Grandvillars

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Grandvillars
Grandvillars
La mairie.
Blason de Grandvillars
Blason
Grandvillars
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Territoire de Belfort
Arrondissement Belfort
Intercommunalité Communauté de communes du Sud Territoire
Maire
Mandat
Christian Rayot
2020-2026
Code postal 90600
Code commune 90053
Démographie
Gentilé Grandvellais
Population
municipale
2 978 hab. (2021 en augmentation de 0,1 % par rapport à 2015)
Densité 196 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 33′ 00″ nord, 6° 58′ 00″ est
Altitude Min. 339 m
Max. 413 m
Superficie 15,17 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Delle (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Delle (partie française)
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Grandvillars
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription du Territoire de Belfort
Localisation
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Grandvillars
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Grandvillars
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Grandvillars
Liens
Site web grandvillars.fr

Grandvillars [ɡʁɑ̃vilaʁ] est une commune française située dans le département du Territoire de Belfort, la région culturelle et historique de Franche-Comté et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté, chef-lieu de canton.

Ses habitants sont appelés les Grandvellais.

Géographie[modifier | modifier le code]

La ville est située sur la route nationale RN 19 et la voie ferrée reliant Belfort à Delle et à la Suisse toute proche. Elle est arrosée par un affluent du Doubs, l'Allaine. Sa superficie est de 1 517 ha.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 142 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 10,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Joncherey », sur la commune de Joncherey à 2 km à vol d'oiseau[3], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 086,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39 °C, atteinte le ; la température minimale est de −25 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Statistiques 1991-2020 et records JONCHEREY (90) - alt : 359m, lat : 47°31'34"N, lon : 7°00'11"E
Records établis sur la période du 01-01-1964 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −1,6 −1,7 0,6 3,4 7,5 11,1 12,8 12,4 9 5,8 1,8 −0,9 5
Température moyenne (°C) 2 2,9 6,4 9,9 14 17,8 19,6 19,3 15,2 10,9 5,8 2,6 10,5
Température maximale moyenne (°C) 5,5 7,5 12,1 16,4 20,5 24,4 26,4 26,1 21,4 16 9,8 6,1 16
Record de froid (°C)
date du record
−25
07.01.1985
−19,6
21.02.1986
−20
01.03.05
−7,5
13.04.1986
−4
05.05.1979
−0,5
03.06.06
2,5
18.07.1970
0,5
20.08.1972
−1,2
30.09.1995
−7,5
31.10.1997
−13
30.11.10
−21,5
20.12.09
−25
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
18,5
01.01.23
22,5
24.02.21
27
31.03.21
29,5
21.04.18
33
28.05.17
37
26.06.19
38,1
03.07.1976
39
07.08.15
33,7
11.09.23
30,9
02.10.23
25,5
07.11.15
21,1
16.12.1989
39
2015
Précipitations (mm) 82,9 78 78,8 79,9 102,3 93,2 83,6 97,8 82,8 101 97,7 108,9 1 086,9
Source : « Fiche 90056002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
5,5
−1,6
82,9
 
 
 
7,5
−1,7
78
 
 
 
12,1
0,6
78,8
 
 
 
16,4
3,4
79,9
 
 
 
20,5
7,5
102,3
 
 
 
24,4
11,1
93,2
 
 
 
26,4
12,8
83,6
 
 
 
26,1
12,4
97,8
 
 
 
21,4
9
82,8
 
 
 
16
5,8
101
 
 
 
9,8
1,8
97,7
 
 
 
6,1
−0,9
108,9
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Grandvillars est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Delle (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 3 communes[11] et 10 085 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Delle (partie française), dont elle est une commune du pôle principal[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 8 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (44,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (46,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (39,7 %), zones agricoles hétérogènes (17,5 %), terres arables (14,2 %), prairies (12,6 %), zones urbanisées (10,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6 %)[16]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

  • Grandivillari (1147), Grandvilers (1222), Granwil (1226), Grandivilario (1282), Grantveler (1282), Grantvillers (1332), Grandweiler (XVIIe siècle), Grandvillard (1793).
  • En allemand : Granwiller[17].

Histoire[modifier | modifier le code]

Un manoir à Grandvillars.

Un tumulus contenant une tombe à char de l'Âge du fer a été fouillé en 1919. Les objets provenant de cette sepulture sont présentés au Musée d'histoire de Belfort[18].

À l'époque romaine, Grandvillars était déjà un lieu de passage habité puisqu'un embranchement de la voie romaine Mandeure-Augst et reliant Bourogne à Delle traversait son territoire. Un établissement gallo-romain aurait même occupé le lieu où la ville s'est développée si l'on en croit les vestiges retrouvés vers 1850. On trouve mention du nom du village en 1147 à propos des chapelles de Sainte-Marie et de Sainte-Ursanne que possédait le prieuré de Lanthenans.

Le fut signé à Grandvillars le traité de paix réconciliant le comte Frédéric II de Ferrette et le comte Richard III de Montbéliard. Le fief de Grandvillars fut ensuite l'objet d'un litige entre Renaud de Bourgogne, comte de Montbéliard et l'évêque de Bâle. Différend qui dégénéra en conflit quand Renaud se fut attaqué aux possessions de l'évêché. L'empereur Rodolphe de Habsbourg dut intervenir pour ramener le comte de Montbéliard à la raison. Le fief de Grandvillars fut ainsi partagé entre l'évêché et Henri de Grandvillars, vassal du comte de Montbéliard. C'est à cette époque que le bourg fut fortifié et le château construit.

Des mains de Jeanne de Montbéliard, comtesse de Ferrette, Grandvillars passa en 1347 à Ursule, seconde fille de Jeanne et de Ulrich III de Ferrette. On trouve ensuite un Guillaume puis un Thiébaut, sires de Grandvillars. En 1444, le bourg fut dévasté par les Écorcheurs. Après 1648, Grandvillars, devenu français, est le chef-lieu d'une mairie regroupant également Thiancourt et Morvillars.

La famille des anciens barons de Grandvillars n'eut pas de descendant direct. Une branche cadette de la famille s’était installée à Delémont en Suisse et donna plusieurs notables comme François Conrad de Grandvillers, chevalier de cour et chef bailli de Saint-Ursanne, Saint-Imier et de l'Ajoie. Le XVIIIe siècle vit l'expansion de la famille dans la région de Bâle, dont les membres furent connus sous divers noms tels que Granwiller et Grauwiler. C'est à cette époque qu'aurait été détruit le château féodal. À son emplacement fut construit vers 1787 sur les plans de l'architecte Jean-Baptiste Kléber, le futur général du Premier Empire, un château (voir photo) vendu comme bien national à la Révolution.

En 1828, l'industriel Jean-Baptiste Migeon y installe une fabrique de visserie. L'industrie, qui se développa dans le courant du XIXe siècle, provoqua une augmentation nette de la population qui passa de 761 habitants en 1803 à 1 954 en 1872. L'arrivée de nombreux Alsaciens optants fuyant la germanisation de leur province porta à 3 072 le nombre d'habitants en 1911. La voie ferrée et la gare ont été mis en service le .

Dans les années 1980, Grandvillars a connu de réelles difficultés économiques avec la suppression de 600 emplois industriels à la suite de la démolition de l’usine du Moulin, de la fermeture des établissements Châtel et de l’arrêt de plusieurs activités sur le site de l’usine des Forges. Cela s’est traduit par une perte de 450 habitants au recensement de 1989.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Vers 1770   M. Gressot    
Les données manquantes sont à compléter.
1881 1900 Léon Viellard[19] Conservateur Maître de forges
1900 1945 Albert Viellard[19]   Ingénieur et directeur de sociétés
Chevalier de la Légion d'honneur
Les données manquantes sont à compléter.
? ? Georges Frézard[20]    
Maire en 1953   Marius Rucklin SFIO Conseiller général du canton de Grandvillars (1954 → 1962)
mars 1977 29 mai 1977 Jean-Marie Taillard PS Cadre retraité
mars 1989 En cours
(au 23 mai 2020)
Christian Rayot[21] DVD[22] puis
MRC-DVG
Huissier de justice
Conseiller général (2008 → 2015) puis départemental de Grandvillars (2015 → )
Suppléant du sénateur Jean-Pierre Chevènement (2008 → 2014)
Président de la CC du Sud Territoire (2008 → )

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

En 2021, la commune comptait 2 978 habitants[Note 4], en augmentation de 0,1 % par rapport à 2015 (Territoire de Belfort : −3,34 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7907808599611 0491 2641 5311 6751 654
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8701 9582 0261 9542 2722 1772 1842 3762 439
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 7202 9693 0722 9943 1462 9312 8232 6072 798
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
2 9613 1013 2313 0482 8742 9633 1143 1392 974
2017 2021 - - - - - - -
2 9742 978-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

L'hôpital le plus proche est l'hôpital Nord Franche-Comté situé dans le sud du département, à Trévenans[27],[28].

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église de Grandvillars.
L'intérieur.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Martin, qui date initialement de 1700, a été agrandie dans les années 1840. Touchée par le bombardement de 1944, elle a été restaurée.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

écartelé au 1) et 4) d'azur aux trois écussons d'argent au 2) et 3) d'azur au coq d’or crêté, barbé, becqué et membré de gueules.

Logo de la ville.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le Train : Les archives du PLM : tome 1, page 77.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Grandvillars et Joncherey », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Joncherey », sur la commune de Joncherey - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Joncherey », sur la commune de Joncherey - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Delle (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d'habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Delle (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Dictionnaire topographique du département du Haut-Rhin - Georges Stoffel (1868).
  18. Carte archéologique du Doubs et du Territoire de Belfort, p. 470.
  19. a et b [PDF] Les châteaux de Morvillars - Patriotisme, civisme et entrepreneuriat de divers membres de la famille Viellard
  20. Notice FRÉZARD Georges Léon par Jean-Louis Ponnavoy, version mise en ligne le 24 septembre 2015, dernière modification le 24 septembre 2015
  21. Réélu le 23 mai 2020.
  22. [vidéo] Aux élections cantonales de 1994, il est candidat divers droite soutenu par le RPR et l'UDF [1]
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Hôpital Nord Franche-Comté sur le site de la commune de Trévenans.
  28. Site officiel de l'HNFC.