Gare de Bordeaux-Saint-Jean
Bordeaux-Saint-Jean | |
Vue partielle du bâtiment voyageurs historique et de l'entrée du hall 1. | |
Localisation | |
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Pays | France |
Commune | Bordeaux |
Quartier | Saint-Jean Belcier |
Adresse | Rue Charles-Domercq 33800 Bordeaux |
Coordonnées géographiques | 44° 49′ 33″ nord, 0° 33′ 21″ ouest |
Gestion et exploitation | |
Propriétaire | SNCF |
Exploitant | SNCF |
Code UIC | 87581009 |
Site Internet | La gare de Bordeaux-Saint-Jean, sur le site officiel de SNCF Gares & Connexions |
Services | Thalys (été) TGV inOui Ouigo Intercités TER Nouvelle-Aquitaine Fret SNCF |
Caractéristiques | |
Ligne(s) | • Paris-Austerlitz à Bordeaux-St-Jean • Bordeaux-St-Jean à Sète-Ville • Bordeaux-St-Jean à Irun • Chartres à Bordeaux-St-Jean • Ceinture de Bordeaux |
Voies | 15 dont 3 en impasse[1] |
Quais | 8[1] |
Transit annuel | 17 675 655 voyageurs (2019) |
Altitude | 7 m |
Historique | |
Mise en service | 1855 |
Architecte | Louis Choron et Marius Toudoire |
Protection | Inscrit MH (1984) |
Correspondances | |
Tramway | |
Bus TBM | 1 9 10 11 31 |
TransGironde | lignes 601, 701, 702 |
modifier |
La gare de Bordeaux-Saint-Jean, dite gare Saint-Jean à Bordeaux, est la plus grande gare ferroviaire de la région Nouvelle-Aquitaine, à 2 h 4 min de Paris, par l'utilisation de la LGV Sud Europe Atlantique.
Les trains desservant la gare sont en provenance ou à destination de villes comme Arcachon, Toulouse, Nîmes, Marseille, Strasbourg, Lille et Nantes. Les liaisons avec Angoulême, Agen, Bergerac, La Rochelle, Langon, Libourne, Limoges, Pau, Périgueux et Poitiers sont fréquentes.
Situation ferroviaire
La gare Saint-Jean est située au point kilométrique (PK) 583,844 de la ligne de Paris-Austerlitz à Bordeaux-Saint-Jean[2]. Elle est également l'origine de la ligne de Bordeaux-Saint-Jean à Sète-Ville, et de la ligne de Bordeaux-Saint-Jean à Irun ainsi que l'aboutissement de l'ancienne ligne de Chartres à Bordeaux-Saint-Jean. Son altitude est de 7 m[3].
Histoire
Dates clés
La gare de Bordeaux-Saint-Jean, située au bout du cours de la Marne, a été construite en 1855, sous le nom de gare du Midi[4], par la Compagnie du Midi[5].
Cette compagnie entreprenait depuis 1852 la construction d'une ligne de chemin de fer entre Bordeaux et Sète. Le , elle adresse aux autorités un projet d'implantation d'une gare sur les quais de Bourgogne, de la Salinière et de la Grave, au détriment des activités navales qui s'y trouvaient. Elle doit faire face à une levée de boucliers des riverains[6]. Est seulement autorisée la construction d'une gare provisoire à l’extrême sud de Bordeaux, sur les terres basses de Paludate. La gare ne comptait que cinq voies et les bâtiments étaient en bois[6].
Le , la Compagnie du Midi met en service une liaison entre Bordeaux et la gare de Langon[7], premier tronçon de la ligne de Bordeaux à Sète. La même année, la ligne vers La Teste est redirigée vers cette gare au détriment de la gare de Bordeaux-Ségur. Progressivement, grâce à la mise en service le de la passerelle Eiffel, la petite gare provisoire du Midi allait devenir la principale gare de Bordeaux aux dépens de la gare de Bordeaux-Bastide (gare d'Orléans) sur la rive droite de la Garonne. Le développement important des chemins de fer à la fin du XIXe siècle rendit nécessaire son agrandissement. Les travaux débutèrent en 1889. Le hall d'arrivée fut bâti en premier en 1893 ; puis ce fut le hall de départ en 1897. La totalité du complexe fut terminée en 1898. Cette nouvelle gare est l'œuvre de l'ingénieur de la Compagnie du Midi, Louis Choron[8], adjoint de l'architecte Marius Toudoire.
La fusion en 1934 entre la Compagnie du Midi et la Compagnie du Paris-Orléans sonna le glas définitif de la gare de Bordeaux-Bastide. Il existait aussi une autre gare située sur la rive droite, au sud de celle de la Bastide : la gare de l'État, terminus qui devint la gare marchandise de Bordeaux-Deschamps. La ville était en effet desservie par trois compagnies ferroviaires. Un grand remaniement des lignes sur la rive droite eut lieu en 1954.
La salle des départs est une immense salle du XIXe siècle, construite sur deux niveaux et éclairée par une vaste verrière. Dans le hall de départ, une vaste carte est peinte représentant les lignes du réseau de la compagnie du Midi, de Bordeaux à Sète. Cette très belle carte a malheureusement été amputée à l'occasion des travaux de rénovation de la gare, dans les années 1980, pour créer un passage entre deux espaces. La partie amputée correspond à l'essentiel du massif des Pyrénées et des lignes de montagne de l'ancien réseau du Midi (en particulier dans l'Ariège et l'Aude).
Le , le maire de Bordeaux Jacques Chaban-Delmas, le président de la SNCF Philippe Essig et le directeur régional Marc Cauty inaugurent les nouvelles installations modernisées du bâtiment, devant permettre l'accueil du futur TGV Atlantique[9].
La verrière surplombant les voies est la plus grande verrière ferroviaire d'Europe[10]. Elle est l'œuvre de l'entreprise de construction métallique Daydé & Pillé[11] comme en témoignent les plaques des constructeurs présentes sur les poteaux en acier. Gustave Eiffel a conduit, en tant que maître d'ouvrage (et non concepteur), les travaux de construction, de 1858 à 1860, du pont ferroviaire appelé passerelle Eiffel utilisé jusqu'en 2008 pour traverser la Garonne et qui permettait à la gare Saint-Jean d'être reliée à tout le réseau ferroviaire au nord de la Garonne. Un nouvel ouvrage à quatre voies le remplace depuis cette date, permettant d'augmenter sensiblement la cadence des passages de trains.
La gare, ainsi que sa verrière métallique couvrant les voies, fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [12].
Un chantier de rénovation de la gare est entrepris à partir du printemps 2014 et s'achève à l'arrivée de la ligne LGV prévue en [13]. Dans un premier temps, la pose de 3 000 tonnes d'échafaudages[14] a été nécessaire au chantier, impliquant le renforcement par des étais des passages souterrains au-dessus desquels ils sont implantés[13]. Près de 150 personnes œuvrant nuit et jour sont nécessaires aux diverses tâches : désamiantage, décapage des couches successives de peinture au plomb sur les structures métalliques, remplacement de toutes les plaques de verre de la verrière longue de 300 mètres et d'une superficie de 17 400 m2, ainsi que celui de 200 tonnes de panneaux en pin, apposition de 25 000 litres d'une nouvelle peinture dans les tons gris bleuté, pose d'une nouvelle couverture en zinc[13]. Des travaux annexes sont également au programme : rénovation des marquises du XIXe siècle devant la gare ainsi que de certains escalators et passages souterrains[13].
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Façade de la gare du Midi.
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Rames de l'ancien tramway de Bordeaux devant la gare, dans l'entre-deux-guerres.
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La verrière de la gare, vers 1908.
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La halle.
Autres dates
Les autres dates intéressant la gare sont listées ci-après.
- : mise en service de la ligne d'Angoulême à Bordeaux, par la Compagnie du PO.
- : mise en service de la ligne de Bordeaux-Saint-Jean à Langon, par la Compagnie du Midi.
- : mise en service du raccordement des gares PO et Midi à Bordeaux.
- : au début de l'Occupation, départ du premier convoi de travailleurs volontaires français en direction de Hambourg, en Allemagne, constitué de 115 hommes comprenant des terrassiers, des charpentiers, des mécaniciens et des chômeurs[15].
- : assassinat de Charles Domercq. Sous-chef de gare principal, membre de plusieurs réseaux de Résistance, il est torturé par les Nazis mais ne parlera pas. La rue devant la gare porte depuis son nom[16]. Une petite photo de lui est accrochée au-dessus du monument aux morts de la gare, dans la partie nord-ouest du hall 1 (photo ci-contre).
- : la RGP2 X 2701 + XR 7701 (série X 2700) relie Lyon à Bordeaux.
- : dernière circulation d'une RGP2 (série X 2700) du dépôt de Lyon-Vaise sur la relation Genève - Bordeaux via Montluçon et Limoges (et retour).
- : création du train Trans-Europ-Express (TEE) L'Aquitaine entre Paris-Austerlitz et Bordeaux, composé de voitures Grand Confort tractées par des locomotives électriques de la série CC 6500.
- : première circulation commerciale d'un turbotrain de type RTG entre Lyon et Bordeaux.
- : dernier jour de circulation du train Trans-Europ-Express (TEE) L'Aquitaine entre Paris-Austerlitz et Bordeaux.
- : première desserte commerciale par TGV entre Bordeaux et Paris, en 2 h 58 min.
- : la locomotive diesel CC 72059 (série CC 72000) tracte le train 4490/1 Le Ventadour Bordeaux - Grenoble via Clermont-Ferrand et Lyon.
- : dernière circulation d'un turbotrain RTG entre Lyon et Bordeaux.
- : mise en service d'autorails X 72500 sur la relation Lyon - Bordeaux via Montluçon, Guéret et Limoges, par la région Limousin et la région Rhône-Alpes.
- : mise en service de la LGV Sud Europe Atlantique. Paris est désormais à 2 h 4 min de Bordeaux.
En 2019, selon les estimations de la SNCF, la fréquentation annuelle de la gare est de 17 675 655 voyageurs, contre 16 080 989 en 2018, 14 979 299 en 2017, 12 198 403 en 2016 et 12 062 338 en 2015[17].
Service des voyageurs
Accueil
Le hall d'arrivée est bâti en premier, en 1893, et le hall de départ en 1897. Ils sont rénovés en 1990, lors de la construction de la LGV Atlantique, puis de nouveau en 2016-2017, à l'occasion de la construction de la LGV Sud Europe Atlantique qui met Bordeaux à 2 h 4 de Paris.
Côté Belcier, un nouveau hall, le no 3, ouvre le rue des Terres-de-Borde. C’est l’accès le plus commode pour les automobilistes, car le bâtiment est adossé à un parking de 850 places.
Desserte
Elle est desservie par des TGV (dont les services TGV inOui et Ouigo), en provenance ou à destination de Paris-Montparnasse, Toulouse-Matabiau, Hendaye, Tarbes, Arcachon, Lille-Flandres, Tourcoing, Bruxelles-Midi et Strasbourg-Ville, ainsi que des trains Intercités de ou vers Nantes, Nîmes et Marseille-Saint-Charles. À cela s'ajoute un Thalys effectuant un aller-retour direct entre Bordeaux et Bruxelles-Midi, les samedis de fin juin à fin août.
La desserte est également assurée par de nombreux TER Nouvelle-Aquitaine en provenance ou à destination d'Arcachon, de Mont-de-Marsan, de Langon, d'Agen, de Macau, de Lesparre, du Verdon, de La Pointe-de-Grave (en juillet et août), de Tarbes, de Pau, d'Hendaye, d'Angoulême, de Coutras, de Saintes, de La Rochelle-Ville, de La Rochelle-Porte-Dauphine, de Saint-Mariens - Saint-Yzan, de Brive-la-Gaillarde, de Périgueux et de Limoges-Bénédictins.
Intermodalité
La gare est desservie par les lignes C et D du tramway de Bordeaux, ainsi que par les lignes « Lianes » 1, 9, 10 et 11 et la « Corol » 31 du réseau de bus de Bordeaux Métropole et, la nuit, par la ligne 58 (TBNight) de ce même réseau.
Les cars régionaux des lignes 601, 701, 702 et 710 desservent également la gare.
À côté de la gare, un parc de stationnement de 250 places pour les vélos, ouvert en permanence, est disponible ainsi que trois stations de location de vélos en libre service (rue Saint-Vincent-de-Paul, gare Saint-Jean et Belcier)[18].
Service des marchandises
Cette gare est ouverte au service du fret[19].
Projets et travaux
Aménagement de la gare
Au nord de la gare, la passerelle Eiffel était le seul pont ferroviaire permettant de traverser la Garonne à Bordeaux et ne comportait que deux voies limitées à un passage à 30 km/h. D'autre part, la portion commune aux 2 lignes vers Paris-Austerlitz et Chartres jusqu'à la bifurcation de Saintes située à Cenon est encore à deux voies et comportait des passages à niveau. Tout ceci est un goulet d'étranglement responsable de la saturation du trafic à destination ou en provenance du Nord de la France : c'est le bouchon ferroviaire de Bordeaux. Un nouveau pont à quatre voies a été construit par SNCF Réseau (anciennement RFF). La mise en service complète des quatre voies, sur celui-ci, a eu lieu en 2010. Cependant, le hiatus de 2 km jusqu'à Cenon subsistera jusqu'en 2017.
La destruction de la passerelle, envisagée par son propriétaire RFF, risque de remettre en cause le classement de Bordeaux au patrimoine mondial de l'UNESCO. RFF se déclare cependant prête à la céder à la collectivité. Le ministère de la Culture a pris un arrêté de mise en instance de classement en pour une durée d'un an. Pendant cette année, des études ont été réalisées permettant d'évaluer combien coûterait le maintien de cet ouvrage, et s'il doit être classé monument historique.
L'ouvrage fait à présent partie d'un ensemble de trois sites historiques (avec la base sous-marine créée par les Allemands pendant l'Occupation) dont la réhabilitation est portée par les collectivités dans le cadre de la candidature pour « Bordeaux 2013, Capitale européenne de la culture »[20].
Les travaux visant à faire sauter le bouchon ferroviaire comprennent également le remplacement de la gare de Bordeaux-Benauge (sur la rive droite de la Garonne) par le pôle multimodal à Cenon permettant la connexion entre le réseau TER et la Ligne A du tramway de Bordeaux (réseau TBM). Ce pôle multimodal a été mis en service en .
La carte murale (présente depuis 1929) fait l'objet d'une restauration entre les mois d'août et de . Ce travail a été rendu nécessaire car d’importantes quantités de poussières et de taches organiques recouvraient la carte. La couche de peinture présentait également de nombreuses zones écaillées ou cloquées. Sur d’autres parties de la carte, elles avaient même disparu et laissaient place à des lacunes de couleurs. Une équipe de quatre personnes consacrera plus de 2 000 heures aux réparations. SNCF Gares & Connexions, avec le soutien du ministère de la Culture, participera à la réunion des fonds nécessaires. La SNCF annonce le projet complet en . La carte d'une surface de 75 m2 est commandée en 1928 par la Compagnie du Midi au peintre A. Malbec. Cette carte avait pour objet de représenter l’étendue du domaine ferroviaire régional, électrisé à partir de 1910, et de magnifier sa principale gare[21].
Des nouvelles lignes à grande vitesse
La construction de la LGV Sud Europe Atlantique permet de réduire, en 2017, le temps de trajet à 2 h entre Bordeaux et Paris. Le prolongement de cette ligne vers Madrid et Lisbonne va permettre d'assurer la connexion des pays du Nord et du Sud de l'Europe avec les lignes vers Londres, Bruxelles et Amsterdam. De plus, la LGV Bordeaux - Toulouse mettra cette dernière ville à 1 h de Bordeaux, et devrait aussi ouvrir de nouvelles liaisons transversales de Bordeaux vers le littoral de la Méditerranée et le sillon rhodanien[22].
Ces connexions de lignes à grandes vitesses doivent permettre, selon la SNCF (), de voir le trafic passer de 10 à plus de 20 millions de voyageurs par an[23].
Bordeaux-Euratlantique
Une opération d'intérêt national dénommée Bordeaux-Euratlantique a été créée par un décret du , pour l'aménagement global des espaces situés autour de la gare Saint-Jean.
Bordeaux-Euratlantique se développera sur une surface de 738 ha répartis sur Bordeaux avec 386 ha, Bègles avec 217 ha et Floirac avec 135 ha. L'objectif, à l'horizon 2030, est de créer un centre d'affaires au rayonnement international dans ces nouveaux quartiers. Il est prévu la construction de 2,5 millions de mètres carrés de surface, répartis entre 15 000 logements et 500 000 m2 de bureaux. Des commerces et des équipements publics viendront compléter ces aménagements[24].
Galerie de photographies
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Vue du sud de la gare, avec la gare de triage au fond.
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Vue du nord de la gare, avec le pont d'Aquitaine au fond.
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Parking aérien de la gare, coté quartier Belcier.
Notes et références
- SNCF Gares & Connexions, gare de Bordeaux Saint-Jean (consulté le 17 mai 2019).
- Les distances sont comptées via les gares d'Orléans et de Tours.
- Base de données des repères de nivellement de l'IGN.
- Point 1998, p. 13
- Point 1998, p. 19
- Revue historique de Bordeaux et du département de la Gironde, Janvier - Mars 1956 : Louis Papy, Aux origines des gares de Bordeaux.
- Point 1998, p. 30
- « Petite biographie de Louis Choron », sur charlesfourier.fr, (consulté le ).
- Point 1998, p. 9
- Sud Ouest, 19 mai 2011.
- Bertrand Lemoine, L'architecture du fer, Champ Vallon, Seyssel (France), (ISBN 2-903528-71-3).
- Notice no PA00083187, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Benoît Lasserre, « À la gare de Bordeaux verrière rimera avec lumière », Le Mag no 212, supplément à Sud Ouest, 23 avril 2016, p. 110-117.
- Ces échafaudages représentent un tiers du poids de la tour Eiffel.
- Brigitte Vital-Durand, « Bordeaux, 1er juillet 1940, 23 heures, l'horloge passe à l'heure allemande. Du 27 juin 1940 au 27 août 1944, chronique de l'Occupation au quotidien, dans la ville où Papon prend ses fonctions en mai 1942 », sur Libération, (consulté le ) : « Début décembre, à la gare Saint-Jean, un premier convoi de travailleurs, tous volontaires, part pour l'Allemagne: 115 hommes,… ».
- Michel Cardoze, « À Bordeaux, vous connaissez la rue Charles Domercq, mais connaissez-vous l'homme ? », sur France Bleu, (consulté le ).
- « Fréquentation en gares : Bordeaux Saint-Jean », sur SNCF Open Data, traitement du [cf. l'onglet des informations] (consulté le ).
- « Plan des Vcub de Bordeaux », sur infotbm.com (consulté le )
- Site fret SNCF : la gare de bordeaux-Saint-Jean.
- Capitale européenne de la culture 2013 – Liste des villes candidates, Ministère de la Culture et de la communication, avril 2008, sur culture.gouv.fr (consulté le 21 janvier 2015). Bordeaux n'a pas été retenue.
- « LA CARTE MURALE DE LA GARE DE BORDEAUX RETROUVE SES COULEURS », sur SNCF.com, (consulté le ).
- Documents du débat public.
- Le Point du 5 février 2009 : Euratlantique bouscule tout
- Le Moniteur du 10 novembre 2009: L'Opération d'Intérêt National Bordeaux-Euratlantique est créée
Voir aussi
Bibliographie
- Martine Courbin, La gare Saint-Jean : son quartier et ses cheminots 1856-1905, vol. 2 vol. (111 f.) ([80 f.]) (Mémoire de maîtrise : Histoire contemporaine), Bordeaux, Université Michel Montaigne, Bordeaux III, coll. « dactylographié », .
- François-Xavier Point, La gare de Bordeaux Saint-Jean : Histoire d'une centenaire (1898-1998), Bordeaux, Éditions Sud-Ouest, , 128 p. (ISBN 2-87901-290-2).
- La France des gares, collection Guides Gallimard, 2001.
- Patricia et Pierre Laederich, André Jacquot et Marc Gayda, Histoire du réseau ferroviaire français, éditions de l'Ormet, Valignat, 1996.
- Jacques Defrance, Le Matériel moteur de la SNCF, éditions N.M., Paris, 1969 ; 1978.
- Maurice Mertens et Jean-Pierre Malaspina, La Légende des Trans-Europ-Express (TEE), éditions LR-Presse, 2007.
- Revue : Le Train avec numéro hors série sur les autorails X 2700 et X 2770).
- Revue : Le Train avec numéro hors série sur Les locomotives diesels de ligne, les CC 72000, tome 4, par Olivier Constant, spécial 3/99 de 1999.
- Revue : Voies ferrées, avec article « Lyon - Bordeaux : la revanche de l'X-TER » par Denis Vuagnoux, paru en pages 31 à 38 dans le no 171 de janvier-.
- Hebdomadaire : La Vie du Rail, avec plusieurs articles de 1955 à 2008.
- Indicateurs horaires SNCF de 1938 à 2005.
Articles connexes
- Ancien château d'eau de la gare Saint-Jean
- Liste de gares en France
- Ligne de Paris-Austerlitz à Bordeaux-Saint-Jean (voir schéma et liste des gares)
- Ligne de Bordeaux-Saint-Jean à Irun
- Ligne de Bordeaux-Saint-Jean à Sète-Ville
- Ligne de Chartres à Bordeaux-Saint-Jean
- LGV Sud Europe Atlantique
- LGV Bordeaux - Toulouse
- Transversale Alpes Auvergne Atlantique
- Transports Bordeaux Métropole
- Gare de Bordeaux-Benauge
- Gare de Ravezies
- Gare de Bordeaux-Bastide
- Ceinture de Bordeaux
- Saint-Jean Belcier
- Liste des gares desservies par TGV
- Liste des gares desservies par Intercités
Liens externes
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- Ressource relative au transport :
- Modèle:Gares TER SNCF
- Venir à Bordeaux en train
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