Musée des Ursulines de Mâcon
Type | |
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Ouverture |
1965 ou 1968 |
Visiteurs par an |
13 519 () |
Site web |
Collections |
Archéologie Beaux-Arts Ethnologie |
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Label |
Protection |
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Pays |
France |
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Commune | |
Adresse |
5, rue des Ursulines Mâcon |
Coordonnées |
Le musée des Ursulines est un musée d'art et d'archéologie situé dans l'ancien couvent des Ursulines à Mâcon depuis 1968. Rénové en 1992[1], il est labellisé musée de France, au sens de la loi no 2002-5 du .
Histoire
[modifier | modifier le code]Les Ursulines, appelées par l'évêque Gaspard Dinet, s'installent à Mâcon dès 1615 pour faire l'éducation des jeunes filles de la noblesse et de la bourgeoisie. Le couvent actuel est construit de 1675[2] à 1680 sur le plateau de la Baille.
Réquisitionné par les pouvoirs publics à la Révolution, il devient, avec la Visitation et la Maison de Charité, maison d'arrêt en 1793. Le père de Lamartine y sera incarcéré comme en témoigne encore une plaque commémorative, rue des Ursulines. Y seront aussi détenus quantité de prêtres refusant le serment à la Constitution civile du clergé, et dénoncés (six signatures de concitoyens du département suffisaient pour les signaler à la garde nationale). Antichambre de la déportation, le couvent des Ursulines vit partir en 1794 de nombreux prêtres envoyés en Guyane, à Cayenne[3].
En 1796, le couvent devient la caserne Puthod, utilisée jusqu'en 1929 date à laquelle elle sera désaffectée puis rétrocédée à la ville de Mâcon. Avant de devenir le musée des Ursulines en 1968[4], le bâtiment abrite la « Maison du peuple » mise à la disposition de diverses associations. Les travaux de remise en état durèrent de 1963 à 1967 et la salle consacrée à la Préhistoire (rez-de-chaussée) ainsi que l'espace dédié aux Beaux-Arts (étage) furent ouverts au public le [5]. L'inachèvement des ailes du bâtiment a suscité de nombreuses interrogations mais l'explication la plus plausible serait le manque de moyens financiers.
L'ancien couvent des Ursulines fait l’objet de multiples inscriptions au titre des monuments historiques[6] : le pour le cloître, le grand escalier, ainsi que les trois portes sur la rue des Ursulines, le pour la chapelle et le pour les façades et les toitures de l'ensemble des bâtiments de l'ancien couvent.
Une partie du deuxième étage est consacrée au poète Alphonse de Lamartine, présentant manuscrits, portraits en peinture, reconstitution d'une salle de son château avec le mobilier d'époque, etc.
Archéologie
[modifier | modifier le code]Situé dans les salles du rez-de-chaussée, archéologie régionale, histoire et urbanisme de Mâcon : armes, monnaies, céramiques, mobilier ainsi que des objets d'art tels que sculptures, chapiteaux, statues et bas-reliefs.
Également au rez-de-chaussée, se trouve une importante collection (donation Testot-Ferry) d'armes, d'outils et d'ossements issus du site préhistorique de Solutré, témoins de la Préhistoire en mâconnais.
Ethnographie
[modifier | modifier le code]Le département d'ethnographie est situé au premier étage.
Il y présente le travail de la vigne, la batellerie, la pêche, les aménagements du cours d'eau, avec des poteries, meubles, outils.
Une section est dédiée à l'aviron avec des photographies anciennes et des affiches.
On y trouve aussi des toiles de paysagistes régionaux comme :
- Honoré Hugrel (1880-1944), dont Labour dans le Mâconnais[7], Le Grand Troupeau
- Jean Laronze (1852-1937), dont Le Calme[8], Le Chant de l'alouette[9], Le Soir[10], L'Angélus
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Jean Laronze, Le Calme (en Charolais).
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Honoré Hugrel, Le Grand Troupeau.
Beaux-Arts
[modifier | modifier le code]Salles situées au deuxième étage.
Œuvres du XVIe siècle
[modifier | modifier le code]- Attribué à Titien (vers 1490-1576), Portrait d'un doge[11].
- Anthonie Van Blockland (1532-1583), dont La Rencontre de la Vierge et de sainte Élisabeth et Présentation au Temple (diptyque)[12].
- École de Fontainebleau, Vénus au miroir.
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École de Fontainebleau, Vénus au miroir.
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Anthonie Van Blockland, Présentation au Temple.
Œuvres du XVIIe siècle
[modifier | modifier le code]- Jean-Baptiste Belin de Fontenay ou Blain de Fontenay Père (1653-1715), Nature morte, Vase et Fruits.
- Pieter Boel (1626-1674), Études de chauve-souris.
- Adriaen Brouwer (vers 1605-1638), dont Groupe de buveurs.
- Louis de Caullery (1582-1622), Concert galant.
- Philippe de Champaigne (1602-1674), dont Le Bon Pasteur (œuvre de l'atelier).
- Pieter Jacobsz Codde (1599-1688), dont Dame à sa toilette[13].
- Lambert Doomer (1623-1700), Paysage aux ruines.
- Joost Cornelisz Droochsloot (1586-1666), dont Autoportrait dans l'atelier [14].
- Jan Josef le Vieux Horemans (1682-1759), dont Intérieur d'auberge [15].
- Nicolas Knupfer (1603-60), Scène galante.
- Gérard de Lairesse (1640-1711), Danse d’enfants.
- Nicolas de Largillierre (1656-1746), Portrait d’un échevin.
- Charles Le Brun (1619-1690), Mucius Scaevola devant Porsenna.
- Giovanni Martinelli (1600-1659), dont Madeleine repentante[16].
- Pieter van Mol (1599-1650), Déploration du Christ.
- Isaac de Moucheron, Paysage antique.
- Jan Albertsz Rootius (vers 1615-1674), L'Artiste et sa Famille[17].
- Cornelis Troost (1697-1750), Portrait satirique.
- François de Troy (1645-1730), Portrait de Nicolas de Malézieux.
- Guillaume Perrier (1600-1656), Le Remise du rosaire, La Naissance de saint Vincent et Saint Vincent meurt de ses blessures,
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Jean-Baptiste Belin, Nature morte, vase et fruits.
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Giovanni Martinelli, Madeleine repentante.
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Charles Le Brun, Mucius Scaevola devant Porsenna (1643-1645).
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Nicolaus Knüpfer, Scène galante.
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Joost Cornelisz Droochsloot, Autoportrait dans l'atelier.
-
Gérard de Lairesse, Danse d'enfants.
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Nicolas de Largillierre, Portrait d'un échevin.
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Jan Albertsz Rootius, L'Artiste et sa famille.
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Guillaume Perrier, Saint Vincent meurt de ses blessures.
Œuvres du XVIIIe siècle
[modifier | modifier le code]- Corrado Giaquinto (1690-1765), Judith et Holopherne.
- Jean-Baptiste Greuze (1725-1805), Portrait de Monseigneur de Valras, Évêque de Mâcon.
- Jacob Philipp Hackert (1737-1807), dont Vue des champs phlégréens près de Naples[18].
- François-Auguste Parseval-Grandmaison (1759-1834), dont Nymphe surprise[19],[20].
- Joseph Benoît Suvée (1743-1807), dont L'Ange Raphaël disparaissant au milieu de la famille de Tobie.
- Jean-Laurent Mosnier (1743 ou 1744-1808), Portrait de femme allaitant son enfant
Œuvres du XIXe siècle
[modifier | modifier le code]- Adolphe Appian (École Lyonnaise), dont Les Marais de Rossillon[21].
- Charles Edouard de Beaumont (1812-1888), dont Pourquoi pas ?[22].
- Armand Bernard (1829-1894), Les Environs de Norma, campagne romaine, 1872[23].
- Gaston Bussière, fonds de plusieurs centaines d'œuvres[24].
- Eugène Chambellan (1821-1901), dont Semailles en Charolais et La Récolte des foins dans le Charolais.
- Camille Corot, dont Le Repos sous les saules[25].
- Joseph Caraud (1821-1905), dont La Lettre[26].
- Thomas Couture (1815-1879), dont Pifferaro et son Fils[27].
- Philibert Léon Couturier (1823-1901), dont Basse-cour[28], Un piège[29].
- Théophile Henri Décanis (1847-1917), dont Le Thym fleuri dans les plaines d'Arbois, Provence.
- Étienne-Jean Delécluze, dont Pour mon papa.
- Édouard Louis Dubufe (1819-1883), dont La Comtesse de Beaussier.
- Henri Fantin-Latour.
- Jean-Baptiste Fauvelet (1819-1883), dont Les trois Âges[30].
- François Flameng (1856-1923), dont Portrait de Louis-Joseph Havard, (1810-1891).
- Léopold Flameng (1831-1911), dont Le Chemin de Croix.
- Joseph Marie Foussereau (1809-?), dont Le débucher[31].
- Philippe Jolyet (1832-1908), Vente mobilière dans la Bresse.
- Marianne de Lamartine (née Marianne Elisa Birch - 1790-1863), dont La Charité Romaine[32], Uranie[33].
- Auguste André Lançon (1836-1887), dont Lions avec leur proie[34].
- Claude Monet (Passerelle à Zaandam[35])
- Pierre-Victor Olagnon (1786-après1845), dont Intérieur[36].
- Charles Perrandeau (1865-1903), dont Le Chemin de halage[37].
- Hippolyte Petitjean (1854-1929) : Portrait de Madame Marthe.
- Pierre Puvis de Chavannes, dont La Gardeuse de chèvres.
- Henriëtte Ronner-Knip (1821-1919), dont Deux chatons surveillant une mouche[38].
- Édouard Sain (1830-1910), dont Le Départ pour la messe[39].
- Tony Tollet (1857-1953).
- Pierre Félix Trezel, dont Vénus au bain, ou l'Innocence.
- Charles Valfort (1808-1867), dont Fête de nuit à Venise[40].
- Félix Ziem.
- François Corbusier, dont Portrait d'une paysanne romaine portant une corbeille de fruits[41].
-
Édouard Louis Dubufe, La Comtesse de Beaussier.
-
Pierre Puvis de Chavannes, La Gardeuse de chèvres.,
-
Félix Ziem, Le Bosphore.
-
Gaston Bussière, Hélène de Troie.,
-
François Corbusier, Portrait d'une paysanne romaine.
-
Philibert Léon Couturier, Un piège'.
-
Gaston Bussière, Yseult la blonde.
-
Eugène Chambellan, Semailles en Charolais.
-
Étienne-Jean Delécluze, Pour mon papa.
-
Émile Jacque, Chevaux à la herse.
-
Georges Mathey, Autoportrait.
-
Jean Laronze, Le Soir'.
-
Hippolyte Petitjean, Portrait de Madame Marthe.
-
Bustes de femme voilée, Raffaele Monti, marbre, vers 1860.
-
Château de Saint-Point, ou 'Château de Lamartine', Jean-Louis Tirpenne, 1867.
-
Claude Monet, Passerelle à Zaandam, 1871
Œuvres des XXe et XXIe siècles
[modifier | modifier le code]- Georges Autard (né en 1951)
- Jules Adler (1865-1952), dont Les Fumées[42].
- Josef Albers.
- Max Bill.
- Marcelle Cahn (1895-1981), dont Femme à la raquette[43].
- Franciska Clausen, dont Le Baromètre[44].
- Carlos Cruz-Díez.
- Maxime Descombin (1909-2003), nombreuses sculptures dont 1950 André Bloc[45].
- Günter Fruhtrunk (1923-1982), dont Sans titre[46].
- Albert Gleizes, dont Composition[47].
- Emmanuel Gondouin (1883-1934), dont Paysage à l'arbre[48].
- Gottfried Honegger, dont Composition en bleu[49].
- Émile Jacque (1848-1912), dont Chevaux à la herse[50].
- Le Corbusier, dont Étude pour la bouteille de vin[51].
- Jean Legros (1917-1981)[52].
- Marie-Hélène Martin, dont Grand Nu couché[53].
- Georges Mathey (1887-1915), dont Autoportrait[54].
- Jean Metzinger.
- Albert Montmerot, La pause des débardeurs, huile sur toile, 1939 [55].
- François Morellet.
- Aurélie Nemours, dont Au commencement[56].
- Knut Navrot, Bleu III[57].
- Jean Plumet, Paysage mâconnais[58].
- Paul Roche-Ponthus (1919-2009), dont TSM 43[59].
- Hans Steinbrenner (1928-), dont Composition, 1988[60].
- Pierre Szekely, fonds de dessins de ce sculpteur hongrois.
- Louis Thibaudet, fonds d'œuvres.
- Georges Valmier (1885-1937), dont Nature morte abstraite[61].
- Henri Vergé-Sarrat (1880-1966), Village dans le brouillard.
- Jacques Villon, dont Femme assise[62].
- Antoine Villard (1867-1934) dont Paysage Mâconnais[63] et Neige à Hurigny[64].
- Guy de Lussigny[réf. souhaitée].
- Sylvie Bonnot, Hotaluna et Parade, 2016.
-
Trois Mâconnaises, G. Bernard, 1901.
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Émile Magnien (d'après une interview de), « Un jeune musée : le musée des Ursulines à Mâcon », Images de Saône-et-Loire, no 1, 1969, pp. 25-28.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Musée des Ursulines », sur www.culture.gouv.fr.
- « Mâcon notre ville septembre 2016, p. 34 », sur macon.fr (consulté le ).
- Église d'Autun, Chalon & Mâcon, no 16-17, 21 juillet 1989, pp. 399-400.
- « Musée des Ursulines - Mâcon », sur www.arts-programme.com.
- « Le musée des Ursulines à Mâcon » d'après une interview d’Émile Magnien, Images de Saône-et-Loire, no 1, 1969, pp. 25-28.
- Notice no PA00113321, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720002993, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720003542, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720002955, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720003024, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720001373, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720003989, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 000PE003478, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720002724, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720003017, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720000221, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720002387, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720003614, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720007456, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- « François-Auguste (1759-1836) > Peintre, Poète, Académicien », sur www.parseval.fr.
- Notice no 01720003563, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720003003, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720004320, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- « Inventaire des peintures de Gaston Bussière, base Joconde », sur www.culture.gouv.fr.
- Notice no 01720003570, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720002916, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720002981, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720002997, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- « Un piège », sur www.philibert-leon-couturier.com.
- Notice no 01720000103, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720002857, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720007824, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720007158, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720002970, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- « Passerelle à Zaandam », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- Notice no 01720000011, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
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- Notice no 01720002889, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720002907, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720002382, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720002940, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720002786, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720002811, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture
- Notice no 01720002132, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720002504, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720002839, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720002834, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720002792, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720002988, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720002821, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Dictionnaire Bénézit, Gründ, 1999, Jean Legros, tome 8, page 452.
- Notice no 01720002831, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720009254, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720002934, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720002799, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720002440, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720020004, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720002797, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720002644, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720002825, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720000014, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720015605, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Notice no 01720004491, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Article connexe
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Œuvres du musée des Ursuline dans la base Joconde.