Villers-la-Montagne

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Villers-la-Montagne
Villers-la-Montagne
L'église paroissiale Saint-Sylvestre.
Blason de Villers-la-Montagne
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Briey
Intercommunalité [CA Grand Longwy Agglomération
Maire
Mandat
Guy Michel
2020-2026
Code postal 54920
Code commune 54575
Démographie
Gentilé Magins
Population
municipale
1 550 hab. (2021 en augmentation de 4,59 % par rapport à 2015)
Densité 86 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 28′ 17″ nord, 5° 49′ 20″ est
Altitude Min. 295 m
Max. 423 m
Superficie 18,12 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Villers-la-Montagne
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Villerupt
Législatives 3e circonscription de Meurthe-et-Moselle
Localisation
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Villers-la-Montagne
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Liens
Site web https://www.villerslamontagne.fr/

Villers-la-Montagne est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.

Ses habitants sont les Magins et Maginnes[1]

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Située au sud de Longwy et de ses trois frontières, Villers-la-Montagne est la "porte" d'entrée vers les villages alentour car elle longe la voie rapide (N 52).

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Bréhain-la-Ville, Chenières, Haucourt-Moulaine, Hussigny-Godbrange, Laix, Morfontaine et Tiercelet.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La Moulaine, un affluent de la Chiers, l'un des affluents importants de la Meuse en rive droite, limite au nord-ouest le territoire communal.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 904 mm, avec 13,8 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villette », sur la commune de Villette à 20 km à vol d'oiseau[4], est de 10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 909,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39 °C, atteinte le ; la température minimale est de −14,8 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Carte hydrographique et des infrastructures de transport de la commune en 2022.

Typologie[modifier | modifier le code]

Villers-la-Montagne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Villers-la-Montagne, dont elle est la commune-centre[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 1 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (59,3 %), forêts (23,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,9 %), prairies (5,6 %), zones urbanisées (4,8 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 750, alors qu'il était de 676 en 2015 et de 630 en 2010[I 1].

Parmi ces logements, 91,8 % étaient des résidences principales, 1,3 % des résidences secondaires et 6,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 73,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 25,9 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Villers-la-Montagne en 2020 en comparaison avec celle de Meurthe-et-Moselle et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,3 %) inférieure à celle du département (2,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 76,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (75,7 % en 2015), contre 57,3 % pour la Meurthe-et-Moselle et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Villers-la-Montagne en 2020.
Typologie Villers-la-Montagne[I 1] Meurthe-et-Moselle[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 91,8 88,6 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,3 2,1 9,7
Logements vacants (en %) 6,8 9,3 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

  • Du latin médiéval carolingien Villare qui signifie « domaine rural/ferme ».
  • Du vieux haut allemand wīlāri qui signifie village
  • Du moyen haut allemand wīler qui veut dire petit village
  • Villare (926), Wilere (962), Willare (1096), Wilre (1235), Willarium (1236), Villiers (1571), Ville-la-Montagne (XVIIIe siècle).
  • Bergweiler en allemand et Biergweiler en Luxembourgeois standard. (se prononce "Birch")
  • Villers-la -montagne se trouvait jadis du côté germanique de la frontière linguistique mosellane
  • Berg a été traduit par erreur par "montagne" alors que la bonne traduction est "colline" (ce n'est pas une zone de montagne, c'est le haut-plateau lorrain avec ses collines)
  • La toponymie de Villers-la-Montagne et la même que celle de Bergweiler (près de Trêves) : Villaris (1056), Villari (1171), Villare (1184), Vilare (1190), Wilare (1219), Wilre (1243), Wiler (1417), Wilre (1428), Wyler (1487), Bergwiler (1569).

La localité doit son nom à une villa gallo-romaine détruite au IIIe siècle.

Histoire[modifier | modifier le code]

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Villers-la-Montagne était siège d'une châtellenie dépendant du château de Longwy. Elle était également le siège d'une prévôté en 1718, puis du bailliage de Villers-la-Montagne en 1751 qui appartenait au diocèse de Trèves.[réf. nécessaire]

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

En 1817, Villers-la-Montagne, village de l'ancienne province du Barrois, avait pour annexes la ferme de Hussigny et le moulin de Signy. À cette époque il y avait 826 habitants répartis dans 150 maisons. Dans la forêt de Selomont, ruines d'un ancien village[réf. nécessaire].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Briey du département de Meurthe-et-Moselle.

Elle faisait partie de 1801 à 1973 du canton de Longwy, année où elle intègre le canton de Villerupt[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Villerupt porté à 14 communes

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de Meurthe-et-Moselle.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté d'agglomération dénommée depuis 2021 Grand Longwy Agglomération, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2017 sous le nom de communauté d'agglomération de Longwy par transformation de la communauté de communes de l'Agglomération de Longwy et auquel la commune a adhéré en 2014 en lui transférant un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Cette communauté de commune avait elle-même été créée en 2002 par transformation d'un district constitué en 1960 et qui avait progressivement intégré d'autres communes.

La commune est également membre de l'Agglomération transfrontalière du pôle européen de développement.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1965 mars 1989 Marcel Reuter[16] SE  
mars 1989[17] 2014[18] François Boudot Modem  
2014[19] 20 décembre 2014[20] François Barthélémy PS Mandat écourté par la démission d'une partie du conseil municipal
20 décembre 2014[21] juillet 2017 Xavier Paluszkievicz REM Chargé de communication d('une banque luxembourgeoise
Député de Meurthe-et-Moselle (3e circ.) (2017 → 2022)
Démissionnaire après son élection comme député
juillet 2017[22] En cours
(au 6 juin 2023)
Guy Michel   Retraité d'entreprises luxembourgeoises
Ancien président de l’association des frontaliers français qui travaillent au Grand-Duché
Réélu pour le mandat 2020-2026[23]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].

En 2021, la commune comptait 1 550 habitants[Note 4], en augmentation de 4,59 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1872
8127177949301 1711 1301 2661 2251 131
1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
1 1471 1111 0691 0351 0521 016980972819
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
8748849127769291 0791 0601 0131 273
1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
1 2261 3231 4421 4331 4991 550---
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Tilleul qui aurait été planté au moment de l'édit de Nantes (1598), début 1981, il a été décapité.
  • Deux anciens moulins à huile, dont l'un a été rasé.
  • Ouvrage du Mauvais-Bois. petit ouvrage fortifié d'infanterie comptant trois blocs de la ligne Maginot construit à partir de 1931 et situé à la limite communale entre Laix et Villers-la-Montagne,
  • Ouvrage du Bois-du-Four, autre ouvrage fortifié d'infanterie de la ligne Maginot, construit lui en 1931 et monobloc.
  • Église paroissiale Saint-Sylvestre, fin du XVe siècle ou du début XVIe siècle dont il subsiste la tour clocher (à l'exception du dernier niveau) et la chapelle ou l'ossuaire accolé à la façade sud. Nef, chœur et sacristie reconstruits au début du XVIIIe siècle, peut-être en 1704, à l'époque où la tour clocher est restaurée (date 1704 donnée par des ancres sur la façade est de la tour) .
    Réfection de la flèche et du niveau du beffroi en 1865. Édifice détruit en et restauré entre 1946 et 1950.
    L'église comporte un maître-autel en bois sculpté dont le tabernacle est orné d'un agneau pascal, surmonté d'une "monstrante tournante" décorée d'une descente de croix. Les vitraux sont des ateliers Gross de Nancy (1952). Le beffroi accueille trois cloches : Eugénie-Marie, Françoise-Léonie (1923, renouvelée en 1982), et Henriette-Marie. L'église est totalement décimée par la tempête de [27]. Les murs et voûtes de l'ancien chœur et de l'ossuaire sont inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du [28]. Au cours des travaux, des peintures murales sont découvertes dans la crypte et sont l'objet d'une inscription à l'inventaire des monuments historiques en 1991[29],[30]. Après travaux, l'inauguration a lieu le .

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Villers-la-Montagne Blason
D'azur à deux barbeaux adossés d'or accostés de deux croix de Lorraine de même et accompagnés en chef et en pointe de deux croix recroisetées d'argent.
Détails
Villers la Montagne, Villare ad Montem, était le siège d'une châtellenie et d'une prévôté appartenant aux comtes de Bar. En 1751 cette prévôté est supprimée.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

L'histoire de la commune de Villers-la-Montagne a été étudiée et écrite par l'historien local Felix Jacob en 1995[32] et développée en 2001 dans un très beau livre par l'historien Olivier Cortesi[33].

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • « Villers la Montagne », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur galeries.limedia.fr

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2020 à Villers-la-Montagne » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Villers-la-Montagne - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Villers-la-Montagne - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la Meurthe-et-Moselle » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. https://www.habitants.fr/meurthe-et-moselle-54
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Villers-la-Montagne et Villette », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Villette », sur la commune de Villette - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Villette », sur la commune de Villette - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. « Avis de décès de Monsieur Marcel REUTER » Accès libre, sur libramemoria.com, (consulté le ).
  17. S.B., « François Boudot : « La vie est sereine à la campagne » : François Boudot, maire de Villers-la-Montagne depuis 1989, revient sur le développement de la commune et sur son avenir, avec en point de mire l’intercommunalité », Le Républicain lorrain,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  18. « La dernière séance de François Boudot », Le Républicain lorrain,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  19. S. B., « François Barthélémy « fort et tranquille » : On est forts, tranquilles et pas réactionnaires. » C’est le message que compte faire passer François Barthélémy, qui conduit la liste de l’équipe du maire sortant, François Boudot », Le Républicain lorrain,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  20. S.B., « Démissions au conseil : coup de tonnerre à Villers-la-Montagne : Le conseil municipal de Villers-la-Montagne, qui n’avait pourtant que sept mois d’existence, a été foudroyé hier matin, avec la démission de six de ses membres », Le Républicain lorrain,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le ).
  21. « Villers-la-Montagne : Xavier Paluszkiewicz un maire déjà contesté », Le Républicain lorrain,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le ).
  22. Marion Mellinger, « Qui est Guy Michel, le nouveau maire de Villers-la-Montagne ? : Élu député de la 3e circonscription du département, Xavier Paluszkiewicz a dû choisir entre la mairie et l’Assemblée nationale. Il a opté pour le Palais Bourbon. Guy Michel a été désigné pour le remplacer à Villers-la-Montagne », Le Républicain lorrain,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le ).
  23. « Guy Michel poursuit l’aventure de maire », Le Républicain lorrain,‎ 4/6/2020 mis à jour le 9/6/2020 (lire en ligne Accès libre, consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Tempête 1990 dans Histoire de Villers la Montagne,en ligne
  28. « Église Saint-Sylvestre », notice no PA00106450, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. Bulletin no 23 Association Préservation du Patrimoine, édition à compte d'auteur 23 décembre 2003
  30. « peinture murale », notice no IM54002962, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  31. « Laurent, Gabriel Claude - Base de données des députés français depuis 1789 - Assemblée nationale », sur www2.assemblee-nationale.fr (consulté le )
  32. Félix Jacob - Villers la Montagne sa prévôté son bailliage - AGM Imp Idéalys Tiercelet - Édition à compte d'auteur - Juin 1995
  33. Olivier CORTESI - Villers la Montagne le refuge des saisons - Cœur d'Occident éditions - 2001