enfer de boue et de paysage de cratères.
  • Soldats allemands dans une tranchée équipés de masques à gaz avec une armure de fer.
  • La Citadelle de Verdun : les casemates.
  • Spad français Aircraft sur Patrol.
  • Cratères dans la ville de Saint-Quentin.
  • Victimes de la guerre à la porte du château de Plessis-de-Roye.
  • La Ferme Lessard en ruines après des combats sanglants, entre Marizy et Neuilly-Saint-Front.
  • Bombardements allemands avec des bombes incendiaires Shells.
  • Pousser un Spad en arrière sur la neige.
  • Prisonniers allemands dans un camp français à Souville sont alimentés par leurs ravisseurs.
  • Les Arbres dévastés sur la ligne de front à Het Sas-Yser.
  • Tanks français en action vers la fin de la guerre.
  • Un Spad français abat un avion allemand.
  • Verdun en flamme après les bombardements allemands.

Discours et publications[modifier | modifier le code]

  • Notice sur la vie et les travaux de M. Bouguereau, Académie des beaux-arts, séance du .
  • Notice sur la vie et l'œuvre de Léopold Flameng, lue par son fils François séance de l'Académie du .
  • Inauguration de la statue de Léon Gérôme, à Vesoul, le .
  • Inauguration du Monument élevé à Monte-Carlo à la mémoire de Massenet, le .
  • Funérailles de M. Raphaël Collin, membre de l'Académie, le .
  • Funérailles de M. Antonin Mercié membre de l'Académie, le .
  • Funérailles de M. Marqueste, membre de l'Institut, le .
  • Funérailles de M. J.L. Pascal membre de l'Académie, le .
  • Séance publique des cinq académies, .
  • Funérailles de M. Luc Olivier Merson membre de l'Académie, le .
  • Séance publique annuelle, du .
  • Déclaration du Président de l'Académie à l'occasion des funérailles de Luc-Olivier Merson, 1920.
  • Inauguration du monument élevé à la mémoire de Jules Breton, à Courrières, le .

Récompenses et distinctions[modifier | modifier le code]

Élèves[modifier | modifier le code]

Expositions[modifier | modifier le code]

Salon des artistes français[modifier | modifier le code]

  • 1875 : Un portrait ; Le Lutrin.
  • 1876 : Frédéric Barberousse au tombeau de Charlemagne.
  • 1877 : Portrait de Mgr B…, évêque de C….
  • 1879 : L'Appel des Girondins.
  • 1881 : Les Vainqueurs de la Bastille ().
  • 1882 : Camille Desmoulins.
  • 1884 : Le Massacre de Machecoul .
  • 1887 : La Pose de la première pierre de la chapelle de la Sorbonne par le cardinal de Richelieu en présence de l'architecte Lemercier ; Saint Louis remettant à Robert de Sorbon la charte de la Fondation de la Sorbonne ; L'Histoire des Lettres, triptyque présenté hors concours destiné à la décoration de l'escalier de la Sorbonne.
  • 1888 : mêmes toiles que l'année précédente.
  • 1889 : mêmes toiles que l'année précédente.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Alexandre Page, « François Flameng, un maître de l’éclectisme », sur lespetitsmaitres.com, (consulté le ).
  2. Portail des collections des musées de France, sur le site Joconde du ministère de la culture (consulté le ).
  3. Dont un des représentants de cette dite « école de Septeuil », Antoine Chintreuil, y meurt en 1873. On y retrouve Jean-Alfred Desbrosses (1835-1906), Léopold Desbrosses (1821-1908) ainsi que Louveau-Rouveyre (né en 1881).
  4. Marguerite Henriette Augusta Turquet, de son nom complet.
  5. Lettre d'Edmond Turquet adressée à Louis Blanc, sur le site de la Librairie Passé-Présent (consulté le ).
  6. a et b « Jean Flemeng, le fils du peintre », publié sur vlecalvez.free.fr], site consacré au 28e régiment d'infanterie au cœur de la Première Guerre mondiale (consulté le ).
  7. « Marie Decugis », sur le site Sports-reference.com (consulté le ).
  8. [PDF] Révision du PLU sur le domaine de la Tournelle, page 7/11, séance du , sur le site de l'Association Septeuil Adic (consulté le ).
  9. François Flameng, « Ensemble de documents… », sur le site millon-associes.com (consulté le ).
  10. Musée d'art et d'histoire de Cholet : « Le Massacre de Machecoul », sur le site l'Internaute (consulté le ).
  11. Alain Galoin, « Études sur La Guerre de Vendée », sur le site histoire-image.org (consulté le ).
  12. « Histoire de notre monnaie : François Flameng », publié par Christian Aubin, sur le site de l'université de Poitiers (consulté le ).
  13. Bathing of Court Ladies in the 18th Century (1888), conservée au musée de l'Ermitage à Saint-Pétersbourg (consulté le ).
  14. [PDF] L'écho saumurois, no 247, , sur le site des archives de la ville de Saumur (consulté le ).
  15. [PDF] Journal de Monaco, no 2474, , p. 2, sur le site du Journal de Monaco (consulté le ).
  16. « Female figure smelling poppy », sur Museu Nacional d'Art de Catalunya, (consulté le ).
  17. « École Hélène-Boucher », sur le site pss-archi.eu (consulté le ).
  18. « Marguerite Henriette Augusta Flameng », sur le site memorialgenweb.org (consulté le ).
  19. « Le monument aux morts de la commune », publié le sur le site Topic-Topos (consulté le ).
  20. Le Petit Parisien, no 16802 du , publié sur le site retronews.fr (consulté le ).
  21. Ouvrage en ligne sur Gallica.
  22. Tableau Paysage en bord de Marne, par Maurice Ferdinand Perrot, publié sur le site proantic.com (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Alexandre Page, François Flameng (1856-1923): un artiste peintre dans la Grande Guerre, autoédition, 2019, 194 p. (ISBN 978-1706962236).
  • Christian Hottin, Jean-Michel Leniaud, Quand la Sorbonne était peinte, Paris, Éditions Maisonneuve et Larose, 2001, pp. 91-92 (ISBN 2706814772).
  • Collectif, Guide pratique du visiteur de Paris et de l'Exposition , Paris, Hachette, 1900.
  • Collectif, Le Train Bleu, Éditions Presse Lois Unis Service, Paris, 1990, 114 p. (ISBN 2-908557-01-0).
  • Collectif, Catalogue sommaire illustré des peintures , Paris, 1990, p. 190.
  • Claire Maingeon, Évolution des pratiques artistiques au temps de la Grande Guerre, Éditions université Paris X Nanterre.
  • Ernest Gabard, Carnet de Guerre.
  • Philippe Guilloux, « François Flameng, peintre de la Grande Guerre », Gazette des Uniformes, no 138, septembre-octobre 1992.
  • Dictionnaire Bénézit.
  • Paul et Claire Pfisterer, Dictionnaire des Signatures, Éditions German, 1999.
  • Maître Lair-Dubreuil, galerie Georges Petit, Catalogue de la vente de la collection François Flameng, les et .
  • (en) John Laffin, The western front illustrated 1914-1918, Suttin Publishing Ltd, 1991 (ISBN 0-7509-1438-6).
  • Frédéric Lacaille, La Première Guerre mondiale vue par les peintres, Publications Citédis, 1998 (ISBN 2-911920-11-2).
  • L'Illustration, no 4175, , pp. 242 à 243. — Article sur la mort de François Flameng, illustré de cinq photographies.

Liens externes[modifier | modifier le code]