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Christopher Walken

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Christopher Walken
Christopher Walken en 2018.
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (81 ans)
AstoriaVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Ronald WalkenVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Domicile
Formation
Université Hofstra
Professional Children's School (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Période d'activité
Depuis Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Georgianne Walken (en) (depuis )Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Distinctions
Films notables
Filmographie de Christopher Walken (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Œuvres principales

Ronald Walken, dit Christopher Walken [ˈkɻʷɪstəfɚ ˈwɑkən][1], né le à New York, est un acteur et danseur américain.

Commençant sa carrière au théâtre, il devient célèbre au cinéma avec Voyage au bout de l'enfer (1978) pour lequel il remporte l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle.

Il joue dans de nombreux films, dont Annie Hall (1977), Voyage au bout de l'enfer (1978), La Porte du paradis (1980), Dead Zone (1983), Dangereusement vôtre (1985), The King of New York (1990), Batman : Le Défi (1992), Pulp Fiction (1994), Sleepy Hollow (1999), Arrête-moi si tu peux (2002), Serial noceurs (2005) et Hairspray (2007).

Jeunesse et débuts

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Ronald Walken naît à Astoria, un quartier de l'arrondissement du Queens à New York. Il est le fils de Rosalie Russell, immigrante écossaise et de Paul Walken, d'origine allemande, qui tiennent une boulangerie[2].

Alors qu'il est âgé d'une dizaine d'années, il fait plusieurs apparitions dans des séries télévisées avec ses frères, Kenneth et Glenn. Il prend des cours de danse et étudie à la Professional Children's School[3].

Il entame des études supérieures à l'université Hofstra mais les abandonne dès la première année, en 1963, préférant se consacrer à sa passion pour la scène. D'abord comédien de théâtre et de comédie musicale, il joue dans de nombreuses pièces à Broadway et Off-Broadway du milieu des années 1960 au début des années 1970 et change son prénom de Ronald en Christopher au début de sa carrière. En 1966, il obtient son premier grand rôle en interprétant Philippe Auguste dans The Lion in Winter, rôle pour lequel il reçoit le Clarence Derwent Award[4]. En 1969, il épouse Georgianne Thon, une actrice qui se reconvertit plus tard en directrice de casting.

Années 1970

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Christopher Walken commence sa carrière cinématographique en jouant un second rôle dans Le Dossier Anderson de Sidney Lumet (1971), face à Sean Connery. Il se révèle au grand public en 1977 avec une apparition courte mais mémorable[5] dans Annie Hall de Woody Allen, dans lequel il interprète Duane Hall, le frère excentrique et névrosé du personnage titre[3]. Il est en lice pour jouer le personnage de Han Solo dans Star Wars mais le rôle échoit finalement à Harrison Ford[6].

En 1978, il devient célèbre avec son rôle de jeune ouvrier psychologiquement détruit par la guerre du Viêt Nam dans Voyage au bout de l'enfer, de Michael Cimino, où sa scène de la roulette russe avec Robert De Niro est devenue culte[7],[8]. À la fin du tournage, il se nourrit exclusivement de bananes, d'eau et de riz pour prendre l'aspect décharné de son personnage à la fin du film[9]. Il remporte pour son interprétation l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle.

Années 1980

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Christopher Walken au théâtre en 1984.

En 1980, il retrouve Michael Cimino pour La Porte du paradis mais le film, éreinté par la critique, est un cuisant échec commercial. Il a ensuite le premier rôle, un mercenaire, dans Les Chiens de guerre (1981), et surprend le public avec son numéro de claquettes doublé d'un striptease dans la comédie musicale Tout l'or du ciel (1981)[3]. Il partage ensuite la vedette de Brainstorm avec Natalie Wood mais l'actrice meurt noyée juste avant la fin du tournage, en 1981, alors qu'elle a invité Walken à passer Thanksgiving avec elle et son mari à bord de leur yacht[4]. Brainstorm sort en 1983 et, la même année, Walken offre une interprétation très remarquée dans le rôle principal du thriller fantastique Dead Zone de David Cronenberg, adapté du roman de Stephen King[10].

Il accepte aussi bien les seconds rôles que les premiers, son physique particulier l'oriente vers les rôles de « durs » et de méchants, notamment dans les films Dangereusement vôtre de John Glen (1985), un James Bond où il interprète Max Zorin, un industriel follement mégalomane, et Comme un chien enragé de James Foley (1986), où il joue le père de Sean Penn, un cruel chef de gang[3]. À la fin des années 1980, ses rôles sont moins marquants mais il a toutefois l'occasion de démontrer une nouvelle fois ses talents de danseur dans la comédie musicale Puss in Boots (1988), où il joue le rôle du chat botté[4].

Années 1990

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Au cours des années 1990, il collabore à plusieurs reprises aux films de son ami Abel Ferrara : il interprète Frank White, un baron de la drogue récemment relâché de prison qui veut récupérer son territoire dans The King of New York (1990), puis joue dans The Addiction (1995), Nos funérailles (1996) et New Rose Hotel (1998)[4]. En 1992, il interprète deux nouveaux rôles de « méchants » : le milliardaire Max Schreck dans Batman, le défi de Tim Burton, et le baron de la drogue Paco Meisner dans le film français Le Grand Pardon 2 d'Alexandre Arcady avec Richard Berry et Roger Hanin.

Il joue le rôle d'un producteur sans scrupule dans Wayne's World 2 (1993), puis fait deux apparitions marquantes pour une seule scène dans True Romance (1993), où il joue un parrain de la mafia tentant d'arracher des informations à Dennis Hopper, et dans Pulp Fiction (1994), où il incarne un militaire qui raconte au jeune Butch Coolidge l'histoire de la montre familiale qu'il est venu lui remettre[11]. Son personnage de Vincenzo Coccotti dans True Romance figure à la 85e place du classement des 100 meilleurs personnages de films, établi par le magazine Empire[12].

Steve Scott (en) et Christopher Walken sur le tournage de Remake, Rome ville ouverte (1996).

En 1995, il écrit et joue le rôle principal de la pièce de théâtre Him (en), qui a pour thème la vie après la mort d'Elvis Presley, sa première idole de jeunesse[13]. Il explore le genre de l'horreur dans The Prophecy (1995) en incarnant le renégat archange Gabriel, rôle qu'il reprendra dans deux suites données au film, avant de s'opposer à Johnny Depp dans Meurtre en suspens (1995). Il enchaîne les rôles de criminels, affrontant notamment Bruce Willis dans Dernier Recours (1996), et interprétant un parrain de la mafia qui s'est apparemment rangé dans Suicide Kings (1997). Il retrouve Tim Burton dans Sleepy Hollow (1999), où il campe l'étonnant personnage du cavalier sans tête.

Années 2000

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En 2000, il fait son retour à Broadway dans la comédie musicale James Joyce's The Dead, pour laquelle il est nommé au Tony Award du meilleur acteur[3]. En 2001, il montre une fois encore ses talents de danseur dans le clip de la chanson de Fatboy Slim, Weapon of Choice, réalisé par Spike Jonze[4]. Il apparaît aussi dans des comédies, un registre qu'il n'a pas souvent abordé jusqu'alors, avec Première sortie (1999), Couple de stars (2001) et L'Amour, six pieds sous terre (2002).

En 2002, son interprétation très remarquée du père du personnage principal joué par Leonardo DiCaprio dans Arrête-moi si tu peux, sous la direction de Steven Spielberg, lui vaut d'être nommé à l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle, et de remporter le British Academy Film Award du meilleur acteur dans un second rôle et le Screen Actors Guild Award du meilleur acteur dans un second rôle.

Il accumule ensuite les seconds rôles en faisant des choix plus ou moins heureux. En 2004, il apparaît dans Man on Fire avec Denzel Washington, avant d'incarner le mari-robot adoré de Glenn Close pour le film de Frank Oz, Et l'homme créa la femme. Il joue ensuite dans plusieurs comédies qui connaissent le succès au box-office, il est le père de Rachel McAdams dans la comédie Serial noceurs (2005), il vend la fameuse télécommande à Adam Sandler dans la comédie potache Click (2006), puis chante et danse avec John Travolta dans le film musical Hairspray (2007)[14],[15],[16].

Années 2010

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Christopher Walken en 2012.

Usé de jouer les méchants, il déclare à son agent vouloir « jouer un gars gentil avec une femme, une famille, un chien et une maison »[17]. Cette dernière lui trouve alors le scénario de la pièce de théâtre A Behanding in Spokane (en) de Martin McDonagh[17]. Dans cette pièce à humour noir dans laquelle il côtoie Sam Rockwell, Anthony Mackie et Zoe Kazan, il joue un homme à la recherche de sa main gauche depuis des décennies[17]. Jouant la pièce à Broadway en 2010, le succès est au rendez-vous puisqu'il est nommé aux Tony Awards du meilleur acteur[17],[18]. Il continue à tourner dans beaucoup de films au début des années 2010. Ainsi, il retrouve McDonagh en 2012 dans Sept Psychopathes, comédie de gangsters dans laquelle son interprétation est saluée par la critique[19]. Nouvelle comédie noire sur fond de mafia, il forme la même année un trio avec Al Pacino et Alan Arkin dans le film Les Derniers Affranchis de Fisher Stevens[20].

Il retrouve un rôle de parrain de la mafia dans Jersey Boys (2014), film biographique de Clint Eastwood sur le groupe pop rock The Four Seasons[21].

Il tient le rôle du capitaine Crochet dans une adaptation musicale (en) de Peter Pan diffusée en direct sur NBC en décembre 2014[22].

En 2016, il prête sa voix à l'imposant Roi Louie dans la nouvelle adaptation par Jon Favreau du roman Le Livre de la jungle, succédant ainsi à Louis Prima, l'interprète du personnage dans l'adaptation animée de 1967[23]. Dans le film, Walken performe également la chanson I Wan'na Be Like You[23].

Années 2020

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En 2020, il joue le rôle de l'agriculteur Percy Schmeiser dans le film Percy qui relate le combat juridique de ce dernier contre l'entreprise Monsanto[24].

Depuis 2021, il joue pour la première fois un rôle régulier à la télévision, apparaissant dans la série The Outlaws (en) de Elgin James (en) et Stephen Merchant[25].

Depuis 2022, il joue dans la série télévisée de science fiction psychologique Severance disponible sur Apple TV+[25]. Il déclare avoir trouvé « attirant » l'idée de jouer un rôle différent de d'habitude et que le fait de retrouver Ben Stiller, qui réalise la série, dont il connaît la famille et avec lequel il a déjà joué, ainsi que de retrouver John Turturro avec qui il a également tourné à plusieurs reprises, a eu un impact[25].

En 2024, sort le film Dune, deuxième partie (Dune: Part Two), de Denis Villeneuve, dans lequel il incarne l'Empereur Padishah : Shaddam IV Corrino[26].

Vie privée

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En , Christopher Walken épouse Georgianne Thon (en), une actrice reconvertie plus tard en directrice de casting. Il est toujours marié avec elle, cinquante ans plus tard. Le couple vit à Wilton, dans le Connecticut, et n'a jamais eu d'enfants, Walken expliquant à ce sujet que le fait de n'avoir ni enfant, ni hobby, est la principale raison pour laquelle il refuse rarement un rôle[3].

Le , alors qu'il se trouve sur un yacht en compagnie des acteurs Robert Wagner et Natalie Wood, cette dernière est retrouvée le lendemain matin morte, noyée, au large de Los Angeles[27].

En 2006, un canular circule sur internet selon lequel l'acteur aurait décidé de se présenter à l'élection présidentielle américaine de 2008. Un faux site officiel relaie ce canular[28].

Il n'a jamais possédé ni ordinateur, ni téléphone portable, estimant que cela ne le concerne pas. Il avoue néanmoins disposer d’un téléphone portable quand il travaille sur un film[29].

Popularité

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Vidéo externe
Christopher Walken dans le clip Weapon of Choice (en) de Fatboy Slim en 2001. (Compte officiel de Fatboy Slim sur Youtube)

Souvent cantonné dans des rôles de méchants en raison de son expression inquiétante, Walken a également démontré à plusieurs reprises son affinité pour des rôles comiques et a animé à sept reprises l'émission télévisée Saturday Night Live, où il a pris plaisir à démontrer ses talents de danseur et de chanteur et à parodier certains de ses rôles les plus sombres[4].

Il a popularisé le cencerro (cowbell en anglais) avec son expression « We need more cowbell » dans un sketch devenu culte (en) du Saturday Night Live[30]. Il est aussi connu pour son débit de parole très particulier, qui a souvent fait l'objet d'imitations[3],[25]. Il ne sait pas comment sa manière de parler est telle quelle mais il suppose que le fait d'avoir grandi dans le Queens, avec un voisinage dont l'anglais n'est pas la langue maternelle, a pu avoir une influence[25].

Christopher Walken en 2008.

En 2001, il joue sous la direction de Spike Jonze dans le clip musical Weapon of Choice (en) de Fatboy Slim, qui rencontre un grand succès sur Internet et qui lui permet d'exprimer publiquement ses talents de danseur[31].

Travail d'acteur

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Ayant une personnalité distinguée, Christopher Walken est souvent confronté à la réécriture de ses personnages après avoir été embauché[32]. Ainsi pour éviter que ces personnages se fassent « Walkeniser », il ajoute une clause à tous ses contrats pour valider ou non les changements apportés à ses personnages[32].

Peu importe le contexte du film, il n'est pas rare de voir un personnage joué par Christopher Walken faire quelques pas de danse, comme il est possible de voir dans des films comme The King of New York (1990) ou encore Arrête-moi si tu peux (2002)[31]. En il déclare au New York Times : « J'ai d'abord été danseur. Même m'appeler acteur, c'est un peu étrange. Je me considère comme quelqu'un qui fait une performance. »[N 1],[17]. En , The Washington Post lui demande si être danseur l'aide dans son métier d'acteur : « Absolument. Avec les danseurs, la préparation s'appelle la répétition - vous le faites encore et encore jusqu'à ce que les mouvements deviennent une partie de votre mémoire musculaire. Toute la discipline et l'aspect physique ne sont pas différents d'être un athlète : ça fait mal et vous devez le faire et vous avez des courbatures. J'ai toujours abordé le métier d'acteur de la même manière. Je trouve mon rythme dans ce que le personnage dit et je le fais jusqu'à ce que cela semble convaincant. Ce n'est pas une façon conventionnelle de le faire. »[N 2],[25].

Filmographie

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Années 1960 et 1970

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Années 1980

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Années 1990

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Années 2000

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Années 2010

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Années 2020

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Télévision

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Distinctions

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Cette section récapitule les principales récompenses et nominations obtenues par Christopher Walken. Pour une liste plus complète, se référer à l'Internet Movie Database[33].

Récompenses

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Nominations

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Voix francophones

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En France, Bernard Tiphaine (décédé en octobre 2021[34]) a été la voix française régulière de Christopher Walken de 1981 à 2018. Auparavant, Patrick Floersheim, l'une de ses voix, l'a également doublé dans dix films et un téléfilm[35].

Au Québec, Hubert Gagnon a été la voix québécoise régulière de l'acteur[36]. Éric Gaudry[36] et Jean-Luc Montminy[36] l'ont également doublé respectivement à cinq et quatre reprises chacun.

Notes et références

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  1. Citation originale: I was a dancer first. Even calling myself an actor, it’s a little strange. I think of myself as a performer..
  2. Citation originale: Absolutely it does. With dancers, rehearsal is called repetition — you just do it over and over until the moves become a part of your muscle memory. The whole discipline and the physical aspect is not unlike being an athlete: It hurts and you have to do it and you get sore. I’ve always approached being an actor the same way. I find my rhythm in what the character is saying and just do it till it sounds convincing. It’s not a conventional way of doing it.

Références

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  1. Prononciation en anglais américain retranscrite selon la norme API. Son patronyme est parfois prononcé en anglais américain [ˈwɔkən] ou en anglais britannique [ˈwɔ:kən].
  2. « Biographie de Christopher Walken », sur premiere.fr (consulté le )
  3. a b c d e f et g (en) « Christopher Walken Biography », sur biography.com (consulté le )
  4. a b c d e et f (en) « Christopher Walken, the Song and Dance Man », sur celebratingchristopherwalken.com (consulté le )
  5. (en) Laura Flood, « The Eight Creepiest Christopher Walken Performances », sur pastemagazine.com, (consulté le )
  6. (en) Mark King, « It could have been so different », sur The Guardian (consulté le )
  7. (en) « The Deer Hunter: 40 years on, the Russian roulette scenes feel racist », sur irishtimes.com, (consulté le )
  8. (en) « The Deer Hunter: How Robert De Niro almost died making death cult film », sur mirror.co.uk, (consulté le )
  9. (en) « Thursday: The Deer Hunter », sur The New York Observer (consulté le )
  10. (en) Oliver Lyttleton, « The Essentials: The 5 Best Christopher Walken Performances », sur indiewire.com, (consulté le )
  11. (en) « Christopher Walken: five best moments », The Guardian (consulté le )
  12. (en) « The 100 Greatest Movie Characters », sur Empire (consulté le )
  13. (en) John Simon, « Big Famine, Small Feast », New York Magazine, vol. 28, no 5,‎ , p. 72
  14. (en) Manohla Dargis, « A Man-Child Who Has His World Under Control in 'Click' », sur nytimes.com, (consulté le )
  15. (en) Elisa Leonelli, « Oral History: Christopher Walken on Playing Fathers », sur goldenglobes.com, (consulté le )
  16. (en) Robert Simonson, « Christopher Walken Steps in as Wilbur Turnblad in "Hairspray" Movie », sur playbill.com, (consulté le )
  17. a b c d et e (en) Patrick Healy, « 2010 Tony Nominations Announced », sur nytimes.com, (consulté le )
  18. (en) « 2010 Tony Nominations Announced », sur playbill.com (consulté le )
  19. « "Seven Psychopaths" : première bande-annonce avec Colin Farrell, Christopher Walken et Sam Rockwell [VIDEO] », sur allocine.fr, (consulté le )
  20. « PHOTO - Al Pacino, Christopher Walken et Alan Arkin réunis dans Stand up Guys », sur premiere.com, (consulté le )
  21. (en) Andrew Gans, « Christopher Walken Lands Role in Film Version of Jersey Boys », sur playbill.com, (consulté le )
  22. (en) Eric Deggans, « Hate The Idea Of 'Peter Pan Live'? NBC Is Counting On It », National Public Radio (consulté le )
  23. a et b (en) Nicole Sperling, « Jungle Book made Christopher Walken's King Louie bigger and badder than ever », sur ew.com (consulté le )
  24. Nicole Sperling, « Canada : décès d’un agriculteur célèbre pour avoir combattu Monsanto », sur leparisien.fr, (consulté le )
  25. a b c d e et f (en) Stuart Miller, « Christopher Walken on ‘Severance,’ the importance of dancing and why he speaks in that Walken way », sur washingtonpost.com, (consulté le )
  26. SensCritique, « Casting de Dune - Deuxième partie (2024) » (consulté le )
  27. « Le mystère de la mort de Natalie Wood enfin éclairci ? », Le Dauphiné libéré.com, 2 février 2018.
  28. (en) Mike Yamamoto, « Christopher Walken for president! », sur cnet.com (consulté le )
  29. https://www.cnews.fr/divertissement/2020-12-17/christopher-walken-avoue-navoir-jamais-possede-un-telephone-portable-ou-un
  30. (en) Jeff Gordinier, « Q&A With Christopher Walken », sur details.com (consulté le )
  31. a et b Elodie Bardinet, « Christopher Walken, roi du dance-floor au cinéma », sur premiere.fr, (consulté le )
  32. a et b Julien Gester, « Christopher Walken : «Je ne pourrais pas être acteur si je n’étais pas un peu frimeur» », sur liberation.fr, (consulté le )
  33. (en) « Awards for Christopher Walken », sur Internet Movie Database (consulté le )
  34. Magali Rangin, « Mort de Bernard Tiphaine, voix française de Chuck Norris », sur BFM TV
  35. a b c d e f g h et i « Comédiens ayant doublé Christopher Walken en France », sur RS Doublage (consulté le ).
  36. a b c d e f g h et i « Christopher Walken », sur Doublage.qc.ca (consulté le ).
  37. François Justamand, « Décès de Patrick Floersheim (1944-2016) », sur Objectif-cinema.com, .
  38. Bernard Tiphaine n'ayant assuré que le doublage de la bande-annonce.

Bibliographie

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  • (en) Jack Hunter, Christopher Walken: Movie Top Ten, Creation Publishing Group, , 134 p. (ISBN 1871592844)
  • (en) Robert Schnakenberg, Christopher Walken A to Z: The Man - The Movies - The Legend, Quirk Books, , 288 p. (ISBN 1594742596)

Articles connexes

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Liens externes

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