Offemont

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Offemont
Offemont
Vue générale.
Blason de Offemont
Héraldique
Offemont
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Territoire de Belfort
Arrondissement Belfort
Intercommunalité Grand Belfort
Maire
Mandat
Pierre Carles
2020-2026
Code postal 90300
Code commune 90075
Démographie
Gentilé Offemontois
Population
municipale
4 109 hab. (2021 en augmentation de 6,92 % par rapport à 2015)
Densité 740 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 39′ 52″ nord, 6° 52′ 44″ est
Altitude Min. 362 m
Max. 494 m
Superficie 5,55 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Belfort
(banlieue)
Aire d'attraction Belfort
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Valdoie
Localisation
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Offemont
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Offemont
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Offemont
Liens
Site web Site internet

Offemont est une commune française située dans le département du Territoire de Belfort, en région Bourgogne-Franche-Comté. C'est l'une des huit communes du canton de Valdoie et l'une des 53 communes du Grand Belfort. Ses habitants sont appelés les Offemontois[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Jouxtant la ville de Belfort, la partie ouest d’Offemont s’intègre dans le paysage urbain belfortain, alors que sa partie est évoque davantage un bourg, avec pour centre la mairie et l’église.

Située entre les derniers reliefs vosgiens (mont du Rudolphe) et les derniers reliefs jurassiques (colline de la Miotte), la ville d’Offemont s’étire le long d’un axe ouest-est, dont les limites sont : l’étang des Forges et la colline de la Miotte au sud, la forêt de l’Arsot et le Bois d’Offemont au nord.

Dans le massif forestier, de nombreuses sources (fontaine des Maçons, fontaine des Sapeux, etc.) alimentent des ruisseaux et des étangs (les étangs Damois, du Moulin aux Soiras et du Rudolphe, en limite de la forêt communale). Ces ruisseaux traversent Offemont du nord au sud et rejoignent l’étang des Forges au niveau de la lagune située sur sa rive nord-est. Le canal du Martinet, dérivation de la Savoureuse, longe le quartier de l’Arsot, traverse le carrefour du Martinet et rejoint l’étang des Forges au niveau de la lagune située sur sa rive nord-ouest. Le ruisseau de la Femme prend sa source à proximité des « Champs cerisiers » et se jette dans l’Autruche, rivière provenant de l’étang de l’Autruche, situé dans la forêt communale de Roppe.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Éloie Vétrigne Rose des vents
Valdoie N Denney
O    Offemont    E
S
Belfort

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 300 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 10,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dorans », sur la commune de Dorans à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 974,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −16 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Offemont est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Belfort, une agglomération inter-départementale regroupant 16 communes[12] et 80 035 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Belfort dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (37,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (36,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,7 %), zones urbanisées (29,8 %), zones agricoles hétérogènes (25,4 %), eaux continentales[Note 4] (4,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,3 %), terres arables (0,4 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

  • Offemot et Affemet (1347), Offemůnt (1394), Offemon (1655), Offemont (1670).

Allemand: Offenberg

Histoire[modifier | modifier le code]

Le site d’Offemont était déjà fréquenté au Néolithique (4000 à 2500 av. J.C.).

Deux sites archéologiques sont connus dans le secteur de l’étang des Forges à l'Est de la Miotte :

- un petit atelier de taille de haches et de lames en pélite-quartz situé dans le vallon à l’extrémité Est de l’étang des Forges,

- un camp fortifié de hauteur au lieu-dit le « Bramont » sur la colline de la Miotte, où des parures en bronze datant de l’âge du bronze (2500 à 1000 ans av. J.C.) furent également découvertes.

Une enceinte celtique, datant de la tène finale (période de l’âge du fer, 750 à 52 avant J.C.), est présente au lieu-dit « le Bois d’Arsot » sous forme d’un quadrilatère de terre d’une superficie de 2 500 m2 environ. Il s’agit d’un lieu de culte : des traces d’un puits rituel ont aussi été découvertes lors des travaux de construction de l’école du Martinet.

La période gallo-romaine (52 avant J.C. à 476 après J.C.) fut marquée par une activité importante, comme en témoignent les vestiges découverts à partir de 1839 :

- un atelier de potier au lieu-dit « la Cornée » à proximité de la berge nord de l’étang des Forges. Sept fours à céramique ont été repérés ainsi qu’un four à tuiles dont la présence semble acquise. Les fouilles ont permis de mettre au jour des fragments de céramiques (assiettes, cruches, etc.), de tuiles et de moules pour la fabrication de poterie sigillée.

- une villa avec sa voie d’accès au lieu-dit « le Ballon » occupée, au minimum, du Ier au IVe siècle. Cette villa gallo-romaine était une ferme de grande importance avec plusieurs édifices. Sa situation, derrière le quartier des casernes, explique les noms donnés aux rues de ce secteur (voie romaine, voie neptune, etc.).

- un fanum, daté du Ier siècle, petit temple de forme rectangulaire, dont les fondations sont visibles au bord de la rue Aristide Briand. La rareté d’un tel site a permis sa réhabilitation.

Les grandes invasions barbares, qui ont suivi la chute de l’empire romain, détruisirent ce que la civilisation romaine avait édifié dans la région.

Le plus ancien témoin du passé du village dans les archives est daté de 1324, année du décès de Ulrich II, comte de Ferrette.

En 1350, le village passait sous la domination de la maison d’Autriche. Offemündt, ainsi désigné dans les actes rédigés en allemand, se développe et fait alors partie de la mairie de Pérouse. Ces deux villages étaient reliés par une ancienne voie romaine secondaire.

Après l’annexion de l’Alsace à la France en 1648, Offemont fut érigée en commune distincte et conserve depuis ce statut.

En 1655, la commune figure sous le nom d’Offemon.

En 1670, elle porte pour la première fois le nom d’Offemont.

En 1553, les habitants d’Offemont dépendaient de la paroisse de Brasse à Belfort (l’une des plus anciennes églises du Territoire de Belfort) et fréquentaient à Offemont une chapelle, située en face de l’église actuelle. Cette chapelle, dédiée à Saint Guérin et édifiée dès le XIVe siècle, en 1349, fut détruite à la révolution.

La construction de l’église actuelle, dédiée à Saint Augustin, commença en 1844.

Offemont devint paroisse autonome en 1847.

Les carrières d’Offemont, au nord du village, fournirent pendant plusieurs siècles les pierres en grès rose permettant la construction de nombreux édifices (Cathédrale Saint-Christophe de Belfort, église d’Offemont, etc.)

Au sommet du mont Rudolphe, on peut découvrir un ouvrage fortifié dont la construction débuta en 1914 ; c'est un ouvrage intermédiaire d’artillerie faisant partie de la ceinture fortifiée belfortaine. Cet ouvrage n’a pas été terminé. Situé en terrain militaire, il est la propriété de la ville de Belfort.

Sur le territoire de la commune, les trains du chemin de fer stratégique desservaient les infrastructures militaires de la ceinture fortifiée : le Fort de la Miotte, le Fort de Roppe, la caserne du Rudolphe, les magasins, les batteries, etc.

La rue du stratégique rappelle le tracé de l’une de ces voies ferrées.

De 1913 à 1948, circulaient à Offemont les trains du chemin de fer local reliant Belfort à Rougemont-le-Château. Ce chemin de fer passait par l’actuelle piste cyclable. L’ancienne gare, reconvertie en maison d’habitation, est située rue Welsch, à proximité de la rue de la gare.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie d'Offemont.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1792 janvier 1808 François Monin    
février 1808 avril 1821 Étienne Core    
mai 1821 mai 1825 François Piéquet    
avril 1825 février 1830 François Courtot    
février 1830 octobre 1830 Jean-Baptiste Courtot    
octobre 1830 novembre 1831 Jacques Baume    
décembre 1831 mai 1851 Georges Rosier    
avril 1851 juillet 1858 Jacques Clerc    
août 1858 juin 1871 François Lesmann    
juillet 1871 août 1875 Jean-Baptiste Clément    
septembre 1875 février 1876 Jean-Baptiste Courtot    
février 1876 novembre 1876 Jean-Pierre Marchal    
décembre 1876 décembre 1877 Georges Didier    
janvier 1878 mai 1884 Jules Gaspard    
juin 1884 mai 1887 Désiré Clément    
mai 1887 juin 1887 Alphonse Prévot    
juillet 1887 août 1887 Georges Didier    
août 1887 mai 1888 Louis Thurillot    
juin 1888 novembre 1889 Léonard Marchal    
décembre 1889 octobre 1907 Georges Didier    
décembre 1889 août 1908 Albert Prévot    
novembre 1907 avril 1908 Pierre Clerc    
septembre 1908 novembre 1919 François Bouvier    
décembre 1919 novembre 1930 Albert Mougenot    
décembre 1930 mars 1941 François Bouvier    
avril 1941 janvier 1944 Charles Deshaies    
février 1944 mai 1945 Albin Salomon    
juin 1945 août 1945 Charles Deshaies    
septembre 1945 octobre 1947 Charles Raffenne    
novembre 1947 septembre 1955 Etienne Welsh    
octobre 1955 mars 1971 Roger Châteaudon    
mars 1971 juin 1995 Robert Tritter PS Instituteur, directeur d'école[18]
juin 1995 2014 Françoise Bouvier MRC Conseillère générale du canton d'Offemont (1998-2004)
mars 2014 En cours
(au 27 mai 2020)
Pierre Carles[19] SE-DVD Conseiller départemental depuis 2021

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[21].

En 2021, la commune comptait 4 109 habitants[Note 5], en augmentation de 6,92 % par rapport à 2015 (Territoire de Belfort : −3,34 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
328288342409520493506529510
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
507480487494537508536522541
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
5195355858249041 0548578211 479
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 9812 8763 4564 1404 2133 9763 3693 5133 995
2021 - - - - - - - -
4 109--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La Commune d'Offemont compte 4 écoles :

- École primaire du Centre (rue Etienne Welsch)

- École maternelle du Centre (rue Etienne Welsch)

- École primaire du Martinet (21 rue Aristide Briand)

- École maternelle Jean MACÉ (Rue Jean Macé)

Elle possède deux accueils collectifs de mineurs : la Ruche et la CLÉ (Culture Loisirs Éducation).

Santé[modifier | modifier le code]

L'hôpital le plus proche est l'hôpital Nord Franche-Comté situé dans le sud du département, à Trévenans[24],[25].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jean-Marie Lang, professeur de médecine spécialiste du VIH, né à Offemont.

Économie[modifier | modifier le code]

Patrimoine[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Définition héraldique de la commune d’Offemont : « De gueules à fasce d’argent chargée d’un cœur de gueules »

Glossaire héraldique du blason : De gueules = rouge. La fasce = pièce délimitée par deux lignes parallèles traversant l’écu horizontalement. Chargée = se dit de toute figure sur laquelle il y a une ou plusieurs figures. Signification du « cœur » et de la « fasce d’argent » figurant sur le blason : Le cœur est l’emblème héraldique de Saint Augustin, patron de la paroisse. La « fasce d’argent » représente la dynastie des Habsbourg (une partie de ses armoiries). Le village d’Offemont fut un domaine patrimonial des Ferrette, puis des Habsbourg en 1350, par le mariage de Jeannette de Ferrette (fille d’Ulrich II, comte de Ferrette) et de Albert II, archiduc d’Autriche.

Logo de la ville.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Gentilé, Territoire de Belfort, habitants.fr
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Offemont et Dorans », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Dorans », sur la commune de Dorans - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Dorans », sur la commune de Dorans - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Belfort », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Belfort », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. https://www.estrepublicain.fr/politique/2021/04/10/l-ecole-du-centre-prendra-le-nom-de-l-ancien-maire-robert-tritter
  19. réélu le 25 mai 2020 selon l'Est Républicain du 27 mai 2020.
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Hôpital Nord Franche-Comté sur le site de la commune de Trévenans.
  25. Site officiel de l'HNFC.