Vescemont

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Vescemont
Vescemont
Une maison de Vescemont.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Territoire de Belfort
Arrondissement Belfort
Intercommunalité Communauté de communes des Vosges du Sud
Maire
Mandat
Christian Canal
2020-2026
Code postal 90200
Code commune 90102
Démographie
Gentilé Vescemontois ou Rosemontois
Population
municipale
705 hab. (2021 en diminution de 7,96 % par rapport à 2015)
Densité 100 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 44′ 34″ nord, 6° 50′ 41″ est
Altitude Min. 458 m
Max. 988 m
Superficie 7,05 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Giromagny
(banlieue)
Aire d'attraction Belfort
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Giromagny
Localisation
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Vescemont
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Vescemont

Vescemont est une commune française située dans le département du Territoire de Belfort, la région culturelle et historique de Franche-Comté et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté.

La commune, peuplée de 705 habitants au dernier recensement de 2021, est administrativement rattachée au canton de Giromagny. Ses habitants sont appelés les Vescemontois ou les Rosemontois[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

La Rosemontoise.
Château du Rosemont.

Vescemont est située au pied des Vosges du sud, à l'entrée d'une vallée glaciaire dans laquelle prend sa source la Rosemontoise.

C'est l'une des 189 communes du parc naturel régional des Ballons des Vosges[2].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 594 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 10,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Giromagny_sapc », sur la commune de Giromagny à 1 km à vol d'oiseau[5], est de 10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 636,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 37,2 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18,9 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Vescemont est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Giromagny, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[13] et 5 940 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Belfort dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,3 %), prairies (14,7 %), zones agricoles hétérogènes (13,5 %), zones urbanisées (7,5 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

  • D'un nom de personne germanique Wizzo(n) + montem[19].
  • Wessenberch (1276), Wissenberg (1427), Wissemont (1533), Wessenburg (1662), Vescemont (1793).
  • En allemand : Wessenberg[20].

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune de Vescemont est située sur un très ancien lieu de passage.

À l'époque de l'empire romain, la vallée de la Rosemontoise était le seul point de passage entre la Lorraine et la Trouée de Belfort. De nombreuses monnaies de Trajan (empereur romain de 98 à 117) ont été découvertes à Vescemont et la tradition populaire situe un camp romain à l’emplacement du fort de Giromagny.

Dès le XIe siècle, Vescemont fait partie de la seigneurie du Rosemont. On peut encore voir quelques vestiges du château du Rosemont qui se dressait sur un rocher à la limite de la commune de Riervescemont. Le château du Rosemont a été construit vers 1050 par l’un des premiers comtes de Montbéliard[21]. Il est composé d’une tour carrée de deux ou trois étages maçonnée en pierres brutes, mesurant 10 m de côté avec des murs de 1,50 m d'épaisseur, et d'un ouvrage extérieur qui subsiste à l'est. Le seigneur du Rosemont exerçait son autorité sur un grand nombre de localités et le château fut longtemps le fief le plus prestigieux de la région.

La première apparition du nom de Vescemont dans un texte date de 1347. La seigneurie du Rosemont passait alors à la couronne d’Autriche (après avoir appartenu au comte de Ferrette) et le village de Vescemont apparaît ainsi, dans les titres allemands, sous le nom de Wessemberg (Wissemont en français) : c’est le nom que prit la famille investie du fief. Ce nom pourrait remonter à Hesson de Vesinberg qui fut tué lors d’une bataille en 1111. Vescemont fait alors partie de la paroisse de Rougegoutte, sauf la partie située sur la rive droite du ruisseau de la Louvière qui dépend de la paroisse de Giromagny.

On ne connaît pas avec certitude les circonstances de l'abandon du château. Deux hypothèses prévalent :

  • Le château du Rosemont perd son rôle stratégique vers 1469 et est abandonné.
  • Le château est assiégé et détruit par les Suédois en 1632 pendant la guerre de Trente Ans

En 1577, Vescemont était le chef-lieu d'une mairie du Rosemont et comprenait sans doute les hameaux qui ont formé au XVIIe siècle la commune de Riervescemont.

Au XVIIIe siècle, le village dépendait de la paroisse de Rougegoutte et du bailliage de Belfort ; c'était une mairie du Haut-Rosemont appartenant au comté de Belfort, domaine des Mazarin. Les Reinach et les Riboutet y avaient aussi des biens.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie de Vescemont.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2008 2014 Michel Gaidot    
2014 2020 Claude Trébault    
2020 En cours Christian Canal LR  

Budget et fiscalité 2015[modifier | modifier le code]

En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[22] :

  • total des produits de fonctionnement : , soit 515  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 321 000 , soit 420  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 295 000 , soit 385  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 284 000 , soit 372  par habitant ;
  • endettement : 291 000 , soit 380  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 7,61 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 11,14 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 85,18 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].

En 2021, la commune comptait 705 habitants[Note 4], en diminution de 7,96 % par rapport à 2015 (Territoire de Belfort : −3,34 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
413430432566618659672695671
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
607592585560610588610629618
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
602571551517425420415405414
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
431476542564644695742748722
2014 2019 2021 - - - - - -
767719705------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

En 1882 les habitants partageaient leur activité entre agriculture et exploitation de la forêt.

Le patrimoine industriel :

  • Usine de décolletage Sonnet, puis Ackermann, puis Picquerez, actuellement Décolletage du Rosemont[28].
  • Usine de bonneterie Cheviron[29].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La Pierre Écrite[modifier | modifier le code]

  • Pétroglyphe sur la pierre écrite
    Pétroglyphe sur la pierre écrite
    Site naturel classé par décret présidentiel, en date du [30] : Pierre dite "Pierre écrite".
Classée pour son caractère artistique, elle se trouve à 975 m[31], à la limite avec la commune de Riervescemont, près du point culminant de Vescemont (988 m).
Dans son ouvrage Les Vosges avant l'Histoire, Voulot, conservateur du musée d'Épinal en 1870, s'exprime ainsi au sujet de la Pierre Écrite :
« Je viens de trouver la preuve matérielle de l'ensemble de mes croyances sur la présence des peuples préhistoriques d'Asie dans nos Vosges. C'est précisément sur une cime escarpée que je l'ai rencontrée : une simple roche, en forme de table, au sommet d'un col (à proximité du col du Chantoiseau) entre Lepuix et Riervescemont a conservé le nom de Pierre Écrite.
Le Moyen Âge paraît l'avoir vénérée et l'avoir couverte du symbole du Christianisme qui côtoie les plus anciens hiéroglyphes. Je crois y avoir distingué une grande ascia particulière qui en fait un tombeau et le nom d'une divinité, parfois en combinaison, d'autre fois seul, tel qu'il figure sur les plus anciens hiéroglyphes médoscythiques.
La découverte dans nos montagnes d'une inscription de ce genre, la seule en Europe, c'est la certitude d'un monde nouveau à découvrir, c'est le sceau même des Pélasges qu'ils nous ont légué pour témoigner, des milliers d'années après leur mort, de leurs travaux impérissables dus à leur foi inébranlable dans l'avenir. »
  • Ascia[32] : outil en forme d'herminette. Le mot désigne aussi un symbole funéraire sur des tombeaux gallo-romains.
  • Pélasges : les Pélasges sont reconnus comme un des plus anciens peuples préhistoriques proto-européens qui auraient développé les premières formes de la civilisation en Europe : Italie, Balkans, Crète, Asie Mineure et tout le bassin de la Mer Méditerranée
  • Opinion de Philippe Berger, membre de l'Institut et président de la Société belfortaine d'émulation, en 1892:
« Certaines personnes croient reconnaître des caractères phéniciens et même cunéiformes, d'autres n'y voient qu'amusement de pâtres égarés dans la montagne. Il est certain que plus d'un des signes qui recouvrent le rocher sont ou bien un jeu du hasard, ou bien l'œuvre de mauvais plaisants qui n'ont pas craint de profaner un monument antique. L'histoire de l'un d'eux est connue, c'est celle du carré de l'hypoténuse que traça, en 1839, par manière de dérision, un professeur de Besançon. Et pourtant, d'autres figures n'ont pas la même origine et donnent à ceux qui ont l'habitude de consulter les vestiges du passé, l'impression d'une haute antiquité. »
En 1902, Jacques Flasch, professeur de législation comparée, croit remarquer, dans les signes gravés sur la Pierre Écrite, certaines représentations parentes avec celle des dolmens et des menhirs, notamment une étoile exactement orientée et encadrée dans un carré plus vaste. L'aspect même du rocher, sa position à l'extrême pointe du sommet, où il servait en quelque sorte d'observatoire, fait songer aux anciennes pierres sacrées.
La graphie cunéiforme (du latin cuneus: coin, clou), née à Sumer en 2800 av. J.-C. : les lignes courbes, difficiles à tracer sur l’argile molle, sont décomposées en lignes droites que le scribe ne grave plus, mais imprime à l’aide d’une tige de roseau à bout triangulaire, laissant des empreintes en forme de coins ou de clous.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Gentilé, Territoire de Belfort, habitants.fr
  2. « Liste des 189 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3ème Charte 2012 - 2024 » [PDF].
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Vescemont et Giromagny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Giromagny_sapc », sur la commune de Giromagny - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Giromagny_sapc », sur la commune de Giromagny - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Giromagny », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Belfort », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes-Ernest Nègre.
  20. Dictionnaire topographique du département du Haut-Rhin - Georges Stoffel (1868)
  21. Ruines du château du Rosemont
  22. Les comptes de la commune
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Prêtre catholique entre les deux guerres : Georges Chiron, curé de Rougemont-le-Château
  28. « usine de décolletage Sonnet, puis Ackermann, puis Picquerez, actuellement Décolletage du Rosemont », notice no IA90000027, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. « usine de bonneterie Cheviron », notice no IA90000006, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « Pierre écrite de VEescemont », DREAL Franche Comté (consulté le ).
  31. « Pierre écrite de Vescemont (fiche descriptive du site - bilan des sites 2011) » [PDF], (consulté le ).
  32. Requiem aeternam... L'ascia, instrument et symbole de l'inhumation Paul-Louis Couchoud, Amable Audin Revue de l'histoire des religions Année 1952 Volume 142 Numéro 1 pp. 36-66