Castelnau-le-Lez

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Castelnau-le-Lez
Castelnau-le-Lez
Intersection de l'avenue du Jeu de Mail, de la rue de la Crouzette et de l'allée Marie-Curie.
Blason de Castelnau-le-Lez
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Montpellier
Intercommunalité Montpellier Méditerranée Métropole
Maire
Mandat
Frédéric Lafforgue
2020-2026
Code postal 34170
Code commune 34057
Démographie
Gentilé Castelnauvien
Population
municipale
24 888 hab. (2021 en augmentation de 27,6 % par rapport à 2015)
Densité 2 226 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 38′ 13″ nord, 3° 54′ 07″ est
Altitude Min. 19 m
Max. 93 m
Superficie 11,18 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Montpellier
(banlieue)
Aire d'attraction Montpellier
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Montpellier - Castelnau-le-Lez
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Castelnau-le-Lez
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Castelnau-le-Lez
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Castelnau-le-Lez
Liens
Site web castelnau-le-lez.fr

Castelnau-le-Lez [kastɛlno lə lɛz] Écouter (en occitan Castèlnòu de Les [kas.'tɛl'nɔw de les]) est une commune française située dans l'est du département de l'Hérault en région Occitanie, en périphérie de Montpellier.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Lez et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« le Lez ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Castelnau-le-Lez est une commune urbaine dans l'agglomération de Montpellier et fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les Castelnauviens ou Castelnauviennes. Elle compte 24 888 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est la deuxième commune la plus peuplée de l'agglomération de Montpellier, et la 7e du département de l'Hérault.

Géographie[modifier | modifier le code]

Carte.

Situation[modifier | modifier le code]

Castelnau-le-Lez se situe au nord-est de Montpellier, dans le sud de la France. Le Lez constitue sa limite occidentale avec Montpellier et la ville se trouve à quatorze kilomètres au nord et à vol d'oiseau de la mer Méditerranée.

La ville est divisée en six quartiers :

  • Caylus / Courtarelles : situé au nord de la commune, ce secteur relativement préservé inclus le Bois de Caylus de 9 hectares ;
  • Le Devois : à l'est, couvre les secteurs de l'Aube Rouge et Les Costières, à dominante pavillonnaire ;
  • Le Centre : où se trouve le plus d'équipements municipaux et de commerces, secteur très dynamique grâce au passage de la ligne 2 du tramway de Montpellier ;
  • Le Centre Historique : à l'ouest de la commune, il est bordé par le Lez qui le sépare de Montpellier ;
  • Le Mas de Rochet : au sud-ouest, secteur assez diversifié mêlant parc d'activités, pôle santé et logements d'habitation ;
  • Eurêka : qui inclut les secteurs Verchant (où se situe un domaine hôtelier), Sablassou et Clos de l'Armet. Il est un secteur dans la continuité du parc d'activité de Montpellier du même nom, où se trouvent des activités tertiaires, technologiques et médicales.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Castelnau-le-Lez
(Distances : à vol d'oiseau / par la route)[1]
Clapiers
(2.88 / 5,11 km)
Jacou
(2.44 / 5,32 km)
Le Crès
(2.24 / 4,37 km)
Montpellier Castelnau-le-Lez Saint-Aunès
(4.06 / 5,43 km)
Montpellier
(4.29 / 7,26 km)
Montpellier Mauguio
(8.21 / 10,84 km)

Accès et transports[modifier | modifier le code]

Située sur la voie Domitienne romaine, elle s'est trouvée ensuite à l'entrée montpelliéraine est de la route nationale 113 (Bordeaux-Marseille depuis 1952). Avec le développement démographique de l'agglomération de Montpellier et de la circulation automobile, la commune voit se construire sur son territoire quelques-unes des routes de contournement de Montpellier au nord de sa zone urbanisée principale, puis sur sa limite avec Le Crès.

Depuis , 8 stations de la ligne 2 du tramway de Montpellier desservent la ville, en grande partie sur l'avenue de l'Europe (ancienne route nationale 113), ré-aménagée en boulevard urbain.

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le fleuve Lez est le principal cours d'eau qui longe la commune.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 696 mm, avec 5,8 jours de précipitations en janvier et 2,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Prades-le-Lez à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 14,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 869,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : l'unique site de présence du Chabot endémique, Cottus petiti[9], d'une superficie de 239 ha[10].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[11] : les « rivières du Lirou et du Lez » (127 ha), couvrant 7 communes du département[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Castelnau-le-Lez est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[I 1],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montpellier, une agglomération intra-départementale regroupant 22 communes[I 2] et 440 997 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3],[I 4].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune du pôle principal[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 5],[I 6].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (72,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (53,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (50,6 %), cultures permanentes (22,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (19,9 %), mines, décharges et chantiers (2,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,2 %), zones agricoles hétérogènes (2 %), forêts (0,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Castelnau-le-Lez est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Montpellier-Lunel-Maugio-Palavas, regroupant 49 communes du bassin de vie de Montpellier et s'étendant sur les départements de l'Hérault et du Gard, un des 31 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée[18], retenu au regard des risques de submersions marines et de débordements du Vistre, du Vidourle, du Lez et de la Mosson. Parmi les événements significatifs antérieurs à 2019 qui ont touché le territoire, peuvent être citées les crues de septembre 2002 et de septembre 2003 (Vidourle) et les tempêtes de novembre 1982 et décembre 1997 qui ont touché le littoral. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[19]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987, 1994, 1997, 2001, 2002, 2003, 2005, 2014 et 2015[20],[16].

Castelnau-le-Lez est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 5],[21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Castelnau-le-Lez.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[22]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 59,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 4 478 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 2 224 sont en aléa moyen ou fort, soit 50 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[25].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Castelnau-le-Lez est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[26].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sextantione au IIe siècle, mutatio Sostantione vers 300, Sextantione, Sextatione au IVe siècle, Sextantio au IVe siècle, Substancionensis castri en 801, pago Sustentationense en 873 et 875, Castro Sustantione avant 923, de Sustancione en 1109, de Sostanson en 1146, de Sustantione en 1167, Soustansou au XVIe siècle[27].

À l'époque moderne, la ville s'est appelée Castelnau-lès-Montpellier et Castelnau-Le Crès. Son nom occitan est Castèlnòu de Les.

Histoire[modifier | modifier le code]

De Sextantio à Substantion[modifier | modifier le code]

Le tableau de Frédéric Bazille Vue de village représentant une jeune femme devant la ville de Castelnau-le-Lez.

Vers 700 av. J.-C., une première population s'installe sur le plateau dominant le Lez. À partir d'un relais sur la route de l'Italie à l'Espagne[Quoi ?], les Romains en font la cité de Sextantio sur la via Domitia.

Avec le temps, son nom devient Substantion et la ville accueille pendant trois siècles les évêques de Maguelone. Un château domine alors la rive gauche du Lez : le Castellum Novum.

Au cours du XIIe siècle, la cité perd de son influence en devenant une possession des seigneurs de Montpellier. En 1674, Castelnau change de main : la famille de Castries devient propriétaire de la seigneurie qui comprend également le Crès et Salaison. En 1791, Castelnau comptait 68 habitants.

Pendant l'Ancien Régime, elle a formé une seule paroisse avec Le Crès, sous les noms successifs de Castelnau-lès-Montpellier et Castelnau-Le Crès.

La commune depuis 1791[modifier | modifier le code]

En 1865, la commune de Castelnau prend le nom de Castelnau-le-Lez.

Le , la commune du Crès est créée à partir d'une partie du territoire de la commune de Castelnau-le-Lez. Avec le développement démographique de leur village isolé à l'Est du territoire communal, les habitants du Crès ont demandé leur érection en commune en 1846, puis en 1849, le conseil municipal de Castelnau a finalement accepté en 1871.

Le régime de Vichy applique sa politique rapidement, y compris dans le domaine du symbolique et des noms de rue allant à l’encontre de ses valeurs. Une campagne est menée par l’hebdomadaire Gringoire : utilisant diffamation et l’intoxication, donnant aussi une grande publicité aux dégradations de plaques et aux lettres de lecteurs signalant les plaques indésirables[28], ce qui permet au secrétaire d’État à l’Intérieur Marcel Peyrouton de prendre une circulaire le 22 octobre 1940 poussant à la chasse aux noms de rues contraires à l’idéologie vichyste : « il est inconvenant […] que cette manière d’hommage public continue à être rendu à la mémoire de ceux qui par leurs erreurs ou leurs fautes ont contribué à précipiter notre patrie dans la ruine ». C’est le seul cas où l’État français a mené une épuration odonymique[29]. La commune de Castelnau choisit de débaptiser toutes ses rues, que le nom soit anodin, républicain ou autre[30].

La superficie originelle de la commune actuelle est proportionnelle à sa part dans la population de Castelnau-Le Crès en 1871, auquel il faut retrancher quelques modifications au profit du Crès dans les années 1990 pour que ses équipements scolaires secondaires et sportifs se trouvent sur son territoire. Avec l'expansion démographique de Castelnau dans la seconde moitié du XXe siècle, la garrigue séparant les deux agglomérations s'est progressivement réduite[31]. Faisant partie préalablement du canton de Montpellier-3, Castelnau-le-Lez devient chef-lieu du canton de Castelnau-le-Lez, créé en 1992.

L'extension de la ville vers l'Est a donné naissance à un nouveau quartier « le Devois » et les nouveaux habitants portent la population de Castelnau-le-Lez à près de 15 000 habitants au début des années 2010.

Vue de la mairie et arrivée du tramway (1918).

Politique et administration[modifier | modifier le code]

En 2010, la commune de Castelnau-le-Lez a été récompensée par le label « Ville Internet @@@ »[32].

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie de Castelnau-le-Lez, vue de la rue de la Crouzette.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de Montpellier Méditerranée Métropole, dont elle est la deuxième commune la plus peuplée.

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

La commune de Castelnau-le-Lez est jumelée avec :

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 10 257 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 21 663 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 23 680 [I 7] (20 330  dans le département[I 8]). 58 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 7] (45,8 % dans le département).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 9] 7,4 % 10,1 % 9 %
Département[I 10] 10,1 % 11,9 % 12 %
France entière[I 11] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 14 022 personnes, parmi lesquelles on compte 75,9 % d'actifs (66,9 % ayant un emploi et 9 % de chômeurs) et 24,1 % d'inactifs[Note 8],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie du pôle principal de l'aire d'attraction de Montpellier[Carte 3],[I 12]. Elle compte 9 409 emplois en 2018, contre 8 337 en 2013 et 7 308 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 9 497, soit un indicateur de concentration d'emploi de 99,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,1 %[I 13].

Sur ces 9 497 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 2 464 travaillent dans la commune, soit 26 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 68,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 14,4 % les transports en commun, 13 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

3 319 établissements[Note 9] sont implantés à Castelnau-le-Lez au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10],[I 16].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 3 319 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
120 3,6 % (6,7 %)
Construction 330 9,9 % (14,1 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
710 21,4 % (28 %)
Information et communication 158 4,8 % (3,3 %)
Activités financières et d'assurance 180 5,4 % (3,2 %)
Activités immobilières 214 6,4 % (5,3 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
782 23,6 % (17,1 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
590 17,8 % (14,2 %)
Autres activités de services 235 7,1 % (8,1 %)

Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23,6 % du nombre total d'établissements de la commune (782 sur les 3319 entreprises implantées à Castelnau-le-Lez), contre 17,1 % au niveau départemental[I 17].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[33] :

  • Logitrade, centrales d'achat non alimentaires (142 M€)
  • Sud Service SAS, nettoyage courant des bâtiments (52,5 M€)
  • Eiffage Construction Languedoc Roussillon, construction d'autres bâtiments (48 M€)
  • Ubisoft Montpellier, studio de développement de jeux vidéo (27,5 M€)
  • Services Maintenance et Propreté - SMP, nettoyage courant des bâtiments (21,5 M€)

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant une partie du centre et du nord-est du département de l'Hérault[34]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la viticulture[Carte 4].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 44 22 18 11
SAU[Note 12] (ha) 238 274 257 186

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 44 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 22 en 2000 puis à 18 en 2010[36] et enfin à 11 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 75 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67 % de ses exploitations[37],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 238 ha en 1988 à 186 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 5 à 17 ha[36].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[38],[Note 14].

En 2021, la commune comptait 24 888 habitants[Note 15], en augmentation de 27,6 % par rapport à 2015 (Hérault : +7,29 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
450496547696673745787794861
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
8278941 1209068848158849541 141
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2131 2021 1031 1201 5041 9592 2262 3452 923
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
4 9798 1699 3399 88411 04314 21415 22915 95119 257
2021 - - - - - - - -
24 888--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[41] 1975[41] 1982[41] 1990[41] 1999[41] 2006[42] 2009[43] 2013[44]
Rang de la commune dans le département 8 7 8 8 8 9 9 7
Nombre de communes du département 343 340 343 343 343 343 343 343

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune gère cinq écoles maternelles : Vert Parc, Les Petits Princes, Madiba, Jean-de-La-Fontaine et Rose de France et trois écoles élémentaires : Mario-Roustan, Jean-Moulin et Antoine-de-Saint-Exupéry)[45]. Elle accueille un collège : Frédéric-Bazille et deux lycées : lycée polyvalent Georges-Pompidou et lycée professionnel agricole Honoré-de-Balzac.

Santé[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

La ville possède un club de foot, associé à la ville de Le Crès : Castelnau Le Crès FC[46],[47].

Le Club d'Escrime de Castelnau-le-Lez est le premier club d'épée de la métropole montpelliéraine et du département de l'Hérault avec des tireurs engagés sur tous les championnats de France des catégories M17 à Vétérans en passant par le handisport.

Associations[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Réunion de famille de Frédéric Bazille. Peint au mas de Méric, sur la rive montpelliéraine du Lez, ce tableau permet de distinguer Castelnau-le-Lez à l'arrière-plan.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Jean-Baptiste de Castelnau-le-Lez.
L'ancienne mairie abritant le Centre régional de la Résistance et de la Déportation.
  • La Voie domitienne (Via Domitia) passe par Castelnau-le-Lez, au nord du quartier du Devois. Une partie de ce tronçon est inscrit comme monument historique depuis le  ;
  • Une copie de la 63e borne milliaire est visible rue de la Monnaie, en face du Palais des Sports de Castelnau-le-Lez, proche de la Voie domitienne ;
  • Le Centre régional de la Résistance et de la Déportation est un lieu d'exposition permanente (photos, objets, maquettes) accompagné d'une salle de vidéo conférences et d'un centre de documentation sur ces événements de la Seconde Guerre mondiale, fondé notamment par Suzanne Orts ;
  • L'église Saint-Jean-Baptiste est une église romane de la fin du XIIe siècle, fortifiée au XIVe. Son clocher a été rebâti au XVIIIe siècle en étant surmonté d'un campanile de fer forgé. L'édifice a été classé au titre des monuments historiques en 1911[48] ;
  • Église Saint-Vincent du Sablas ;
  • Domaine de Verchant (IMH) : ce domaine doit son nom à la comtesse de Verchant qui l'a acquis de l'évêque de Montpellier en 1523. On peut y voir parc et fossés, grotte avec puits, noria, potager et allées plantées d'arbres ;
  • Clairval est le nom d'un quartier de barres d'immeubles ;
  • Les moulins de Lavalette, du Martinet, de Navitau, des Guilhems, de la Poudrière et du Pont à Castelnau[49].

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Les Musicales, festival de chant et musique classique — mai de chaque année ;
  • Fête de la Musique, le 21 juin, suivie de la fête votive de la Saint-Jean ;
  • Les Nocturnales, séries de concerts de jazz et musique du monde — 2e quinzaine de juillet ;
  • Théalez, festival de théâtre amateur — fin mars ;
  • Festival Les P’tits Lez’ Arts, festival Jeune de la MJC André-Malraux, mi-mai.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armoiries de Castelnau-le-Lez se blasonnent ainsi :

Tranché : au premier d'azur à Saint Jean Baptiste de carnation habillé d'une peau de chameau d'or, portant sur ses épaules un agneau d'argent, tenant dans sa senestre une croix aussi d'or, et issant de la partition, au second de gueules à la croix vidée, cléchée et pommetée d'or (croix occitane) accompagnée en pointe de trois trangles ondées d'argent.
Adopté en 1978.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Émile Bonnet, L'oppidum préromain de Substantion, Sextantio, Montpellier, Firmin et Montane, , 32 p.
  • Henri Escrive et Jacqueline Escrive, C'était Castelnau-le-Lez… : une ville-mère de Montpellier, S.l., Association Objectif 2000, , 225 p.
  • René Majurel, « Marques de potiers sur céramiques sigillées de l'oppidum de Sextantio, commune de Castelnau-le-Lez, (Hérault) », Tradition celtique, t. XVII, nos 3-6,‎ , p. 305-312
  • Max Prado, Sextanti : la ville antique disparue, Castelnau-le-Lez, Max Prado, , 218 p.
  • Max Prado, Connaissez-vous Castelnau-le-Lez, Castelnau-le-Lez, Max Prado, , 100 p.
  • Max Prado, Les villes originelles de Montpellier, Montpellier, Sauramps, , 239 p.
  • Max Prado, « Castelnau-le-Lez (Hérault) : les légendaires meules de géants », Moulins de l'Hérault, nos 21-25,‎ 2002-2006, p. 87-98
  • Raymond Ramonat et Michel Sahuc, « Les tombes à incinération gallo romaines de Navitau à Castelnau-Le-Lez (Hérault) », Archéologie en Languedoc, no 4,‎ , p. 145-164
  • Michel Sahuc et Catherine Sauveur, « Une nécropole de l'antiquité tardive à Nativau (Castelnau-Le-lez, Hérault) », Archéologie en Languedoc, no 18,‎ , p. 137-144
  • Marie-Noëlle Veran, Pages d'histoire : Castelnau - Le Crès, depuis la Révolution, Castelnau-le-Lez, Castelnau en clair, , 174 p.

Fonds d'archives[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[8].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  7. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  9. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  10. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  12. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[35].
  14. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  15. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

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  2. « Unité urbaine 2020 de Montpellier » (consulté le ).
  3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
  4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
  5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Castelnau-le-Lez » (consulté le ).
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  13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Castelnau-le-Lez » (consulté le ).
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  16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Castelnau-le-Lez » (consulté le ).
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Autres sources[modifier | modifier le code]

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  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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