Grand-Charmont

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Grand-Charmont
Grand-Charmont
L'hôtel de ville.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Doubs
Arrondissement Montbéliard
Intercommunalité Pays de Montbéliard Agglomération
Maire
Mandat
Jean-Paul Munnier
2020-2026
Code postal 25200
Code commune 25284
Démographie
Gentilé Charmontais
Population
municipale
5 857 hab. (2021 en augmentation de 4,89 % par rapport à 2015)
Densité 1 284 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 31′ 41″ nord, 6° 49′ 28″ est
Altitude Min. 324 m
Max. 425 m
Superficie 4,56 km2
Unité urbaine Montbéliard
(banlieue)
Aire d'attraction Montbéliard
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Bethoncourt
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Grand-Charmont
Géolocalisation sur la carte : France
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Grand-Charmont
Liens
Site web www.grand-charmont.com

Grand-Charmont est une commune française située dans le département du Doubs, la région culturelle et historique de Franche-Comté et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté.

Ses habitants sont appelés les Charmontais.

Géographie[modifier | modifier le code]

Grand-Charmont est une ville de l'est de la France faisant partie de l'agglomération de Montbéliard. Elle constitue une commune de la périphérie nord de la ville.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 235 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 10,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dorans », sur la commune de Dorans à 7 km à vol d'oiseau[3], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 974,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −16 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Statistiques 1991-2020 et records DORANS (90) - alt : 401m, lat : 47°35'30"N, lon : 6°50'13"E
Records établis sur la période du 01-04-2009 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −0,2 −0,3 2,3 5,5 8,7 12,6 14,4 14,1 10,7 7,1 3,6 0,6 6,6
Température moyenne (°C) 2,2 2,9 6,8 10,8 13,8 18 20,1 19,7 15,9 11,1 6,6 3,3 10,9
Température maximale moyenne (°C) 4,6 6,2 11,3 16,1 19 23,4 25,8 25,4 21,2 15,2 9,6 6,1 15,3
Record de froid (°C)
date du record
−11
07.01.17
−13,8
05.02.12
−7,5
01.03.18
−3,7
06.04.21
−1,3
06.05.19
5,2
21.06.10
7,2
03.07.11
6,4
30.08.09
2,8
20.09.12
−3,7
29.10.12
−8,7
30.11.10
−16
20.12.09
−16
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
18,4
01.01.23
21,4
24.02.21
25,2
31.03.21
27,7
21.04.18
32
25.05.09
35
19.06.22
38,1
24.07.19
37,8
07.08.15
33,4
11.09.23
29,5
02.10.23
23,1
07.11.15
16,8
24.12.13
38,1
2019
Précipitations (mm) 94,5 71 66,1 66,3 97,8 82,5 70,3 87,1 60,1 79,4 84,1 114,8 974
Source : « Fiche 90035001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
4,6
−0,2
94,5
 
 
 
6,2
−0,3
71
 
 
 
11,3
2,3
66,1
 
 
 
16,1
5,5
66,3
 
 
 
19
8,7
97,8
 
 
 
23,4
12,6
82,5
 
 
 
25,8
14,4
70,3
 
 
 
25,4
14,1
87,1
 
 
 
21,2
10,7
60,1
 
 
 
15,2
7,1
79,4
 
 
 
9,6
3,6
84,1
 
 
 
6,1
0,6
114,8
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Grand-Charmont est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montbéliard, une agglomération inter-départementale regroupant 25 communes[11] et 112 634 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montbéliard, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 137 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Quartiers

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (46,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (38,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (42,7 %), forêts (35,7 %), terres arables (14,1 %), zones agricoles hétérogènes (4,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,4 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Calmonte en 1182, 1189, 1196 ; Charmont en 1319 ; Grand-Charmont en 1549 ; Grand Carmont en 1616 ; Grand-Charmont depuis le XVIIe siècle[19].

Histoire de la ville[modifier | modifier le code]

Grand-Charmont appartenait au comté de Montbéliard, qui fut rattaché à la France en 1793. Montbéliard est ainsi le chef-lieu géographique et économique de Grand-Charmont[20][source insuffisante].

C’est vers l’an 1100 que le comté de Montbéliard est constitué. Après avoir affranchi « les bourgeois »* en 1283, Renaud de Bourgogne, comte de Montbéliard, érige la ville en commune. Gouvernée par une commission nommée par tous les bourgeois, le Magistrat, la ville est, bien avant l’heure, une république (*Bourgeois : au Moyen Age, habitant d’un bourg, d’une ville qui jouit de certains privilèges et participe aux fonctions communales). Cette nouvelle situation favorise la naissance du commerce et permet un accroissement de la population. C’est à partir de cette époque que le comté va affirmer son particularisme.

En 1397, la comtesse Henriette de Montbéliard se fiance avec le comte de Würtenberg, Eberhard IV le jeune, et c’est en 1407 que le comté de Montbéliard est rattaché au duché de Würtenberg, pour une durée de quatre siècles. Le comté de Montbéliard n’était pas soumis aux lois françaises, mais ses habitants étaient français de langue et de race[Quoi ?], et le duché de Würtemberg ne sera jamais pour eux une patrie. Leur « patrie » c’est le « Pays »[Interprétation personnelle ?].

Autre événement important : la Réforme, prêchée en 1535 par Pierre Toussain, ancien chanoine, qui permet à celui-ci d’organiser le culte et de régler l’enseignement de la jeunesse. Les pasteurs, dès cette période, en plus de leur fonction (prédication, catéchisme,etc…)exercent l’enseignement des enfants. Chaque presbytère se double d’une école. L’instruction publique devient obligatoire dans le « Pays » (1559), alors qu’en France elle est peu importante à cette époque.

La suzeraineté des seigneurs s’exerce sur les habitants des communes du « Pays », dont Grand-Charmont. Pour le village, le culte, les services religieux, les inhumations, l’enseignement se font à Montbéliard.

La Réforme introduit aussi à Montbéliard un esprit d’affranchissement et de progrès qui exercera sur l’histoire du « Pays » une influence heureuse et féconde.

En 1573, les persécutions sanglantes dirigées en France contre les protestants amènent à Montbéliard un grand nombre de réfugiés. La présence de ces réfugiés français, dont plusieurs de très grandes familles, contribue à la vie intellectuelle de la cité.

Une autre étape du développement du « Pays » c’est le règne de Frédéric Ier (1582-1608). Instruit, voyageur, intelligent, le comte Frédéric ramène de ses voyages beaucoup d’idées nouvelles. Entouré d’hommes d’esprit inventif, il fait faire de gros progrès à l’agriculture et amorce le départ d’une industrie qui deviendra très importante. Il crée des vacheries, notamment celle de la Grange-la-Dame, plante des vignes sur la Chaux et fait défricher de vastes surfaces qui mettent en valeur le « Pays ». C’est à cette période que les frères Bauhin, naturalistes compétents, introduisent la culture de la pomme de terre (deux siècles avant Parmentier) et créent sur le domaine du Charmontet, un jardin botanique.

Ailleurs, profitant de la richesse en énergie du Pays (forêts, cours d’eau dans chaque vallée, présence de gisements), il fait démarrer une industrie diversifiée : forges et hauts fourneaux, imprimerie, papeterie, etc…

Au début du XVIIIè siècle, viennent s’installer des anabaptistes expulsés de Suisse. Accueillis par le duc Léopold Eberhard (1699-1723), ils exploitent les fermes de celui-ci. Ils sont bientôt célèbres par leurs compétences en matière de culture et d’élevage. Ils améliorent la race bovine, qui deviendra plus productive. Les habitants de la campagne, influencés par leurs méthodes et leurs procédés de culture, développent le rendement de leurs terres.

Côté industrie, c’est en 1764 que s’établit à Montbéliard une manufacture de « filage et tissure de coton ». Puis c’est Frédéric Japy (1749-1812) qui s’organise à Beaucourt puis à Montbéliard un atelier de fabrication d’ébauches de montres. Aves la métallurgie, citée plus haut, c’est l’extension de tout un tissu industriel qui ne va cesser de se développer.

En France, la Révolution (1789) instaure une république, mais ce n’est que le que le pays de Montbéliard est occupé par les français et, en 1796, que le Würtemberg renonce à ses droits sur la principauté. En 1793, la région de Montbéliard est incorporée au département du Mont-Terrible dont le chef-lieu est Porrentruy, puis, en 1800, à celui du Haut-Rhin dont le chef-lieu est Colmar, et Porrentruy devient une sous-préfecture. Elle est enfin rattachée au département du Doubs, arrondissement de Saint-Hippolyte, en 1814, au traité de Paris, lorsque Porrentruy est rendu à la Suisse. C’est en 1816 que Montbéliard remplace Saint-Hippolyte en tant que sous-préfecture.

Après l’occupation du Pays par les troupes prussiennes en 1871, pendant et après la guerre 1914-1918, les industries occupent de plus en plus de main-d’œuvre. Il faut construire logements, usines et ce sont de petites colonies d’immigrés polonais, italiens, espagnols et tchèques qui se constituent. Ensuite l’implantation des usines Peugeot à Audincourt et à Sochaux, attire les familles des départements voisins (Vosges, Haute-Saône, Jura), confrontées dans ces régions à la pénurie d’emplois.

Mais le plus important apport de population s’effectue après la Guerre de 1939-1945 et surtout dans les années 50. Ces travailleurs venus d’autres pays d’Europe, d'Afrique, etc…suivis de leurs familles, vont modifier profondément la démographie du Pays. La construction de grands ensembles d’habitations dans les agglomérations qui encerclent Montbéliard va rompre profondément l’harmonie du paysage de notre région.

Cette population nouvelle occupera les zones urbanisées en urgence au détriment de l’agriculture et d’une vie rurale qui disparaît de plus en plus.

*Bourgeois : au Moyen Age, habitant d’un bourg, d’une ville qui jouit de certains privilèges et participe aux fonctions communales

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1947 Raymond Banzet    
1947 1959 Paul Laurent    
1959 1965 René Ferreux    
1965 1981 Marcel Dubois    
1981 1983 Jean Richard    
1983 1988 René Maitre PS  
1988 août 2001 Daniel Jeanney PS  
septembre 2001[22] Juillet 2017 Denis Sommer[23] PS puis LREM Professeur
Vice-président du Conseil régional, député depuis 2017
10 juillet 2017[24] En cours
(au 31 mai 2020)
Jean-Paul Munnier[25]
Réélu pour le mandat 2020-2026
PS puis DVG (app. LaREM)  

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

En 2021, la commune comptait 5 857 habitants[Note 4], en augmentation de 4,89 % par rapport à 2015 (Doubs : +1,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
182206253287321323326293300
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
298325363403482631553591674
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
6755475344324334628238901 647
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
5 4827 2017 9227 1395 6055 1044 8814 8505 319
2017 2021 - - - - - - -
5 6995 857-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Grand-Charmont comprend le collège Gustave-Courbet (démoli de 2010 à 2011) et le lycée professionnel La Pierre-Martin (conservé, il appartient depuis 2007 à l'AFPA quand celle-ci a racheté le terrain lycée-habitations du lycée. Les habitations, des appartements dans un petit immeuble rattaché au lycée, a vu ses occupants, les employés du lycée, expulsés par l'AFPA, ces habitations ont ensuite été démolies).

La ville compte également trois écoles, l'école élémentaire du Fort-Lachaux, située sur les hauteurs de la ville, l'école et la maternelle Frédéric-Bataille, située près du centre-ville, et l'école D. Jeanney et la maternelle Curie, située dans le quartier des Fougères à proximité de l'ancien collège et lycée (environ 500 mètres).

Santé[modifier | modifier le code]

L'hôpital le plus proche est l'hôpital Nord Franche-Comté situé à Trévenans, dans le sud du Territoire de Belfort (département voisin)[30],[31].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Surplombant la commune, le Fort Lachaux domine le canton de Sochaux. Construit à partir de 1874 avec celui de Mont Bart, il faisait partie de la ceinture sud de Belfort et surveillait les trouées formées par les rivières du Doubs et de la Lizaine. Aujourd'hui, il abrite un club de tir, un escape game, une association de voiture télécommandée, une ferme d'animation -Fort Lachaux Jan Ross- et est un espace vert apprécié des Charmontais. Un émetteur TNT y a été installé courant 2006.
  • Le Temple luthérien[32].
  • La mosquée En-Nour de Grand-Charmont, 5 rue d'Artois, construite en 2002[33].
  • L'église Saint-François-d'Assise forme de ''selle de cheval'' ou le devant d'un paquebot. Label ''Patrimoine du XXeme siècle"
  • La chapelle '' Notre-Dame du Bon Accueil '' au Giboulon. Inauguration le 18 septembre 1955. Extension réalisée en 1971.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Grand-Charmont Blason
Écu français coupé aux chef et abime réunis d’or semé de feuilles de chêne du même or, à la biche de sable galopant à dextre (nos bois)aux cantons de pointe, dextre et senestre de sinople (nos prés) et à la pointe de gueules à deux bars d'argent adossés (Pays de Montbéliard) supporté aux côtés d'une guirlande de feuilles de chêne d'or, enlacée d'une banderole d'argent, portant de sable: Grand Charmont
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Extrait du livre Les Fougères se racontent de Philippe Balliot et l'Association Regards, deuxième édition 2019.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Grand-Charmont et Dorans », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Dorans », sur la commune de Dorans - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Dorans », sur la commune de Dorans - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Montbéliard », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Association Regards, Les Fougères se racontent 1960-2010, Grand Charmont, Association Regards, , 213 p..
  17. Quartier Prioritaire : Les Fougères sur sig.ville.gouv.fr
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. Jean Courtieu, Dictionnaire des communes du département du Doubs, t. 3, Besançon, Cêtre, .
  20. « Histoire de la ville | Ville de Grand-Charmont », sur www.grand-charmont.com (consulté le )
  21. « Votre service benevole d'assistance genealogique », sur francegenweb.org (consulté le ).
  22. élu maire à la suite du décès de Daniel Jeanney.
  23. Site officiel de la préfecture du Doubs - liste des maires (doc pdf).
  24. élu maire à la suite de la démission du néo-député Denis Sommer.
  25. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Hôpital Nord Franche-Comté sur le site de la commune de Trévenans.
  31. Site officiel de l'HNFC.
  32. Grand Charmont : l'église luthérienne.
  33. Portes Ouvertes à la Mosquée du Grand-Charmont.

Les Fougères se racontent de Philippe Balliot et l'Association Regards, deuxième édition 2019.