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École nationale supérieure des ingénieurs en arts chimiques et technologiques

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École nationale supérieure des ingénieurs en arts chimiques et technologiques
Logo de l'INP-ENSIACET.
Histoire
Fondation
2001
(fusion de l'ENSCT et de l'ENSIGC)
Statut
Type
Fondateur
Paul Sabatier et Joseph Cathala
Directeur
Laurent Prat[1]
Membre de
Site web
Chiffres-clés
Étudiants
750
Enseignants-chercheurs
105
Localisation
Pays
Campus
Ville
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L’École nationale supérieure des ingénieurs en arts chimiques et technologiques (ENSIACET), aussi appelée « A7 », est l'une des 204 écoles d'ingénieurs françaises accréditées au pour délivrer un diplôme d'ingénieur[3].

Intégrée à l'Institut national polytechnique de Toulouse (INPT) et à l'université fédérale de Toulouse-Midi-Pyrénées, l'ENSIACET est un pôle de formation d’ingénieurs dans le domaine de la transformation de la matière et de l’énergie. Elle est membre de la conférence des grandes écoles (CGE) ainsi que de la fédération Gay-Lussac, regroupant 20 écoles d'ingénieurs françaises en chimie, génie chimique et génie des procédés.

Elle est située à Labège, au sud-est de Toulouse, dans le département de Haute-Garonne, dans la région Occitanie.

L’École nationale supérieure des ingénieurs en arts chimiques et technologiques est née le par la fusion de l’École nationale supérieure de chimie de Toulouse (ENSCT) et de l’École nationale supérieure des ingénieurs en génie chimique (ENSIGC)[4].

L'ENSCT est créée le par Paul Sabatier, sous le nom d'institut de chimie de Toulouse (ICT). Le 23 mars 1953, elle change de nom pour École nationale supérieure de chimie de Toulouse. L'ENSIGC est créée le par Joseph Cathala sous le nom d'institut de génie chimique (IGC). Les deux écoles intègrent l'Institut national polytechnique de Toulouse à sa création en 1969[5].

En 1985, l'IGC change de nom pour École nationale supérieure des ingénieurs en génie chimique[6].

Ces deux écoles contribuent, par les travaux qui y sont menés, à faire de Toulouse un pôle d'enseignement et de recherche français compétitif et attractif pour les entreprises[7].

Implantation géographique

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La construction de l’école en 2007.
Le bâtiment de l'école en 2012.

La catastrophe de l'usine AZF le provoque la destruction des infrastructures de l'école sur l'île du Ramier. Une nouvelle école est construite au sud-est de Toulouse, à Labège, près de bâtiments appartenant à l'INPT.

En attendant la fin des travaux en 2009, l'école s'installe sur le campus de Rangueil.

Diplôme d'ingénieur

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L'école forme ses diplômés à développer de nouvelles molécules, matériaux et procédés, "concevoir, maîtriser optimiser et piloter les procédés et les unités de fabrication", développer leur capacité d'innovation et leur capacités de gestion d'entreprises[8]. Les secteurs d'insertion sont variés : la pétrochimie, l'aéronautique, la cosmétique ou encore la pharmacie. Le cursus de formation initiale (FISE) est organisé en six semestres, soit 3 ans après bac+2. Le diplôme d’ingénieur ENSIACET est habilité par la commission des titres d'ingénieur (CTI) : il est aux normes européennes et confère le grade de master (attribution de 300 crédits ECTS)[9]. La formation à l'ENSIACET peut également se faire par alternance, sous statut d'apprenti (FISA) ou par formation continue professionnelle. L'ENSIACET est un établissement habilité par le ministère de l'Éducation, de l'enseignement supérieur et de la recherche. Il peut organiser des épreuves d'examen pour le titre d'ingénieur diplômé par l'État (IDPE). Ces examens consistent en un entretien et une soutenance de mémoire, et concernent des personnes ayant une expérience de cinq ans de « pratique professionnelle dans des fonctions communément confiées à des ingénieurs »[10],[11].

Contenu de la formation

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Les cours dispensés à l’ENSIACET abordent toutes les phases du processus de transformation de la matière et de l’énergie. Lors du 1er semestre de leur scolarité, les étudiants suivent un tronc commun : le but est de leur procurer une vision globale de ces processus, de la phase de recherche pure à la phase d’industrialisation d’un produit. Au cours du 2d semestre de la 1re année, les étudiants sont divisés en cinq départements : ils abordent plus en profondeur le processus de transformation de la matière correspondant à leur spécialité. Ces départements sont au nombre de cinq[12] :

  • Département Chimie (CH), où sont enseignées la synthèse et les applications de molécules complexes, de produits naturels ou synthétiques ;
  • Département Matériaux (IMAT), où l’étudiant apprend la science et la technique des différents matériaux et leurs composites ;
  • Département Génie chimique (GC), où l’étudiant apprend à maîtriser le développement d’un produit, de l’acte chimique jusqu’à son industrialisation ;
  • Département Génie des procédés et Informatique (GPI), où l’étudiant apprend à concevoir et à conduire un processus de transformation de matière ou d’énergie sur les plans scientifiques, techniques et économiques ;
  • Département Génie industriel (GI), où l’étudiant apprend à gérer et à développer un procédé industriel sur les plans technique, économique et humain.

Les options IMAT, GC, GPI et GI peuvent être suivies par les étudiants en contrat d'apprentissage[13].

Le tableau suivant précise les statuts possibles des élèves dans chacune des 5 spécialisations de l'école[14] :

Spécialisation Statut étudiant Statut formation continue Statut apprenti
Chimie oui oui -
Génie chimique oui oui oui
Génie des procédés oui oui oui
Génie industriel oui oui oui
Matériaux oui oui oui

En 3e année, les étudiants A7 doivent se spécialiser en choisissant un pôle et un parcours parmi les suivants[15] :

  • Pôle Matériaux innovants :
    • Parcours Durabilité,
    • Parcours Fonctionnalités.
  • Pôle Ingénierie pour la chimie verte, l'environnement, les bio-procédés :
    • Parcours Chimie verte et biosourcée,
    • Parcours Chimie fine et bio-procédés.
  • Pôle énergie et procédés industriels :
    • Parcours Efficacité et logistique énergétique des systèmes industriels,
    • Parcours Conception et analyse des procédés intensifiés.
  • Pôle Systèmes industriels, ingénierie de projets et d'affaires :
    • Parcours Ingénierie des systèmes industriels,
    • Parcours Ingénierie des systèmes industriels complexes.
  • Pôle qualité, sécurité, management environnemental, ingénierie analytique :
    • Parcours Qualité, sécurité, environnement,
    • Parcours Ingénierie analytique.
  • Parcours transversaux INP Toulouse :
    • Eco-énergie,
    • Ingénierie du développement durable,
    • Génie de l'environnement,
    • Fluides, énergétique et procédés.

Ces options répondent à la demande industrielle, et sont ouvertes sur la recherche et l'innovation. Après ce semestre de spécialisation, s'ensuit le projet de fin d'études (PFE)[12].

En plus des cours, l’étudiant A7 doit effectuer trois stages obligatoires lors de sa scolarité : un stage ouvrier de 1 à 2 mois à l’issue de la 1re année, un stage technicien de 4 à 5 mois en fin de 2e année et le projet de fin d'études de niveau ingénieur de 6 mois pour conclure sa 3e et dernière année. Ces stages visent à la découverte progressive du monde de travail et du monde de l’entreprise et à l’utilisation concrète des connaissances acquises en cours[16].

L'ENSIACET propose, en plus du diplôme d'ingénieur, des masters (bac+5 - 300 crédits ECTS) à finalité de recherche professionnelle dans le domaine « Sciences, Technologie, Santé », en partenariat avec d'autres écoles d'ingénieurs et des universités[17] :

  • Master de recherche « Matériaux : Élaboration, caractérisation et traitements de surface multimatériaux » (M2R MECTS), co-accrédité avec l'ENIT et l'UPS ;
  • Master de recherche « Matériaux et structures pour l'aéronautique et le spatial » (M2R MSAS), co-accrédité avec l'école des Mines d'Albi, l'INSA Toulouse et l'UPS ;
  • Master de recherche « Génie des procédés et Bioprocédés » (M2R GPB) co-accrédité avec l'UPS et l'INPT ;
  • Master de recherche « Chimie verte » co-accrédité avec l'UPS ;
  • Master professionnel « Procédés de Production, Qualité et Contrôle des Produits de Santé » (M2P PPQCPS) co-accrédité avec l'UPS ;
  • Master « Eau, environnement, océanographie » avec l'université des sciences et des technologies de Hanoï.

Les masters II de recherche ouvrent à la préparation d'un doctorat. Ils permettent aux élèves-ingénieurs ENSIACET d'obtenir un double diplôme ingénieur ENSIACET + master[18].

Masters internationaux

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L'école permet aussi aux étudiants d'obtenir un master international ou master of science. Ces formations de deux ans s'adressent en priorité aux étudiants étrangers titulaires d'un bachelor. Elles peuvent être suivies par des élèves français souhaitant s'orienter vers l'international. Elles correspondent au grade de master (bac+5), et confèrent 300 crédits ECTS. Les trois masters internationaux de l'ENSIACET sont[19] :

  • Master international « Mécanique des Fluides et Procédés Industriels », avec l'INSA Toulouse, l'IMFT et l'INPT ;
  • Master international « Chimie et Procédés verts pour la biomasse » avec l'INPT ;
  • Master international « Ingénierie du Risque dans les Systèmes Industriels » avec l'INSA Toulouse et l'INPT.

Mastères spécialisés

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L'ENSIACET propose cinq mastères spécialisés, qui sont des formations à visée professionnelle d'une année et conférant le niveau bac+6[20] :

  • MS « Gestion Globale des Risques Technologiques et Environnementaux » avec l'INSA Toulouse ;
  • MS « Gestion des Risques Milieu de Soins » avec l'université d'Angers ;
  • MS « Nouvelles Technologies de l’Énergie » avec l'ENSEEIHT ;
  • MS « Safety engineering and management » avec l'INSA Toulouse et l'INPT ;
  • MS « Eco-ingénierie » avec l'INPT.

Enfin, l'école propose six diplômes des hautes études technologiques (DHET). Il s'agit de formations d'un an[21] :

  • DHET « Echantillonnage et Analyses Physico-Chimiques » ;
  • DHET « Gestion globale des Risques Technologiques et Environnementaux » ;
  • DHET « Qualité, Sécurité, Environnement » ;
  • DHET « Gestion des Risques Milieu de Soins » ;
  • DHET « Nouvelles Technologies de l’Énergie » ;
  • DHET « Génie des Systèmes Industriels ».

Quatre laboratoires sont hébergés dans les locaux de l’ENSIACET. Ils sont impliqués dans les pôles de compétitivité Cancer-Bio-Santé, Aerospace Valley, Agrimip Innovation et « dans le réseau thématique de recherche avancée Sciences et Technologies pour l’Aéronautique et l’Espace ». Ils bénéficient de la reconnaissance du CNRS et de l'INRA[22] et du soutien de nombreux industriels[23],[24]. Ces quatre laboratoires sont[25] :

  • Le CIRIMAT, Centre inter-universitaire de recherche d'ingénierie des matériaux, qui est une unité mixte de recherche (UMR CNRS INPT UPS 5085) structurée en sept équipes. Leurs travaux sont axés sur les sciences des matériaux, les nanomatériaux, les revêtements et procédés de dépôt, ainsi que le vieillissement et la durabilité des matériaux ;
  • Le LGC, Laboratoire de Génie Chimique : unité mixte de recherche (UMR 5503) ; ses activités s'articulent autour du génie des interfaces et des milieux divisés, du génie des procédés intensifiés, de l'ingénierie des réacteurs polyphasiques innovants, des procédés électrochimiques, des procédés et systèmes industriels, ainsi que des bioprocédés et systèmes microbiens ;
  • Le LCA, Laboratoire de Chimie Agro-industrielle : unité mixte de recherche (UMR 1010 INRA/INP-ENSIACET) ; ses travaux portent sur la chimie des agro-ressources, la chimie verte et le génie des procédés ;
  • Le LCC, Laboratoire de Chimie de Coordination : unité propre de recherche du CNRS (UPR 8241) dont l'activité de recherche se concentre sur la conception et la caractérisation de molécules ou d’édifices polyatomiques originaux, aux interfaces de la chimie de coordination et de l’hétéro-chimie avec les matériaux ou la biologie.

Environ 125 doctorants travaillent dans ces laboratoires. Ils sont encadrés par une centaine d'enseignants-chercheurs de l'ENSIACET et effectuent des recherches sur divers sujets liés à la chimie. 50 % de ces recherches sont liées à des contrats industriels.

Par ailleurs, l'ENSIACET participe à 22 programmes de l'agence nationale de la recherche et à neuf programmes européens du 6e PCRD (Programme Cadre de Recherche et Développement), dont deux comme coordinateur.

Relations avec l'international

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L'ENSIACET dispose d'un réseau d'universités et d'écoles partenaires : environ 70 en Europe et 60 dans le reste du monde. Ces partenariats peuvent être effectués dans le cadre des programmes Erasmus, FITEC, CREPUQ[26]. Les étudiants peuvent partir à l'étranger en 2e ou 3e années d'études. S'ils partent en 3e année, ils peuvent effectuer un double diplôme dans l'université partenaire[18].

La rentrée 2007 à l'ENSIACET.

Les admissions à l'ENSIACET peuvent se faire à bac+2 ou bac+3. La majorité des admis viennent de classe préparatoire aux grandes écoles PC, MP, PSI ou TPC et ont passé les concours communs polytechniques (CCP). L’entrée à l’ENSIACET est fonction du degré de réussite au CCP et du département choisi (CH, IMAT, GC, GPI ou GI). Les autres étudiants proviennent de la prépa des INP, de la classe préparatoire intégrée Gay-Lussac, de DUT, de BTS, de DEUG/L2, de L3, de licence professionnelle, de CPGE ATS ou encore de M1[27].

Classements

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Classement de l'école parmi les écoles d'ingénieur françaises :

Nom 2019 (Rang) 2020 (Rang) 2023/2024 (Rang)
L’Étudiant[28] 39 49[29]
Usine Nouvelle[30] 61 43 86[31]
Daur Rankings[32] 51 74 36[33]

Notes et références

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  1. Laurent PRAT
  2. ÉTABLISSEMENTS MEMBRES
  3. Arrêté du 25 février 2021 fixant la liste des écoles accréditées à délivrer un titre d'ingénieur diplômé.
  4. Décret no 2000-1158 du 24 novembre 2000 modifiant le décret no 85-1243 du 26 novembre 1985 portant création d'instituts et d'écoles internes dans les universités et les instituts nationaux polytechniques
  5. Décret no 69-930 du 14 octobre 1969 PORTANT APPLICATION AUX INSTITUTS DE FACULTES OU D'UNIVERSITE PREPARANT A UN DIPLOME D'INGENIEUR DE LA LOI 68978 DU 12-11-1968
  6. L'ENSIACET : toute une histoire Une demarche scientifique pionnière inspirée par des valeurs humaines (lire en ligne)
  7. Laurent Marcaillou, « Un nouveau campus pour l'école d'ingénieurs Ensiacet de Toulouse », Les Echos,‎ (lire en ligne)
  8. fcoste#utilisateurs, « Toulouse INP-ENSIACET », sur ensiacet.fr, (consulté le ).
  9. Commission des titres d'ingénieurs, Avis n° 2014/03-02 relatif à l’accréditation de l’Institut national polytechnique de Toulouse (INPT) - Ecole nationale supérieure des ingénieurs en arts chimiques et technologiques (ENSIACET) à délivrer des titres d’ingénieur diplômé, , 4 p. (lire en ligne)
  10. Article L642-9 du code de l’éducation
  11. Décret no 2001-274 du 30 mars 2001 relatif au titre d’ingénieur diplômé par l’État
  12. a et b « Cursus ENSIACET », sur ensiacet.fr (consulté le ).
  13. « Ingénieur ENSIACET par l'apprentissage », sur ensiacet.fr (consulté le ).
  14. Arrêté du 22 janvier 2020 fixant la liste des écoles accréditées à délivrer un titre d'ingénieur diplômé
  15. « L'offre de 3e année à l'INP-ENSIACET », sur ensiacet.fr (consulté le ).
  16. « Stages - ENSIACET », sur ensiacet.fr (consulté le ).
  17. « Master - ENSIACET », sur ensiacet.fr (consulté le ).
  18. a et b « Echanges et autres diplômes », sur ensiacet.fr (consulté le ).
  19. « Master international - ENSIACET », sur ensiacet.fr (consulté le ).
  20. « Mastère spécialisé - ENSIACET », sur ensiacet.fr (consulté le ).
  21. « DHET - ENSIACET », sur ensiacet.fr (consulté le ).
  22. nvalenti#utilisateurs et vduffau#utilisateurs, « Les laboratoires de recherche », sur ensiacet.fr, (consulté le ).
  23. « CIRIMAT : Entreprises », sur cirimat.cnrs.fr (consulté le ).
  24. (en-GB) « Industrial partnerships », sur LCC CNRS Toulouse (consulté le ).
  25. « Recherche - ENSIACET », sur ensiacet.fr (consulté le ).
  26. « Les programmes de mobilité - ENSIACET », sur ensiacet.fr (consulté le ).
  27. « Admission - ENSIACET », sur ensiacet.fr (consulté le ).
  28. « Classement général des écoles d'ingénieurs », sur L’Étudiant.
  29. « Classement 2024 des écoles d'ingénieurs - Page 3 - L'Etudiant », sur letudiant.fr (consulté le ).
  30. « Le classement 2019 des écoles d'ingénieurs », sur Usine Nouvelle.
  31. « Comparatif des écoles d'ingénieurs 2024 - Usine Nouvelle », sur usinenouvelle.com (consulté le ).
  32. « Le classement 2020 des écoles d'ingénieurs », sur Daur Rankings.
  33. « Classement des écoles d'ingénieurs 2023 DAUR », sur daur-rankings.com (consulté le ).

Articles connexes

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Liens externes

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